Le Secret de l'Ordre

Oué, mais même en me relisant, j'aime pas...
J'ai trop la tête sur le design pour bien rédiger ce que je veux...

Ah la la, demain je revois ça !

Allez, je rattrape mon retard.
dernier extrait du 1er chapitre:

Les gestes s’effectuaient d’eux-mêmes, et Wagenwolk reconnut qu’il n’aurait jamais eu le cran de poursuivre si une poussée d’adrénaline ne motivait pas ses doigts. De nombreuses salopettes étaient entassées sur le premier rayonnage et peu de temps suffit pour qu’elles se retrouvent à terre, en total désordre.

Et bien, Edward se suicide pour ne pas défier l'Ordre une nouvelle fois. Il doit vraiment être effrayant cet Ordre. Je me demande bien qu'est-ce qui s'est passé 10 ans plus tôt et qui les rattrape aujourd'hui. Tu sais vraiment bien maintenir le suspens, ce que j'avais lu dans VVL se vérifie ici.
A part l'accord du verbe "suffir" à "peu de temps", je n'ai noté aucune autre faute majeure. Desfois tu emploies des termes différents de ceux que j'emploierai à ta place, mais j'ai remarqué que tu ne tiens pas tellement compte de mes remarques à ce propos, alors je ne t'en ferais plus

2e chapitre:
hum, très difficile de s'imaginer l'université. Tu parles d'abord d'une cour demi-circulaire entourée de colonnes, avec à l'entrée deux grandes pointes, puis ensuite tu nous parles d'une autre cour rectangulaire. Cette seconde cour est située derrière la première? Elles sont séparées par le dôme dans lequel se trouve la grande horloge, c'est ça? Et de chaque côté de cette cour se trouvent les bâtiments d'étude?
Si c'est bien ça, bon c'est compréhensible mais la description mérite plus de précisions. Certaines phrases ne sont pas très claires, comme:

En réalité, l’université formait une croix dont le centre s’élevait de la tour administrative

Cette phrase est mal écrite, mais grâce à la précision de la forme de la croix, j'ai pu m'imaginer un peu la scène. Enfin, c'est pas encore ça, quoi...

Bon, aucune faute visible, donc je ne cite pas ^^
Mais personnellement, je ne visualise pas bien l'université du tout..


J'imagine ça comme ça en fait :
. . . . . . . . . . . .__________
. . . . . . . . . . . .| . . . . . . . . . . |
. . . . . . . . . . . .| . . . . . . . . . . |
__________| . . . . . . . . . . |__________
| . . . . . . . . . . . . . ._____. . . . . . . . . . . . . . .|
| . . . . . 1. . . . . . . | . . 2 . .| . . . . . . 1 . . . . . .|
|__________. . |_____| . .__________|
. . . . . . . . . . . . | . . . . 4. . . . . |
. . . . . . . . . . . . O\ . . . . . . . /O
. . . . . . . . . . . O/ . . . . . . . . .\O
. . . . . . . . . . O/ . . . . .3. . . . . \O
. . . . . . . . . . O| . . . . . . . . . . . .|O

1 = salles d'études
2 = cour rectangulaire intérieure
3 = cour demi- circulaire
4 = dôme
O = colonnes

Désolé si je suis complètement à côté de la plaque ^^'

EDIT : oui, j'imagine comme barbara en fait..

Moi, la cour demi-circulaire, je l'imagine dans l'autre sens, en fait, l'arrondi vers l'extérieur. Si je savais faire un petit schéma, je me serais bien amusée aussi!

Boah, ça n'a rien de très drôle de faire des petits schémas ^^
Ah ouais, dans l'autre sens ? Quelle phrase te fais penser à ça ?

Aucune, c'était plus logique dans mon esprit.

Ben en fait, oui, c'est à peu près ça Kirlim sauf que, comme le dit Barbara, le cercle est dans l'autre sens. En fait, je vais vous montrer le schéma que je me suis fait pour décrire:

Spoiler:

Enfin voilà. Je réécris, je colle par dessus, je vous préviens et je mets le passage suivant (si j'ai le temps) pour la semaine !

Moui, bon alors on avait une image assez bonne... Mais bon, je te conseille peut-être quand même de retravailler la description

Voilà qui est corrigé. Je ne mettrais par contre sûrement pas la suite ce soir.
Enfin, ça a encore le temps de changer d'ici là.

Ah ! C'est déjà plus clair ! Ton schéma aide pas mal aussi.
Mis à part la description, le texte en lui même est mieux, plus agréable à lire.

La circulation aérienne était fluide en cette journée brumeuse.

Si la journée est brumeuse, la circulation ne devrait pas être fluide justement... instable plutôt non ?

Luttant contre les haut-le-cœur qui empoignaient son estomac, Oscar y prêta une rapide attention.

A ce moment là, on a encore l'image de quand il oublie à quelle altitude il est, tu sais à un moment, il est amusé par l'image étudiant/fourmi et en oubli son malaise. Tu peux en profiter pour dire que la vue en plongée des deux philosophes le fait revenir à la réalité et que ses hauts-le-coeur reprennent alors.

Bien, beaucoup mieux en effet
en visualise très bien l'université là, peut-être pas comme il faut mais on l'imagine avec merveille et on adhère, on comprend sans souci son prestige et sa grandeur, ça donne presque envie d'y aller. (presque parce que ça reste une université...) ^^

Quel con (moi) -_- J'ai oublié les deux petits trucs qui ne vont pas (d'après moi).

Bref :

attrapa le levier de niveau du véhicule et le tira doucement à lui. Le nez de l’appareil pencha en avant

Ce n'est peut être qu'un détail, mais il est plus logique que l'appareil prenne de l'altitude en tirant le levier vers sois. Ou du moins est-ce ainsi que sont faits les avions et cie.

elles avaient retrouvé leur éclat d’antan, débarrassées des souillures des gaz des aéronefs. De hauts remparts, ornés de gargouilles, délimitaient la fin du demi-cercle. Ces dernières lançaient des regards menaçants aux étrangers, comme si elles mordraient ceux qui tenteraient de s’en approcher de trop près ou ceux qui souhaiteraient souiller l’enceinte universitaire.

Petite répétition.

Voilà >.<

Oui j'avais vu la répétition des souillures. Je comptais la changer d'ailleurs .
Pour le levier.. je serais davantage de ton avis, ouais. Bien que je m'imaginais plus un hélico sur le coup ^^'.

Merci Kirlimchou aussi . Je ne vois pas en quoi le temps peut empêcher la circulation d'être tout de même fluide... Sur les routes, on parle d'aisance par rapport au nombre de voitures qui circulent, pas au temps (généralement. Mais c'est sur que si y'a des bouchons avec du brouillard, ça y arrange pas...)

Et j'vais essayé de glisser entre deux descriptions que le dégueuli remonte dans la trachée de ce bon vieux Oscar Deep .
J'ai aussi fait apparaître Sir Douglas. Je pense qu'il jouera aussi son rôle (ou pas... --").

En tout cas, merci bien !

Pacô a écrit:Oscar, se cramponnait nerveusement à son siège tout en tentant de (là c'est juste pour signaler le t_t_t_t_d qui, prononcé, rend assez mal. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai buté dessus sans le dire^^ ça c'est juste pour pinailler.) se rendre maître de la situation.

Pacô a écrit:En vérité, il avait horreur des voyages dans les airs et, si son ami ne le conviait pas à emprunter son aéronef particulier et si le professeur de Sciences Humaines n’avait pas une fierté inébranlable bon je suis un peu déconnectée du reste du texte, mais j'ai du mal à saisir qui est qui (pourquoi ne pas en nommer au moins un sur les deux ?) et j'ai l'impression que grammaticalement, qqchose ne va pas. Mais j'arrive pas à mettre le doigt dessus), il sollicitait volontiers les services de transport en commun terrestres qui étaient encore largement usités par le plus grand nombre de gens.

Pacô a écrit:Ravalant sa salive, Oscar jeta un coup d’œil rapide (à l’extérieur) par un hublot et étouffa un gémissement d’angoisse. L’Audacieuse se dissimulaient derrière un épais brouillard et son dôme ne brillait plus autant qu’en début de matinée.

Pacô a écrit:Ils courraient en tous sens, cherchant leurs salles de cours, accourant (tu vois, là, tu n'as mis qu'un seul r^^) aux appels de leurs camarades ou admirant simplement l’apothéose de finesse et de richesse que renfermaient ces lieux.

Pacô a écrit:Depuis la dernière restauration financée par le conseil administratif et Sir Douglas, le principal administrateur de l’université, elles avaient retrouvé leur éclat d’antan, débarrassées des souillures des gaz des aéronefs. De hauts remparts, (pourquoi une virgule ici ?) ornés de gargouilles, (et ici ?) délimitaient la fin du demi-cercle. Ces dernières pour moi, "ces derniers" ou "ces dernières" s'applique au dernier "sujet" si on peut dire, de la phrase précédente. Le fait que "gargouilles" soit au début me gêne un peu...) (oui ouiii je pinaille encore) lançaient des regards menaçants aux étrangers, comme si elles mordraient les "si" n'aiment pas les "rait", dit-on par ici^^ pas de conditionnel après "comme si", c'est le principe du "ah si j'étais riche" lalalala lalalala... aheum) ceux qui tenteraient de s’en approcher de trop près ou ceux qui souhaiteraient souiller l’enceinte universitaire.

Pacô a écrit:De fines colonnades et de splendides statues de savants illustres la striaient (ce verbe est-il bien approprié ici ?... j'avoue qu'il me fait tout bizarre) de part et d’autre tandis qu’une antenne protectrice, dressée sur la pointe du dôme, était chargée de vérifier le ciel et de réorienter d’éventuels chauffeurs maladroits.

Pacô a écrit:Huit heures vingt-cinq. Sa conférence débuterait/débutait dans quelques minutes et les élèves devaient déjà se presser dans l’amphithéâtre à la recherche d’une bonne place.

Pacô a écrit:Ils ne semblaient pas voir l’appareil qui les survolait, trop occupés par la cloche de la haute tour administrative, sonnante (purement subjectif, mais je trouve que ce participe présent rend très mal, surtout pour terminer la phrase). Deep retira les manches de sa veste (perso, là, j'ai l'image de quelqu'un qui s'arrache les manches... "releva" ?) et lut l’heure sur sa montre.

Pacô a écrit:Le brouhaha des discussions bruyantes se déversa sur lui, telle une vague vigoureuse des mers du sud, lorsqu’il l’ouvrit (ce morceau est mal incorporé au texte, serait sûrement mieux en début de phrase, le "l' " paraîtrait moins étrange), et Oscar Deep s’engouffra à l’intérieur de la brillante université de Denzer.

Bon... longue description quand même...
J'ai déjà dit que j'étais pas fan des descriptions ? Bah si je l'ai pas fait, l'erreur est réparée. Personnellement, je suis de ceux qui sautent allègrement ce genre de passages et n'y reviennent qu'en cas de besoin, lorsque par la suite, je note une incohérence. Plus c'est précis et pire c'est.
Comme pour Tolkien quand j'ai lu le Seigneur des Anneaux, c'est le genre de choses que je passe sans remords, tout en survolant, histoire de capter quelques éléments qui pourraient être importants.
Donc je ne suis pas spécialement fan de ce passage, même s'il plante bien le décor. J'ai fait beaucoup de remarques, mais pour la plupart c'est plus un ressenti que de véritables fautes, le début de la description me paraît un peu maladroit, j'ai l'impression que tu l'as recommencé 15x en voulant conserver certains morceaux de phrases et que du coup c'est encore un peu pêle-mêle. Mais bon, c'est peut-être juste mon côté "graaahh descriptioooon" qui se manifeste en ne voyant que le mal.
Je suis le diable.
Niark.

Hop, je viens de tout lire^^ (Comment occuper une soirée quand on n'a rien à faire...)
Je te mets déjà les corrections que je ferais (normalement, il ne devrait pas y avoir trop de redites avec ce qui a déjà été dit, j'ai vérifié).

Extrait 1:

"cet énergumène avait pas mal fait parler de lui": le "pas mal" me paraît un peu trop familier.
"une chaise apparemment inusitée": je dirais, évidemment qu'elle l'est! Elle ne va pas virer un client pour lui piquer son siège^^
"iris brunes": bruns, c'est un iris.
"cependant, nonobstant l'air mou et vieillissant de MacLafey, ce dernier lui agrippa le bras d'une force": la construction de la phrase ne convient pas trop. Nonobstant signifie "sans tenir compte de". Si tu remplaces, tu vois tout de suite l'étrangeté de la phrase, normalement il devrait s'agir de deux personnes différentes.

Extrait 2:

"yeux d'un naturel émeraude": pas très clair, là...un émeraude naturel? J'vois pas.
"Patientant tranquillement pendant que l'eau mousseuse ait atteint": oula, oula! Attendant tranquillement que l'eau mousseuse ait atteint...serait bien mieux.
"qui prévint...à résister": je sais qu'elle a déjà été mentionnée, cette faute. Prévenir à n'existe pas.
"Secouant énergiquement, la poudre se mélangea": écrit ainsi, c'est la poudre qui secoue ^^ Je mettrais "secouée".
"Sa vie était plutôt paisible depuis 10 ans": sa vie avait été, ça marque davantage la rupture.
"si la situation familiale, les services rendus à la nation et le statut social lui satisfaisaient": (là, je sais plus si elle avait été dite, tant pis). étaient safisfaisants/lui convenaient

Extrait 3:

"un fauteuil empêtré de linge": tournure étrange, quand on est empêtré dans quelque chose, on cherche à s'en débarrasser; là, je vois mal le fauteuil agir ainsi xD Recouvert, peut-être?
"Ce ne sera pas long." pas de point, quand on enchaîne directement sur l'incise.
"Abasourdis": pas de s
Je passe sur le verbe cuisiner, déjà signalé...
"leur iris luisaient, même s'ils avaient pourtant le dos": pourtant et même, c'est un de trop. Je garderais le "même".
"et une force malsaine qui s'en dégageait": je mettrais "la"...ça va avec la précision apportée par l'adjectif.
"l'oxygène réapprovisionnait": non, pour la concordance des temps, c'est au passé simple.
"il ne doutait de rien": il ne SE doutait en rien.

Extrait 4

"une forte odeur amère": je supprimerais le "forte"... Une odeur amère est déjà forte en soi. Et trop d'adjectifs tue l'adjectif^^
"dérangeant que de passer": j'enlèverais le que.
"en train de soigneusement réparé": ooooups: en train de réparer soigneusement.
"faute de moyens financiers pour apprendre et tâter": le tâter fait étrange, apprendre à tâter, peut-être? Et encore...
"le poids des années commençaient": au singulier.
"aussi inimaginables que cela paraissait": parût, imparfait du subjonctif
"Sollicitaient", j'ai vu, a été remplacé par "suscitaient". Mais je ne garderais pas le "lui" avant. J'ia plus la phrase en tête, faudra que je revérifie.

Extrait 5:

"coupa-t-il subitement": l'adverbe est ici inutile.
"vielle": vieille
"il n'a rien rajouté de plus": ajouté suffit. Il n'a pas déjà ajouté, il ne peut donc pas rajouter^^
"à l'opposé de par où il était entré": aaargh trop lourd.
"seuls ceux du couloir pouvaient voir à l'extérieur": j'ai pas plus léger mais la tournure est étrange, le "ceux" me dérange (seuls ceux empruntant le couloir?)
"sur l'emplacement digital jusqu'à ce qu'il se sépare en deux": l'emplacement digital? ou le cadenas?
"celui qui railla": raillait
"hurla Wagenwolk devenu fou": pour moi, le "devenu" casse l'effet en alourdissant trop. "Le regard fou", peut-être? ou "comme fou"?
"il n'avait suffit": suffi
"le silence eut étouffée": pas de -e

Extrait 6:

"en un plus": une croix, l'image du plus ne me plaît pas trop.
"altitude maximale de descente": euh, j'ai un peu de mal, là...il peut descendre plus bas puisqu'il se pose ensuite, nan?
"brouhaha des discussions bruyantes": je virerais le bruyantes, brouhaha suppose déjà du bruit, tu donnes dans le pléonasme.

Je crois que j'ai à peu près fait le tour
J'aime bien le début (ma réserve n'est due qu'au fait que je n'aime pas trop ce genre ), vraiment très bien écrit. Beaucoup de personnages, j'ai hâte de voir ce que va donner la suite. Et la scène avec Edward m'a surprise... Je m'attendais à ce qu'il tue Bolchevik au lieu de se suicider^^ Bon point, ça.
Et j'apprécie le personnage de John, bien qu'on n'en sache pas encore grand chose sur lui mais tout le mystère qui l'entoure m'attire.

Hybrid:

si son ami ne le conviait pas à emprunter son aéronef particulier et si le professeur de Sciences Humaines n’avait pas une fierté inébranlable

Hum, là non. Citer un perso ferait une répétition. Et le professeur de Sciences-Humaines, on est censé savoir qui c'est .

pour moi, "ces derniers" ou "ces dernières" s'applique au dernier "sujet" si on peut dire, de la phrase précédente. Le fait que "gargouilles" soit au début me gêne un peu...) (oui ouiii je pinaille encore)

Pas forcément. "Ces dernières" reprend le dernier sujet énoncé du même genre et du même nombre. Pas forcément celui de la fin. J'ai lu quelque part que c'était l'écriture anglophone traduite qui avait souillé notre langue avec, entre autre, le "celui-ci et ce dernier, qui est obligé de reprendre que le dernier truc cité de la phrase précédente.
(oh, ceux qui m'ont compris... Chapeau !)

Bouh... pour le si, je me battrais. Et je plaide coupable, je l'ai écrite sciemment.

(ce verbe est-il bien approprié ici ?... j'avoue qu'il me fait tout bizarre)

Dans ma tête, non, c'est bon ! Tout va comme je le veux .

Liven:

"yeux d'un naturel émeraude": pas très clair, là...un émeraude naturel?

J'vois pas.

Atta. Ce sont les yeux d'un naturel émeraude, pas l'émeraude qui est naturel. Comme quand on dit des cheveux de naturels chatains ou bruns etc...

"si la situation familiale, les services rendus à la nation et le statut social lui satisfaisaient": (là, je sais plus si elle avait été dite, tant pis). étaient safisfaisants/lui convenaient

Je comprends pas le but que de rajouter un participe présent à la place d'un verbe conjugué? Et satisfaisant ne peux être mis au pluriel, étant un adverbe !!

Oui, je conteste, je conteste, mais j'en ai retenu plus de la moitié (et là je me fais tout petit ).
Merci bien de m'avoir aiguillonné, je tacherai de faire attention maintenant .

Ok pour "naturel émeraude"...mais je ne connaissais pas l'expression.
Quant à "lui satisfaisaient", je changerais. Je n'avais jamais rencontré ce verbe employé avec un "lui". "Convenaient" irait mieux pour moi

Pour le prof de sciences humaines... hum, j'avoue que j'étais un peu déconnectée du reste du texte (ma mémoire vive est de 5 sec top chrono... après..........)... enfin n'empêche que je trouve la phrase un peu lourde et pas évidente à comprendre au premier coup (mais ce n'est peut-être pas ton but...)
Pour le "ce dernier", je sais pas trop. Ça m'a fait bizarre parce que la référence, sur le coup, ne m'a pas paru évidente, d'où la remarque. Après j'ai bien fini par comprendre donc... (et j'ai compris ton explication : je peux avoir un chapeau ?) (jeu de mot pourri... ok je sors)
Pour le "naturel émeraude" souligné par Liven... bin j'avoue que j'ai jamais non plus entendu cette expression concernant une couleur. Incultivation ou langage familier, je ne sais pas...
"d'un naturel joyeux", par exemple, ça me choque pas... Le problème, c'est que la tournure laisse penser que ce n'est pas un état permanent ou en tout cas qu'il est susceptible de changer. D'où mon souci concernant la couleur des yeux.
(dans le cas où j'ai tout faux je me sauve et cours me cacher)

Hum... si on est d'un naturel, c'est que justement on l'est en permanence... Vu que c'est naturel .
*Oui je défends ma cause*

J'allais justement cité le: "d'un naturel joyeux" ou d'un naturel jaloux.

Bref, j'vais essayer de sortir le prochain extrait ce soir.

Bon comme ça me gênait vraiment vis-à-vis d'une couleur, voilà ce que j'ai trouvé sur le net (à prendre donc avec des pincettes, même si pour moi cela semble tout à fait correct) :

Il signifie aussi, Inclination, humeur naturelle. Bon, mauvais, méchant naturel. Naturel doux, humain, vertueux, compatissant, bienfaisant, reconnaissant, etc. Naturel pervers, féroce, vicieux, malfaisant, ingrat, etc. C'est un plaisir de cultiver, d'orner un beau naturel. Il est jaloux, il est colère de son naturel. Il est d'un naturel jaloux, d'un naturel colère. On ne force guère son naturel. Il y a des naturels que rien ne peut adoucir, ne peut dompter. Le tigre est d'un naturel farouche et cruel, le cerf d'un naturel doux et timide. On a beau chasser le naturel, il revient toujours.

vu ici

Et sur un autre site :

1. Ensemble des tendances qui appartiennent à un individu: Elle est d'un naturel timide (caractère, nature, tempérament).

(ici)

=> conclusion, pour moi ça ne peut pas s'appliquer à la couleur des yeux... (juste histoire de continuer à te contredire, en fait j'aime bien embêter les gens)

Je dois m'incliner c'est ça?
*Jamais*.
Bon okay, j'y réfléchirai à l'occasion . En attendant, j'ai rédigé cette maigrelette suite (dont je ne suis pas particulièrement fier).
Avis aux amateurs donc...


Sir Douglas serait furieux, à n’en pas douter. Oscar l’imaginait froncer les sourcils et hausser le ton. L’administrateur principal de l’université était certes âgé mais la vigueur de son courroux n’avait pas pris une ride. Du haut de sa tour, on l’entendait parfois des salles d’Histoire exhorter des blâmes sur une malheureuse victime. Cette situation s’était déjà produite quelques années plus tôt et personne n’aurait désiré être à la place du malheureux collègue qui avait subi les foudres du grand patron. Il avait été élevé à la vieille école : respect, droiture et force mentale. Et si une chose lui déplaisait, tout le corps enseignant l’apprenait. En temps habituel, arriver une dizaine de minutes après la sonnerie exposait le retardataire à des réprimandes houleuses. Néanmoins, le jour de l’inspection du rectorat, cette erreur devenait impardonnable. S’il ne recevait pas une note déplorable par l’inspecteur, ce serait l’administrateur principal qui prendrait un malin plaisir à lui botter les fesses. En plus de nuire à sa propre carrière, Deep entachait la qualité de l’école et de ses membres. L’Université de Denzer était placée dans les plus renommées de l’époque voire même la plus cotée. Si les étudiants se comptaient par milliers, on se vantait surtout de la légende qui mystifiait le secret de l’Ordre. En effet, on disait partout et à qui voulait l’entendre que l’Ordre lui-même aurait suivi des cours ici et qu’il reviendrait souvent pour se documenter dans les éminentes bibliothèques de l’université. Malgré les lois, plusieurs curieux se pressaient entre les rangées de livres et guettaient un signe. A ce jour, personne ne découvrit le moindre indice sur son identité mais la rumeur continuait de faire rêver.
Les longs couloirs, qui formaient la dernière branche de la croix, paraissaient sans fin. Les hautes arcades qui soutenaient le plafond recouvert de dorures se multipliaient à mesure que le professeur de Sciences Humaines progressait. Des voix fugaces s’échappaient des innombrables salles de cours dont l’embrasure des portes projetait une lueur spectrale sur le sol lisse. Oscar jeta un rapide coup d’œil derrière son épaule. Après avoir connu l’effervescence démente de la matinée, le corridor s’étendait en une longue allée désertique. Seuls les bustes d’albâtre, à gauche, donnaient une note de vie sculpturale. Cependant leurs regards froids rappelaient l’expression courroucée de Sir Douglas et Deep ne préféra pas imaginer les reproches qu’ils lui feraient en cet instant. Il pressa alors le pas, évitant les yeux exaspérés des autres savants ou éminents philosophes de pierre. Ne craignant plus le ridicule, il courut et tenta de rattraper son lourd retard. Bientôt, il parvint à la porte d’entrée de l’amphithéâtre contenant plusieurs centaines d’élèves et un inspecteur. Sans grande surprise, pas un chat ne l’attendait car tout le monde s’était arraché les places à l’intérieur. Dans sa précipitation, Oscar remarqua les plis désobligeant de sa veste et la sueur qui coulait le long de ses tempes. A quelques centimètres de l’imposante porte, il interrompit sa course effrénée, passa une main hâtive sur son vêtement et s’essuya le front à l’aide d’un mouchoir de lin. Enfin, il agrippa la poignée et la tira à lui.
Un brouhaha étouffé régnait dans l’immense salle. Les sièges grinçaient au gré des mouvements de leurs occupants qui partageaient par des discours redoublés leurs récentes découvertes. Plusieurs têtes, contrariées, se levèrent vers lui. Oscar les ignora et se dirigea vers le bureau surélevé, au centre de l’amphithéâtre. Il posa sa mallette, l’ouvrit et sortit un petit objet circulaire, qu’il plaça sur la table, ainsi qu’un petit micro. Il desserra légèrement son nœud de cravate et accrocha le petit gadget à son col. Les enceintes apposées aux quatre coins de la salle grésillèrent. Les gradins tout autour de lui cessèrent leurs conversations. Les élèves s’emparèrent de leurs blocs notes en un bruissement continu de papier retourné ou froissé. Sans mot dire, le professeur se tourna et chercha des yeux la télécommande qui gérait son espace. Il la trouva enfin, juste derrière son petit cartable de cuir et actionna le seul bouton rouge qui composait son cadran. Aussitôt, le sol trembla et le plancher du centre de l’amphithéâtre s’éleva à plusieurs mètres de hauteur. De là, Oscar toisait l’ensemble de ses élèves. Satisfait, il reposa la manette et saisit une petite baguette de bois. Le calme reprenait peu à peu possession de son esprit. Si son retard avait été mal perçu, son cours, particulier, ferait oublier ce désagrément.
« Bonjour à tous, salua t-il de sa voix décuplée. »
Un vague murmure de réponses revint à lui. Oscar ne lui prêta guère attention. Concentré, il balayait du regard l’immense salle. Plusieurs figures lui étaient familières, dont quelques bons éléments qui suscitaient beaucoup d’intérêt au sein de l’université. Un étrange silence planait malgré la quantité d’élèves avides d’en apprendre toujours plus. Les gradins étaient découpés en petits box qui correspondaient à une place. Cet espace était constitué d’un siège et d’une petite tablette sur laquelle une petite lampe rouge luisait. Ces lanternes avaient une utilité pratique. Lorsqu’un élève désirait prendre la parole, sans la couper à son professeur, il lui suffisait de toucher la lampe. Aussitôt, la lueur vermeille prenait une teinte émeraude. Beaucoup de visiteurs s’émerveillaient de la dimension féerique de cet amphithéâtre plongé dans la semi obscurité.
Toutefois, Deep scruta une ultime fois les rangs tout autour de lui. Il avait eu le vague espoir de repérer l’homme qui le jugerait. L’homme qui le dévisageait sûrement de son côté tout en réfléchissant de la note qu’il assignerait. L’homme qui n’allait rien apprendre de ce cours excepté l’éloquence du professeur. L’homme qui finalement serait là pour évaluer une année de travail sur une simple heure. Deep réprima sa nervosité et toussa doucement pour dégager sa gorge sèche. Il était contre ces procédés désavantageux. Aucun enseignant n’était à l’abri d’une défaillance exceptionnelle sans pour autant que son travail en général fût un véritable désastre. Quelques murmures dans le haut le décidèrent à débuter son cours.
« Aujourd’hui est un jour spécial, commença t-il avec verve. Outre le fait de recevoir un membre de l’inspection du rectorat, je profite de cette occasion pour vous prodiguer un cours sur l’Ordre en lui-même et tout ce qu’il représente au sein de notre société.»
Un lampion vert s’alluma immédiatement sur sa droite, l’interrompant dans sa présentation. Oscar se tourna instinctivement vers lui. Une jeune fille qui ne lui était pas inconnue levait la main. Studieuse, elle se démarquait de ses camarades par son aisance orale et sa perspicacité. Elle avait une allure de jeune femme mûre quoique sa salopette bleue laissât entrevoir son caractère encore juvénile. D’un signe de tête, Oscar Deep lui accorda la parole.
« Monsieur, il me semblait que les lois proscrivaient toute étude de l’Ordre ?
-C’est exact, mademoiselle Holly, très bonne intervention de votre part, la félicita le professeur avec un sourire bienveillant. Si en effet l’Ordre interdit toute entreprise visant à le démasquer et mettre ainsi en péril la société, il encourage au contraire la compréhension de son œuvre. Reprenons le fil conducteur du cours, si vous le voulez bien. »

Pacô a écrit:Je dois m'incliner c'est ça?
*Jamais*.

ça devient intéressant !

Pour la suite...

Pacô a écrit:Sir Douglas serait furieux, à n’en pas douter. Arriver une dizaine de minutes après la sonnerie consistait déjà en temps habituel à assumer/exposait à ? des réprimandes houleuses. Néanmoins, le jour de l’inspection du rectorat, cette erreur devenait impardonnable. S’il ne recevait pas une note déplorable par l’inspecteur, ce serait l’administrateur principal qui prendrait un malin plaisir à lui botter les fesses. En plus de nuire à sa propre carrière, Deep entachait/entacherait la qualité du corps enseignant tout entier de la plus prestigieuse université de Denzer. Cette situation s’était déjà produite quelques années plus tôt et personne n’aurait aimé/voulu être à la place du malheureux collègue qui subit/avait subi les foudres du grand patron.
Les longs couloirs, qui formaient la dernière branche de la croix, paraissaient sans fin. Les hautes arcades qui soutenaient le plafond recouvert de dorures se multipliaient à mesure que le professeur de Sciences Humaines progressait. Des voix agiles (agiles ?! ça se dit d’une voix ?!) s’échappaient des innombrables salles de cours dont les portes projetaient une lueur spectrale sur le sol lisse. (je ne visualise pas bien… comment peut-on voir l’ombre d’une porte dans un couloir a priori « fermé » puisque cerné par les salles de cours ?... au mieux on voit la lumière des salles de cours qui se glissent au-dessous, mais pas l’ombre de la porte… enfin, ça me paraît bizarre.) Oscar jeta un rapide coup d’œil derrière son épaule. Après avoir connu l’effervescence démente (là encore, je pinaille, mais je ne crois pas que « effervescence » convienne. Encore une fois je me trompe peut-être de sens, mais pour moi ça signifie qu’il était entouré de plein de monde, qu’il se trouvait dans un endroit très agité, genre au milieu d’une foule hystérique. Or il n’y a pas eu de véritable agitation, simplement un gros coup de stress avec la visites des deux gars en costar et la flippe pour arriver à l’heure à l’université.) de la matinée, un désert total s’étendait désormais dans l’interminable corridor. (bon là je mettrais plus en opposition la panique, l’affolement de la matinée, la frayeur au calme et à la froideur des couloirs) Seuls les bustes d’albâtre, à gauche, donnaient une note de vie sculpturale. Cependant leurs regards froids rappelaient l’expression courroucée de Sir Douglas et Deep ne préféra pas imaginer les reproches qu’ils lui faisaient/feraient en cet instant. Il pressa alors le pas, évitant les yeux exaspérés des autres savants ou éminents philosophes de pierre. Ne craignant plus le ridicule, il courut et tenta de rattraper son lourd retard. Bientôt, il parvint à la porte d’entrée de l’amphithéâtre contenant plusieurs centaines d’élèves et un inspecteur. Sans grande surprise, pas un chat ne l’attendait car tout le monde s’était arraché les places à l’intérieur. Dans sa précipitation, Oscar remarqua les plis désobligeant de sa veste et la sueur qui coulait le long de ses tempes. A quelques centimètres de l’imposante porte, il interrompit sa course effrénée, passa une main hâtive sur son vêtement et de s’essuyer (manque un mot ?) le front à l’aide d’un mouchoir de lin. Enfin, il agrippa la poignée et la tira à lui.
Un brouhaha étouffé régnait dans l’immense salle. Les sièges grinçaient au gré des mouvements de leurs occupants qui partageaient par des discours redoublés leurs récentes découvertes. Plusieurs têtes, contrariées, se levaient/levèrent vers lui. Oscar les ignora et se dirigea vers le bureau surélevé, au centre de l’amphithéâtre. Il posa sa mallette, l’ouvrit et sortit un petit objet circulaire, qu’il plaça sur la table, et un petit micro. Il desserra légèrement son nœud de cravate et accrocha le petit gadget à son col. Les gradins tout autour de lui cessèrent leurs conversations. Les élèves s’emparèrent de leurs blocs notes en un bruissement continu de papier retourné ou froissé. Sans mot dire, le professeur se tourna et chercha des yeux la télécommande qui gérait son espace. Il la trouva enfin, juste derrière son petit cartable de cuir, et (il) actionna le bouton rouge. Aussitôt, le sol trembla et le plancher du centre de l’amphithéâtre s’éleva à plusieurs mètres de hauteur. De là, Oscar toisait l’ensemble de ses élèves. Satisfait, il reposa la manette et activa le micro. Un son aigu retentit des enceintes apposées aux quatre coins de la salle.
« Bonjour à tous, salua t-il de sa voix décuplée. »
Un vague murmure de réponses revint à lui. Oscar ne lui prêta guère attention. Depuis quelques secondes, il scrutait les gradins à la recherche de l’homme pas comme tout le monde (je trouve la tournure assez maladroite…). L’homme qui le dévisageait/dévisagerait sûrement de son côté (du côté de qui ??). L’homme qui ne prendrait pas des notes sur le cours étudié. L’homme qui finalement serait là pour le juger et peut être même pour le détruire. Toutefois, Deep réprima sa nervosité et toussa doucement pour dégager sa gorge sèche. Un dernier regard balayeur sur l’amphithéâtre, sans succès, le décida à débuter le cours.
« Aujourd’hui est un jour spécial, commença t-il avec aisance. Outre le fait de recevoir un membre de l’inspection du rectorat, je profite de cette occasion pour vous prodiguer un cours sur l’Ordre en lui-même et tout ce qu’il représente au sein de notre société.»
Un lampion vert s’alluma sur sa droite, un peu en hauteur, l’interrompant dans sa présentation. Ce système permettait aux élèves désireux de partager ses interrogations de ne pas se manifester oralement et provoquer un vacarme nullement souhaité. Oscar prit connaissance de l’élève : jeune fille non loin de la majorité, sans aucun doute, quoiqu’elle n’ait pas encore abandonné ses/les couettes blondes sur son crâne. D’un signe de tête, Oscar Deep lui accorda la parole.
« Monsieur, il me semblait que les lois proscrivaient toute étude de l’Ordre.
-Très bonne intervention, mademoiselle, la félicita le professeur avec un sourire bienveillant. Si en effet l’Ordre interdit toute entreprise visant à le démasquer et mettre ainsi en péril la société, il encourage au contraire la compréhension de son œuvre. Reprenons le fil conducteur du cours, si vous le voulez bien. »

Rouge : ce qui n'est pas correct
Bleu : ce qui peut être amélioré (en gros mes suggestions et pinaillagementations

Bin... un passage un peu maladroit. On comprend ce que tu as voulu dire mais certaines phrases bloquent (surtout au début). Je pense que le début notamment mérite d'être relu et un peu approfondi pour mieux décrire les divers sentiments du professeur qui passe d'un moment d'agitation au trac, puis à l'angoisse de se faire saquer par l'inspecteur (redeviendrait-il l'élève ?).
Sur le passage en lui-même, j'ai assez peu de choses à dire, sauf : GRAHHH juste quand ça commence à devenir intéressant tu coupes. S'trop pas juste. *boude* (ça c'était pour la réflexion utile et intelligente de 00h40 ^_^)

J'ai changé. J'ai pris en compte beaucoup de tes notifications, j'ai étoffé le premier passage, j'ai présenté un peu mieux le Sir Douglas...
Ensuite, pour l'effervescence, je parlais du corridor, et non de Deep. Mais j'ai rectifié pour rendre la phrase plus compréhensible.
Merci de tes remarques. Je pense mettre la suite en début d'aprèm' .

Histoire de râler encore un peu (si je ne râlais plus, je ne serais plus moi), j'ai relevé deux fautes :

- "dont quelques bons éléments qui suscitaient beaucoup d’intérêts au sein de l’université."
pour moi là, "intérêt" reste au singulier...

- "Aucun professeur n’était à l'abris d’une défaillance exceptionnelle"
à l'abri sans s !


Mieux, beaucoup mieux ! J'ai pas buté sur les phrases cette fois ^^ Et tu as ajouté aussi pas mal de détails qui ne figuraient pas dans la première version. La fin est toujours aussi rageante - mais la jeune fille en question a gagné un nom ^_^. Bon, baaaaahh j'attends la suite moi maintenant.

Waow... Je suis... stupéfactionné.
Je n'ai absolument rien d'autre à dire, le passage, après les corrections d'Hybrid, n'a aucun problème d'esthétique ou de scénario, je n'ai pas bloqué une seule fois... J'ai tout lu comme ça, en ayant toujours envie d'avoir la suite (jusqu'à ce que je ne l'ai plus (enfoiré >_<)
Nan mais je suis sérieux, vraiment, j'ai aimé, peut-être que c'est le meilleur passage que j'ai lu de ce texte