Le Véritable Visage de la Lumière

Laumie a écrit:« C’est une réelle crise d’identité que vit notre jeune République aujourd’hui à Bagdad, renchérit (Il renchérit sur quoi ??) l’homme en image trois dimensions debout au milieu du salon.

J'avoue ...

En fait, il faut s'imaginer que toute la scène avec Nixon et co' a été vue à la télé par la famille Adjahid et Marcounet. Et que là, on retourne dans le cercle familial par le biais de l'image 3D (oui, oui, c'est une méthode tordue u__u").
Donc en gros, je voulais utiliser "renchérir" dans le sens où le journaliste (tsais comme dans tout bon vieux reportage de TF1) fait le petit commentaire final en récapitulant tout et en faisant une question d'ouverture x).
Mais renchérir n'est peut être pas le plus adéquat en effet ... des propositions ?

Laumie a écrit: Il aimait rire, trouver la boutade qui animerait ses amis d’une fougueuse hilarité (Je suis pas sûre que le qualificatif de "fougueuse" soit des plus nécessaires) et vivre la vie qui l’accueillait chaque matin comme il l’entendait.

J'avoue encore xD.
Mais je sais pas ... je voulais dire dans le sens: une hilarité qu'on ne peut pas empêcher (donc elle est fougueuse) et j'allais pas mettre "qui animerait ses amis d'une hilarité qu'ils-ne-pouvaient-pas-s'empêcher \o/.
Des propositions ?

Laumie a écrit:
Ils hochèrent (Hocher, on l'utilise plus souvent dans le sens de dire oui que dire non) la tête de droite à gauche, le regard songeur perdu dans le vide.

Ah que nenni ! J'en profite pour protester contre l'abus de notre pauvre langue: le hochement de tête n'implique nullement le haut en bas obligatoire ! C'est avant tout un mouvement de tête. Il peut donc être de haut en bas, mais de droite à gauche ou de toute autre manière, du moment que ça signifie quelque chose pour l'interlocuteur. Par conséquent, c'est autant pour dire oui que pour dire non !

Laumie a écrit: Depuis que la famille marocaine avait quitté la section africaine pour se rendre à Paris, les deux garçons s’étaient élevés ensemble (Ils se sont élevés mutuellement ?? Comprends pas là), partageant leurs écoles, leurs instants de vie et leurs passions.

Je comprends pas trop là ...
Tu dis jamais que deux gosses se sont élevés ensembles ...? Dans le sens, ils ont passé leur enfance ensemble ?

Laumie a écrit: Au cours de l’une d’elle, Roald s’était empêtré dans plusieurs bobines et les avait mélangées ; les deux mômes (Bof, ça va pas trop avec le reste du ton du récit) d’autrefois avaient connu là une mémorable scène de panique, terrifiés par le retour des deux parents Pasceli et de la douloureuse sanction qu’ils subiraient.

J'ai honte de moi parfois (pour la faute).

Mais euh ... pourquoi ça n'irait pas avec le ton du récit ? Ils étaient bien des mômes à cette époque, non ?

Merci sinon pour la correction, ouaip, t'es tout à fait dans les temps \o/.
Et oui, Hassan se révèlera être un perso très perspicace et Roald un enfant très taquin.
J'ai envie de donner des personnalités à mes protagonistes maintenant u_u".

Pour renchérir, peut-être insister ou quelque chose comme ça ?? Réitérer sinon ...

Heu bah une hilarité partagée ou à partager ?? Ouais pas facile là ...

Et oui, ils étaient des mômes, mais mômes c'est plutôt familier alors que le reste est plutôt dans le langage courant.

Ouais, ou répéter ? Réaffirmer ?
Le réitérer, c'est plus dans le domaine de la question ...

Ok pour l'hilarité .

Merci bien, la suite plus tard .

En effet, tu as pas mal avancé...
Pour ne pas corriger des passages qui sont ok, dis moi quels passages je dois aller voir, parce que là, je ne sais pas lesquels ont besoin d'une vérification tant tu en as mis.
Je suis contente pour toi que ton roman avance autant.

Au pire je pensais, je peux t'envoyer les versions PDF par msn que tu peux lire en diagonale rapidement sans corriger, mais histoire de te situer dans l'histoire afin que tu reprennes le train en marche ?
Là j'avoue j'ai eu un petit coup d'arrêt, pour cause de moral TRES bas, mais j'espère reprendre à l'arrivée des vacances.

Tu t'en étais arrêtée où à peu près ?

Voilà là où j'en étais, je viens de lire la correction du passage où je m'étais arrêtée.

Pacô a écrit:Voici et voilà donc la correction qui en ressort:

______________________

« Attention, tu risques de souffrir un peu. »
Soigneux, le docteur Charles Dubois, très proche ami et collègue de Roland, appliqua un « Aspirlex » – ou un « nettoie-tout » comme le personnel médical aimait l’appeler dans son jargon professionnel – sur la plaie sanguinolente de Marc. Ce n’était qu’un modeste tampon imbibé d’eau oxygénée et recouvert de ventouses électroniques. Le garçon grimaça ; une vive douleur lui transperça l’arrière du crâne et se répandit en de nombreuses petits élancements jusqu’à la nuque. Sa chute sur le parquet puis le combat au sol lui avaient ouvert le cuir chevelu d’où s’était échappé un épais liquide rougeâtre. Le « nettoie-tout » aspirait le sang souillé et nettoyait la plaie afin de prévenir les risques d’infection. D’un geste expérimenté, Charles Dubois retira l’appareil, accompagné d’un bruit de succion écœurant. Il le déposa ensuite dans un petit bol rempli d’alcool et s’aventura dans le pêle-mêle d’outils chirurgicaux qui encombrait sa petite serviette en cuir noir posée sur ses genoux. Ce quinquagénaire aux abords de la soixantaine avait une figure des plus joviales. Les rides de l’âge avaient certes creusé son front et ses joues, toutefois son regard azuré pétillait encore de l’éternelle jeunesse adolescente ; contraste qui se renforçait d’ailleurs avec ses petites lunettes rondes de praticien aguerri et sa chevelure grisonnante.

Après plusieurs minutes de recherches intensives, le médecin sortit le nez de sa mallette et se redressa, fort embarrassé.
« Nathalie, aurais-tu par le plus grand des hasards du fil et une aiguille stérilisée ? Dans la précipitation ce matin, j’en ai oublié de remplir ma mallette. »
Le teint de la femme devint livide. Son regard se posa successivement sur son fils, sur la serviette noire adossée au pied de la chaise et sur le docteur Dubois. Puis, malgré ses efforts pour paraître la mère la plus épanouie de la République Terrae, son sourire fabriqué vacilla sur ses lèvres et se contorsionna en une moue inquiète, sensiblement identique à celle qu’elle avait arborée durant le trajet les ramenant à la maison une heure et demie plus tôt. [pas de changements ici! Na!]
« Mais … je peux aller voir si Roland n’a pas laissé son cicatriseur dans la trousse à pharmac…
– Cela m’étonnerait fort, Nat’, l’interrompit Charles d’une voix posée. Un médecin part rarement à son lieu de travail sans son matériel. Par contre, je connais la frénésie de ton mari à rassembler tous les outils qui ont accompagné l’histoire de la médecine. Du fil et une aiguille ne doivent pas être bien compliqués à dénicher dans sa collection et Marc doit être rapidement soigné.
– Dans ce cas, peut être devrions-nous l’emmener à l’hôpital …
– Alors que tu as déjà un médecin à domicile ? Je te remercie de la confiance que tu m’as accordée en sollicitant ma présence suite à l’agression, et je te recommande de croire encore un peu en moi. Ton fils a certes une vilaine plaie sur le haut du crâne, mais cela ne l’aidera pas à passer en priorité devant tous les traumatisés du train Saint-Pétersbourg-Paris, même s’il en faisait partie.
– Oui mais Roland m’a toujours dit que le fil et l’aiguille étaient assez douloureux et peu fiables, rétorqua Nathalie de plus en plus angoissée. Je préfère l’appeler et lui demander de revenir avec son cicatriseur.
– Et le déranger pendant qu’il sauve peut être une vie ? intervint Marc dont les picotements autour de la blessure le brûlaient vivement comme si le foyer de la douleur s’étendait sur l’ensemble de son cuir chevelu. Maman, j’ai presque vingt ans et je ne suis plus un bébé qu’il faut protéger des périls extérieurs. J’ai l’âge de faire mes propres choix et surtout de les assumer. Charles, recousez-moi de la manière qui vous semblera la meilleure, enjoignit-il au médecin surpris par la répartie du jeune homme.
– Roland est un excellent praticien, mais il a été formé avec des technologies superflues, rassura t-il alors Nathalie d’un air conciliant. A mon époque, il n’y avait pas plus de cicatriseurs que de puces électroniques ! Comment faisaient les hommes du siècle dernier lorsqu’ils se blessaient et qu’ils n’avaient pas encore inventé cet appareil ? Mourraient-ils tous pour autant ? ajouta t-il en la grondant gentiment. J’apprenais déjà à manier le scalpel, les ciseaux et le bistouri alors que tu empilais encore des cubes électroniques, ma petite Nat’. »
Madame Pasceli se tut. Depuis que Marc était rentré à Sokolov deux mois auparavant, il n’hésitait plus à éluder totalement les choix de sa propre mère, comme si l’école universitaire lui avait enseigné un peu plus que le savoir érudit des sciences-humaines. Tourmentée, elle chercha une aide chaleureuse dans les yeux de l’ami de famille, debout à côté de son fils dans son riche costume en lin. Cet homme n’avait pas subi les dommages de « La Crise ». Grâce à des placements judicieux – et salutaires pour sa fortune personnelle ! – dans la plus grande firme de productions maraîchères du bloc eurasien plusieurs années avant la dégringolade économique, il était à présent devenu un actionnaire incontournable des marchés les plus fructueux avec l’Empire. Il faisait partie de ces chanceux anciens riches qui avaient réussi à reconvertir leur patrimoine financier sans en perdre le moindre centime. Le sage regard du docteur Dubois plongea Madame Pasceli dans une confiance sans limite et elle acquiesça d’un air cependant réservé.
« Bien. Va donc fouiner dans l’un des placards de son bureau si une bobine de fil chirurgical ne traîne pas aux côtés d’une aiguille. Je me charge de préparer mon patient. »
Nathalie hocha la tête de haut en bas [pas de changement, NA !] et se précipita immédiatement au second étage. Satisfait, Charles se rassit sur la chaise et s’empara d’une lingette désinfectante et d’un petit rasoir électrique. Puis, avant de s’appliquer à la préparation nécessaire pour recoudre, il dit, calmement :
« Je suis toujours aussi admiratif de l’amour qu’elle te porte, Marc. ».

Bon bah voilà la synthèse de toutes les corrections ^^. J'ai mis en gras les changements, ça va toujours ?

Oui, si tu veux, tu peux m'envoyer la suite par mail. Je ferai une lecture rapide et une correction plus importante si besoin.
Et garde ton "hocha la tête de haut en bas", si tu veux , tu as raison c'est pas bien grave.

Bon bah okay on fait comme ça, dès que je te croise sur msn .

(et pis euh non c'est même pas du tout grave puisque c'est même conseillé de préciser ! ).

Bon le chapitre 3 se poursuit et se termine par ce dernier passage. Les dialogues sont volontairement plus "vulgaires" puisque Roald n'est pas le pro du langage \o/.
Bref, je vous laisse apprécier ou non ce petit bout de texte et j'attends vos commentaires pour ce chapitre entier .
« Mon père broie du noir.
– J’ai cru m’en apercevoir en effet. » ironisa Marc lorsqu’il s’engouffra à son tour dans la voiture de Roald.
Celui-ci inséra sa clef d’activation, frôla le clavier tactile et composa le code secret à huit chiffres. L’engin démarra et, en une secousse, recula, contourna la maison puis se dirigea vers le portail. Marc retint une grimace ; ces nouveaux bolides sportifs n’arrangeaient pas son appréciation des trajets en véhicules particuliers. Les constructeurs primaient sur la vitesse d’exécution et sur la légèreté des matières employées ; l’on entendait parfois parler dans les publicités de fibres végétales pour les sièges, de métal allégé et de composants électroniques si réduits qu’ils en étaient invisibles à l’œil nu. Les résultats étaient concluants : en un maximum de cinq secondes, les deux garçons faisaient face au portail noir, en bas de l’allée. Ce dernier était, comme la plupart des éléments qui composaient la demeure des Adjahid, à la pointe de la technologie. Deux petites lentilles intuitives, fixées sur la grosse structure d’acier, scannèrent le véhicule dans son ensemble puis l’intérieur. Les ordinateurs envoyaient ensuite un rapport détaillé au tableau de bord du chauffeur et validaient – ou non – les entrées et sorties de la propriété.
« Il est toujours bon de savoir que nous sommes bien nous. » plaisanta Roald en confirmant la bonne réception du fichier informatique.
Contrairement aux portails traditionnels, celui-ci ne se sépara pas de droite à gauche mais de haut en bas ; une partie s’élevait au ciel tandis qu’une autre s’enfonçait dans la terre. Cette fonctionnalité ne présentait guère d’avantages supplémentaires ou singuliers ; juste un caprice de nouveaux riches qui souhaitaient se démarquer de l’ancienne société par leur originalité. En trombe, la voiture franchit le portail et s’inséra dans la rue bordant le quartier résidentiel. Les voies de circulations étaient limpides à cette heure de la journée ; aussi Roald ne refusa pas que son bolide accélérât encore plus. Il obliqua sur une avenue parallèle et s’engagea dans les quartiers sociaux de Paris. L’automobile prit encore de la vitesse. Les vieux immeubles désaffectés du XIIIème arrondissement formaient une masse grise, floue et sale. A travers les vitres teintées, le paysage défilait presque aussi vite qu’à travers celles des trains de la SCTE. A cela, se mélangeaient les nuages d’automne chargés des futures pluies qui se déverseraient inexorablement sur la capitale préfectorale. La journée ne serait guère plus enthousiasmante et Marc commençait presque à regretter le froid vif de Saint-Pétersbourg et la chaleur de ses citadins. Il s’agissait encore d’un sinistre tableau parisien dépourvu de vie. Des herbes folles poussaient dans les fissures de la chaussée désertée et d’anciens poteaux électriques luttaient contre les attaques successives de la bise puis ployaient parfois lorsqu’une rafale semblait plus virulente que les autres. D’innombrables ruines délaissées par les autorités locales jonchaient presque le passage. Cependant, le bolide poursuivait sa course effrénée sous l’œil attentif de Roald tandis que Marc agrippait solidement les deux bords de son siège.
« Ce qui m’énerve le plus dans cette situation, c’est qu’on ne peut rien faire ! »
Marc lui jeta un coup d’œil légèrement effrayé et réprima un haut-le-cœur en avalant sa salive. En un mouvement brusque, la voiture se déporta sur la gauche pour éviter un éboulis oublié depuis longtemps sur le macadam. Nullement perturbé par l’attitude de son ami, le jeune homme halé se tourna subitement vers lui et continua :
« C’est vrai quoi ! On vit dans un monde merdique. L’Empire, quoique adulé par mon paternel, sème la zizanie partout sur la planète. Notre foutu gouvernement est incapable de trouver la solution à ses problèmes et lèche le cul aux chasseurs de criminels qui n’en ont finalement, je crois, rien à branler de notre condition. Et nous, pauvres citoyens crétins, qu’est-ce qu’on doit faire, tu peux me le dire ?
– Je ne sais pas, mais là je te conseille de ralentir, répondit Marc les yeux rivés devant lui.
– Quoi ? le rabroua Roald. On ne t’apprend donc rien sur le sujet à Sokolov ?
– Je m’en fiche pas mal là mais grouille-toi de faire stopper cette voiture bon sang ! s’écria Marc. Je crois qu’elle n’a pas calculé ça ! »
Aussitôt Roald reprit ses esprits et se concentra à nouveau sur la route. Effaré, il se rendit compte de la situation. D’un geste rapide, le levier sous le siège du conducteur fut tiré et la voiture freina en un crissement de pneus suraigus. Marc ferma les yeux, il ne préférait pas assister à l’éventuel impact. Fort heureusement, la voiture se déporta sur la gauche et évita de justesse les premiers manifestants de l’énorme rassemblement aligné au centre de la route et terrifié par la mort qui venait d’effleurer leurs pieds.

Pacô a écrit:« Mon père broie du noir.
– J’ai cru m’en apercevoir en effet. » ironisa Marc lorsqu’il s’engouffra à son tour dans la voiture de Roald.
Celui-ci inséra sa clef d’activation, frôla le clavier tactile et composa le code secret à huit chiffres. L’engin démarra et, en une secousse, recula et contourna la maison puis se dirigea vers le portail. Marc retint une grimace ; ces nouveaux bolides sportifs n’arrangeaient pas son appréciation des trajets en véhicules particuliers. Les constructeurs primaient sur la vitesse d’exécution et sur la légèreté des matières employées ; l’on entendait parfois parler dans les publicités de fibres végétales pour les sièges, de métal allégé et de composants électroniques si réduits qu’ils en étaient invisibles à l’œil nu. Les résultats étaient concluants : en un maximum de cinq secondes, les deux garçons faisaient face au portail noir, en bas de l’allée. Ce dernier était, comme la plupart des éléments qui composaient la demeure des Adjahid, à la pointe de la technologie. Deux petites lentilles intuitives, fixées sur la grosse structure d’acier, scannaient le véhicule dans son ensemble puis l’intérieur. Les ordinateurs envoyaient ensuite un rapport détaillé au tableau de bord du chauffeur et validaient – ou non – les entrées et sorties de la propriété.
« Il est toujours bon de savoir que nous sommes bien nous. » plaisanta Roald en confirmant la bonne réception du fichier informatique.
Contrairement aux portails traditionnels, celui-ci ne se sépara pas de droite à gauche mais de haut en bas ; une partie s’élevait au ciel tandis qu’une autre s’enfonçait dans la terre. Cette fonctionnalité ne présentait guère d’avantages supplémentaires ou singuliers ; juste un caprice de nouveaux riches qui souhaitaient se démarquer de l’ancienne société par leur originalité. En trombe (Déplace après "portail"), la voiture franchit le portail et s’inséra dans la rue bordant le quartier résidentiel. Les voies de circulations étaient limpides (Heu perso, je l'utilise plus pour l'eau, ton "limpide") à cette heure de la journée ; aussi Roald ne refusa-t-il pas que son bolide accélérât encore plus. Il obliqua sur une avenue parallèle et s’engagea dans les quartiers sociaux de Paris. L’automobile prit encore de la vitesse. Les vieux immeubles désaffectés du XIIIème arrondissement formaient une masse grise, floue et sale. A travers les vitres teintées, le paysage défilait presque aussi vite qu’à travers celles des trains de la SCTE. A cela, se mélangeaient les nuages d’automne chargés des futures pluies qui se déverseraient inexorablement sur la capitale préfectorale. La journée ne serait guère plus enthousiasmante et Marc commençait presque à regretter le froid vif de Saint-Pétersbourg et la chaleur de ses citadins. Il s’agissait encore d’un sinistre tableau parisien dépourvu de vie. Des herbes folles poussaient dans les fissures de la chaussée désertée et d’anciens poteaux électriques luttaient contre les attaques successives de la bise puis ployaient parfois lorsqu’une rafale semblait plus virulente que les autres. D’innombrables ruines délaissées par les autorités locales jonchaient presque le passage. Cependant, le bolide poursuivait sa course effrénée sous l’œil attentif de Roald tandis que Marc agrippait solidement les deux bords de son siège.
« Ce qui m’énerve le plus dans cette situation, c’est qu’on ne peut rien faire ! »
Marc lui jeta un coup d’œil légèrement effrayé et réprima un haut-le-cœur en avalant sa salive. En un mouvement brusque, la voiture se déporta sur la gauche pour éviter un éboulis oublié depuis longtemps sur le macadam. Nullement perturbé par l’attitude de son ami, le jeune homme halé se tourna subitement vers lui et continua :
« C’est vrai quoi ! On vit dans un monde merdique. L’Empire, quoique adulé par mon paternel, sème la zizanie partout sur la planète. Notre foutu gouvernement est incapable de trouver la solution à ses problèmes et lèche le cul aux chasseurs de criminels qui n’en ont finalement, je crois, rien à branler de notre condition. Et nous, pauvres citoyens crétins, qu’est-ce qu’on doit faire, tu peux me le dire ?
– Je ne sais pas, mais là je te conseille de ralentir, répondit Marc [Virg.] les yeux rivés devant lui.
– Quoi ? le rabroua Roald. On ne t’apprend donc rien sur le sujet à Sokolov ?
– Je m’en fiche pas mal là mais grouille-toi de faire stopper cette voiture bon sang ! s’écria Marc. Je crois qu’elle n’a pas calculé ça ! »
Aussitôt Roald reprit ses esprits et se concentra à nouveau sur la route. Effaré, il se rendit compte de la situation. D’un geste rapide, le levier sous le siège du conducteur fut tiré et la voiture freina en un crissement de pneus suraigus. Marc ferma les yeux [Point ou Point Virg.] il préférait ne pas assister à l’éventuel impact. Fort heureusement, la voiture se déporta sur la gauche et évita de justesse les premiers manifestants de l’énorme rassemblement aligné au centre de la route et terrifiés par la mort qui venait d’effleurer leurs pieds.

Wow ça c'est du freinage d'urgence XD Suite bien menée même si on n'apprend pas grand chose de neuf ^^

Alors j'ai été jusqu'à la fin de la première partie, mais je veux pas surcharger, donc je vais faire ca par bouts.

*L'intro est très très indigeste à mon goût, autant de phrases pour dire le Néant ca fait peur, je vois pas vraiment l'interet. Un début comme ça je pense que je cherche pas à voir la suite du livre, c'est dur comme premier contact avec le lecteur, il faut qu'il ait envie de s'accrocher.

*L'arrivée du héros en revanche pose bien les bases de l'univers, et un peu sa personnalité. J'ai trouvé que c'était interessant, et bien fluide, même si je suis pas un fan de ton style, mais bon ca les goûts et les couleurs...

Je met quelques remarques, juste des avis personnels, tu verras ce que t'en fais.

A l’allusion de cet univers, les langues se rétractaient dans les bouches et les intelligences, aussi développées soient-elles, oubliaient tout raisonnement et déclinaient à la dialectique

Là c'est vraiment très laid, 'à l'allusion' déjà ca laisse perplexe, mais 'déclinaient à la dialectique' ça sonne comme si les intelligence étaient en cour de latin.

Les yeux écarquillés par la virulence du réveil

Non, des propos virulents ok, mais le reveil il est pas virulent. Le choc, la dureté du réveil, à la limite, mais le réveil peut difficilment être venimeux

peu désireux de supporter les nausées provoquées par une vue si désagréable.

Là c'est lourd, 'une telle vue lui aurait donné la nausée', ca colle aussi, et ca évite qu'on tourne trois fois la phrase dans sa tête avant d'en trouver le sens

le gouvernement avait agi, déterminé à affronter les démons de sa ruine. .

Là je comprend pas la phrase, c'est la ruine du gouvernement ou du pays, en quoi on affronte ses démons en faisant des chantiers?

Il atteint enfin une porte opaque et la poussa d’un geste virulent

Encore? Virulent ca a un sens assez précis, généralement viral. A la limite pour qualifier quelque chose de très violent, dans le sens de destiné à blesser, mais pour l'ouverture de la porte des toilettes...

Aussitôt, un étrange produit chimique, auréolé d’une fumée blanchâtre, envahit la cavité souillée. En une fraction de seconde, le liquide avait disparu, capricieux et frivole.

Franchement des toilettes sales qui sont une cavité souillée et de la pisse une liquide capricieux et frivole, c'est faire du lyrisme qui confine un peu au ridicule.

Sa tignasse blonde et ses yeux azur suffisaient à charmer la gente féminine, et il ne s’en cachait pas

Je suis pas sûr qu'il puisse cacher que 'sa tignasse blonde et ses yeux azur suffisaient à charmer la gente féminine', donc la phrase n'a pas beaucoup de sens.

'Sa tignasse blonde et ses yeux azur suffisaient à charmer la gente féminine, il le savait, et ne s’en cachait pas'

Finalement, le train se stabilisa et les gens prudents approchèrent les vitres, soucieux d’appréhender le danger.

Je pense qu'il manque une virgule, tu ne veux pas dire 'ceux qui sont prudents parmi les gens'? Parce qu'au contraire, tu parles de ceux qui se rapprochent de la fenetre. Si tu veux dire qu'ils approchent, mais avec prudence, ce serait 'et les gens, prudents, approchèrent les vitres, soucieux d’appréhender le danger'.

Les engins dans le ciel, tels de redoutables prédateurs, plongèrent sur eux et leurs canons rougirent

Tu voulais dire rugirent? Parce que pour qu'un canon soit porté au rouge faut vraiment que tu tires non-stop pendant des jours. Ou alors c'est un canon qui resistera pas à un deuxième tir.

Je lirai la suite ce week-end, mais pour le moment à part des tournures qui me font un peu ouvrir les yeux comme des soucoupes, je trouve que ca donne envie de continuer.

Oh ! Merci beaucoup pour cette lecture .
Alors je mets mes corrections:

Les yeux écarquillés par la dureté du réveil, il mit un certain temps à réorganiser ses idées.

et:

Il atteint enfin une porte opaque et la poussa d’un geste pressé.

J'ai ainsi éradiqué la "virulence" de mes phrases .

Autres corrections:

Le jeune homme évitait de regarder au-dehors ; cela provoquait des nausées peu enviables.

Je pense que c'est mieux ainsi ?

Les engins dans le ciel, tels de redoutables prédateurs, plongèrent sur eux et leurs canons rugirent.

Et oui, c'était "rugir" u__u".

Sa tignasse blonde et ses yeux azur suffisaient à charmer la gente féminine ; il le savait et ne s’en cachait pas.

Effectivement, il ne se cache pas de le savoir.


Bon. Pour le reste, je m'explique.
Concernant le premier petit passage, je me défends de la manière suivante: "Est-ce parce que tu trouves la dédicace de l'auteur ennuyeuse tu ne liras pas le bouquin ?"
C'est exactement la même chose: ici, le petit texte introductif est complètement hors histoire. Autrement dit, c'est un court passage d'une dizaine de lignes qui cite un extrait d'un ouvrage présent dans l'univers du roman, mais nullement nécessaire à la compréhension du chapitre, voire de l'histoire.
Tu peux donc le zapper et il sert de déco.

Néanmoins, je le rectifierai puisque moi non plus certaines phrases ne me plaisent pas .

Par affronter les démons de sa ruine, j'entendais: affronter les choses qu'ils n'osaient pas toucher avant mais qui ont provoqué la quasi chute de la République.

Pour les gens prudents, je parlais bien de ceux qui étaient courageux, donc certains parmi tous les passagers.
=> les gens prudents

Et je garde mon lyrisme pour le passage des toilettes. Le liquide qui est capricieux et frivole c'est surtout le produit chimique qui vient de nettoyer. Et puis ça donne un petit effet.

En tout cas, merci pour ta lecture, ça fait très plaisir.
J'espère te plaire par la suite aussi .

Pacô a écrit:Par affronter les démons de sa ruine, j'entendais: affronter les choses qu'ils n'osaient pas toucher avant mais qui ont provoqué la quasi chute de la République.

Alors la c'est pas clair du tout, ca vaudrait le coup de rallonger d'une phrase ou deux pour expliciter, parce qu'on sait pas à qui se référe le 'sa', et les démons on comprend pas trop ce que c'est.

Pacô a écrit:Pour les gens prudents, je parlais bien de ceux qui étaient courageux, donc certains parmi tous les passagers.
=> les gens prudents

Ben ils sont téméraires au contraire, pas prudents. Les gens prudents ils sont planqués sous les banquettes, en cas d'attaque. A la limite 'les gens inquiets', mais pourquoi prudents?

Pour l'intro tu fais comme tu veux, mais pour être honnète c'est ce qui m'avait dissuadé de continuer la première fois que j'ai essayé de te lire. Je me disais que si j'arrivais pas au bout des 10 premières lignes ca servait à rien de s'accrocher. Ca reste le premier contact du lecteur avec le livre, c'est pas la même chose que les remerciements à sa famille ou une interview de l'auteur, que tu sautes sans t'en inquiéter.

Dans tous les cas, je verrai comment ça continue demain.

Ouais, mais dans la présentation du roman, cet extrait n'est rattaché à rien et généralement, moi, c'est le truc que je lis une fois que j'ai terminé le bouquin.
C'est un peu comme les citations avant chaque chapitre de Stendhal. Tu lis un peu vite fait les premières, pis après tu zappes un peu quand t'es emporté dans l'histoire.
En plus, les premières citations sont en italiens; je crois pas que ce soit des masses plus attirant ^^.

Mais bon, de toutes manières, je les rectifierais tous à la fin de l'écriture ces petits extraits là. J'essaierai de les rendre plus accessibles et plus insignifiants encore.

Ouais prudent je sais pas pourquoi alors en fait. Je vais mettre "téméraire" u__u".

Je n'ai pas tout lu, mais à première vue tu maîtrises les techniques de l'écrit.
Par contre, tu m'as l'air assez têtu, mouais mouais mouais !
Sache que le lecteur a toujours raison. Si tu lui montres une scène avec tes yeux, et qu'il ne la voit pas avec les siens, c'est que tu t'es mal exprimé. Une fois, ça passe, deux fois, il n'est pas loin de décrocher. À moins qu'il ne l'ait déjà fait.
Et le but de l'histoire c'est quoi ? Être lu.

Bon, vais faire reposer mes yeux à moi, en attendant que tu postes la suite.

Merci Azul.
Tu en es où exactement ?

Fini !
Tu entretiens bien le suspens pour ce qui est de l'empire... Vient-il d'un territoire non-annexé par Terrae ou carrément d'une autre planète? Que veut-il?
Je verrais bien, suite à l'assemblée extraordinaire, une déclaration du genre "nous allons être annexés à l'empire", mais je doute que ça se fasse au grand jour ; ce serait plus crédible qu'ils prennent le contrôle dans l'ombre sans qu'on s'en aperçoive vraiment...
Ou alors ils veulent juste acheter de la nourriture à Terrae et les "criminels" qu'ils abattent servent de petite friandises...

*sort*

Nulle part, j'ai lu en diagonale et je trouve difficile de passer derrière les autres. D'autant plus qu'il n'existe pas de "version 2" ici, qui permettrait d'y voir plus clair avec des chapitres corrigés.

Je vais lire l'ensemble et attendre le prochain chapitre pour tenter une correction.

J'ai bien aimé le deuxième paragraphe, il approfondit l'histoire sans être trop lourd sur les détails. Ca m'a fait rire le coup de la cellule d'aide psychologique offerte d'office avec le remboursement de billets, et le coup des téléphones portables néfastes. Bon c'est du copier coller des problèmes un peu ridicules de notre société actuelle, mais c'est drôle de les imaginer transposés dans le futur.

Quelques commentaires, là encore t'en fais ce que tu veux:

les forces gouvernementales avaient de toute manière une manœuvre totale sur l’ensemble de la planète. Du moins, dans les textes.

Une manoeuvre est une action isolé. 'Avoir le contrôle total' ou 'avoir toute liberté de manoeuvre', oui, mais avoir une manoeuvre totale non.

Un nouveau parti politique employait les violences répétées des étrangers pour justifier leurs idées ; et elles plaisaient à l’opinion publique.

Là faudrait préciser de quelles idées on parle, et j'ai pas compris si les étrangers étaient le fameux empire.

Si les encéphales se défendaient contre la volonté de l’être humain, cela garantissait-il de l’absence de conséquences neurologiques ?

Très peu clair. Je suppose que 'la volonté de l’être humain' se rapporte aux micro-téléphones? En plus 'cela garantissait-il de l’absence de conséquences neurologiques ?', c'est léger, vu qu'au contraire c'est à ranger du côté des preuves de la nocivité des téléphones, à mon avis faudrait dire 'cela ne laissait-il pas présager d'éventuelles conséquences neurologiques?'

L’hôpital m’a appelé : une urgence et le service me réquisitionne.

La réquisition c'est 'un acte des pouvoirs publics qui exige d'une personne, d'un groupe ou d'une ou plusieurs entreprises une prestation de travail, la fourniture d'objets mobiliers, l'abandon temporaire de biens immobiliers en vue d'assurer le fonctionnement de services'. Je dirais plutôt 'L’hôpital m’a appelé : une urgence et je suis encore de garde.', vu qu'à priori c'est juste une procédure habituelle de l'hopital, pas une ordre direct du ministére de la santé.

Son visage halé n’ébranlait en rien sa jovialité. Il faisait même le charme de toute sa personne : il intriguait le monde d’une manière irrésistible.

Parce que quand tu as le visage halé tu es moins jovial d'habitude? Moi c'est le contraire, quand je rentre bronzé des vacances d'été je suis plutôt de bonne humeur
Désolé la je vois pas du tout ce que tu veux dire.

La firme la plus prisée de toute la section eurasiatique – une pionnière de la technologie électropsychique – était entrée en procédure de faillite en quelques mois, sans l’ombre d’une suspicion.

'sans l’ombre d’une suspicion'? qui soupsonne quoi? sans un avertissement tu veux dire?

Je suis perplexe par rapport aux derniers évènements donc j'attends de voir la suite ...

=> Hisha: j'ai ajouté des extraits alors que tu viens juste de terminer. C'est pas fait exprès pour que tu continues tout de suite et c'est pas que je t'en demande trop hein, c'était juste parce que là j'venais enfin d'embrayer sur le chapitre 4 .
Tu verras bien ce qu'il résultera de cette assemblée extraordinaire. J'aime jouer avec mon lecteur !

azul a écrit:Nulle part, j'ai lu en diagonale et je trouve difficile de passer derrière les autres. D'autant plus qu'il n'existe pas de "version 2" ici, qui permettrait d'y voir plus clair avec des chapitres corrigés.

Je vais lire l'ensemble et attendre le prochain chapitre pour tenter une correction.

Ahhh, azul !!
En fait, les textes présents sur ce sujet ne sont pas les textes à lire par le lecteur (oui, les modifications d'organisation ont mélangé un peu "texte" et "commentaires").
Mais pour lire comme il faut, avec une mise à jour récente, il faut aller par-ici:
https://imperialdreamer.1fr1.net/romans-f112/sf-le-veritable-visage-de-la-lumiere-t1782.htm

En gros, les textes sont postés dans la partie "Vos Ecrits" et les critiques corrections dans "Les commentaires".
C'est justement organisé comme ça pour ne pas avoir l'impression de passer après tout le monde .


=> Kain:
Merci beaucoup de ta lecture. En plus, ça permet de me remettre un peu en question sur les premiers chapitres.
Pour les modif':

La police et les forces gouvernementales avaient de toute manière un contrôle total sur l’ensemble de la planète. Du moins, dans les textes.

J'ai repris tes termes u_u".

Un nouveau parti politique employait les violences répétées des mystérieux étrangers pour justifier leurs idéologies autoritaires ; le plus inquiétant, c’est qu’elles plaisaient à l’opinion publique.

Je reste volontairement assez évasif sur ces courants d'idées, pour les exploiter par la suite; ça va mieux comme ça ?

Si les encéphales se défendaient contre les technologies, cela ne présageait-il pas d’éventuelles conséquences neurologiques ?

Même chose, je reprends tes termes.

Son visage halé renforçait sa jovialité

Non en fait, ce que je voulais dire, c'était une espèce de figure de style comprise que de moi-même. Une oxymore: le visage sombre n'empêche pas de rayonner.
Mais bon, finalement, ça risque d'être un peu trop lyrique et ça peut effectivement porter à confusion sur certains aspects discriminatoires que je ne souhaite pas du tout apportés à ce texte \o/.

La firme la plus prisée de toute la section eurasiatique – une pionnière de la technologie électropsychique – était entrée en procédure de faillite en quelques mois, sans avoir eu le temps de pousser un cri de détresse.

Sans l'ombre d'une suspicion, c'était plus dans le sens ... sans que personne ne s'en doute.
Mais c'est peut être plus clair ainsi .

Pour le réquisitionner, c'est bien une réquisition. En fait, le papa est réquisitionné par l'hôpital pour répondre à la déferlante vague des "victimes" du train. On fait le lien par la suite. Donc il s'agit bien d'une astreinte obligatoire, non sollicitée par le papa.

Bon, j'espère que ça te plaît. Moi je vais passer au tien, faut bien que je critique un peu aussi \o/.

Ahhh, azul !!

Wouaieuh ça va la jeunesse !

Donc, dans la partie "Vos écrits", tu remets à jour tous tes chapitres à mesure qu'on te fait commentaire et correction.
C'était pas la peine de m'expliquer, j'avais compris

Beh voui.
En gros, la partie "Vos écrits" est la vitrine sans cesse remis à jour pour les nouveaux lecteurs qui pourraient relever les fautes qui n'ont jamais été encore relevés, et non celles qui l'ont déjà été trois fois.
Donc tu peux lire sans te dire que tu passes derrière les autres. Tu donnes ton avis sur une version X+1 (à chaque fois) en sachant que tu apporteras nécessairement quelque chose qui n'a surement encore jamais été relevé par l'auteur (ou alors un avis supplémentaire sur quelque chose que l'auteur avait hésité à changer et qu'il n'avait toujours pas fait, dans le doute).

Bref. Sinon, il y a de nouveaux extraits non commentés \o/.

Laumie a écrit:Je suis perplexe par rapport aux derniers évènements donc j'attends de voir la suite ...

Soit dit en passant, j'ai commenté tes derniers extraits ...

Pacô a écrit:

Un nouveau parti politique employait les violences répétées des mystérieux étrangers pour justifier leurs idéologies autoritaires ; le plus inquiétant, c’est qu’elles plaisaient à l’opinion publique.

Je reste volontairement assez évasif sur ces courants d'idées, pour les exploiter par la suite; ça va mieux comme ça ?

Vu que t'as déjà introduit l'empire, tu peux dire 'des mystérieux étrangers de l'empire', parce que là on sait pas de qui tu parles, même si on s'en doute un peu.

Pacô a écrit:

La firme la plus prisée de toute la section eurasiatique – une pionnière de la technologie électropsychique – était entrée en procédure de faillite en quelques mois, sans avoir eu le temps de pousser un cri de détresse.

Sans l'ombre d'une suspicion, c'était plus dans le sens ... sans que personne ne s'en doute.
Mais c'est peut être plus clair ainsi .

Moi en tout cas je trouve ça plus clair.

Pacô a écrit:
Pour le réquisitionner, c'est bien une réquisition. En fait, le papa est réquisitionné par l'hôpital pour répondre à la déferlante vague des "victimes" du train. On fait le lien par la suite. Donc il s'agit bien d'une astreinte obligatoire, non sollicitée par le papa.

Dans ce cas c'est l'hopital lui même qui est réquisitionné par l'état ou l'armée. Pour moi un médecin n'est pas réquisitionné par son propre hopital, ça n'a pas vraiment de sens, on lui demande juste de faire des gardes supplémentaires. Aprés tu fais comme tu veux

Je sais que dans Docteur House, le docteur Cudy réquisitionne ses médecins. Donc bon j'ai pensé que là ça pouvait marcher. Faudrait avoir l'avis de l'une de nos correctrices en formation là \o/.

Si c'est plus clair et plus compréhensible, moi ça me va .

Et Laumie, qu'entends-tu par perplexe ?