Undercover Dusk. [Corrections]

- Dans la cuisine chérie !
Quand j'arrivai dans le hall, une odeur appétissante vint me chatouiller les narines. Roxanne s’activait aux fourneaux.
- Mmh, ça tombe bien, je meurs de faim. Tu veux que je fasse quelque chose ?
- Non, merci. Assied-toi. Je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux. Des pancakes, ça te va ? me demanda-t-elle en déposant une assiette bien remplie sur la table.
- Et comment ! m'exclamai-je.
- Avec du sirop d'érable. Comme on en mangeait souvent avec ta mère quand nous étions plus jeunes.
- Elle m'en fait encore parfois, le dimanche matin.
- Elle a gardé les bonnes habitudes d'antan.
- Et je ne m'en plains pas !
J'attaquai avec entrain l'assiette de pancakes, que Roxanne dévora avec moi.

Je terminai mon rapport en lui exposant mes plans pour la soirée, lui promettant un compte-rendu détaillé dès le lendemain.

Pacô a écrit:Après quelques coups grattés à ma porte entrouverte, Asraël se faufila dans ma chambre et sauta sur mon lit. J'allai m'asseoir à côté de lui et il s'installa sur mes genoux, demandeur de gratouilles (gratouilles ? XD humpf' .... chatouilles ?) derrière les oreilles.

Laumie a écrit:Après quelques coups (Parce que ça existe des coups grattés ?? OO) grattés à ma porte

Après quelques coups grattés à ma porte entrouverte, Asraël se faufila dans ma chambre et sauta sur mon lit. J'allai m'asseoir à côté de lui et il s'installa sur mes genoux, réclamant quelques caresses.
- Ça doit être bien quand même la vie de chat. On reste toute la journée pépère sans rien faire, on peut sortir à sa guise et en plus de ça, tout le monde nous fait des gratouilles !

Eleazare McNight a écrit:

Le jardin était en fait beaucoup plus grand que ce qu'il n'y paraissait depuis ma chambre. Outre l'étendue d'herbe verte qui rejoignait les bois, Roxanne avait planté un potager ainsi qu'un immense parterre de fleurs. On comprenait mieux d'où venait son teint hâlé, vu le nombre d'heures qu'elle devait passer sous le soleil.

Pour nous rendre dans le pré derrière le bois, il fallait le traverser (Précise que c'est du bois que tu parles. Parce que ton "le" pourrait tout aussi bien se rapportait au pré) [Pas de virg.] car le chemin était plus court et plus pratique que de prendre la route pour faire tout le tour (T'es peut-être pas obligée de tant détailler. C'est pas super important pour la suite du récit, je pense). Sur notre passage, les animaux nous jetaient des regards curieux. Je n’en revenais pas de voir qu'aucun d'entre eux ne prenait la fuite en nous voyant. Les oiseaux volaient presque autour de nos têtes, tandis qu'Asraël avait entamé une course poursuite avec un renard.

- C'est drôle comme tout semble différent ici. Les personnes, l'ambiance, même les animaux !

Roxanne me répondit par un simple sourire. Asraël avait semé son renard et nous rejoignit, sautillant autour de nos jambes.

Après quelques minutes de marche, j'aperçus enfin la sortie du bois. Des dizaines de personnes étaient déjà là, bavardant gaiement. Quelques chiens et chats étaient aussi de la partie, et il ne fallut pas longtemps à Asraël pour les rejoindre.

- Bienvenue dans l'euphorie de Danvers [Virg.] Alice, me chuchota Roxanne tandis qu'une femme de son âge nous accostait.

- Roxy ! Comment vas-tu ? Oh, c'est ta nièce ? Le portrait craché de sa mère au même âge. (Un peu plus et elle allait se mettre à me pincer les joues [Point]) Bonsoir Alice, moi c'est Lisa.

- Bonsoir, marmonnai-je, intriguée et gênée d'être déjà aussi connue.

- Tes enfants ne sont pas venus Lisa ? lui demanda Roxanne.

- Pas encore, ils ont fait une petite virée cet après-midi pour aller chercher un ami. Ils ne devraient plus tarder je pense.

- Et qu'as-tu donc fait de ton mari ? plaisanta ma tante.

- Oh, Pete est là-bas, avec les autres. Ils ont déjà commencé à jouer à la pétanque, tu les connais...

J'avisai le groupe d'hommes que nous avait montré Lisa. Ils riaient bruyamment en se donnant de grandes tapes dans le dos. Un truc de mâle (LoL Je suis pas sûre que ça soit très correct pour de l'écrit ) que je ne comprenais pas à vrai dire. Mais un homme est un homme, et il a ses grands mystères, tout comme la femme reste une énigme à ses yeux.

Entre le groupe d'hommes et celui des femmes - qui parlaient chiffons - s'élevait une immense structure embrasée, constituée en grande partie de planches en bois et de branches. Je me demandai combien de temps ils avaient bien pu mettre pour allumer ce feu de camp, en pensant à la galère que nous avions enduré avec mes amis, pour en allumer un cinq fois plus petit lors de nos soirées camping.


Comme Roxanne discutait allègrement des derniers potins avec son amie Lisa et une autre femme qui s'appelait Nora - si j'avais bien compris - mon regard se perdit autour de moi.

De nombreuses torches avaient été plantées tout autour du pré pour éclairer quand la nuit serait parfaitement (Totalement ?) tombée. Çà et là, on avait disposé des rondins de bois qui serviraient de bancs pour la soirée. Près du feu, une grande table croulait sous la nourriture : pommes de terre, saucisses, brochettes de viande... Il y avait même des marshmallows ! Tout ça me donnait l'eau à la bouche.

Eleazare McNight a écrit:Le jardin était en fait beaucoup plus grand que ce qu'il n'y paraissait depuis ma chambre. Outre l'étendue d'herbe(s) verte(s) qui rejoignait les bois, Roxanne avait planté un potager ainsi qu'un immense parterre de fleurs. On comprenait mieux d'où venait son teint hâlé, vu le nombre d'heures qu'elle devait passer sous le soleil.

Pour nous rendre dans le pré derrière le bois, il fallait le traverser, car le chemin était plus court et plus pratique que de prendre la route pour faire tout le tour (bof hein ^^. "prendre le détour par la route" ou qqchose du genre). Sur notre passage, les animaux nous jetaient des regards curieux. Je n’en revenais pas de voir qu'aucun d'entre eux ne prenait la fuite en nous voyant (répétition=> "apercevant"). Les oiseaux volaient presque autour de nos têtes (j'aime pas trop là, parce que le autour fait très space et le "presque" donne l'impression d'être assemblé avec "volaient presque" XD. => "volaient juste au-dessus de nos têtes"), tandis qu'Asraël avait entamé une course poursuite avec un renard.

- C'est drôle comme tout semble différent ici. Les personnes, l'ambiance, même les animaux !

Roxanne me répondit par un simple sourire. Asraël avait semé son renard et nous rejoignit, sautillant autour de nos jambes.

Après quelques minutes de marche, j'aperçus enfin la sortie du bois. Des dizaines de personnes étaient déjà là, bavardant gaiement. Quelques chiens et chats étaient aussi de la partie, et il ne fallut pas longtemps à Asraël pour les rejoindre.

- Bienvenue dans l'euphorie de Danvers Alice, me chuchota Roxanne tandis qu'une femme de son âge nous accosta(it => je verrais plus l'imparfait là moi, à cause du "tandis que" qui induit une notion de temps un peu plus longue qu'une simple action style passé simple.).

- Roxy ! Comment vas-tu ? Oh, c'est ta nièce ? Le portrait craché de sa mère au même âge. (Un peu plus et elle allait se mettre à me pincer les joues) Bonsoir Alice, moi c'est Lisa.

- Bonsoir, marmonnai-je, intriguée et gênée d'être déjà aussi connue.

- Tes enfants ne sont pas venus Lisa ? lui demanda Roxanne.

- Pas encore, ils ont fait une petite virée cet après-midi pour aller chercher un ami. Ils ne devraient plus tarder je pense.

- Et qu'as-tu donc fait de ton mari ? plaisanta ma tante.

- Oh, Pete est là-bas, avec les autres. Ils ont déjà commencé à jouer à la pétanque, tu les connais...

J'avisai le groupe d'hommes que nous avait montré Lisa. Ils riaient bruyamment en se donnant de grandes tapes dans le dos. Un truc de mâles que je ne comprenais pas à vrai dire. Mais un homme est un homme, et il a ses grands mystères, tout comme la femme reste une énigme à ses yeux.

Entre le groupe d'hommes et celui des femmes - qui parlaient chiffons (le vieux cliché ^^) - s'élevait une immense structure embrasée, constituée en grande partie de planches en bois et de branches (j'dirais plus "branchages"). Je me demandai combien de temps ils avaient bien pu mettre pour allumer ce feu de camp, en pensant à la galère que nous avions endurée avec mes amis, pour en allumer un cinq fois plus petit lors de nos soirées camping.

Comme Roxanne discutait allègrement des derniers potins avec son amie Lisa et une autre femme qui s'appelait Nora - si j'avais bien compris - mon regard se perdit autour de moi.

De nombreuses torches avaient été plantées tout autour du pré pour l'éclairer quand la nuit serait parfaitement (bof le parfaitement. En plus de faire trop "scolaire" il en convient pas des masses. Que dirais-tu de ""quand la nuit aurait assombri de sa marée d'encre toute la prairie" ? tombée. Çà et là, on avait disposé des rondins de bois qui serviraient de bancs pour la soirée. Près du feu, une grande table croulait sous la nourriture : pommes de terre, saucisses, brochettes de viande... Il y avait même des marshmallows ! Tout ça me donnait l'eau à la bouche.

- Je vais me servir à boire Roxanne.

- D'accord ma grande. Tu pourrais me ramener un verre aussi, s'il te plait ?

- Pas de soucis, j'arrive.

Je contournai un autre groupe de femmes, esquivai à temps deux chats qui se battaient, et parvint enfin à atteindre la table couverte de boissons.

J'allais me servir un verre de soda quand une voix flûtée m'interpella.

- Bonjour !

Je sursautai... et renversai mon verre sur moi.

- Zut !

- Oh mince ! Je suis vraiment désolée. Attends, je vais t'aider.

Une main à la peau mate se saisit de mon verre tandis que je reposais la bouteille, puis je me tournai vers une fille typée latino aux grands yeux gris et aux longs cheveux châtains. Un doux sourire étirait ses lèvres pleines et elle agita la tête en faisant voleter ses cheveux lisses.

- Je suis vraiment cruche alors moi ! Excuse-moi encore. Je m'appelle Clara, se présenta-t-elle en me tendant un verre de Coca rempli.

- Merci. Moi c'est Alice.

- Alors c'est toi ?!

- Euh... ouais, je suis moi.

Elle lâcha un rire un peu nasillard. Elle paraissait pourtant assez sympathique. Et elle était très jolie. Tout s'accordait chez elle, sa voix, ses cheveux, ses yeux, sa grande taille et ses hanches fines.

- Non, je voulais dire, c'est toi la nièce de Roxanne. C'est bizarre, continua-t-elle sans me laisser le temps de prendre la parole, je ne t'imaginais pas vraiment comme ça. Je te voyais un peu plus blonde et... un peu moins brune quoi !

- Un peu comme ma mère ? hasardai-je.

- Exactement.

- Tu connais ma mère ? m'étonnai-je, les yeux grands comme des soucoupes.

- Pas personnellement. Mais tout le monde la connaît ici. Tu sais, personne n'a de secret pour personne dans la ville. Mais généralement, les gens font les hypocrites. Par exemple, ils viennent te trouver et te demandent : "Alors, ça va comme tu veux ?" alors qu'ils savent très bien que tu as dormi dans le jardin après t'être engueulée avec tes vieux. Moi ça m'énerve, alors je préfère être franche et directe. D'ailleurs, ça fait un moment qu'on entend parler de ton arrivée. On était tous impatients de voir la fille d'Helena.

- Ah bon ?
Pour le coup, je devais vraiment ressembler à un extra-terrestre avec les yeux exorbités et le teint pâle.

Eleazare McNight a écrit:
- Je vais me servir à boire Roxanne.
- D'accord ma grande. Tu pourrais me ramener un verre aussi, s'il te plait ?
- Pas de soucis, j'arrive.
Je contournai un autre groupe de femmes, esquivai à temps deux chats qui se battaient, et parvint enfin à atteindre la table avec les boissons (bof ... "la table couverte de boissons" ou "la table jonchée de boissons diverses" enfin, essaie de faire un peu plus riche quoi ^^).
J'allais me servir un verre de Coca (pour éviter la marque, dis plus "un verre de Cola") quand une voix flûtée m'interpella.
- Bonjour !
Je sursautai... et renversai du Coca partout (et renversai mon apéritif un peu partout).
- Zut !
- Oh mince ! Je suis vraiment désolée. Attend, je vais t'aider.
Une main à la peau mate se saisit de mon verre tandis que je reposais la bouteille, puis je me tournai vers une fille typée latino aux grands yeux gris et aux longs cheveux châtains. Un doux sourire étirait ses lèvres pulpeuses (j'sais pas pourquoi, mais cet adjectif me donne toujours des idées malsaines) et elle agita la tête en faisant voleter ses cheveux lisses.
- Je suis vraiment cruche alors moi ! Excuse-moi encore. Je m'appelle Clara, se présenta-t-elle en me tendant un verre de Coca rempli.
- Merci. Moi c'est Alice.
- Alors c'est toi ?!
- Euh... ouais, je suis moi.
Elle se mit à rire, d'un rire (rire d'un rire ... y'a mieux non ? XD Au pire, "d'une voix nasillarde".) un peu nasillard. Elle paraissait pourtant assez sympathique. Et elle était très jolie. Tout s'accordait chez elle, son rire (répétition), ses cheveux, ses yeux, sa grande taille et ses hanches fines.
- Non, je voulais dire, c'est toi la nièce à Roxanne. C'est bizarre, continua-t-elle sans me laisser le temps de prendre la parole, je ne t'imaginais pas vraiment comme ça. Je te voyais un peu plus blonde et... un peu moins brune quoi !
- Un peu comme ma mère ? hasardai-je.
- Exactement.
- Tu connais ma mère ? m'étonnai-je, les yeux grands comme des soucoupes.
- Pas personnellement. Mais tout le monde la connaît ici. Tu sais, personne n'a de secret pour personne dans la ville. Mais généralement, les gens font les hypocrites. Par exemple, ils viennent te trouver et te demandent : "Alors, ça va comme tu veux ?" alors qu'ils savent très bien que tu as dormi dans le jardin après t'être engueulée avec tes vieux. Moi ça m'énerve, alors je préfère être franche et directe. D'ailleurs, ça fait un moment qu'on entend parler de ton arrivée. On était tous impatients de voir la fille d'Helena.
- Ah bon ?
Pour le coup, je devais vraiment ressembler à un extra-terrestre avec les yeux exorbités et le teint pâle.

- Oh mince ! Je suis vraiment désolée. Attends, je vais t'aider.

Pour nous rendre dans le pré il fallait traverser le bois, pour éviter d’avoir à faire un long détour par la route. Sur notre passage, les animaux nous jetaient des regards curieux. Je n’en revenais pas de voir qu'aucun d'entre eux ne prenait la fuite à notre approche. Les oiseaux voletaient juste au-dessus de nos têtes, ...

Une habitude de la gente masculine que je ne comprenais pas à vrai dire.

De nombreuses torches avaient été plantées tout autour du pré pour l’éclairer quand la nuit nous aurait englobés de sa robe ténébreuse.

Je contournai un autre groupe de femmes, esquivai à temps deux chats qui se battaient, et parvint enfin à atteindre la table couverte de boissons.
J'allais me servir un verre de soda quand une voix flûtée m'interpella.
- Bonjour !
Je sursautai... et renversai mon verre sur moi.

Elle lâcha un rire un peu nasillard. Elle paraissait pourtant assez sympathique. Et elle était très jolie. Tout s'accordait chez elle, sa voix, ses cheveux, ses yeux, sa grande taille et ses hanches fines.

- Je vais me servir à boire Roxanne.
- D'accord ma grande. Tu pourrais me ramener un verre aussi, s'il te plait ?
- Pas de soucis, j'arrive.
Je contournai un autre groupe de femmes, esquivai à temps deux chats qui se battaient, et parvint enfin à atteindre les boissons.
J'allais me servir un verre de Coca quand une voix flûtée m'interpella.
- Bonjour !
Je sursautai... et renversai du Coca partout. (je trouve ça assez... langage parlé, je ne sais pas, d'autant plus qu'elle n'a sûrement pas renversé son coca partout. Cherche une expression plus distinguée, non ? Comme "laisser couler un peu de coca à côté de mon verre")
- Zut !
- Oh mince ! Je suis vraiment désolée. Attends, je vais t'aider.
Une main à la peau mate se saisit de mon verre tandis que je reposais la bouteille, puis je me tournai vers une fille typée latino aux grands yeux gris et aux longs cheveux châtains. Un doux sourire étirait ses lèvres pulpeuses et elle agita la tête en faisant voleter ses cheveux lisses.
- Je suis vraiment cruche alors moi ! Excuse-moi encore. Je m'appelle Clara, se présenta-t-elle en me tendant un verre de Coca rempli.
- Merci. Moi c'est Alice.
- Alors c'est toi ?!
- Euh... ouais, je suis moi.
Elle se mit à rire, d'un rire un peu nasillard. Elle paraissait pourtant assez sympathique. Et elle était très jolie. Tout s'accordait chez elle, son rire, ses cheveux, ses yeux, sa grande taille et ses hanches fines.
- Non, je voulais dire, c'est toi la nièce de Roxanne. C'est bizarre, continua-t-elle sans me laisser le temps de prendre la parole, je ne t'imaginais pas vraiment comme ça. Je te voyais un peu plus blonde et... un peu moins brune quoi !
- Un peu comme ma mère ? hasardai-je.
- Exactement.
- Tu connais ma mère ? m'étonnai-je, les yeux grands comme des soucoupes.
- Pas personnellement. Mais tout le monde la connaît ici. Tu sais, personne n'a de secret pour personne dans la ville. Mais généralement, les gens font les hypocrites. Par exemple, ils viennent te trouver et te demandent : "Alors, ça va comme tu veux ?" alors qu'ils savent très bien que tu as dormi dans le jardin après t'être engueulée avec tes vieux. Moi ça m'énerve, alors je préfère être franche et directe. D'ailleurs, ça fait un moment qu'on entend parler de ton arrivée. On était tous impatients de voir la fille d'Helena.
- Ah bon ?
Pour le coup, je devais vraiment ressembler à un extra-terrestre avec les yeux exorbités et le teint pâle.

- Bah, tu sais bien, l'attraction de la nouveauté. C'est tellement perdu ici que dès qu'il se passe quelque chose, tout le monde en fait tout un plat.

- Mince alors, je vais devoir rester enfermée dans ma chambre pendant deux mois !

- Quand même pas ! En tout cas, je suis contente de t'avoir vue. Les autres devraient bientôt arriver. Si tu veux passer la soirée avec nous, tu es la bienvenue.

- Avec plaisir, mais je voudrais juste passer chez ma tante pour me changer, j'ai du Coca partout, et ça colle un peu.

- Ah ouais, encore désolée. Tu veux que je t’accompagne ?

- Si tu veux. Je lui emmène juste un verre avant d'y aller.

Je reposai mon verre vide et en remplis un autre pour l'apporter à Roxanne. Puis Clara et moi reprîmes le chemin du bois qui nous menait chez ma tante. Je ne savais pas si c'était parce que la nuit était tombée, mais les animaux étaient beaucoup moins confiants qu'à l'aller. Cette fois-ci, aucun oiseau ne voletait autour de nous et les biches détalaient à notre arrivée. Seuls quelques hiboux nous regardaient du haut de leur branche.

- Cette baraque est incroyable ! Tu as beau l’avoir déjà vue, c’est époustouflant à chaque fois ! s'exclama Clara à l'approche de la grande bâtisse.

- Attends un peu de voir l'intérieur. Tu vas tomber des nues.

- Dépêchons-nous alors.

Elle me prit le bras et se mit à courir en direction de la maison. Je la dirigeai jusqu'à l'entrée, et nous gravîmes les quelques marches du porche, hilares et essoufflées.

Sa réaction fut la même que la mienne lorsqu'elle entra dans le hall. Ses yeux papillonnaient à droite et à gauche, sans savoir où s'arrêter, tellement tout attirait l'attention. Après avoir émis un sifflement admiratif, elle me demanda :

- Bon, on va où maintenant ?

- Au dernier. Suis-moi.

Je me précipitai dans les escaliers, Clara sur les talons.

- Oh c’est super mignon ta chambre, Alice ! s’exclama Clara lorsque nous fûmes arrivées en haut. Dommage que tu ne restes pas assez longtemps pour qu’elle soit bien à toi…

- Comment ça ? lui demandai-je, intriguée par le ton qu’elle avait pris à la fin de sa phrase.

- Tu sais bien, les petits secrets cachés sous une latte de plancher, les lettres sous le matelas, les photos au-dessus du lit… Et les souvenirs qui habitent les lieux.

- Ouais, mais j’aurai l’occasion de revenir souvent. Donc je me rattraperai à chacune de mes visites.

- Génial ! Tu verras, avec nous, tu ne vas pas t’ennuyer une seule seconde. - J’espère bien.

- Bah, tu sais bien, l'attraction de la nouveauté. C'est tellement paumé (Mets plutôt "perdu", ça passera mieux LoL) ici que dès qu'il se passe quelque chose, tout le monde en fait tout un plat.

- Mince alors, je vais devoir rester enfermée pendant deux mois alors !

- Quand même pas ! En tout cas, je suis contente de t'avoir vue. Les autres devraient bientôt arriver [Point] Si tu veux passer la soirée avec nous, tu es la bienvenue.

- Avec plaisir, mais je voudrais juste passer chez ma tante pour me changer, j'ai du Coca partout, et ça colle un peu.

- Ah ouais, encore désolée. Tu veux que je t’accompagne ?

- Si tu veux. Je lui emmène juste un verre avant d'y aller.

Je reposai mon verre vide, en remplis un autre que j'apportai à Roxanne, puis je repris le chemin du bois qui nous menait chez ma tante, accompagnée de Clara. Je ne savais pas si c'était (Concordance des temps : Ton récit est au passé donc tu gardes le passé) parce que la nuit était tombée, mais les animaux étaient beaucoup moins confiants qu'à l'aller. Cette fois-ci, aucun oiseau ne voletait autour de nous, les biches détalaient à notre arrivée. Seuls quelques hiboux nous regardaient du haut de leur branche.

- Ouah ! Mais c'est monumental ici dis-moi ! s'exclama Clara à l'approche de la grande bâtisse.

- Attends un peu de voir l'intérieur. Tu vas tomber amoureuse. (On a l'impression qu'il manque un mot comme "en" dans ta phrase. A voir avec les autres correcteurs)

- Dépêchons-nous alors.

Elle me prit le bras et se mit à courir en direction de la maison. Je la dirigeai jusqu'à l'entrée, toujours en courant, et nous gravîmes les quelques marches du porche, hilares et essoufflées.

Sa réaction fut la même que la mienne lorsqu'elle entra dans le hall. Ses yeux papillonnaient à droite et à gauche, sans savoir où s'arrêter, tellement tout attirait l'attention. Après avoir émis un sifflement admiratif, elle me demanda :

- Bon, on va où maintenant ?

- Au dernier. Suis-moi.

Je me précipitai dans les escaliers, Clara sur les talons.

- Oh c’est super mignon ta chambre, Alice ! [Pas de virg.] s’exclama Clara lorsque nous fûmes arrivées en haut. Dommage que tu ne restes pas assez longtemps pour qu’elle soit bien à toi…

- Comment ça ? lui demandai-je, intriguée par le ton qu’elle avait pris à la fin de sa phrase.

- Tu sais bien, les petits secrets cachés sous une latte de plancher, les lettres sous le matelas, les photos au-dessus du lit… Et les souvenirs qui habitent les lieux.

- Ouais, mais j’aurai l’occasion de revenir souvent. Donc je me rattraperai à chacune de mes visites.

- Génial ! Tu verras, avec nous, tu ne vas pas t’ennuyer une seule seconde.

- J’espère bien.

[...]

Je reposai mon verre vide, en remplis un autre que j'apportai à Roxanne, puis je repris le chemin du bois qui nous menait chez ma tante, accompagnée de Clara. Je ne savais pas si c'était parce que la nuit était tombée, mais les animaux étaient beaucoup moins confiants qu'à l'aller. Cette fois-ci, aucun oiseau ne voletait autour de nous et les biches détalaient à notre arrivée. Seuls quelques hiboux nous regardaient du haut de leur branche.

[...]

Elle me prit le bras et se mit à courir en direction de la maison. Je la dirigeai jusqu'à l'entrée, toujours en courant, et nous gravîmes les quelques marches du porche, hilares et essoufflées.

[...]

- Génial ! Tu verras, avec nous, tu ne vas pas t’ennuyer une seule seconde.
[ > ]
- J’espère bien.

[X]

kirlim a écrit:
[...]

Je reposai mon verre vide, en remplis un autre que j'apportai à Roxanne, puis je repris le chemin du bois qui nous menait chez ma tante, accompagnée de Clara. Je ne savais pas si c'était parce que la nuit était tombée, mais les animaux étaient beaucoup moins confiants qu'à l'aller. Cette fois-ci, aucun oiseau ne voletait autour de nous et les biches détalaient à notre arrivée. Seuls quelques hiboux nous regardaient du haut de leur branche.

kirlim a écrit:

- Génial ! Tu verras, avec nous, tu ne vas pas t’ennuyer une seule seconde.
[ > ]
- J’espère bien.

[X]



Le ">" c'est une ligne à sauter
Le "X" c'est un passage à supprimer
Sinon, ça se poursuit, ça continue, c'est toujours bien, je veux juste voir ce que tu vas faire ensuite ^^

Spoiler:

Eleazare McNight a écrit:
- Ouah ! Mais c'est monumental ici dis-moi ! s'exclama Clara à l'approche de la grande bâtisse. (bah pour qqun qui n'a pas de distraction, je pensais que la maison n'était pas un secret pour elle quand même ^^. Dans les ptits bleds, tout le monde a déjà vu la maison de tout le monde ).

- Attends un peu de voir l'intérieur. Tu vas tomber amoureuse (j'aurais plus dit: "tu vas tomber des nues").