La voix des morts

Lou a écrit:Voui maman Azul, tu as raison.
Mais j'aime écrire, pas corriger ^^"
Et puis même si c'est court ce que je poste, j'ai plusieurs corrections différentes à chaque fois, c'est plus long..

Bon ok, j'arrête de me chercher des excuses.

chapitre 2 - la cantine
Ce n’est même pas la peine de parler du manque de place ou de la rapidité d’ingurgitation du contenu de l’assiette. Pour ceux qui sont en groupe, la cantine est bien plus facile à supporter : au moins on peut discuter. Tristan, lui, était seul. Comme toujours. Ce n’est pas un garçon solitaire, bien au contraire, mais qui donc aurait pu manger avec le dingue ? Les seuls candidats étaient Franky et sa bande, et ceux-là, Tristan tenait avant tout à les éviter.

- Nan mais franchement, ce type il craint.
- C’est clair, en plus il est vraiment âgées.
- Il est quand même mignon.

- Mais dites donc, faites comme si je n’étais pas là ! Quelqu’un pourrait me dire pourquoi les allemands ne sont plus la ?

Les Errants étaient une sorte d’esprit un peu particulière. En fait, ils (qui ? Tristan ? dans ce cas c'est il) les avaient baptisés ainsi parce que ces fantômes continuaient de faire comme s'ils étaient toujours en vie. D’ailleurs, ils ne se rendaient même pas compte qu’ils étaient morts. Une fois, le garçon avait essayé de le leur dire, mais ils étaient tellement encrés dans leur réalité qu’ils ne l’écoutaient même pas.

les Errants étaient une sorte d'esprit...

encrés ?

D’un geste qui démontrait autant l’habitude que le la lassitude, Tristan passa sa carte magnétique dans la machine. Après un petit bip, celle-ci régurgita son plateau. Il ne fit même pas attention à ce qu’il prenait, au final tout aurait le même goût. Alors qu’il cherchait une place tranquille dans un coin, il fut surpris par le silence assourdissant qui régnait dans la salle. Pourtant les groupes continuaient de parler, il y avait autre chose… L’Errant était parti ! Il avait beau tendre l’oreille, il n’entendait plus la voix du fantôme. Si vite ? C’était pour le moins étonnant, mais le jeune homme savoura cet instant de silence, sans même prendre garde aux élèves qui se moquaient de lui.

Evidemment, il avait fallu qu’on serve des spaghettis. Parfois, la malchance s’accroche à vos pas basque et ne vous lâche plus. Tristan se sentit brusquement très nul, son plateau vide encore en main. Il aurait dû tomber à genou, supplier la magnifique créature de lui pardonner et au diable son honneur.

- Jesuisdésoléjenevousavaitpasvue

L’effet fut immédiat et il vira rouge aubergine.

Francky battit en retraite en levant les mains pour montrer ça bonne volonté.

un type à lunette

pentacle, croix, livres de magies blanches, noire, rouges

une sorte de grimmlins

Evidemment, Catherine ne s’y était jamais reflétée,

un pentacle à cinq branches gravé à l'encre rouge sur le plateau.

Oui, Francky trichait, pour mettre de l'ambiance et "ouvrir les esprit"

- Allez, la séance va commencer, asseyons-nous !

Il s'y croit vraiment pensa Tristan tendit qu'il prenait place autour de la place (tu veux dire de la table ?) . Heureusement qu'il y avait Alessandra pour égayer cette soirée. D'ailleurs, il avait réussi à s'assoir à côté d'elle. Le rat présidait la table évidemment, enfin difficile de présider une table ronde. Sa chaise était juste plus rembourrée que les autres. Quand tout le monde se fut assis, malgré quelques difficultés puisque l'Arrogant et l'Intello voulait tout les deux se placer près de Sandra, Tristan s'aperçut qu'il manquait quelqu'un. La place était libre à côté de Francky

Il s'y croit vraiment pensa Tristan

J'ai du rêver pensa-t'il, un simple petit malaise. Oui, un cauchemar, cela pouvait arriver

-Tu as dis quelque chose ?

Le jeune médium eut un pincement de coeur (j'aurais dit un pincement au coeur) lorsqu'il le vit adresser un sourire charmeur à Alessandra

Les esprits… Dire que certains n’y croient pas. Tristan aurait donné beaucoup de chose pour être comme ces autres idiots jouant à ce(se)faire peur. Il ferma les yeux, sans oublier de jeter un petit coup d’œil aux alentours, au cas où. Voilà à quoi il en était réduit : essayer de voir un fantôme.
Alors que le garçon se lamentait sur son propre sort, une voix d’outre-tombe résonna dans le salon

petits cris effrayés qui se muèrent peu à peu en gloussements

Le jeune garçon crut qu’il allait en mourir. Jamais il n’avait ressentit une telle tristesse. Le sentiment était si fort que s’en était intolérable. C'était comme si l'atmosphère elle-même dégageait des vagues de désespoir.

Jasper plaisait à Alessandra.
Alessandra aimait Jasper.

C’était Marlène, emporté par les lamentations du fantôme, il l’avait oublié.

Mais de toute façon, a quoi bon vivre ?

Il ouvrit les bras, accueillant avec joie cette délivrance, au moins, il ne souffrirait plus.

Mais Tristan n’était pas de cet avis, la mort lui paraissait beaucoup plus accueillante.

elle lui asséna une gifle magistrale.

Adossé à la porte, il maintenait l'Arrogant à distance à l'aide du croix multicolore. Son visage arborait un magnifique cocard.

Lou a écrit:Chapitre cinq :

Catherine avait assisté impuissante à l'attaque du démon. Elle ne pouvait pas agir, il lui fallait à tout prix éviter de se révéler. Pourtant, quand Tristan avait faillit se faire tuer, elle n'avait pu empêcher un cris d'avertissement. Heureusement, il s'était perdu dans la panique ambiante. Et Tristan avait survécu.
Dommage que son jeune ami ne puisse voir la créature. Ces êtres étaient tout à fait impressionnants. Les médiums les appelaient « démons » faute d'autre nom convenable, mais il ne s'agissait pas vraiment de ça. Les démons et les anges, leurs opposés, avaient autrefois été vivants. Personne ne savait pourquoi telle ou telle personne devenait un fantôme. Il n'y avait pas de raison. Les gens ne devenaient pas fantôme parce qu'ils avaient un but non terminé ou parce qu'ils ne voulaient pas quitter le monde des vivants.
Mais pour le démons, c'était plus facile à comprendre. Si certaines personnes mourraient en éprouvant un sentiment puissant et douloureux, elles se transformaient en une sorte de brume de couleur particulière. Elles n'étaient pas douées d'intelligence (On dit plutôt "dotées" que "douées") et ne pouvaient pas raisonner. Les démons n'était qu'un seul sentiment. Ils allaient à travers le monde, attirée par la douleur et la peine. Chaque démon est classé en catégorie. Celui qui avait attaqué Tristan était d'un beau rouge, signe de l'amour. Cela expliquait la bataille et les réactions exagérées : difficile de résister à la jalousie et à la déception.
Catherine se laissa porter par les courants d'air. Elle vit filer la voiture qui emportait Tristan vers son destin. Elle aurait aimé le suivre, mais l'endroit où il allait était trop dangereux pour elle. Mieux valait ne pas trop s'approcher du docteur et de ses acolytes, surtout en ce moment. Et puis, elle avait mieux à faire. Comme par exemple aller dans un petit village au Maroc et surveiller l'éveil d'une petite fille. L'enfant ne savait pas encore le poids qui allait peser sur ses (Ses => Possessif, les siens : Ces => Démonstratifs, ceux-là) épaules. Pour l'instant, elle vivait tranquillement avec sa famille, insouciante et joyeuse. Le fantôme aurait dû être là pour la surveiller, mais l'avenir de Tristan lui causait bien du soucis. Le garçon était beaucoup trop naïf et renfermé pour ne pas prendre garde aux dangers qui le guettaient.
Catherine soupira ( pour peu qu'un fantôme puisse soupirer). Les nouveaux amis de son médium l'inquiétait. Lequel des deux avait fait apparaître le démon ? Jasper ou Catherine (Tu parles de la rouquine là ?? Elle s'appelle pas Catherine, il me semble ...) ? En tout cas, il devait être assez fort pour maitriser un démon.
C'était le mode opératoire de l'institut : simuler une attaque de démon et récupérer un médium pleins de talent.
Sauf que bon, Tristan était à peine niveau 2 sur l'échelle de Ludwig. Du talent, il n'en avait pas... Pas pour le moment du moins.
Avec la grâce des fantômes, Catherine se déplaça en volant jusqu'au Maroc. Elle vit Aicha qui jouait avec une poupée. Il y avait des photos d'elle sur toute les étagères, parfois en compagnie de son petit frère. Assurément, c'était une enfant aimée.
Catherine tenta de lui parler :
- Bonjour.
Aucune réponse, Aicha n'entendait rien. Il fallait attendre, encore.

Et le temps continuait de filer.

Chapitre cinq :

Catherine avait assisté impuissante à l'attaque du démon. Elle ne pouvait pas agir, il lui fallait à tout prix éviter de se révéler. Pourtant, quand Tristan avait faillit(failli) se faire tuer, elle n'avait pu empêcher (j'aurais dit réprimer) un cris (cri) d'avertissement. Heureusement, il s'était perdu dans la panique ambiante. Et Tristan avait survécu.

Dommage que son jeune ami ne puisse voir la créature. Ces êtres étaient tout à fait impressionnants. Les médiums les appelaient « démon » (un s à démons ?) faute d'autre nom convenable, mais il ne s'agissait pas vraiment de ça. Les démons et les anges, leurs opposés (leurs opposés à qui ?), avaient autrefois été vivant (vivants) . Personne ne savait pourquoi tel ou telle personne (telle ou telle personne) devenait un fantôme. Il n'y avait pas de raison. Les gens ne devenaient pas fantôme (si c'est le gens, fantôme prend un s) parce qu'ils avaient un but non terminé ou parce qu'ils ne voulaient pas quitter le monde des vivants. (j'avoue que j'ai grand mal à comprendre ce paragraphe sur les fantômes, les démons, les anges, tout est emmelés et ça manque de clarté)

Mais pour le démons, c'était plus facile à comprendre. Si certaines personnes mourraient en éprouvant un sentiment puissant et douloureux (quel rapport entre puissant et douloureux ?) , elles se transformaient en une sorte de brume de couleur particulière (précise la couleur) . Elles n'étaient pas douée(douées) d'intelligence et ne pouvaient pas raisonner (comprends pas de qui tu parles, les personnes ? les démons ?) . Les démons n'était qu'un seul sentiment (être démon ne se résume pas qu'à un simple sentiment, c'est aussi un état). Ils allaient à travers le monde, attirée (attirés) par la douleur et la peine. Chaque démon est (pourquoi passe tu d'un seul coup au présent et sur une seule phrase ?) classé en catégorie. Celui qui avait attaqué Tristan était d'un beau rouge, signe de l'amour. Cela expliquait la bataille et les réactions exagérés (exagérées) : difficile de résister à la jalousie et la déception.

Catherine se laissa porter par les courants d'air. Elle vit filer la voiture qui emportait Tristan vers son destin. Elle aurait aimer le suivre, mais l'endroit où il allait était trop dangereux pour elle. Mieux valait ne pas trop s'approcher du docteur et de ses acolytes, surtout en ce moment. Et puis, elle avait mieux à faire. Comme par exemple aller dans un petit village au Maroc et surveiller l'éveil d'une petite fille. L'enfant ne savait pas encore le poids qui allait peser sur ces épaules (il faudrait développer un peu le sujet car on ne comprend pas de quoi il retourne) . Pour l'instant, elle vivait tranquillement avec sa famille, insouciante, joyeuse. Le fantôme aurait du être la (dû être là)pour la surveiller, mais l'avenir de Tristan lui causait bien du soucis(du souci). Le garçon était beaucoup trop naif et renfermé pour ne pas prendre garde aux dangers qui le guettaient.

Catherine soupira ( pour peu qu'un fantôme puisse soupirer). Les nouveaux amis de son médium l'inquiétait. Lequel des deux avait fait apparaître le démon ? Jasper ou Catherine ? En tout cas, il devait être assez fort pour maitriser un démon.
C'était le mode opératoire de l'institut : simuler une attaque de démon et récupérer un médium pleins de talent (s'il est pleinS de... alors il a plusieurs talents). Sauf que bon, Tristan était à peine niveau 2(deux) sur l'échelle de Ludwig. Du talent, il n'en avait pas... Pas pour le moment du moins.
Avec la grâce des fantômes, Catherine se déplaça en volant jusqu'au Maroc. Elle vit Aicha qui jouait avec une poupée. Il y avait des photos d'elle sur toute les étagères(touteS les étagères), parfois en compagnie de son petit frère. Assurément, c'était une enfant aimée.
Catherine tenta de lui parler :
- Bonjour.
Aucune réponse, Aicha n'entendait rien. Il fallait attendre, encore.

Et le temps continuait de filer.

chapitre 5.

Démon : C'est ainsi que les médiums nomment les animas dont la mort a été violente et d'une forte intensité sentimentale. Une fois devenu fantôme, les démons sont dominés par un seul sentiment et se nourisse(nourrissent) de l'émotion des humains (des émotions humaines ?) en l'amplifiant. Ils se rassemblent parfois et forme(forment) des entités d'une rare puissance. Nombres de suicides sont attribués aux démons. Les médiums de niveau 7 sont capables de manipuler les démons.
Ange : ils se construisent de la même façon que les démons, mais contrairement à eux, le sentiment qui les habite est bénéfique. Ils sont toutefois beaucoup plus rare(j’ai un trou de mémoire, on ne doit pas accorder au pluriel ce mot ?) que les démons

A(À) sa mort, catherine(avec une majuscule le prénom) avait tenté de comprendre les lois qui régissaient la création des fantômes. Pourquoi tel ou telle personne plutôt qu'une autre ? En apparance(apparence), il n'y avait aucune règle : quelle que soit la religion, le talent ou le génie (la religion, le talent ou le génie n'avaient aucune incidence sur cette malédiction qui...), la malédiction frappait au hasard. Mais comme l'humaine qu'elle était autrefois, elle avait besoin d'une clef qu'il lui ouvrirait la porte de la raison (de la raison ou de la connaissance ?). Mais il n'y avait rien, pas de signe, pas de livre secret, pas d'éminence grise qui dicterait le destin de chacun. Au cours de ses recherches, Catherine avait rencontré des créatures oubliés(oubliées) : sirène(s), loup-garou(s), hommes chats (à la limite me demande s'il faudrait pas mettre un trait d'union entre homme et chat) aux neufs vies. Les frontières du monde n'étaient pas aussi clairs(claires) qu'elle l'avait cru. Chaque peuple avait ses propres croyances et Catherine avait beaucoup appris. Pourtant, tous ressentaient la même chose : le monde avait changé, et dorénavant il ne leur appartenait plus. Le dernier des vampires n'étaient(était) pas (n’était-il pas ?) à cet instant même en train de décider du sort de sa race ? Il fut un temps où les chamans avait(avaient) encore du pouvoir, où les fantômes pouvaient influencer le cours du destin sans avoir besoin (sans avoir à recourir, sans avoir recours aux médiums ?) des médiums. Le pouvoir, au lieu de disparaître à l'âge adulte, persistait et s'emplifiait(s’amplifiat). Mais les hommes, jadis si petit(petits) et insignifiant(insignifiants) (je pense que tu utilises petits dans le sens "rien, des être insignifiants, donc avec insignifiants mentionné à la suite, ça fait répét), les hommes terribles et faibles avaient plié le monde à leur volonté. Et maintenant que tout semble (attention d'’un seul coup tu passes au présent) s'approcher de la fin, certain(certains) tentaient encore de dominer l'obscurité du monde.
Catherine espérait en vain éloigner Tristan de tout ça, mais il était lié au destin, tout comme elle. La jeune fille ne pouvait qu'assister impuissante au déroulement de sa vie.

Une forme noire surgit doucement (je trouve que surgir et doucement sont opposés, en général on surgit brusquement) à ses côtés. Elle avait cette odeur caractéristique des vivants qui connaissent les secrets de la mort ( mais quelle donc est-ce cette odeur particulière). La femme chat poussa un feulement étouffé.

Je sais que dans notre genre, on est plutôt habile(habiles), mais c'était vraiment obligatoire que tu me donnes rendez-vous sur la plus haute tour du plus haut sommet de cette putain de ville ? J'ai faillis(failli) perdre une vie bordel.

Catherine se laissa aller à sourire. Les hommes chats possédaient neuf vies et à cause (à cause ou grâce à ?) de cette particularité, ils (je supprimerais le ils) pouvaient voir les morts. Ils n'avaient aucun pouvoir sur eux, mais une vieille légende raconte (tention on repasse au présent) qu'ils sont capables de les renvoyer au néant. Si ce talent avait jamais existé, il n'était maintenant qu'un lointain souvenir.

-Tu le surveilles toujours ?
-Ouaip mon caporal ! Pas 24h sur 24 mais je veille. Je vais probablement louper mon bac à cause de ton chéri, mais paraît que c'est pour la bonne cause.

La fantôme palit(pâlit) (quoique je j’utiliserais blémit) légèrement (le légèrement est de trop en plus c’est un fantôme, elle doit déjà être pas mal blème dans le genre ) en entendant la phrase. Il n'avait pas fallut(fallu) longtemps à la femme chat pour comprendre son attirance. L'histoire avec Alessandra l'avait d'ailleurs bien fait rire : quel que soit l'homme, impossible de résister à une paire de nibard(s) pareil. C'était en gros les mots qu'elle avait prononcé. La jalousie... Le sentiment avait été si fort que Catherine s'était presque transformé(transformée) en démon. Difficile de faire face (de rivaliser avec une fille...) à une fille bien réelle, surtout quand on doit fuir sous peine de ce(se) faire capturer par le camp adverse. Elle n'avait toutefois pas résistée(résisté) à l'envie de voir un peu « son » Tristan. Lors de la séance de spiritisme, les humains avait du(dû) affronter un vrai démon de la jalousie. Chez le garçon, cet(cette) apparition s 'était symbolisée par un cri, alors que Catherine le voyait tel qu'il était : une masse rouge, grouillante, diabolique. Que ce soit un démon sauvage ou un démon manipulé par quelqu'un d'autre (elle misait sur la pétasse rousse), le résultat avait été le même : Tristan habitait maintenant chez ses pires ennemis.

-C'est la première fois depuis qu'on s'est rencontré que je suis éloignée de lui aussi longtemps.

La femme chat émit un rire mauvais qui ressemblait à un miaulement.

-Dis donc ma vieille, c'est moi où tu te vautres dans le drame ?
-La première fois que j'ai vu Tristan, il avait onze ans. Sa mère le bourrait de calmant(calmants) parce qu'il faisait trop de cauchemar(s). Les gosses le traitaient de dingue et sa famille changeait régulièrement de ville (déménageait régulièrement ?). Je suis arrivée et je l'ai sauvé. Mais il ne peut pas me voir, seulement m'entendre.

Il n'y avait pas de tristesse dans sa voix, juste de l'interrogation. Pour une fois qu'un chevalier avait si peu de pouvoir.

-Et puis tu es tombée amoureuse de lui (virgule) même si il est petit et plein de bouton(s). Bla bla bla. J'en ai pas grand chose à foutre, dis moi(dis-moi) plutôt pourquoi tu m'as fait venir.
-Tu dois lui renvoyer un rêve. Le moment approche.

La femme chat s'ettira(s’étira). En fait, elle ne ressemblait pas vraiment à un chat, mis à part l'éclat de ses yeux reflétant la lumière. Elle avait juste l'air d'une fille un peu exentrique(excentrique) avec ses cheveux courts et ses habits trop colorés. Un jour, Catherine lui avait sauvé la vie, à une époque où elle ne pensait en avoir qu'une. Depuis, elle essayait de rembourser sa dette. C'était amusant.

-Toujours le même je suppose ? Il le comprend qu'une fois sur deux tu sais. Franchement, c'est dingue ! Ca(Ça) m'a toujours surprise ces histoires où le héros fait un rêve qui lui explique tout mais au réveil il se dise juste : oh c'était bizarre. (mouais, on devrait plus faire attention à la signification des rêves lol)
-On est bien obligé d'essayer. Parfois, la vie ressemble à un roman. (mais ça finit pas souvent aussi bien que les romans)

Catherine s'éleva légèrement au dessus(au-dessus) du niveau du sol. Elle se tourna vers son interlocutrice, la regardant en face (la dévisageant ?) pour la première fois depuis le début de la conversation.

-Si tu travailles bien, tu auras des croquettes
-Je préfère quand tu es déprimée.
- Au revoir Ambre. (Ambre est la femme chat, pourquoi tu ne l’as pas mentionné au début du chapitre, ça pourrait aider les gens à mieux la visualiser dès le départ)La femme chat lui montra les dents en guise de salut puis disparu(disparut) dans la nuit. Catherine contemplait (contempla ?) (y a un souci dans les temps sur cette phrase et la précédente) les étoiles quelques instants.
Bon, j'ai quelqu'un d'autre à surveiller moi.
L'image d'une petite fille brune aux yeux trop clairs surgit dans son esprit. Aïcha.
Puis elle s'envola vers le Sud.