Trois Mots
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MrSonge
Llynn
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Trois Mots
Commentaires et corrections pour ma nouvelle "Trois Mots".
Llynn- Talent Hasardeux
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Re: Trois Mots
Bon, j'ose le mot puisque tu tu l'as toi-même utilisé : c'est effectivement (un peu) gniangnian, voir franchement à l'eau de rose. ^^
Décortiquons un brin, si tu me le permets.
Bon déjà, là, mauvaise pioche. "Vain espoir" est non pas poétique mais hypocrite, vu qu'on sait pertinemment qu'elle va "le" revoir.
Ce "ce soir" perdu au bout de la phrase est syntaxiquement très étrange.
Ici, deux clichés en rafale. Le petit vent frais qui vient évidemment souffler dans les cheveux de mademoiselle, et le tors musclé, qui ne pouvait être que musclé, puisque le héros qui obnubilé les pensées de l'héroïne ne pouvait raisonnablement pas être un petit freluquet.
Ici, summum. Le couché de soleil, la nuit qui sera douce, la discussion "en amis de longue date". Sans parler du sourire qui évidemment est plaisant, et de l'éclat des yeux qui scintille évidement quand il L'a regarde, elle. Ah, oui, et bien entendu, il n'a pas changé...C'est du Madeleine Chapsal en encore plus prévisible. xD
C'est effrayant, le manque d'imagination des hommes. Non seulement il lui redit "allons boire une verre", mais en plus il renouvelle tous ses gestes (qui sont, évidemment, plein de douceur)
Qu'est-ce que je disais ? Le bord de mer, le regard captivant, et surtout, les cheveux au vent !! Elle ne pouvait pas ne pas rougir, c'eut été blasphématoire. ^^
Nouvelle métaphore un tantinet usée. L'océan évidemment déchaîné, les embruns qui fouettent évidemment le visage (mais on ne parle jamais des habits mouillés, des godasses qui prennent l'eau, où du maquillage qui s'en va...).
Mais finalement, tout fini dans la joie, et dans un rire cristallin qui couvre les cris de démence de la mer tourmentée, métaphore filée des passions déchaînées. Ce n'est plus chapsalien, c'est gavaldien !
Je pense plus sérieusement que ton texte pèche par manque de rigueur au sujet de la forme. Tu pourrais tirer beaucoup plus qu'une alignée sans faute de clichés, de ce thème souvent utilisé, mais très rarement exploité de façon artistique et complète.
Le style pourrait t'y aider également. Tu utilises très souvent la forme S+V+C, ce qui donne des phrases nominales assez pauvres. En enrichissant la forme, le fond deviendra quasiment de lui-même plus intéressant, je pense.
J'espère ne pas t'avoir vexée, découragée ou fâchée avec mon commentaire, ce n'était absolument pas le but !
Décortiquons un brin, si tu me le permets.
Un verre de punch à la main, mon regard parcourt la petite pièce bondée, plein d'un vain espoir, celui de te revoir.
Bon déjà, là, mauvaise pioche. "Vain espoir" est non pas poétique mais hypocrite, vu qu'on sait pertinemment qu'elle va "le" revoir.
Je continue mon chemin jusqu'à la cours où sont disposées quelques tables et quelques chaises ce soir
Ce "ce soir" perdu au bout de la phrase est syntaxiquement très étrange.
Un petit vent frais vient balayer mes cheveux et me faire frissonner. C'est alors que, contre toute attente, un bras vient entourer mes épaules et me serrer contre un torse musclé.
Ici, deux clichés en rafale. Le petit vent frais qui vient évidemment souffler dans les cheveux de mademoiselle, et le tors musclé, qui ne pouvait être que musclé, puisque le héros qui obnubilé les pensées de l'héroïne ne pouvait raisonnablement pas être un petit freluquet.
Assis à une terrasse, le soleil se couche lentement. La nuit sera douce malgré cette petite brise. Nous discutons tranquillement autour d'un café, comme des amis de longue date. [...]Tu ris. J'aime quand tu me souris et cet éclat qui illumine tes yeux quand c'est moi que tu regardes. Tu n'as pas changé!
Ici, summum. Le couché de soleil, la nuit qui sera douce, la discussion "en amis de longue date". Sans parler du sourire qui évidemment est plaisant, et de l'éclat des yeux qui scintille évidement quand il L'a regarde, elle. Ah, oui, et bien entendu, il n'a pas changé...C'est du Madeleine Chapsal en encore plus prévisible. xD
Je me souviens de cette nuit-là comme si c'était hier. Tu en avais connu bien d'autres mais pour moi c'était la premier fois. Et ce soir-là était le dernier. Le dernier avant que je ne quitte le lycée, le dernier avant que je ne quitte cette ville pour suivre mes études à Paris. Tu m'avais emmenée dans ce même bar, nous avions bu ce même café, puis nous étions allés nous promener sur le port. C'est là que tu m'avais embrassée.
C'est effrayant, le manque d'imagination des hommes. Non seulement il lui redit "allons boire une verre", mais en plus il renouvelle tous ses gestes (qui sont, évidemment, plein de douceur)
Debout sur la jetée, ton regard capte le mien tandis que mes cheveux fouettent mon visage. Un sourire attendri étire tes lèvres et, doucement, tu remets en place une mèche qui barrait ma joue. Je crois que je rougis!
Qu'est-ce que je disais ? Le bord de mer, le regard captivant, et surtout, les cheveux au vent !! Elle ne pouvait pas ne pas rougir, c'eut été blasphématoire. ^^
Face à moi, l'océan se déchaîne tandis que derrière moi, le bruit de tes pas se perd dans celui des vagues. Le vent soulève une nuée d'embruns qui vient s'écraser sur mes joues et se mêler à mes larmes. Je n'ai pour seul témoin de mon chagrin que cette immense masse d'eau salée en furie.
Nouvelle métaphore un tantinet usée. L'océan évidemment déchaîné, les embruns qui fouettent évidemment le visage (mais on ne parle jamais des habits mouillés, des godasses qui prennent l'eau, où du maquillage qui s'en va...).
Une larme brille sur ta joue à la lueur de la lune. Tu souris et je ne peux retenir un éclat de rire.
Mais finalement, tout fini dans la joie, et dans un rire cristallin qui couvre les cris de démence de la mer tourmentée, métaphore filée des passions déchaînées. Ce n'est plus chapsalien, c'est gavaldien !
Je pense plus sérieusement que ton texte pèche par manque de rigueur au sujet de la forme. Tu pourrais tirer beaucoup plus qu'une alignée sans faute de clichés, de ce thème souvent utilisé, mais très rarement exploité de façon artistique et complète.
Le style pourrait t'y aider également. Tu utilises très souvent la forme S+V+C, ce qui donne des phrases nominales assez pauvres. En enrichissant la forme, le fond deviendra quasiment de lui-même plus intéressant, je pense.
J'espère ne pas t'avoir vexée, découragée ou fâchée avec mon commentaire, ce n'était absolument pas le but !
Re: Trois Mots
Je commence par un petit coup de relevés:
=> j'ai vu que tu réutilises la même expression quelques lignes plus loin. Attention à la répétition.
=> le "ce soir" fait maladroit. On a l'impression qu'il manque un mot: pourquoi pas "pour ce soir" déjà ? Et pus non, c'est pas très beau dit comme ça. Je vois plus: "... jusqu'à la cour où sont disposées pour la soirée quelques tables et quelques chaises."
Analyse linguistique:
MrSonge l'a déjà très bien expliqué: oui ce style fait très "gnangnan" mais je n'irais pas jusqu'à dire que c'est horrible à lire .
Disons que les tournures sont effectivement bourrées de clichés, l'originalité n'est pas de mise et je n'ai pas l'impression d'avoir découvert une belle littérature d'un nouvel auteur, mais le ramdam incessant des lectures à l'eau de rose qu'on peut lire beaucoup.
Mais quelques tournures personnalisées quand même qui ne sont pas négligeables. Une écriture fluide et malgré tout, assez agréable. Je ne dis pas que c'est un tableau noir: c'est un tableau qui est trop influencé par des choses trop convenues.
Analyse de l'histoire:
Humpf', pas de grandes actions. On se doute un peu de la fin, on n'a pas l'impression d'avoir évolué du début à la fin.
J'ai donc moyennement apprécié, mis à part une scène d'exposition un peu mièvre de l'amour, le déchaînement des passions comme sur un tableau... mais rien d'autres de bien palpitant et de bien original.
Mais ce n'est pas pour autant que je ne t'encourage pas à en poster d'autres .
=> dix ans. Il est toujours mieux d'écrire en lettre les chiffres ou les nombres: ça fait plus propre.10 ans plus tard
=> j'ai vu que tu réutilises la même expression quelques lignes plus loin. Attention à la répétition.
=> ":" à la place de la virgule entre "coeur" et "le tien".je croise ce regard que je connais par cœur, le tien.
=> cour.Je continue mon chemin jusqu'à la cours où sont disposées quelques tables et quelques chaises ce soir.
=> le "ce soir" fait maladroit. On a l'impression qu'il manque un mot: pourquoi pas "pour ce soir" déjà ? Et pus non, c'est pas très beau dit comme ça. Je vois plus: "... jusqu'à la cour où sont disposées pour la soirée quelques tables et quelques chaises."
=> premièremais pour moi c'était la premier fois
=> répétition de "mien/mienne".Je ferme les yeux en sentant ton souffle se mêler au mien quand tout à coup ce sont tes doigts qui se posent sur ma bouche. Et ce regard quand je rouvre les yeux me dit que tes pensées ont rejoint les miennes. Ton front contre le mien,
=> entendsJe n'entend plus
Analyse linguistique:
MrSonge l'a déjà très bien expliqué: oui ce style fait très "gnangnan" mais je n'irais pas jusqu'à dire que c'est horrible à lire .
Disons que les tournures sont effectivement bourrées de clichés, l'originalité n'est pas de mise et je n'ai pas l'impression d'avoir découvert une belle littérature d'un nouvel auteur, mais le ramdam incessant des lectures à l'eau de rose qu'on peut lire beaucoup.
Mais quelques tournures personnalisées quand même qui ne sont pas négligeables. Une écriture fluide et malgré tout, assez agréable. Je ne dis pas que c'est un tableau noir: c'est un tableau qui est trop influencé par des choses trop convenues.
Analyse de l'histoire:
Humpf', pas de grandes actions. On se doute un peu de la fin, on n'a pas l'impression d'avoir évolué du début à la fin.
J'ai donc moyennement apprécié, mis à part une scène d'exposition un peu mièvre de l'amour, le déchaînement des passions comme sur un tableau... mais rien d'autres de bien palpitant et de bien original.
Mais ce n'est pas pour autant que je ne t'encourage pas à en poster d'autres .
Re: Trois Mots
Ben, désolée les garçons... moi j'aime beacoup ces clichés justement ! Je trouve ça fort émouvant, mais bon, je suis une fille
J'ai pas trouvé ça "gnagnan" du tout. Ces petits paragraphes imagés par des phrases fortes étaient très agréables à lire.
En trois mots : J'AIME
J'ai pas trouvé ça "gnagnan" du tout. Ces petits paragraphes imagés par des phrases fortes étaient très agréables à lire.
En trois mots : J'AIME
Re: Trois Mots
Tu n'as sans doute pas encore eu le temps de corriger ton texte en fonction des commentaires précédents, parce que j'ai noté un peu les mêmes défauts. Je vais quand même te proposer une correction, à mon tour.
Tu écris le "vain espoir" qu'elle nourrit de le revoir, tu dis qu'elle croit le voir, puis dans la suite de ton texte, apparemment il est vraiment venu. Il faudrait savoir si tu choisis que ton personnage soit une simple apparition, un profond désir de ton héroïne de revoir cet homme, si profond qu'elle croit le voir, le sentir et l'entendre, ou si tu décides que l'homme soit vraiment présent à cette soirée.
Dans le premier cas, "vain espoir" est juste, mais le reste de la nouvelle laisse perplexe car on hésite entre croire à la présence de l'homme ou croire qu'elle le rêve.
Si tu choisis la deuxième solution, alors "vain espoir" est faux et est à remplacer par "espoir". De plus, il te faudra modifier ta narration pour bien faire comprendre au lecteur que l'homme est bien présent ce soir-là.
Ce texte, en l'état, n'a pas vraiment d'intérêt. Il manque de saveur, de mordant.
Quant j'ai lu, j'ai aimé le départ qui semblait nous emmener sur un chemin irréel : la fille qui imagine le retour de son amour de lycée, mais ce serait en fait une création de son esprit. Et puis la suite montre qu'en fait, l'homme est bien présent. Du coup, ton histoire se transforme en banales retrouvailles stériles, puisqu'ils se quittent de nouveau.
Je verrais bien une piste fantastique, avec ce texte. Tu pourrais le retravailler en conséquence.
M'enfin, tu fais comme tu veux, évidemment.
Alors, un petit souci.TROIS MOTS
Une réunion d'anciens élèves, le jour de la remise des diplômes du Baccalauréat, 10 ans plus tard >>> maladroit, à reformuler : "dix ans jour pour jour après la remise des diplômes du Baccalauréat". Un verre de punch à la main, mon regard parcourt la petite pièce bondée, plein d'un vain espoir, celui de te revoir. Trop de souvenirs, trop d'illusions déçues, j'étouffe, j'ai besoin de prendre l'air. Je me dirige vers le fond de la salle lorsque, en me retournant, je croise ce regard que je connais par cœur, le tien.
Tes yeux qui me dévisagent. >>> que la phrase soit en itallique, centrée, en gras ou je ne sais comment, il faut TOUJOURS la terminer par un point.
Mais il n'y a personne à l'endroit où je l'ai aperçu. J'ai dû rêver, encore une de ces hallucinations qui me font te voir à chaque coin de rue. Je continue mon chemin jusqu'à la cour où sont disposées quelques tables et quelques chaises ce soir >>> maladroit : "où ce soir, tables et chaises ont été disposées pour l'occasion". Il n'y a personne. Un petit vent frais vient balayer mes cheveux et me faire frissonner >>> deux "s", deux "n". C'est alors que, contre toute attente, un bras vient entourer mes épaules et me serrer contre un torse musclé.
Tes bras qui m'enlacent.
Tu écris le "vain espoir" qu'elle nourrit de le revoir, tu dis qu'elle croit le voir, puis dans la suite de ton texte, apparemment il est vraiment venu. Il faudrait savoir si tu choisis que ton personnage soit une simple apparition, un profond désir de ton héroïne de revoir cet homme, si profond qu'elle croit le voir, le sentir et l'entendre, ou si tu décides que l'homme soit vraiment présent à cette soirée.
Dans le premier cas, "vain espoir" est juste, mais le reste de la nouvelle laisse perplexe car on hésite entre croire à la présence de l'homme ou croire qu'elle le rêve.
Si tu choisis la deuxième solution, alors "vain espoir" est faux et est à remplacer par "espoir". De plus, il te faudra modifier ta narration pour bien faire comprendre au lecteur que l'homme est bien présent ce soir-là.
Je n'ai pas besoin de me retourner, je n'ai même pas sursauté, comme si ce contact était naturel. Il a suffit d'une seule fois, il y a dix ans, pour que mon corps se souvienne du tien dans les moindres détails. Tu poses mon verre sur une table et me glisse à l'oreille cette même phrase que tu m'avais dite, il y a >>> l'usage de "il y a" est à éviter si longtemps : "Allons boire un verre". Ta main descend alors dans mon dos et me guide à l'extérieur de mon ancien lycée.
Ta bouche qui m'embrasse.
Assis à une terrasse, le soleil se couche lentement. La nuit sera douce malgré cette petite brise. Nous discutons tranquillement autour d'un café, comme des amis de longue date. Tu as quitté ce lycée où tu étais surveillant, ce lycée où nous nous sommes rencontrés. Tu as divorcé et réalisé ton rêve d'enfant : devenir photographe. Tu ris. J'aime quand tu me souris et cet éclat qui illumine tes yeux quand c'est moi que tu regardes. Tu n'as pas changé!
Cette tendresse dans ton regard.
Je me souviens de cette nuit-là comme si c'était hier. Tu en avais connu bien d'autres mais pour moi c'était la première fois. Et ce soir-là était le dernier. Le dernier avant que je ne quitte le lycée, le dernier avant que je ne quitte cette ville pour suivre mes études à Paris. Tu m'avais emmenée dans ce même bar, nous avions bu ce même café, puis nous étions allés nous promener sur le port. C'est là que tu m'avais embrassée.
Cette douceur dans chacun de tes gestes.
Tu insistes pour payer ma consommation en prenant cet air si déterminé que je sais qu'il me sera impossible de te faire changer d'avis >>> maladroit et lourd car participe présent + pronoms relatifs, à modifier. Nos pas nous mènent ensuite vers le port et j'ai alors l'impression de vivre la même chose qu'il y a tant d'années. Debout sur la jetée, ton regard capte le mien tandis que mes cheveux fouettent mon visage. Un sourire attendri étire tes lèvres et, doucement, tu remets en place une mèche qui barrait ma joue. Je crois que je rougis espace ici !
Ta peau contre la mienne.
J'ai le souffle coupé par ce contact. Ton regard se fait plus profond. Tant de souvenirsquiremontent pas de virgule ici et toujours ce même désir. Tu as obsédé chacune de mes pensées pendant si longtemps et te voilà de nouveau devant moi. Mais cette fois encore, je vais devoir partir. Je voudrais pouvoir m'éloigner de toi mais tes doigts sur ma nuque me font perdre la raison.
Tes mains sur mon corps.
Je me sens irrésistiblement attirée par tes lèvres. Mais je ne veux pas endurer cette souffrance une nouvelle fois. Mon cœur est encore trop fragile et si te revoir après toutes ces années l'a apaisé, il n'en reste pas moins toujours aussi attaché à toi. Et te quitter à nouveau serait un déchirement trop pénible à supporter. Mais mon rythme cardiaque s'affole soudainement alors que ton visage s'approche du mien et que nos lèvres se frôlent.
Tes lèvres sur les miennes.
Je ferme les yeux en sentant ton souffle se mêler au mien quand, mets une virgule ici tout à coup, mets une virgule icice sonttes doigtsquise posent sur ma bouche. Et ce regard quand je rouvre les yeux me dit que tes pensées ont rejoint les miennes. Ton front contre le mien, tu murmures alors : "Il vaudrait mieux que j'y aille...". Je ne peux qu'acquiescer et te regarder partir sans chercher à te retenir.
Et ta bouche qui s'approche de mon oreille pour me chuchoter trois mots :
Trois mots, juste trois petits mots qui résonnent encore dans ma tête, comme une douce mélodie, emplie de nostalgie.
"Je t'aime."
Face à moi, l'océan se déchaîne tandis que derrière moi >>> maladroit. Remplace "derrière moi" par "dans mon dos", le bruit de tes pas se perd dans >>> bof : "se mélange à/se confond avec" celui des vagues. Le vent soulève une nuée d'embruns qui vient s'écraser sur mes joues et se mêler à mes larmes. Je n'ai pour seul témoin de mon chagrin que cette immense masse d'eau salée en furie. Peut-on réellement aimer quelqu'un après tant d'années sans le voir ? J'aimerais pouvoir vous dire que non.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
Je n'entends plus le gravier crisser sourdement sous tes pas. Tu dois être loin. Les yeux encore humides, je me retourne en espérant pouvoir t'apercevoir une dernière fois. C'est alors que je distingue ta silhouette dans l'obscurité. Tu t'es arrêté, tu m'observes. Une larme brille sur ta joue à la lueur de la lune. Tu souris et je ne peux retenir un éclat de rire. >>> c'est pas exactement la réaction à laquelle je m'attendais. Tout du long, tu crées une atmosphère mélancolique et triste et, d'un coup, tout cela est brisé par ce rire mal placé. Bizarre.
Je t'aime.
Je t'aime.
Ce texte, en l'état, n'a pas vraiment d'intérêt. Il manque de saveur, de mordant.
Quant j'ai lu, j'ai aimé le départ qui semblait nous emmener sur un chemin irréel : la fille qui imagine le retour de son amour de lycée, mais ce serait en fait une création de son esprit. Et puis la suite montre qu'en fait, l'homme est bien présent. Du coup, ton histoire se transforme en banales retrouvailles stériles, puisqu'ils se quittent de nouveau.
Je verrais bien une piste fantastique, avec ce texte. Tu pourrais le retravailler en conséquence.
M'enfin, tu fais comme tu veux, évidemment.
B.- Talent Divin
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Re: Trois Mots
En tant que "mâle" je devrait lapider ce texte sur l'autel du "à l'eau de rose" mais il se trouve qu'il m'a touché.
Il s'agit d'un écrit qui, en effet, est rempli de clichés, de mièvrerie mais, le propre de la passion déchirante et enivrante est, le plus souvent, perçue comme telle par les gens extérieurs à cette histoire.
Le style littéraire est fluide, agréable, sans fioritures inutiles. Cela se lit aisément et c'est un plus. Quand aux clichés, et bien, pourquoi pas? Ils font partie de la romance, de la grande histoire de l'amour.
Pas un ovni, un texte déjà vu et revu mais traité correctement, avec le cœur et c'est sûrement là que se trouve sa force (et en même temps sa faiblesse).
Il s'agit d'un écrit qui, en effet, est rempli de clichés, de mièvrerie mais, le propre de la passion déchirante et enivrante est, le plus souvent, perçue comme telle par les gens extérieurs à cette histoire.
Le style littéraire est fluide, agréable, sans fioritures inutiles. Cela se lit aisément et c'est un plus. Quand aux clichés, et bien, pourquoi pas? Ils font partie de la romance, de la grande histoire de l'amour.
Pas un ovni, un texte déjà vu et revu mais traité correctement, avec le cœur et c'est sûrement là que se trouve sa force (et en même temps sa faiblesse).
noway- Talent Habitué
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Date d'inscription : 23/12/2009
Re: Trois Mots
C'est nier l'intérêt littéraire de Roméo et Juliette.Il s'agit d'un écrit qui, en effet, est rempli de clichés, de mièvrerie mais, le propre de la passion déchirante et enivrante est, le plus souvent, perçue comme telle par les gens extérieurs à cette histoire.
Le style littéraire est fluide, agréable, sans fioritures inutiles. Cela se lit aisément et c'est un plus. Quand aux clichés, et bien, pourquoi pas? Ils font partie de la romance, de la grande histoire de l'amour.
Je ne critique pas sur le fait que tu aimes ce texte, c'est ton droit le plus strict. Seulement tu ne peux pas affirmer de telles choses en connaissant un temps soit peu la littérature française (et anglaise) des 4 derniers siècles. ^^
Re: Trois Mots
MrSonge a écrit:C'est nier l'intérêt littéraire de Roméo et Juliette.Il s'agit d'un écrit qui, en effet, est rempli de clichés, de mièvrerie mais, le propre de la passion déchirante et enivrante est, le plus souvent, perçue comme telle par les gens extérieurs à cette histoire.
Le style littéraire est fluide, agréable, sans fioritures inutiles. Cela se lit aisément et c'est un plus. Quand aux clichés, et bien, pourquoi pas? Ils font partie de la romance, de la grande histoire de l'amour.
Je ne critique pas sur le fait que tu aimes ce texte, c'est ton droit le plus strict. Seulement tu ne peux pas affirmer de telles choses en connaissant un temps soit peu la littérature française (et anglaise) des 4 derniers siècles. ^^
Oulah! Référer systématiquement à la littérature passée, c'est pour moi, comme crier "aux loups" dès qu'un poème n'est pas écrit en alexandrin. La littérature n'est pas figée, elle est libre de tous codes contraignants. Je ne suis pas un grand nostalgique de toutes cette littérature (et non, je n'ai jamais lu "Roméo et Juliette...J'ai vu le film: ca compte? ).
Évidement que je peux affirmer ce genre de chose. Plusieurs raisons m'en donne le droit:
- la liberté d'expression, cette magnifique invention
- ma sensibilité de lecteur
- ma subjectivité
- mes expériences amoureuses (7ans de mariage, de grandes et belles histoires) sous lesquelles on peu avancer aussi l'expérience de l'âge
-...
Lorsque j'avance le fait que le propre de ces passion est souvent perçu comme tel par les gens extérieurs, je le pense et je l'affirme. Lorsque tu croises dans la rue deux amoureux transis qui se bécotent (sur un banc public ou pas), tu va les trouver un peu exhib, te dire qu'ils ont l'air un peu stupide là aux yeux de tous. Le type met un genou en terre et chante pour sa belle, là tu les trouves carrément pathétiques. Mais eux, ils ne t'ont pas calculé une seconde. Ils vivent leur amour, totalement hermétique au "qu'en dira t-on?". En ce sens, l'amour n'est beau qu'entres les deux aimés, tout ce qui se perçoit de l'extérieur peut paraître stupide ou pathétique.
Nul besoin de faire du Roméo et Juliette pour intéresser à la lecture et emmener le lecteur dans son univers et heureusement. La littérature serait bien ennuyante si l'on devait sans cesse référer à ces anciens auteurs et à ce qu'ils ont produits (sans remettre en cause la valeur de ces textes bien sûr)
Amicalement.
noway- Talent Habitué
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Date d'inscription : 23/12/2009
Re: Trois Mots
Ce n'est pas figer de se référer au passé, je me réfère à Shakespeare, parce que c'est une valeur sûre, tout simplement. Je passe le coup des alexandrins qui n'a aucun rapport avec ce dont nous parlons... ^^
Je ne t'ai pas interdi d'affirmer ce que tu as dit, j'ai simplement signalé que cela dénotait une étrange conception de la littérature, qui devrait se contenter de décrire la vie sans essayer de la transcender. Si ces passions sont perçues par les gens comme cela, ce n'est pas une raison pour en faire un texte, puisque le propre de l'art est justement de ne pas copier la réalité. La preuve en est tous les grandes histoires d'amour de la littérature. D'ailleurs j'aurais pu me référer à des auteurs contemporains comme Jourde ou Millet qui parviennent tout-à-fait à parler de l'amour sans la moindre ombre de cliché. L'argument de la littérature figée tombe donc également à l'eau, par la même occasion. Il ne reste plus grand chose, mais finissons. ^^
Je ne t'ai pas interdi d'affirmer ce que tu as dit, j'ai simplement signalé que cela dénotait une étrange conception de la littérature, qui devrait se contenter de décrire la vie sans essayer de la transcender. Si ces passions sont perçues par les gens comme cela, ce n'est pas une raison pour en faire un texte, puisque le propre de l'art est justement de ne pas copier la réalité. La preuve en est tous les grandes histoires d'amour de la littérature. D'ailleurs j'aurais pu me référer à des auteurs contemporains comme Jourde ou Millet qui parviennent tout-à-fait à parler de l'amour sans la moindre ombre de cliché. L'argument de la littérature figée tombe donc également à l'eau, par la même occasion. Il ne reste plus grand chose, mais finissons. ^^
Argument bidon des écrivains du calibre-Marc-Lévy. Ils se donnent cette excuse pour éviter de se placer la barre trop haut. Quand on est écrivain, un vrai, je veux dire, on est un artiste. Un artiste cherche dans son art à s'approcher le plus possible de la perfection. Donc oui, dans un sens, un artiste va chercher à faire du "Roméo et Juliette" (Quand c'est le genre adéquat de référence, évidemment) dans le sens qu'il va essayer de faire aussi bien, voir mieux, mais dans son style, son époque, sa langue.Nul besoin de faire du Roméo et Juliette pour intéresser à la lecture et emmener le lecteur dans son univers et heureusement.
Re: Trois Mots
Je n'ai pas l'intention de débattre sur ce topic car ce n'est pas sa vocation. L'auteur souhaite simplement des échos sur son texte et non sur la littérature des 4 derniers siècles.
De plus, j'ai dis ce que je pensais, ce qui correspond à ma réalité, libre à toi de vouloir chercher à démonter ceci et à contester mes propos en argumentant. Je suis éducateur et je travaille avec des adolescents, j'ai l'habitude que l'on essaye de me contredire. Cela ne changera pas ma position ni mon appréciation. Et, je vais te faire dresser les cheveux sur la tête mais je pense me mettre bientôt à lire du Levy (en réalité j'en ai même acheté un livre) car je ne veux pas mourir idiot et je veux essayer avant de dire "je n'aime pas"...Par contre, je ne lirais plus Shakespeare.
Il faut davantage de tolérance dans l'univers de la littérature. Chaque auteur a son propre style, son propre univers. Si tu souhaites que le tiens se réfère aux grands auteurs, c'est ton droit le plus strict. Le fait que l'auteur ici, ait juste voulu proposer un texte simple et avec sa sensibilité est son droit aussi.
Par contre, tu m'attaques clairement en me comparant à ces hauteurs un peu insipide tels que Levy, c'est un peu présomptueux. Pour cela il faudrait déjà que tu me connaisse et que tu connaisses ma plume ce qui n'est pas le cas.
Voilà, je vais arrêter là le dialogue interposé, ce n'est pas l'objectif de ce topic.
Et au plaisir de te lire aussi un de ces quatre.
De plus, j'ai dis ce que je pensais, ce qui correspond à ma réalité, libre à toi de vouloir chercher à démonter ceci et à contester mes propos en argumentant. Je suis éducateur et je travaille avec des adolescents, j'ai l'habitude que l'on essaye de me contredire. Cela ne changera pas ma position ni mon appréciation. Et, je vais te faire dresser les cheveux sur la tête mais je pense me mettre bientôt à lire du Levy (en réalité j'en ai même acheté un livre) car je ne veux pas mourir idiot et je veux essayer avant de dire "je n'aime pas"...Par contre, je ne lirais plus Shakespeare.
Il faut davantage de tolérance dans l'univers de la littérature. Chaque auteur a son propre style, son propre univers. Si tu souhaites que le tiens se réfère aux grands auteurs, c'est ton droit le plus strict. Le fait que l'auteur ici, ait juste voulu proposer un texte simple et avec sa sensibilité est son droit aussi.
Par contre, tu m'attaques clairement en me comparant à ces hauteurs un peu insipide tels que Levy, c'est un peu présomptueux. Pour cela il faudrait déjà que tu me connaisse et que tu connaisses ma plume ce qui n'est pas le cas.
Voilà, je vais arrêter là le dialogue interposé, ce n'est pas l'objectif de ce topic.
Et au plaisir de te lire aussi un de ces quatre.
noway- Talent Habitué
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Points : 241
Date d'inscription : 23/12/2009
Re: Trois Mots
De plus, j'ai dis ce que je pensais, ce qui correspond à ma réalité, libre à toi de vouloir chercher à démonter ceci et à contester mes propos en argumentant. Je suis éducateur et je travaille avec des adolescents, j'ai l'habitude que l'on essaye de me contredire. Cela ne changera pas ma position ni mon appréciation. Et, je vais te faire dresser les cheveux sur la tête mais je pense me mettre bientôt à lire du Levy (en réalité j'en ai même acheté un livre) car je ne veux pas mourir idiot et je veux essayer avant de dire "je n'aime pas"...Par contre, je ne lirais plus Shakespeare.
Il faut davantage de tolérance dans l'univers de la littérature. Chaque auteur a son propre style, son propre univers. Si tu souhaites que le tiens se réfère aux grands auteurs, c'est ton droit le plus strict. Le fait que l'auteur ici, ait juste voulu proposer un texte simple et avec sa sensibilité est son droit aussi.
Tu parles de tolérance, mais c'est toi, dans ton premier paragraphe cité ci-dessus, qui m'affirme ta volonté de te fermer comme une huitre sous prétexte que tu as l'habitude d'être contredit par des adolescents. J'aime cette visions de la tolérance littéraire. ^^
Je ne t'interdis évidemment pas de lire du Lévy, je te le conseille même, je l'ai d'ailleurs fait moi-même, bien sûr, avant de pouvoir constater sa nullité. J'en ai même terminé un, en entier, sans aide respiratoire.
Non chaque auteur n'a pas son propre style, c'est faux. Des styles, des vrais, il y en a une demi-douzaine par siècle. Ce terme est trop galvaudé à mon goût. Je n'ai pas non plus empêché Lynn de proposer un texte, mais si elle l'a fait, c'est qu'elle voulait des avis. J'ai donné le mien, tu as donné le tien. J'ai simplement constaté que tu partais d'un postulat qui me semblait faux (l'amour est cliché => un texte sur l'amour peut être cliché)...
Faux ! J'ai simplement constaté que tu utilisais le même argument qu'eux. Je n'ai jamais rien lu de toi, je ne vois pas comment je pourrais affirmer une telle chose.Par contre, tu m'attaques clairement en me comparant à ces hauteurs un peu insipide tels que Levy, c'est un peu présomptueux. Pour cela il faudrait déjà que tu me connaisse et que tu connaisses ma plume ce qui n'est pas le cas.
Sur ce, je crois en effet que nous devrions nous taire, car on pourrait y passer la semaine.
Re: Trois Mots
C'est plus sage en effet. On n'arrivera de toute façon pas à tomber d'accord ^^
Je t'engage juste à ne pas douter de ma tolérance. Je ne me suis permis aucun jugement de valeur te concernant, merci donc de ne pas en avoir à mon égard.
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noway- Talent Habitué
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Re: Trois Mots
Si je voulais chinoiser, je pourrais citer le "il faut d'avantage de tolérance" qui sous-entendrait que je suis intolérant, mais étant donné que je ne te connais pas, je vais te faire confiance et on va pouvoir en rester là. Ce débat a de toutes façons eu lieu 36'000 fois sur le forum, avec les mêmes membres de chaque "côté", les mêmes arguments et les mêmes contre-arguments, je pense donc que le notre n'y apporterait strictement rien. ^^
Re: Trois Mots
Tes paroles sont pleines de bon sens. Nous en resterons donc là. Je suis toutefois suffisamment interloqué par cet échange pour franchir une barrière que je n'avais, jusque là, pas su franchir. Je vais poster un chapitre de mon premier ouvrage. Il représente, je pense, plutôt bien l'ensemble du roman qui n'est, disons les choses clairement, ni plus ni moins qu'une petite bluette sentimentale dans laquelle j'ai pourtant mis toutes mes tripes (allons-y carrément, c'est pratiquement autobiographique). Je serais intéressé par ta critique sur cet extrait, sincèrement.
https://imperialdreamer.1fr1.net/romans-f112/societe-extrait-de-une-coquille-sur-la-tete-t2006.htm#54957
https://imperialdreamer.1fr1.net/romans-f112/societe-extrait-de-une-coquille-sur-la-tete-t2006.htm#54957
noway- Talent Habitué
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Re: Trois Mots
J'ai toujours été amusé de voir que les personnes avec qui je débats et qui ne sont littérairement pas d'accord avec moi, terminent la conversation en me proposant d'aller jeter un oeil à leurs propres écrits. Peut-être une façon de me tester, voir si je suis vraiment aussi ouvert que je le prétends... Ou alors une forme de masochisme, peut-être, du genre : "Je sais qu'il n'aimera pas, mais je ne peux pas me priver de ses commentaires qui seront, j'en suis certain, désobligeants". Pourtant, je ne sais pas, mais tu m'apparais de bonne foi, et tu es tout ce qu'il y a de plus sympathique. Je fais donc une croix sur les précédentes motivations et te crois entièrement. Je n'ai, par contre, pas le temps maintenant de me lancer dans la lecture de ton extrait, mais je le ferais dès que possible et de bon coeur, sans aucun parti pris, promis (en fin de soirée ou demain).
Re: Trois Mots
C'est amusant parce que justement en imaginant de te faire lire un extrait, je me suis dis que c'était bien là un gros cliché de genre" aussi: " on a débattu, le mec va se sentir obligé de me lire".
C'est vrai que cela peut semblé intéressé et je n'ai pas d'armes pour défendre ma bonne foi sur ce coup là.
Disons juste que c'est la curiosité qui m'a poussé dans le sens où, jusqu'ici, je n'ai pas ressenti le besoin d'exposer cet écrit ici ou ailleurs. Il demeure bien caché dans mon DD en attendant que me pousse le courage de tenter l'édition.
C'est vrai que cela peut semblé intéressé et je n'ai pas d'armes pour défendre ma bonne foi sur ce coup là.
Disons juste que c'est la curiosité qui m'a poussé dans le sens où, jusqu'ici, je n'ai pas ressenti le besoin d'exposer cet écrit ici ou ailleurs. Il demeure bien caché dans mon DD en attendant que me pousse le courage de tenter l'édition.
noway- Talent Habitué
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Re: Trois Mots
Ah non, rassure-toi, je ne me sens pas obligé de te lire (enfin je ne sais pas si c'est très rassurant, en fait ^^). J'irais même jusqu'à dire que ça aurait été plutôt le contraire, étant donné nos points de vue divergents. Mais après tout, déjà je suis sur ce forum pour donner mon avis, et pas seulement en recevoir, et en plus, comme je l'ai dit, on peut tout à fait ne pas être d'accord avec quelqu'un sans le trouver antipathique pour autant. C'est le cas, donc, non, c'est avec plaisir que j'irais jeter plus qu'un oeil à ton extrait.
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