La Marche des Parias.
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Re: La Marche des Parias.
Merci petite brise.
La concordance des temps est un de mes gros soucis (je préfère les pensées, que veux-tu...); mais je crois que là, j'ai le droit (manque le gauche, je sais)
La concordance des temps est un de mes gros soucis (je préfère les pensées, que veux-tu...); mais je crois que là, j'ai le droit (manque le gauche, je sais)
La bande de potes revient au prochain chapitre. J'écris au feeling, j'ai le squelette et je le complète sous l'inspiration du moment. Généralement, une fois écrit, je laisse reposer mon roman 6 mois avant de le reprendre depuis le début. Donc, je l'aurais vraiment fini dans... 2 ans.Y-a-t-il une logique dans leur apparition ou c'est au feeling ?
Re: La Marche des Parias.
Ce n'est pas que ça colle pas avec la cérémonie... Ce n'est pas l'idée que tu veux donner qui est fausse, mais la manière dont tu la présentes.nico4g a écrit:Si... mais ça colle bien avec cette cérémonie ^^.=> mouaif'. Sa prise de fonction en tant que maire... c'est un peu lourd, tu trouves pas ? ^^
C'est juste dit d'une façon très lourde .
Encore moins ^^.nico4g a écrit:tu as raison... pour rouge mais je garde mon confortablement installé ^^. dans un fauteuil club.=> mouis, pour moi c'est un peu maladroit ce genre de tournure.
=> cuir rouge... rouge à lèvres au-dessus. Et puis, on s'attendrait à une précision un peu raffiné du rouge : pourpre ? ecarlate ? Bordeau ?
Un fauteuil club... comme ça donc : http://images.google.fr/images?q=fauteuil%20club&oe=utf-8&rls=org.mozillaofficial&client=firefox-a&um=1&ie=UTF-8&sa=N&hl=fr&tab=wi
Moui... mais non.
C'est encore pire : tu ne précises ni la couleur ni l'apparence.
Tu me répondras : oui mais tous les fauteuils club sont pareils... moi je te répondrais, oui mais l'auteur est là pour remplacer par ses mots la réalité, et non l'inverse.
Pense à vieillir : dans 50 ans, ça sera passé de mode et l'expression "fauteuil club" ne sera peut-être pas rentré dans le dictionnaire français.
Donc on ne saura pas de quoi tu parles.
Azul pourra re-confirmer, mais "le nombre de" s'accorde avec le complément, comme "la majorité/la plupart d'abrutis".nico4g a écrit:c'est le nombre qui peuplepeuplent
Et voui, la langue a ses petits vices.
Non, ce n'est pas que c'est spécialement mon avis, c'est surtout que c'est un fait.nico4g a écrit:ça c'est ton avis. J'aime beaucoup Chabrol. C'est une phrase qui m'avait marqué enfant donc Romero a pu vivre la même chose (même s'il est plus vieux ).je te déconseille ce genre de citation. Pas que je défende spécialement les riches... mais c'est le genre de phrase hyper connue, qui circule dans les blagues bidons dans les boites e-mail... et ça donne pas trop de crédibilité à ton texte et à ton personnage. Enfin, ça fait encore philosophie de comptoir.
Tu effleures les vraies problématiques et tu te fourvoies dans des idées préconçues et toujours récriées par les moins malheureux.
J'appelle ça de la philosophie de comptoir, et c'est le propre de la définition.
Rien que ta réponse est aussi un étalage d'idées préconçues, pour ne pas faire dans le mesquin.nico4g a écrit:Oui et malheureusement complètement accepté... Sarkosy qui justifie la nomination de Proglio utilise ce discours. Qui le contredit ? Le PS, non, l'égalité lui est devenu inconnu. L'humanisme a disparu au profit de la compétitivité. Je suis admiratif du travail de Baudrillard (la société de consommation, ma bible). Ce discours te blase ? mais en connais-tu les fondements ? Comment ont-ils réussi a ancrer ces idées pour qu'elles soient désormais monnaie courante ? Stéréotypes ? mais ne se sert-on pas des discours abscons pour cacher des vérités simples ? "c'est trop compliqué, vous comprendriez pas", ben voyons. Romero parle de la nécessaire évolution de l'homme en machine. Notre société n'a plus visage humain mais robotique. L'ironie pour moi vient de cette société communautariste prônant l'individualisme. De plus, crois-tu vraiment que ton travail, tes futurs responsabilités te laissent autant de liberté que ta vie estudiantine ? Es-tu prêt aux compromis ?L'entrevue avec Madame Mirambaud est un peu... un étalage de préjugés, d'idées préconçues sur notre société et ça m'a un peu lassé, voire blasé, de lire toujours le même genre de trucs bidons.
Romero ira plus loin : "la disparition de l'Homme est normale, une espèce meurt pour laisser sa place à une autre mais nous nous accrochons telles ces cellules qui deviennent cancéreuses en reniant leur apoptose. Tuer l'Homme, c'est sauver la Terre. Je me découvre écologiste..."
Alors et le bonheur là dedans ? La réponse est aussi clichesque, stéréotypée et pourtant peut l'applique ou peuvent l'appliquer. Il est dommage de survoler les choses simples par orgueil, suffisance, fumisterie ou autre car il faut toujours une base solide.
Justement, tu te contredis toi-même. Tu veux que les choses bougent ? Alors ne dis pas les choses que tout le monde dit : on voit l'effet rendu et les résultats absents.
Et c'est normal, sinon il y aurait sans cesse des révolutions.
Tu veux faire de la philo ? Et bien il faut t'en donner les moyens et la rigueur : il faut creuser plus loin que la simple jérémiade du coin de table. Oui, les revendications du peuple sont surement fondées, mais elles sont surtout irréfléchies et, en te contentant de les paraphraser, tu montres juste que tu n'apportes aucune solution et surtout aucune réflexion réellement dialectique.
Tu veux parler de notre société communautaire qui se veut individualiste ? Bien.
Commence donc par définir ces deux termes, complimenter leurs avantages et enfin soulever leurs réels problèmes. Montrer ce qui les oppose et ce qui finalement les relie.
Car en effet, tu n'es pas le premier à t'intéresser de près à ces deux systèmes, si bien incarnés par USA/URSS, qui se fondent dans notre société actuelle. Et la réponse apportée par Soljenitsyne est bien meilleure que toute : capitalisme et socialisme ont le même but, c'est-à-dire, la corruption de l'âme.
Si tu veux attaquer notre système, attaque Rousseau, car c'est lui qui est à la base de notre attitude Fleur-Bleue.
Et ce que je voulais finalement te dire, ce n'est pas que ce discours me déplaît, mais plutôt que tu t'y prends vraiment mal pour dénoncer ce qui ne va, selon toi, pas en France (et ailleurs dans le monde).
A la fin, j'ai pas tout saisi dans quoi tu t'es embarqué : l'homme est un robot... j'ai envie de dire, qu'il soit le robot de Mac Donald ou le Robot de la Très Sainte Inquisition ou celui de la Très Vénérée Louve Romaine, ça ne change pas grand chose. L'homme a toujours été le mouton de ses contemporains et si tu t'insurges contre cela aujourd'hui, il faut aussi le faire pour les vingt et quelques siècles précédents, puis finalement critiquer la nature humaine elle-même.
En conclusion, si tu veux quelque chose qui tient la route, creuse plus. Parce que là, non, tu ne fais que retourner de la terre labourée et si tu veux n'avoir aucun effet, tu es sur le droit chemin.
Sinon, n'attaque jamais ad hominem comme tu viens de le faire présentement, si tu souhaites un minimum de crédibilité. Quelle influence mes activités d'étudiant auront sur la société que tu veux critiquer ? Aucune.
La seule chose que tu cherches à faire, c'est me rabaisser le caquet en trouvant un point faible de ma personne, et non de mon argumentation.
Ce qui est un peu dommage car je peux être blond/roux/brun, ado/trentenaire/retraité et physicien/chauffeur routier/boulanger, ce n'est pas ce que je suis qui résolve les soucis de notre système, mais bien les idées suggérées.
Pour te donner mon simple avis de petit étudiant couillon, c'est justement ce mélange socio-individualiste qui fait notre salut et qui rend la France aussi particulière.
Monsieur Sarkozy s'évertue à détacher les liens qui nous relient au social (communautaire) et ouvre ses voiles en direction du libéralisme à outrance, comme nos amis ricains.
Après tout dépend de savoir s'il est bon de se caler sur un modèle en perdition en temps de crise économique.
Encore non.nico4g a écrit:Ils sont tellement liés qu'il n'en font qu'un. Voir par ailleurs ce concept expliqué par Baudrillard (la morale judéo chrétienne ne s'en relève pas).aux concepts, si tu veux utiliser ce terme. Un concept en philo est une chose : le concept du "Bien" et le concept du "mal".
Tu veux faire de la philo ou de la tambouille ?
Il faut avant tout définir chaque concept indépendamment avant de les relier aussi sauvagement. C'est purement de la méthode pour rendre une argumentation relevée et précise.
Je te conseille de parler de "manichéisme" si tu tiens absolument à faire les deux en même temps, mais tu te fermes plein de portes pour une réflexion claire et raisonnée.
La notion de Bien et celle de Mal sont déjà assez compliquées pour les prendre une par une.
Eh bien... dis le tel quel, et n'utilise pas une répétition qui risque de faire plutôt tiquer qu'autre chose ^^.nico4g a écrit:c'est voulu, c'est à celui qui sera le plus ouvert ^^.avec de grands yeux ébahis et un sourire tout aussi béat
N'essaie pas non plus de me prendre pour le jeunot qui sort de la pouponnière.nico4g a écrit:A mon avis, t'as jamais eu de black out après avoir picolé. C'est bienÉvidemment, le souvenir des deux hommes en noir m’est revenu en pleine gueule, histoire de m’enfoncer vraiment profond dans le trouble façon « eau de Seine ».
Tu as de l'expérience, je veux bien, mais on est ici sur une base commune, celle de l'écriture.
Nos vies sont tout à fait indépendantes de ces critiques littéraires (et je t'en prie encore une fois d'en faire autant). 17 ou 32 ans, on s'en fout, comme de 14 à 17 ans, du moment que ce que tu as à dire est réfléchi.
Là, je te disais juste que ce n'est pas très explicite et que le narrateur s'enfonce dans son propre délire et expressions bien à lui ; il en exclut le lecteur, c'est pas forcément bon.
Une rhétorique ? Où ça ? oOnico4g a écrit:Je te trouve légèrement catégorique ^^. Tu peux opposer des théories, des pensées comme Nietzche/KAnt Freud/Lacan Baudrillard/Foucault philosophie/biologie mais pas balancer une phrase comme ça, t'es pas crédible.Et d'un point de vue histoire, philosophie et sciences-humaines, tout ce qui est dit est archi-faux.
De plus, c'est juste une rhétorique utilisée par Romero pour convaincre Mirambeau de signer.
Je ne te parle plus de philo là, je te parle de faits avérés. Il y a beaucoup de diffamations dans ce qu'il dit, et je tenais juste à le dire une fois de plus.
Mais il me semble l'avoir souligné dans mon ancien relevé à plusieurs reprises. Il était inutile d'en recoller une triple couche.
Re: La Marche des Parias.
Pâco, j'ai compris que tu avais tendance à interpréter les choses d'une certaine façon à cause d'une lecture trop rapide.
"Les politiques, ils sont tous pareils, ils pensent qu'à leur gueule". Là, ok, c'est une opinion répandue, mais de gauche ou de droite, un gouvernement est contraint par une politique économique mondiale (voir le sujet des retraites voté par la droite et la gauche en Espagne) est déjà moins admis. Pour information, je n'écris pas une critique de la société, je montre comment Romero essaie de convaincre Mirambeau dans mon roman qui se veut une comédie zombiesque. Roméro montre un état de fait justifié par la compétitivité.
Ce n'est pas de la philo mais de la socio. Je reprend grossièment des idées de Baudrillard. Tu parles philo et ça me fait marrer car elle pourrait se résumer à une citation " tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien", ce sont des questionnements, des réflexions, le surhomme de Nietzsche est l'homme qui se remet perpétuellement en question; alors quand je vois combien tu as les idées arrêtées, je me demande comme tu conçois la philosophie.
Je dois amener à la réflexion, pas donner une réponse ou une solution toute faite. Le but n'est pas de sortir une citation ou citer un auteur à tout bout de champ.
Encore une fois, je ne m'insurge pas.
2 Dis-moi t'as un petit manuel "comment reconnaitre la philo en 10 leçons" ou tu te sers de ce que t'as appris depuis, disons 3 ans.(la valeur n'attend pas le nombre des années, mais l'humilité si on dirait ^^) Non, parce que moi, je reste avec mon Baudrillard. Il a ses détracteurs mais je l'aime bien.
De plus, je ne parle pas d'influence que tes activités d'étudiants auront sur la société, je te dis que la liberté intrinsèque à l'étudiant (je sais paq pourquoi tu parles de point faible...) lui permet de critiquer plus facilement la société. Et oui, je n'ai jamais dit que ton statut résoudrait les soucis. Ni les idées suggérées d'ailleurs. Je pencherais plus vers l'éveil des masses.
Cependant, Neil dit qu'il a pris une grosse cuite, il s'est pris une savate donc rien d'étonnant à ce qu'il ait du mal à se remettre les idées en place.
Bon, je t'explique simplement pour éviter d'autres... je peux même pas dire sophismes, tu fais qu'affirmer sans raisonnement ni argumentation
Romero veut convaincre Mirambeau de signer. Il va user de psychologie. Il s'est renseigné sur elle. Il a appris qu'elle avait reçu un jacuzzi en pot de vin d'où l'allusion (subtile ^^) aux bulles de champagne. Donc, il sait qu'elle est intéressée. Il lui sert un discours style, nous les intelligents et les forts, on fait ce qu'on veut parce que les autres nous laissent faire et sont capables de rien. Il sait qu'elle est légèrement misanthrope. Il sait aussi qu'elle a été maitresse d'école. Petite allusion (subtile encore ^^) à son enfance avec l'histoire de Chabrol pour montrer comment il était. Il sert un discours éminemment fallacieux mais, oh ironie de l'auteur, Romero (le vrai) a réalisé une critique sociale à travers son film Le Jour des Morts Vivants. Quel talent. C'est un roman sans prétention, juste un truc pour le fun. Quand j'écrirais une critique de la société actuelle, ok, on pourra débattre mais là ça rassemble plus à de la masturbation intellectuelle et à un résumé d'un édito de Marianne ;
Sans rancune
j'ai bien suivi, mais je veux dire que ça va bien avec le côté pompeux et lourd de ce genre de cérémonie très officielle. Regarde les textes "administratifs", on peut difficilement faire plus lourd ^^.C'est juste dit d'une façon très lourde Wink.
Et pourquoi le ferais-je ? ça n'a pas d'importance.C'est encore pire : tu ne précises ni la couleur ni l'apparence.
MErci, tu m'apprends quelque chose.Azul pourra re-confirmer, mais "le nombre de" s'accorde avec le complément, comme "la majorité/la plupart d'abrutis".
Euh, non, ça c'est purement subjectif. C'est un jugement que tu portes. Tu trouves que ce sont des idées préconçues, tu trouves que c'est de la philosophie de comptoir. Tu es jeune, ça c'est un faitNon, ce n'est pas que c'est spécialement mon avis, c'est surtout que c'est un fait.
Tu effleures les vraies problématiques et tu te fourvoies dans des idées préconçues et toujours récriées par les moins malheureux.
J'appelle ça de la philosophie de comptoir, et c'est le propre de la définition.
En quoi je me contredis ? Est-ce que j'ai dit que je veux que les choses bougent. Tout le monde ? c'est qui tout le monde ? Tu connais tout le monde ?Justement, tu te contredis toi-même. Tu veux que les choses bougent ? Alors ne dis pas les choses que tout le monde dit : on voit l'effet rendu et les résultats absents.
"Les politiques, ils sont tous pareils, ils pensent qu'à leur gueule". Là, ok, c'est une opinion répandue, mais de gauche ou de droite, un gouvernement est contraint par une politique économique mondiale (voir le sujet des retraites voté par la droite et la gauche en Espagne) est déjà moins admis. Pour information, je n'écris pas une critique de la société, je montre comment Romero essaie de convaincre Mirambeau dans mon roman qui se veut une comédie zombiesque. Roméro montre un état de fait justifié par la compétitivité.
Quelle jérémiade ? Je ne me plains pas, je constate. Quelles revendications du peuple ?Tu veux faire de la philo ? Et bien il faut t'en donner les moyens et la rigueur : il faut creuser plus loin que la simple jérémiade du coin de table. Oui, les revendications du peuple sont surement fondées, mais elles sont surtout irréfléchies et, en te contentant de les paraphraser, tu montres juste que tu n'apportes aucune solution et surtout aucune réflexion réellement dialectique.
Ce n'est pas de la philo mais de la socio. Je reprend grossièment des idées de Baudrillard. Tu parles philo et ça me fait marrer car elle pourrait se résumer à une citation " tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien", ce sont des questionnements, des réflexions, le surhomme de Nietzsche est l'homme qui se remet perpétuellement en question; alors quand je vois combien tu as les idées arrêtées, je me demande comme tu conçois la philosophie.
Je dois amener à la réflexion, pas donner une réponse ou une solution toute faite. Le but n'est pas de sortir une citation ou citer un auteur à tout bout de champ.
Euh, pourquoi ? C'est pas le sujet.Commence donc par définir ces deux termes, complimenter leurs avantages et enfin soulever leurs réels problèmes. Montrer ce qui les oppose et ce qui finalement les relie.
Déjà fait, je me suis servi de Poe.Si tu veux attaquer notre système, attaque Rousseau, car c'est lui qui est à la base de notre attitude Fleur-Bleue.
La société humaine n'a plus visage humain. Le parallèle là est à faire entre l'idée d'animal machine des philosophes (qui se sont bien plantés là-dessus) et l'homme robot. Dans les deux cas, la conscience est au centre.A la fin, j'ai pas tout saisi dans quoi tu t'es embarqué : l'homme est un robot... j'ai envie de dire, qu'il soit le robot de Mac Donald ou le Robot de la Très Sainte Inquisition ou celui de la Très Vénérée Louve Romaine, ça ne change pas grand chose. L'homme a toujours été le mouton de ses contemporains et si tu t'insurges contre cela aujourd'hui, il faut aussi le faire pour les vingt et quelques siècles précédents, puis finalement critiquer la nature humaine elle-même.
Encore une fois, je ne m'insurge pas.
C'est ton avis et je te remercie de me le donner ^^ mais je ne peux le prendre comme vérité absolue surtout que je suis généralement le mien, d'avis.En conclusion, si tu veux quelque chose qui tient la route, creuse plus. Parce que là, non, tu ne fais que retourner de la terre labourée et si tu veux n'avoir aucun effet, tu es sur le droit chemin.
1 Non, je ne veux pas faire de la philo. Pourquoi ne pourrions-nous pas voir cela du point de vue théologique ?Tu veux faire de la philo ou de la tambouille ?
Il faut avant tout définir chaque concept indépendamment avant de les relier aussi sauvagement. C'est purement de la méthode pour rendre une argumentation relevée et précise.
Je te conseille de parler de "manichéisme" si tu tiens absolument à faire les deux en même temps, mais tu te fermes plein de portes pour une réflexion claire et raisonnée.
La notion de Bien et celle de Mal sont déjà assez compliquées pour les prendre une par une.
2 Dis-moi t'as un petit manuel "comment reconnaitre la philo en 10 leçons" ou tu te sers de ce que t'as appris depuis, disons 3 ans.(la valeur n'attend pas le nombre des années, mais l'humilité si on dirait ^^) Non, parce que moi, je reste avec mon Baudrillard. Il a ses détracteurs mais je l'aime bien.
Argumentation ! attends :Sinon, n'attaque jamais ad hominem comme tu viens de le faire présentement, si tu souhaites un minimum de crédibilité. Quelle influence mes activités d'étudiant auront sur la société que tu veux critiquer ? Aucune.
La seule chose que tu cherches à faire, c'est me rabaisser le caquet en trouvant un point faible de ma personne, et non de mon argumentation.
Ce qui est un peu dommage car je peux être blond/roux/brun, ado/trentenaire/retraité et physicien/chauffeur routier/boulanger, ce n'est pas ce que je suis qui résolve les soucis de notre système, mais bien les idées suggérées.
tu appelles ça argumenter ? Décidément, on a pas la même vision des choses.Et d'un point de vue histoire, philosophie et sciences-humaines, tout ce qui est dit est archi-faux.
De plus, je ne parle pas d'influence que tes activités d'étudiants auront sur la société, je te dis que la liberté intrinsèque à l'étudiant (je sais paq pourquoi tu parles de point faible...) lui permet de critiquer plus facilement la société. Et oui, je n'ai jamais dit que ton statut résoudrait les soucis. Ni les idées suggérées d'ailleurs. Je pencherais plus vers l'éveil des masses.
pourquoi mélange ?ce mélange socio-individualiste
Encore une fois, tu interprètes. L'âge n'a rien à voir. Tu es sobre ou pas et il faut être idiot pour penser que picoler est un passage obligé vers la vie adulte.N'essaie pas non plus de me prendre pour le jeunot qui sort de la pouponnière.
Cependant, Neil dit qu'il a pris une grosse cuite, il s'est pris une savate donc rien d'étonnant à ce qu'il ait du mal à se remettre les idées en place.
Ben, elle signe Mirambeau ^^.Une rhétorique ? Où ça ? oO
Bon, je t'explique simplement pour éviter d'autres... je peux même pas dire sophismes, tu fais qu'affirmer sans raisonnement ni argumentation
Romero veut convaincre Mirambeau de signer. Il va user de psychologie. Il s'est renseigné sur elle. Il a appris qu'elle avait reçu un jacuzzi en pot de vin d'où l'allusion (subtile ^^) aux bulles de champagne. Donc, il sait qu'elle est intéressée. Il lui sert un discours style, nous les intelligents et les forts, on fait ce qu'on veut parce que les autres nous laissent faire et sont capables de rien. Il sait qu'elle est légèrement misanthrope. Il sait aussi qu'elle a été maitresse d'école. Petite allusion (subtile encore ^^) à son enfance avec l'histoire de Chabrol pour montrer comment il était. Il sert un discours éminemment fallacieux mais, oh ironie de l'auteur, Romero (le vrai) a réalisé une critique sociale à travers son film Le Jour des Morts Vivants. Quel talent. C'est un roman sans prétention, juste un truc pour le fun. Quand j'écrirais une critique de la société actuelle, ok, on pourra débattre mais là ça rassemble plus à de la masturbation intellectuelle et à un résumé d'un édito de Marianne ;
Monsieur Sarkozy s'évertue à détacher les liens qui nous relient au social (communautaire) et ouvre ses voiles en direction du libéralisme à outrance, comme nos amis ricains.
Après tout dépend de savoir s'il est bon de se caler sur un modèle en perdition en temps de crise économique.
Sans rancune
Re: La Marche des Parias.
Mouaha, où cela, où cela ?Déjà fait, je me suis servi de Poe.
Je l'ai loupé ? Non parce que si Rousseau se prend une dégelée, et avec l'appui de Poe en plus, je ne voudrais manquer ce passage pour rien au monde.
(Quoi ? Non je n'aime pas Rousseau, chaque fois que je le lis, il me donne envie de le secouer comme un eunuque langoureux pour tenter d'en faire sortir de la substance. Nietzsche non plus ne l'aimait pas d'ailleurs.)
Dédé aimait bien, il applaudissait comme un automate avec ce même visage de pantin ahuri. On a eu quelques pièces. J’ai même une petite avec son tee-shirt du Che qu’a tout écouté. La révolte adolescente s’accommode bien des asociaux. Mais, nous, la société on aimerait bien la baiser, (virgule?) cette pute. Ouais, avoir de quoi s’offrir ses services, on est tous d’accord. Ceux qui sont dans la vie ne connaissent pas ceux qui sont dans la survie. Cette fille, elle est pas méchante, elle est jeune. J’étais comme elle et j’ai pas envie de jouer les aigris. (ici, une rupture de temps, c'est voulu ?) Alors, quand elle me proposa une clope, je l’acceptai et en pris une autre pour mon pote, quand elle me parla des injustices, de toute cette bande de bourges et de pourris qui pensent qu’à leur gueule, j’acquiesçai et quand elle me salua avec son « viva libertad », je lui répondis en serrant le poing.
C'est maigre, mais c'est les deux seules choses que j'ai trouvé à relevé dans ce dernier extrait. Sauf dans la chanson, un problème formel : majuscule à chaque début de vers, comme dans un poème. ^^
Cela dit, j'aimerais aussi bien savoir ce qu'ils ont pu faire à ce pauvre Dédé qui semble vouloir devancer Houellebecq dans le Top 10 des vaseux zombifiés. Drogue ?
Re: La Marche des Parias.
Mouaha, où cela, où cela ?
Je l'ai loupé ? Non parce que si Rousseau se prend une dégelée, et avec l'appui de Poe en plus, je ne voudrais manquer ce passage pour rien au monde. chizz
Dans mon précédent roman, j'opposais l'idée de l'Homme naissant fondamentalement bon et qui sera perverti par la société et l'idée de la perversité intrinsèque à l'Homme. Je laissais à chacun se forger sa propre opinion, mais disons que l'on devinait la mienne ^^.
MErci pour les remarques, quant au pauvre Dédé, tu le découvrira rapidement.
Re: La Marche des Parias.
Je présume que non, s'il mentionne Poe, à mon avis, il doit plutôt partager une idée opposée. ^^
Re: La Marche des Parias.
C'est un crime. xD
Poe, c'est le frère spirituel de Baudelaire, d'après ce dernier qui en a fait une magnifique traduction.
Poe, c'est le frère spirituel de Baudelaire, d'après ce dernier qui en a fait une magnifique traduction.
Re: La Marche des Parias.
En tant que biologiste de formation (et plus particulièrement l'éthologie), je ne peux que donner raison à Poe (plus que la perversité, on peut parler d'agressivité). Maintenant, en tant que père, j'ai des valeurs à inculquer à mon fils pour qu'il grandisse dans le respect.
Re: La Marche des Parias.
Ce qui pourrait presque être considéré comme la preuve du non-sens des théories Rousseauistes, puisque si l'homme naissait foncièrement bon, il n'y aurait rien à lui inculquer, simplement quelques principes enfouis à lui rappeler. Ce qui ne me semble pas tout-à-fait être le cas, bien que tu sois bien mieux placé que moi sur la question de l'éducation des enfants. ^^
Re: La Marche des Parias.
Les partiels de janvier arrivaient et j’avais un mal fou à me plonger dans les photocopies de cours que j’avais glanées à droite à gauche. En plus, (?P)popaul était à la diète depuis un moment, et les cours de bio, il y a mieux pour ne pas penser aux échanges corporels.
...
Je prends ma clio, direction la maison des parents de Julien. Super baraque, plein de lits, je n’aurais pas à me dépêcher pour conclure. L’année dernière, je m’étais cramé, entrai(î)né par la beuverie d’alcooliques notoires. Et mes potes, ces bâtards, m’avaient mis une chienne dans le lit que j’avais réussi à squatter.
...
Je dépose ma bouteille dans la cuisine. Je repère Martine « big melons », un petit bonjour en passant. Aucune chance avec elle, je suis pas son genre. Comprenez, je ressemble autant à un surfer que Pamela Anderson à une nonne. Allons plutôt voir dehors les forces en présence. Deux tables servent de bar, elles croulent presque sous la tise. Rappelons-nous nos bonnes résolutions : commençons par une bière. (pourquoi nous? tu utilises lapremière personne depuis le début de l'extrait et soudain ce NOUS.) Je repère quatre poufs connues de mes potes, connues surtout pour le fait qu’il n’y ait que le métro qui ne leur soit pas passé dessus ; et moi, mais j’ai des principes.
...
— Merci, je vais quand même mettre un peu de flotte.
— Attends, t’es un homme ou quoi ?
Ben voyons, pourquoi faut-il que les vrais mâles supportent l’alcool sans problème ? Mais, je tiens bien et je bois mon verre cul-sec, histoire de montrer que je fais partie du clan. Finalement, j’aperçois mes deux plus vieux amis d’enfance. Ils sont assis sur un banc, en train de se marrer. Je leur propose de s’en rouler un petit, proposition que je sais non refusable. Si ça pouvait être aussi facile avec les filles…
À ce propos, il y en a une qui se ramène. Je reconnais Céline, une bonne copine, mais nos liens sont justement trop amicaux pour espérer autre chose. (Ahhh Céline !)
Des petits groupes se forment avant de se réunir autour de la table de réception improvisée. Je suis entre deux mecs, merci Julien . Bien, il va falloir emballer en boîte sinon même ma pratique régulière du tennis ne me servira plus d’excuse au dimorphisme de plus en plus marqué entre mon bras droit et le gauche. Je passe sur mes ampoules aux mains, leur raison officielle étant la même.
******
Je leur propose qu’on se fasse un petit aquarium dans la bagnole de Ludo. Pour les non-initiés, se faire un aquarium c’est remplir de fumée un espace confiné en enchaînant les splifs(spiffs ?). Effet garanti.
....
À une centaine de mètres, une quinzaine de pouilleux se fritent avec les six vigiles du Macumba. Bon, une baston en boîte, c’est comme un poil de cul dans les nouilles, ça donne du goût. Mais là, quelque chose clochait. mais quoi ?
C'est quoi cette fin? non d'un troublion ! tu nous la joue au suspens... Sinon rien à dire. Toujours agréablement amusant et j'étais très contente de retrouver Nico. Je trouve ce personnage attachant.
...
Je prends ma clio, direction la maison des parents de Julien. Super baraque, plein de lits, je n’aurais pas à me dépêcher pour conclure. L’année dernière, je m’étais cramé, entrai(î)né par la beuverie d’alcooliques notoires. Et mes potes, ces bâtards, m’avaient mis une chienne dans le lit que j’avais réussi à squatter.
...
Je dépose ma bouteille dans la cuisine. Je repère Martine « big melons », un petit bonjour en passant. Aucune chance avec elle, je suis pas son genre. Comprenez, je ressemble autant à un surfer que Pamela Anderson à une nonne. Allons plutôt voir dehors les forces en présence. Deux tables servent de bar, elles croulent presque sous la tise. Rappelons-nous nos bonnes résolutions : commençons par une bière. (pourquoi nous? tu utilises lapremière personne depuis le début de l'extrait et soudain ce NOUS.) Je repère quatre poufs connues de mes potes, connues surtout pour le fait qu’il n’y ait que le métro qui ne leur soit pas passé dessus ; et moi, mais j’ai des principes.
...
— Merci, je vais quand même mettre un peu de flotte.
— Attends, t’es un homme ou quoi ?
Ben voyons, pourquoi faut-il que les vrais mâles supportent l’alcool sans problème ? Mais, je tiens bien et je bois mon verre cul-sec, histoire de montrer que je fais partie du clan. Finalement, j’aperçois mes deux plus vieux amis d’enfance. Ils sont assis sur un banc, en train de se marrer. Je leur propose de s’en rouler un petit, proposition que je sais non refusable. Si ça pouvait être aussi facile avec les filles…
À ce propos, il y en a une qui se ramène. Je reconnais Céline, une bonne copine, mais nos liens sont justement trop amicaux pour espérer autre chose. (Ahhh Céline !)
Des petits groupes se forment avant de se réunir autour de la table de réception improvisée. Je suis entre deux mecs, merci Julien . Bien, il va falloir emballer en boîte sinon même ma pratique régulière du tennis ne me servira plus d’excuse au dimorphisme de plus en plus marqué entre mon bras droit et le gauche. Je passe sur mes ampoules aux mains, leur raison officielle étant la même.
******
Je leur propose qu’on se fasse un petit aquarium dans la bagnole de Ludo. Pour les non-initiés, se faire un aquarium c’est remplir de fumée un espace confiné en enchaînant les splifs(spiffs ?). Effet garanti.
....
À une centaine de mètres, une quinzaine de pouilleux se fritent avec les six vigiles du Macumba. Bon, une baston en boîte, c’est comme un poil de cul dans les nouilles, ça donne du goût. Mais là, quelque chose clochait. mais quoi ?
C'est quoi cette fin? non d'un troublion ! tu nous la joue au suspens... Sinon rien à dire. Toujours agréablement amusant et j'étais très contente de retrouver Nico. Je trouve ce personnage attachant.
Re: La Marche des Parias.
Après lecture de ce dernier extrait, je dirais que je l'ai trouvé moins aisé à lire, le fait de parler au passé, puis au présent. De parler à la première personne du singulier puis de passer au nous, c'est moins coulant à lire.
Bon sinon pour le reste, j'ai quand même bien apprécié le texte. Dans les dialogues parfois acides, c'est amusant et ça donne envie de continuer la lecture. Je me demande d'ailleurs si Nico-Bond, c'est pas du vécu
Et puis comme Brisette, je dirait que c'est sur la fin qu'on reste justement sur notre faim et je me doute que le prochain extrait va passer sur d'autres personnages donc on va continuer à se tortiller les neurones pour rien.
Bon sinon pour le reste, j'ai quand même bien apprécié le texte. Dans les dialogues parfois acides, c'est amusant et ça donne envie de continuer la lecture. Je me demande d'ailleurs si Nico-Bond, c'est pas du vécu
Et puis comme Brisette, je dirait que c'est sur la fin qu'on reste justement sur notre faim et je me doute que le prochain extrait va passer sur d'autres personnages donc on va continuer à se tortiller les neurones pour rien.
Re: La Marche des Parias.
Nouvel extrait :
Qu'une seule chose à dire donc.
Contrairement à kat, j'ai trouvé ce passage beaucoup plus agréable que les autres, beaucoup plus fluide aussi.
Après tout est question de goût avec le vocabulaire employé, mais là il me paraît nettement plus adapté à la situation et pas trop exagéré.
Mon reproche viendra nécessaire sur les dialogues qui sont tout sauf intéressant. Autant rester à la narration, si c'est pour faire dire aux personnages des choses aussi... futiles et inintéressantes.
Et sinon, ton personnage est un bon vieux débauché. C'était toi avant ça ? oO
=> ce "m'apostrophe" est splendide en plein milieu de tout ce vocabulaire très "bad boy" et familier. Apostropher, c'est une tournure très littéraire pour dire "interpeler" (verbe qui conviendrait mieux à la situation)Je prends ma bouteille de « champ’ » et me dirige vers la maison. Pépel, un mec que j’apprécie pour son côté « nature » m’apostrophe.
Qu'une seule chose à dire donc.
Contrairement à kat, j'ai trouvé ce passage beaucoup plus agréable que les autres, beaucoup plus fluide aussi.
Après tout est question de goût avec le vocabulaire employé, mais là il me paraît nettement plus adapté à la situation et pas trop exagéré.
Mon reproche viendra nécessaire sur les dialogues qui sont tout sauf intéressant. Autant rester à la narration, si c'est pour faire dire aux personnages des choses aussi... futiles et inintéressantes.
Et sinon, ton personnage est un bon vieux débauché. C'était toi avant ça ? oO
Re: La Marche des Parias.
Merci petite brise, kat et Pâco.
@ petite brise :
@ kat :
@ Pâco :
A ce propos, j'ai vu Dead Snow, film de zombies norvégien. Bel hommage fendar au film de genre. Bon, si t'apprécie Bergman, c'est le grand écart mais je l'ai bien fait.
@ petite brise :
parce que quand je me raisonne, je parle de moi à la deuxième personne du pluriel. J'suis le roi de la débauche ^^.(pourquoi nous? tu utilises lapremière personne depuis le début de l'extrait et soudain ce NOUS.)
Oh... merci, il est pathétique, c'est ce qui le rend attachantj'étais très contente de retrouver Nico. Je trouve ce personnage attachant.
@ kat :
Ah... les femmes ont longtemps été un mystère pour moi... J'ai appris depuis que l'apparence ne suffisait pas à les toucherJe me demande d'ailleurs si Nico-Bond, c'est pas du vécu Very Happy
@ Pâco :
Ouaip toujours ce mélange. Bon, c'est la première écriture donc je changerais p'têt à la deuxième. ça me rappelle que les trois rebeux avec qui je bossais me disait que j'étais marrant car je mettais des mots "compliqués" dans mes phrases. En fait, aujourd'hui, c'est le contraire, je mets parfois des mots "de la rue" quand je parle naturellement. JE crois que c'est l'émotion qui me guide.=> ce "m'apostrophe" est splendide en plein milieu de tout ce vocabulaire très "bad boy" et familier. Apostropher, c'est une tournure très littéraire pour dire "interpeler" (verbe qui conviendrait mieux à la situation)
Tu veux dire qu'ils soulignent bien la futilité des personnages ^^. C'est voulu aussi et encore si tu regardes les films d'horreur pour ado, c'est du Shakespeare ^^.Mon reproche viendra nécessaire sur les dialogues qui sont tout sauf intéressant. Autant rester à la narration, si c'est pour faire dire aux personnages des choses aussi... futiles et inintéressantes.
A ce propos, j'ai vu Dead Snow, film de zombies norvégien. Bel hommage fendar au film de genre. Bon, si t'apprécie Bergman, c'est le grand écart mais je l'ai bien fait.
Disons que "les portes de la perception" m'avaient marqué ^^.Et sinon, ton personnage est un bon vieux débauché. C'était toi avant ça ? oO
Re: La Marche des Parias.
Peut-être... mais pour moi, mélanger haute qualité littéraire et le langage de la rue, c'est un peu mettre une veste de costard dernier luxe sur un jogging.
C'est marrant, mais pas très attirant.
Deuxième argument (oui parce que faut que j'en prépare plein avec toi )
"apostropher" est plus qu'un simple terme compliqué, réservé au langage soutenu. Il appartient aussi à tout un registre de la "haute sphère", de la politique aussi, et est issu directement d'une nomenclature (si on peut dire ça comme ça) latine et plus simplement, correspond au vocatif (dans les déclinaisons latines).
Vocatif utilisé pour invoquer les dieux (comme un "Ô Jupiter !".)
Ce qui me fait un peu l'effet : on ne mélange pas le linge et les serviettes ^.^.
Et pour les dialogues, je ne trouve pas qu'ils soulignent vraiment la futilité des personnages, mais plus le "vide" de l'histoire.
Un peu comme si tu lisais un :
"Bonjour
- Bonjour
- ça va ?
- oui et toi ?
- ça va.
- D'accord."
Le genre de dialogue dont on se passerait .
(et les films pour ados américains sont loin d'être une référence en matière artistique et littéraire (et philosophique, et même correspondant à la réalité)).
C'est marrant, mais pas très attirant.
Deuxième argument (oui parce que faut que j'en prépare plein avec toi )
"apostropher" est plus qu'un simple terme compliqué, réservé au langage soutenu. Il appartient aussi à tout un registre de la "haute sphère", de la politique aussi, et est issu directement d'une nomenclature (si on peut dire ça comme ça) latine et plus simplement, correspond au vocatif (dans les déclinaisons latines).
Vocatif utilisé pour invoquer les dieux (comme un "Ô Jupiter !".)
Ce qui me fait un peu l'effet : on ne mélange pas le linge et les serviettes ^.^.
Et pour les dialogues, je ne trouve pas qu'ils soulignent vraiment la futilité des personnages, mais plus le "vide" de l'histoire.
Un peu comme si tu lisais un :
"Bonjour
- Bonjour
- ça va ?
- oui et toi ?
- ça va.
- D'accord."
Le genre de dialogue dont on se passerait .
(et les films pour ados américains sont loin d'être une référence en matière artistique et littéraire (et philosophique, et même correspondant à la réalité)).
Re: La Marche des Parias.
Peut-être... mais pour moi, mélanger haute qualité littéraire et le langage de la rue, c'est un peu mettre une veste de costard dernier luxe sur un jogging.
C'est marrant, mais pas très attirant.
Deuxième argument (oui parce que faut que j'en prépare plein avec toi Twisted Evil)
"apostropher" est plus qu'un simple terme compliqué, réservé au langage soutenu. Il appartient aussi à tout un registre de la "haute sphère", de la politique aussi, et est issu directement d'une nomenclature (si on peut dire ça comme ça) latine et plus simplement, correspond au vocatif (dans les déclinaisons latines).
Vocatif utilisé pour invoquer les dieux (comme un "Ô Jupiter !".)
Ce qui me fait un peu l'effet : on ne mélange pas le linge et les serviettes ^.^.
Ouais, mais depuis Pivot ça c'est 'achement démocratisé "apostropher" ^^. MAis, tu m'as convaincu, je vais mettre "m'intercepte".
Quant au mélange, je me suis déjà exprimé là-dessus. Il souligne le passage adolescent-adulte, et tu ne parles pas de la même façon entre potes qu'avec tes parents. De plus, cela va me servir pour le contraste qui doit avoir lieu quand on va basculer dans l'horreur comme dans "les Ruines".
le 1er dialogue souligne le côté looser de Nico et 1 jeu de mot bien foireux comme je les aime ^^Et pour les dialogues, je ne trouve pas qu'ils soulignent vraiment la futilité des personnages, mais plus le "vide" de l'histoire.
le 2ème dialogue résume bien l'intérêt de ce genre de soirée et la grande classe de ses participants.
Oui, mais j'ai envie que ça commence comme ça avant de changer radicalement de style (comme les Ruines, donc).les films pour ados américains sont loin d'être une référence en matière artistique et littéraire (et philosophique, et même correspondant à la réalité)
J'aime bien jouer avec le contraste comme Nirvana ou Rage again ont pu le faire en musique
MErci pour tes critiques ARGUMENTEES ( ), elles me font réfléchir et me montrent certaines faiblesses.
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