commentaire "tourment " ecri par oceanne.

Avez-vous déjà sentie que votre future se trouvé loin des vôtre (espace) ? Moi oui. Depuis maintenant un an je rêve d'un homme mystérieux qui va m'amener à quitter paris pour le Canada. Tout a commencé la veille de mon départ....

J'avais bouclé toutes mes affaire avec un sentiment de nostalgie .Tous mes amies, ma famille, mes repaire vont rester derrière moi dans ma ville natale. Paris est une ville extraordinaire. Elle va me manquer par bien des aspects, les cafés, les restaurants avec leur mets exquis. J avais(tu as une chose à mettre entre le J et le verbe) toujours eu des moments de doute dans ma vie. Mais là, j'étais sur de moi. Partir pour le Canada était un profond désir qui sommeillée en moi, depuis pas mal de temps. Le téléphone résonna me sortant de mes réflexions.
_ Allo.
_ Louna salut c est Julie, (ma meilleure amie qui m’appelle tout les jours pour savoir comment je me sens. Elle est soucieuse du vide dans ma vie.) (pourquoi un texte entre parenthèse ? tu parles pas entre parenthèse dans la vie ?) Tu vas bien aujourd'hui ?
_ Oui, et toi ?
_ Je suis triste à l’idée de te voir partir. Mais heureuse en même temps car je sais que tu rêve de sa depuis longtemps.
_ Tu vas me manquer tu le sais.
_ Oui je l’espère en tout cas.
J’ai toujours sentie quelque chose de spécial, qui me disait que mon futur était là bas. Je ne pouvais lui expliquer tout les détails de mon envie de partir, elle m aurait dit que j avais perdu la tête. Comment lui expliquer les rêves étranges que j'avais (je faisais) , tout ça été trop incompréhensible pour moi aussi.
_ Je prends l’avion a vingt t’heures ce soir, tu viens me chercher a dix-huit heure ok.
_ Je serais là à l’heure bisous.
_D’ accord.
Je déposais le téléphone soigneusement et repartit dans mes pensées.

Cette nuit d ailleurs je fis un rêve envoûtant, je me trouvais à Vancouver dans une rue ou il y avait un parc qui s'appeler (GRANDVILLE PARK). (pas de parenthèse) La nuit été tombé, les rue peu éclairée. Je ne savais que faire, mais malgré ma réticence a avancé, je fis un pas en direction du jardin publique qui été plonger dans l obscurité total.

Pourquoi cette envie d avancer, la peur et la curiosité me fit (firent) trembler de la tête au pied. Je me retrouver au milieu d une aire de jeu pour enfant(s) quand un bruit résonna derrière moi. Mon cœur eu un arrêt (donc t'es morte si ton coeur s'est arrêté) avant de reprendre de plus belle, tout en me retournant ma respiration se fis plus bruyante. Et la un homme se tenait non loin de moi, je ne pu distinguer son visage dans la noirceur de la nuit (en même temps la nuit est forcément noire, c'est le principe de la nuit) , mais son hombre distinct été imposant (le principe d'une ombre est qu'elle est plutôt indistincte) . Je ne savais que faire ? Deux option venait a moi, partir en courant et crie a l aide ou lui faire face et prononcer quelque chose de cohérent. Je prie la deuxième solution qui me sembler plus sage. J’avalais ma salive pour mieux parler distinctement.
_ J-j-j-je peut vous aider monsieur ? Réussis-je à dire.
Rien pas un mot ne sortit de sa bouche, et aussi tôt je regretté de ne pas avoir choisis la première options. Je prie la décision de lui tourner le dos et de partir, tout en surveillant mon inconnue. Et la il m’appela, en se dirigeant vers moi.
_ Non attendez mademoiselle, je ne voulais pas vous faire peur.
Se qui me fit arrêter n’était pas sa voit envoûtante mais c’est parole. Il avait sentit la peur que j’éprouver. Il m’avait rejoint et je lui fessais face, il était bien plus grand que je ne l’avais imaginé, moi avec mon un mètre soixante je ne lui arriver qu’au épaule, il avait de grand et beau yeux vert qui me...

Avez-vous déjà sentie que votre future se trouvé loin des vôtre? Moi oui. Depuis maintenant un an je rêve d'un homme mystérieux qui va m'amener à quitter paris pour le Canada. Tout a commencé la veille de mon départ....

Partir pour le Canada était un profond désir qui sommeillée en moi, depuis pas mal de temps.

_ Allo.
_ Louna salut c est Julie, (ma meilleure amie qui m’appelle tout les jours pour savoir comment je me sens. Elle est soucieuse du vide dans ma vie.) Tu vas bien aujourd'hui ?
_ Oui, et toi ?
_ Je suis triste à l’idée de te voir partir. Mais heureuse en même temps car je sais que tu rêve de sa depuis longtemps.
_ Tu vas me manquer tu le sais.
_ Oui je l’espère en tout cas.

Cette nuit d ailleurs je fis un rêve envoûtant, je me trouvais à Vancouver dans une rue ou il y avait un parc qui s'appeler (GRANDVILLE PARK). La nuit été tombé, les rue peu éclairée. Je ne savais que faire, mais malgré ma réticence a avancé, je fis un pas en direction du jardin publique qui été plonger dans l obscurité total.

_ Oh, déjà. Dis-je à haute voix. Je n’avais pas vu le temps passé, Julie ne va pas tarder à venir me chercher. Toute mes affaire étais rassembler prés de l’entrer, il ne me restait plus qu’a me préparer. Ce qui n’était pas une tache facile. Je prie une douche assez rapidement, pris les habilles que j’avais préparé la veille au soir, un jean noir et un chemisier blanc a manche longue. En démêlant mes cheveux qui arriver aux niveaux de mes épaules, je m’observé dans mon miroir, a chercher une solution au cerne qui s’était former sous mes yeux. Fouillant dans ma trousse a maquillage qui été peu fournis, je pris un anticerne qui pouvais me permettre de tricher sur mes imperfections. Je me mis une touche de mascaras pour agrandir mon regard et faire ressortir mes yeux noisette. Poussant un long soupire de mécontentement de ne pas réussir un mieux me mettre en valeur, je rassembler mes affaire de toilette et les mis dans mon sac de voyage le plus proche. L’interphone se mis à sonner.

_ Oui, qui et là.
_ Julie.
_ Monte.

scruter avec un aire songeur il reprit la parole me coupant dans ma contemplation de son visage.
_ Bonsoir, veuillez accepter mes excuses pour vous avoir fait peur. Je ne voulais pas mais voire quelqu’un aussi tard et toute seule m’a prie au dépourvue.
C’était quoi ? Un gardien du parc, en quoi voire une personne se promener le soir peut le prendre au dépourvu ? (espace) il me regarder en attente d’une réponse. Que pouvais-je lui dire ? Oui vous m’avez flanqué la peur de ma vie ou une réponse plus raisonnable qui ne lui donnerait pas raison de l angoisse que j’ai pu ressentir.
_ Je vous et fait perdre votre voix ? S’inquiéta-t-il.
_ Non et vos excuse sont accepter monsieur. Lui répondis-je, me sentant sotte.
_ Appeler moi Lucas. Me dit- il d’une voix réservé, qui me séduits de trop.
_ Moi c’est Louna Davis.
_ Enchanter de vous rencontrer mademoiselle Louna. Tout en me parlant un sourire étira ses lèvre se qui m’intrigua. Prenant une voix plus sérieuse, tout sourire effacer de son visage éclatant, sourcille froncée, regard fou de colère (c'est totalement incohérent ce que tu dis là, ils sourit, puis fronce les sourcils puis ... je ne comprends pas du tout). Il me dit, non il me le hurla plutôt.
_ Courez et ne vous retournez pas. Me voyant ne pas bouger d’un millimètre les yeux sortant de mes orbites, il s’enfuit avant même que je puisse prononcer un mot. Crispé par la surprise de son changement d’humeur je me mis à frémir se qui me réveilla. Rien que de me souvenir de cette nuit mouvementer qui me sembler tellement réelle. Revenant au moment présent, je jeter un œil a ma montre qui indiquer dix-sept heure.
_ Oh, déjà. Dis-je à haute voix. Je n’avais pas vu le temps passé, Julie ne va pas tarder à venir me chercher. Toute mes affaire étais rassembler prés de l’entrer, il ne me restait plus qu’a me préparer. Ce qui n’était pas une tache facile. Je prie une douche assez rapidement, pris les habilles que j’avais préparé la veille au soir, un jean noir et un chemisier blanc a manche longue. En démêlant mes cheveux qui arriver aux niveaux de mes épaules, je m’observé dans mon miroir, a chercher une solution au cerne qui s’était former sous mes yeux. Fouillant dans ma trousse a maquillage qui été peu fournis, je pris un anticerne qui pouvais me permettre de tricher sur mes imperfections. Je me mis une touche de mascaras pour agrandir mon regard et faire ressortir mes yeux noisette. Poussant un long soupire de mécontentement de ne pas réussir un (à) mieux me mettre en valeur, je rassembler mes affaire de toilette et les mis dans mon sac de voyage le plus proche. L’interphone se mis à sonner.
_ Oui, qui et là.
_ Julie.
_ Monte.
En attendant quelle monte les quatre étages de mon immeuble, j’enfilais mes bottines et ma veste. Elle frappa deux coups à la porte, j’ouvris avec un grand sourire aux lèvres.
_ Entre ma chérie, tu es à l’heure. Elle me prit dans ses bras.
_ Bien sur. Tu en douter ?
_ Non, non c’est pour ça que je t’ais demander de m’emmener.
On chargea sa voiture, prit la direction de l’aéroport. Le trajet se fit sans bavardage. En jetant un coup d’œil a Julie je vis quelle avais un visage attristé. Ne trouvant aucun mot d’apaisement je me focaliser sur la route. Elle s’arrêta devant l’entré de l’aéroport Charles de Gaules(il doit se retourner dans sa tombe le pauvre), me regarda avec une moue si triste, quelle me fis monter les larmes aux yeux.
_ Allez, ma chérie ne sois pas abattu se n’ai pas un adieu définitif.
_ Sa y ressemble pourtant. Me dit-elle d’une voix pleine de sanglots.
_ Mais non, tu viendras me rendre visite prochainement et de toute façon je te promets de t’appeler

Barbara a écrit:Bonjour Océanne,

J'aimerais savoir quel est ton niveau scolaire.
Je vois que tu as 24 ans, mais ton texte est tellement bourré de fautes, comme tes commentaires, que j'ai un gros doute. Mes enfants, qui ont 7 et 9 ans, en font moins que toi. Toi, tu les parsèmes, tu les distribues, c'est une over-dose qui, je te le dis tout à fait objectivement, rend ton texte complètement indigeste.
Tu cherches des réponses en venant ici, tu as déjà dû comprendre que ton faible niveau en orthographe ne va pas faire de toi un bon auteur avant quelques années. Il te faut reprendre des cours de français et d'orthographe, car lorsqu'on est écrivain, bien écrire permet trois choses :
- arriver à formuler correctement ses propres idées
- arriver à se faire comprendre du lecteur
- susciter, par de belles phrases et de beaux mots, l'intérêt et le plaisir du lecteur.

Je me permets ces remarques car je suis correctrice (une vraie) et là, franchement, tu as énormément de lacunes.
J'espère que tu ne prendras pas ombrage de mes remarques, mais accordes-y de l'intérêt et travaille ton français, s'il-te-plaît.
Bon courage.

oceanne a écrit:
pas de soucie pour tes remarques j ai niveau bac je pourais faire beaucoup moin de faute, mais ne m'applique pas plus que ça. Et comme on dit c'est en travaillant qu'on y arrive. maintenant tout le monde ne peu être doué pour l'orthographe sinon ton statue de "correctrice" ne vaudrais rien. mais tes conseille je les prends avec plaisir mais permets moi de rajouter que je connait une amie qui est entrain de ce faire publier et son orthographe laisse a désirer et c'est là que des personnes comme toi qui rentre en jeu est qui les corrige. mais bien sûr ce n est point une solution de payer quelqu un pour ce faire corrigé mais on a pas tous ton talent. merci je te laisse voir les faute que j ai faite sur mon com.