commentaires sur les chroniques rewerberiennes
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Pacô
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Je me contente de poser la question. Comme je n'ai pas de connaissance juridique sur la propriété intellectuelle je ne peux pas te dire si ce que tu as fait est légal ou non. L'essentiel était d'attiré ton attention sur ce point afin que tu te renseignes ( ça serait con si ton roman n'est pas publié pour des détails comme çeux là)Hum, je crois que tu as raison. Faut que je trouve un autre nom (si t'as des propositions...)
Pour les titres des oeuvres, j'ai légèrement modifié : l'empire des anges et devenu le royaume des anges.
La fourmilière, c'est particulier car c'est un site de fan que Werber a fait fermer donc là pas de problème.
Bon, j'ai le droit de faire des allusions directes comme l'avait fait Leblanc, je crois, avec Herlock Holmes.
De manière générale je ne lis pas les commentaires précédents pour ne pas être influencé donc je suis parfois redondant. beaucoup de boulot ? Pas vraiment, suffit juste de faire des couper/coller. Le soucis, en l'occurence, c'est que je n'ai qu'une fraction de ton roman du coup je ne peux pas l'apprécier dans sa globalité, en effet.Pour le plan, c'est très intéressant, mais c'est beaucoup de boulot Shocked
Pour le chapitre 4 et 5, on m'avait fait la remarque. J'ai expliqué ce choix à Pâco mais il est discutable.
Et puis, ce sont des chronologies donc il faut que ce soit... chronologique. Tu vois, un peu comme la bible.
Mais ta proposition je la copie colle et je t'en reparle à la fin. C'est la vue d'ensemble qui te permettra d'apprécier véritablement la structure.
Il faudra que je tranche si je peux encore vraiment parler de roman initiatique ou juste "chronologie", ton avis m'y aidera.
Ok. Pour la chronologie.
Pour savoir ce qu'est un roman initiatique je te conseilles : Simone Vierne, Rite, roman, initiation
Pour l'instant, je ne sais pas si ton roman cadre avec cette dénomination, je verrais lorsque j'aurai tout lu.
Ok, je comprends. De toute façon là tu n'en ai qu'au début donc t'as encore le temps.En fait je veux laisser planer le doute, créer une surprise. Pour le moment, on a juste l'idée préconcue de l'auteur que l'on peut avoir d'après les médias. Mais là encore, tu vois juste, le caractère mystique, l'aura auprès des lecteurs, c'est exactement ce que je développe.
Disons que nous avons des références communes c'est donc plus facile pour se comprendre.Domingo, merci beaucoup. C'est marrant parce que le premier texte que j'ai lu de toi, j'ai dit que tu étais "un second mo" par rapport à ton style, tes références... Et je me rends compte que tu comprends parfaitement où je veux en venir.
C'est vachement encourageant pour un auteur. De plus tu soulignes les faiblesses avec une vision objective car fondée sur des exemples concrets et "admis".
domingo- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Salut Nico.
Je me permets de résumer ainsi tes arguments :
EDIT :
le coup de l'arroseur arrosé...il suffit de se relire après avoir commenté pour arrondir les angles
Je me permets de résumer ainsi tes arguments :
Bon. je vais tenter d'employer ce qu'a suggéré Azul : est-ce bien ce que tu as voulu dire ?Ce n'est pas mal écrit, c'est un style, on aime ou pas et l'incohérence est voulue. Ces deux points ne sont donc pas critiquables.
EDIT :
Non, l'essence même de l'outil est de fabriquer / modifier un objet dans le but d'améliorer un acte difficile (voire de le rendre possible.) À ma connaissance, aucun animal autre que l'homme n'a jamais CRÉÉ d'outil. Dans le meilleur des cas, ils ne savent qu'utiliser de l'existant (comme le singe, par exemple.)Quant aux outils, les singes en utilisent
Nérouje- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
là tu résumes tropCe n'est pas mal écrit, c'est un style, on aime ou pas et l'incohérence est voulue. Ces deux points ne sont donc pas critiquables.
je reprends :
Ce n'est pas un style littéraire mais d'un autre côté cela se veut être un "documentaire scientifique" (barré, je te l'accorde) donc le style journalistique me semblait approprié.
Là, c'est une réponse à ta critique sur la pauvreté du vocabulaire et l'abondance de PP et d'adverbes. C'est critiquable, tu peux me dire que tu reconnais pas le style documentaire ou autre chose...
Les incohérences sur les traits de vie sont voulues pour m'aider à créer le rapprochement entre Homo et Homme moderne
Si tu en as vu d'autres, ça m'intéresse.
ça dépend de ta définition de l'outil mais fais gaffe les biologistes vont te tomber dessus abraracourcixNon, l'essence même de l'outil est de fabriquer / modifier un objet dans le but d'améliorer un acte difficile (voire de le rendre possible.) À ma connaissance, aucun animal autre que l'homme n'a jamais CRÉÉ d'outil. Dans le meilleur des cas, ils ne savent qu'utiliser de l'existant (comme le singe, par exemple.)
Voir : http://www.hominides.com/html/actualites/chimpanze-outil-cote-ivoire-4300.php
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Je ne vois pas de quoi tu veux parler quand tu dis documentaire scientifique. Tu parles de la téloche ? Parce que tout ce que j'ai pu lire en vulgarisation scientifique est bien écrit, voire excellemment bien (comme Jay Gould.) À propos des journaux, je ne lis que très peu de choses (trop succinct) mais j'ai un Dossier de la recherche sous la main, je vais aller mater de plus près. Je te tiens au courant. Et, au fait, pour les répétitions aussi ?Ce n'est pas un style littéraire mais d'un autre côté cela se veut être un "documentaire scientifique" (barré, je te l'accorde) donc le style journalistique me semblait approprié.
Là, c'est une réponse à ta critique sur la pauvreté du vocabulaire et l'abondance de PP et d'adverbes. C'est critiquable, tu peux me dire que tu reconnais pas le style documentaire ou autre chose...
Très rigolo ! Surtout ton lien. Peux-tu me citer un seul exemple d'un objet non transformé appelé "outil" et utilisé par l'homme ? Par contre, quand il s'agit d'animaux, le sens change. Étonnant, non ? Le fait que l'on désigne par le même mot des choses différentes dans des contextes différents sent l'amalgame, voire la désinformation. Vive le net !ça dépend de ta définition de l'outil mais fais gaffe les biologistes vont te tomber dessus abraracourcix
Nérouje- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Après avoir feuilleté le magazine en question, lu plusieurs départ d'articles, j'ai observé que (tu t'en douterai) la qualité de l'écriture varie selon les auteurs. D'une manière générale, il y a bien quelques adverbes de ci de là mais aucune, et là je suis catégorique, aucune pauvreté de langage. D'après mes souvenirs, celle-ci appartient plutôt à M. Werber
En fait, l'effet "documentaire scientifique" que tu recherchais me paraît raté. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres ?
Bon, de toutes manières (et corrige-moi si je me trompe) tu écris ainsi et as décidé de ne rien y changer. Basta.
Pourquoi pas, après tout ?
M'enfin, je laisse tomber car ça ne correspond pas du tout à ma conception de l'écriture. De plus, te justifier face à ce qu'en pense Nérouje est inutile, car ce n'est pas moi qu'il faudra persuader de la validité d'un tel concept, mais bien l'éditeur qui recevra ton manus'
Moi, j'achète rien...
En fait, l'effet "documentaire scientifique" que tu recherchais me paraît raté. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres ?
Bon, de toutes manières (et corrige-moi si je me trompe) tu écris ainsi et as décidé de ne rien y changer. Basta.
Pourquoi pas, après tout ?
M'enfin, je laisse tomber car ça ne correspond pas du tout à ma conception de l'écriture. De plus, te justifier face à ce qu'en pense Nérouje est inutile, car ce n'est pas moi qu'il faudra persuader de la validité d'un tel concept, mais bien l'éditeur qui recevra ton manus'
Moi, j'achète rien...
Nérouje- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Ce que je veux dire, c'est que dans un article scientifique, on se préoccupe beaucoup moins de l'aspect littéraire ^_^.
Les adverbes, participes présents, et répétitions sont "admis" et j'ai pas fait que ça non plus
Disons que tu m'aurais souligné cela dans une autre partie de mon roman, j'aurais corrigé, là je trouve que ça passe et pour d'autres aussi. Je te l'avoue, si tétais mon éditeur, j'aurais fait des concessions
Pour les biologistes, l'Homme est un animal évolué. L'animal utilise des outils, l'Homme utilise des outils évolués.
Les adverbes, participes présents, et répétitions sont "admis" et j'ai pas fait que ça non plus
Disons que tu m'aurais souligné cela dans une autre partie de mon roman, j'aurais corrigé, là je trouve que ça passe et pour d'autres aussi. Je te l'avoue, si tétais mon éditeur, j'aurais fait des concessions
Non, cela dépend si tu te places en biologiste ou en monsieur tout le monde. Comme pour trophée, si tu te places en chasseur ou en monsieur tout le monde.Peux-tu me citer un seul exemple d'un objet non transformé appelé "outil" et utilisé par l'homme ? Par contre, quand il s'agit d'animaux, le sens change. Étonnant, non ? Le fait que l'on désigne par le même mot
Pour les biologistes, l'Homme est un animal évolué. L'animal utilise des outils, l'Homme utilise des outils évolués.
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Tiens, un petite définition (du net ) ici : http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=1742
Inutile de te dire que je ne suis pas d'accord avec ceci :
EDIT :
Inutile de te dire que je ne suis pas d'accord avec ceci :
Dis, au fait, y 'a combien de décalage horaire entre toi et nous ?Ce que je veux dire, c'est que dans un article scientifique, on se préoccupe beaucoup moins de l'aspect littéraire ^_^.
Les adverbes, participes présents, et répétitions sont "admis"
EDIT :
Chiche ?Disons que tu m'aurais souligné cela dans une autre partie de mon roman, j'aurais corrigé
Nérouje- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
et là je suis catégorique, aucune pauvreté de langage. D'après mes souvenirs, celle-ci appartient plutôt à M. Werber
En fait, l'effet "documentaire scientifique" que tu recherchais me paraît raté. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres ?
Je répond à ton message que tu as posté pendant ma réponse précédente. Je pense pas que c'est si pauvre que celà mais il est certain que je n'ai pas voulu dire : Regardez comme j'écris bien, ah ah ah, ça fout trop la tehon à Werber.
Ce n'est pas cet aspect là que je critique.
J'ai un style simple, la recherche est plutôt sur les références et l'histoire. C'est pour ça que je parodie Werber plus qu'Hugo ou Stendhal ou Proust....
Ah, ben non, j'ai déjà modifié en fonction de vos remarques (même des tiennes ^_^ , j'ai enlevé Totos, par exemple). Mais après, il faut que je sois en accord avec les modifications. Je l'ai indiqué dans ma présentation : les incohérences, les incompréhensions, les fautes mais pas le style car j'estime le mien personnel et donc on ne pas demander à un auteur de changer de style (CQFD).tu écris ainsi et as décidé de ne rien y changer. Basta.
Pourquoi pas, après tout ?
ça, j'y ai répondu dans mon post précédentM'enfin, je laisse tomber car ça ne correspond pas du tout à ma conception de l'écriture. De plus, te justifier face à ce qu'en pense Nérouje est inutile, car ce n'est pas moi qu'il faudra persuader de la validité d'un tel concept, mais bien l'éditeur qui recevra ton manus'
Bon, dommage Nérouje, au moins je sais que n'attirerais pas les amoureux de belle littérature...
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Décidément, on se croise (je n'ai que cet émoticone qui s'affiche en ce moment...)
Werber était un journaliste scientifique et pendant mes années de fac de bio, je peux pas dire que la qualité littéraire des articles qu'on nous filait me sautait aux yeux.
Et puis n'oublie pas, qu'ici, ce n'est pas sérieux, le documentariste a un peu bu on dirait...
En ce moment, on a 6h00 de décalage
Werber était un journaliste scientifique et pendant mes années de fac de bio, je peux pas dire que la qualité littéraire des articles qu'on nous filait me sautait aux yeux.
Et puis n'oublie pas, qu'ici, ce n'est pas sérieux, le documentariste a un peu bu on dirait...
Ben oui, mais je ne fais pas la chasse non plus, quelques participes présents et adverbes ça et là, je ne trouve pas ça pauvre littérairement. Et je n'ai pas l'ambition d'être Hugo,, je te rappelle. Je pars de Werber, heinDisons que tu m'aurais souligné cela dans une autre partie de mon roman, j'aurais corrigé
Chiche ?
En ce moment, on a 6h00 de décalage
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Nico,
Pourrais-tu nous dévoiler à quelles thèses de Werber tu vas t'attaquer, s'il te plait ?
Pourrais-tu nous dévoiler à quelles thèses de Werber tu vas t'attaquer, s'il te plait ?
domingo- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Je ne m'attaque pas à ses thèses, à part donc dans le chainon manquant où j'expose une autre hypothèse que la sienne.
Je critique plus ce que tu lui reproches : ce côté détenteur de la Vérité. Je n'aime pas aussi ce côté lisse, propret de son personnage, de ses oeuvres. Il y a aussi sa "philosophie pacifiste", le fait qu'il occulte certains aspects de la vie et du Monde qui m'agacent un peu. Derrière cette facade "angélique", se cache forcément quelque chose de plus sombre et cette partie qui m'intéresse.
Aussi bien dans mes contes, que dans ce roman, la part d'ombre est un thème récurrent chez moi. Mais je n'égalerai jamais Poe alors je mets ma touche personnelle qui est un humour un peu particulier on va dire.
Je critique plus ce que tu lui reproches : ce côté détenteur de la Vérité. Je n'aime pas aussi ce côté lisse, propret de son personnage, de ses oeuvres. Il y a aussi sa "philosophie pacifiste", le fait qu'il occulte certains aspects de la vie et du Monde qui m'agacent un peu. Derrière cette facade "angélique", se cache forcément quelque chose de plus sombre et cette partie qui m'intéresse.
Aussi bien dans mes contes, que dans ce roman, la part d'ombre est un thème récurrent chez moi. Mais je n'égalerai jamais Poe alors je mets ma touche personnelle qui est un humour un peu particulier on va dire.
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
ok. Je vois mieux où tu veux en venir.
domingo- Talent Génial
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Chapitre V : Daniella
=> "ajouter à qqchose d'avec quelqu'un"... euh ça veut dire quelque chose de précis en français ? ^^
Appréciation linguistique :
On lit toujours assez aisément. Toutefois, il y a plusieurs formules qui me dérangent, comme celles-ci :
Surtout quand ensuite nous avons ce style de rédaction :
=> l'une parce que le registre semble changer, différent = confusion narrateur/personnages
=> l'autre parce que cette confusion est encore plus troublante lorsque le "Bon, c'est pas le tout" paraît sortir de la bouche de Danielle tandis que "le bel homme tout droit sorti d'une pub Ultra Brite" paraît être pensé par un total inconnu...
C'est ton principal problème lorsque tu utilises cette narration très orale : tu as tendance à faire confondre narrateur et personnages, puis à mélanger un peu tous les registres.
Tu pourrais à la rigueur passer de personnage en personnage... mais je dirais que la mécanique est mal huilée puisque ça ne se fait pas en douceur.
Toutefois, ce récit est attrayant. Un peu cliché sur les bords quand tu écris ceci :
Mais récit agréable .
Appréciation du scénario :
J'ai beaucoup aimé l'analyse chronologique de Michel. Elle a tendance à familiariser avec le personnage, à nous tendre quelques affinités. Si tu rédiges des petites "notes" sur sa vie passée (ou actuelle) comme celle-ci, ça ne pourra que tenir le lecteur en haleine.
Et ça rattraperait cette abondance de personnages. Il y en a de partout, à tous les chapitres il en apparaît un voire deux. Et on a l'impression que sitôt créés, tu les lâches dans la nature sans prendre le temps de les exploiter, de les développer, de les choyer... Par exemple, la copine de Décathlon... bim, on se retrouve à discuter avec elle alors qu'on a l'impression que c'est une totale étrangère.
Par le même coup, le dialogue est fade et ne m'a que très peu inspiré d'intérêt. Le même avec un développement sur elle au préalable, et il devient nettement plus approfondi... alors que c'est le même.
Mais c'est parce qu'on a l'impression de connaître le personnage. C'est psychologique, ou c'est naturel. Tu as plus tendance à faire attention aux petits dialogues inutiles de ce type quand ce sont des personnes que tu connais que quand ce sont des personnes que tu ne connais pas.
Encore une apparition de l'ange sur la couverture . On dirait bien que c'est lui le fil rouge .
Et sinon, Bernard Werber accepte que tu l'appelles Bernard Rewerber et que tu nommes ses romans en les attitrant au Rewerber ?
Enfin je veux dire, que tu l'appelles Werber ou Rewerber... où est la différence ? S'il t'a interdit la première fois, il te l'interdira pour Rewerber.
Surotut si tu utilises les titres de ses romans. Fais là plus subtil : au lieu de "Lz Fourmilière", tu l'appelles "La Termitière" ou un truc dans ce goût là =).
(avec un clin d'oeil aux fourmis ^^).
=> j'aurais plus dit : qui devait logiquement se trouver... Un détail .qui devait se trouver logiquement à ses côtés.
=> pourquoi une virgule avant "et" ?Son mètre soixante-dix, sa taille fine, et sa coupe de cheveux, ajoutaient à son mimétisme d’avec Sara Leigh dans Psychose.
=> "ajouter à qqchose d'avec quelqu'un"... euh ça veut dire quelque chose de précis en français ? ^^
=> c'est quoi le style teuton ? (question personnelle)
dans le plus pur style teuton
Appréciation linguistique :
On lit toujours assez aisément. Toutefois, il y a plusieurs formules qui me dérangent, comme celles-ci :
C'est assez étrange de lire ça alors que le narrateur est extérieur à l'histoire. Pour un narrateur de ce type, il faut employer un langage neutre, sans réelle familiarité. Sinon, c'est assez confus pour le lecteur : comme si c'était une vague impression que Daniella et le narrateur ne faisaient qu'un .Bon, c’était pas le tout,
Surtout quand ensuite nous avons ce style de rédaction :
Pour deux raisons :Elle n’arrivait pas à cerner cette impression diffuse, impalpable, qui ne la quittait pas depuis son réveil. Son regard s’attarda sur le Royaume des anges , un roman de Rewerber, posé sur sa table de chevet. L’ange dessiné sur la couverture semblait l’appeler quand sa flânerie fut brusquement interrompue. La porte de la chambre s’ouvrit, et un plateau petit déjeuner, d’où s’échappait l’odeur agréable du café, précéda un bel homme tout droit sorti d’une pub Ultra Brite.
=> l'une parce que le registre semble changer, différent = confusion narrateur/personnages
=> l'autre parce que cette confusion est encore plus troublante lorsque le "Bon, c'est pas le tout" paraît sortir de la bouche de Danielle tandis que "le bel homme tout droit sorti d'une pub Ultra Brite" paraît être pensé par un total inconnu...
C'est ton principal problème lorsque tu utilises cette narration très orale : tu as tendance à faire confondre narrateur et personnages, puis à mélanger un peu tous les registres.
Tu pourrais à la rigueur passer de personnage en personnage... mais je dirais que la mécanique est mal huilée puisque ça ne se fait pas en douceur.
Toutefois, ce récit est attrayant. Un peu cliché sur les bords quand tu écris ceci :
On a l'impression que tu ne sais plus quoi dire et que tu clos la scène d'une manière très convenue.Les deux femmes éclatèrent de rire. La reprise ne fut pas trop pénible, même si les clients furent nombreux, et la journée se déroula comme du papier à musique.
Mais récit agréable .
Appréciation du scénario :
J'ai beaucoup aimé l'analyse chronologique de Michel. Elle a tendance à familiariser avec le personnage, à nous tendre quelques affinités. Si tu rédiges des petites "notes" sur sa vie passée (ou actuelle) comme celle-ci, ça ne pourra que tenir le lecteur en haleine.
Et ça rattraperait cette abondance de personnages. Il y en a de partout, à tous les chapitres il en apparaît un voire deux. Et on a l'impression que sitôt créés, tu les lâches dans la nature sans prendre le temps de les exploiter, de les développer, de les choyer... Par exemple, la copine de Décathlon... bim, on se retrouve à discuter avec elle alors qu'on a l'impression que c'est une totale étrangère.
Par le même coup, le dialogue est fade et ne m'a que très peu inspiré d'intérêt. Le même avec un développement sur elle au préalable, et il devient nettement plus approfondi... alors que c'est le même.
Mais c'est parce qu'on a l'impression de connaître le personnage. C'est psychologique, ou c'est naturel. Tu as plus tendance à faire attention aux petits dialogues inutiles de ce type quand ce sont des personnes que tu connais que quand ce sont des personnes que tu ne connais pas.
Encore une apparition de l'ange sur la couverture . On dirait bien que c'est lui le fil rouge .
Et sinon, Bernard Werber accepte que tu l'appelles Bernard Rewerber et que tu nommes ses romans en les attitrant au Rewerber ?
Enfin je veux dire, que tu l'appelles Werber ou Rewerber... où est la différence ? S'il t'a interdit la première fois, il te l'interdira pour Rewerber.
Surotut si tu utilises les titres de ses romans. Fais là plus subtil : au lieu de "Lz Fourmilière", tu l'appelles "La Termitière" ou un truc dans ce goût là =).
(avec un clin d'oeil aux fourmis ^^).
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Merci Pâco pour ta fidélité
pourquoi une virgule avant "et" ?
A moins que je me sois trompé, j'ai suivi les corrections de Miss Azul, ma professeur es ponctuation
c'est quoi le style teuton ? (question personnelle)
plutôt que style arien, je préférais style teuton qui connote aussi chevalier ce qui pour le chevalier servant m'arrangeait bien.
C'est assez étrange de lire ça alors que le narrateur est extérieur à l'histoire. Pour un narrateur de ce type, il faut employer un langage neutre, sans réelle familiarité. Sinon, c'est assez confus pour le lecteur : comme si c'était une vague impression que Daniella et le narrateur ne faisaient qu'un .
Je comprends, le narrateur se doit de rester neutre, objectif.Dans mon roman, par moment, il se "met dans la tête" de l'héroïne. Je me dois de le faire que très rarement pour éviter de sortir le lecteur de sa lecture. Ici, je cherche surtout à accentuer le rapprochement lecteur/narrateur par rapport à l'héroïne. Mais, il sera justifié plus tard. En fait, c'est surtout un procédé comique (la voix off qui émet un jugement ironique sur un des personnages ou qui l'alpague carrément).
Les deux femmes éclatèrent de rire. La reprise ne fut pas trop pénible, même si les clients furent nombreux, et la journée se déroula comme du papier à musique.
Oui, c'est une phrase bateau mais vu que je voulais souligner le fait que la vie avait repris son petit train-train quotidien, ça me semblait pas mal
Et ça rattraperait cette abondance de personnages. Il y en a de partout, à tous les chapitres il en apparaît un voire deux. Et on a l'impression que sitôt créés, tu les lâches dans la nature sans prendre le temps de les exploiter, de les développer, de les choyer... Par exemple, la copine de Décathlon... bim, on se retrouve à discuter avec elle alors qu'on a l'impression que c'est une totale étrangère.
Oui, là normalement, les protagonistes principaux sont bien en place. Donc, si tu n'arrives pas à éprouver de l'empathie par rapport à eux, j'ai loupé mon coup.
Enfin je veux dire, que tu l'appelles Werber ou Rewerber... où est la différence ? S'il t'a interdit la première fois, il te l'interdira pour Rewerber.
Surotut si tu utilises les titres de ses romans. Fais là plus subtil : au lieu de "Lz Fourmilière", tu l'appelles "La Termitière" ou un truc dans ce goût là =).
(avec un clin d'oeil aux fourmis ^^).
Si j'ai bien compris, j'ai le droit si je change ne serait-ce qu'une seule lettre (comme Leblanc avec Herloch Holmes). Pour être tranquille, je précise oeuvre de fiction et je suis blindé. Les titres aussi sont modifiés (au lieu de l'empire des anges, c'est le royaume des anges). Pour la Fourmilière, c'est différent, c'était un forum créé par des fans. Mais tu m'as donné une idée, je devrais peut être changer en la Ruche.
pourquoi une virgule avant "et" ?
A moins que je me sois trompé, j'ai suivi les corrections de Miss Azul, ma professeur es ponctuation
c'est quoi le style teuton ? (question personnelle)
plutôt que style arien, je préférais style teuton qui connote aussi chevalier ce qui pour le chevalier servant m'arrangeait bien.
C'est assez étrange de lire ça alors que le narrateur est extérieur à l'histoire. Pour un narrateur de ce type, il faut employer un langage neutre, sans réelle familiarité. Sinon, c'est assez confus pour le lecteur : comme si c'était une vague impression que Daniella et le narrateur ne faisaient qu'un .
Je comprends, le narrateur se doit de rester neutre, objectif.Dans mon roman, par moment, il se "met dans la tête" de l'héroïne. Je me dois de le faire que très rarement pour éviter de sortir le lecteur de sa lecture. Ici, je cherche surtout à accentuer le rapprochement lecteur/narrateur par rapport à l'héroïne. Mais, il sera justifié plus tard. En fait, c'est surtout un procédé comique (la voix off qui émet un jugement ironique sur un des personnages ou qui l'alpague carrément).
Les deux femmes éclatèrent de rire. La reprise ne fut pas trop pénible, même si les clients furent nombreux, et la journée se déroula comme du papier à musique.
Oui, c'est une phrase bateau mais vu que je voulais souligner le fait que la vie avait repris son petit train-train quotidien, ça me semblait pas mal
Et ça rattraperait cette abondance de personnages. Il y en a de partout, à tous les chapitres il en apparaît un voire deux. Et on a l'impression que sitôt créés, tu les lâches dans la nature sans prendre le temps de les exploiter, de les développer, de les choyer... Par exemple, la copine de Décathlon... bim, on se retrouve à discuter avec elle alors qu'on a l'impression que c'est une totale étrangère.
Oui, là normalement, les protagonistes principaux sont bien en place. Donc, si tu n'arrives pas à éprouver de l'empathie par rapport à eux, j'ai loupé mon coup.
Enfin je veux dire, que tu l'appelles Werber ou Rewerber... où est la différence ? S'il t'a interdit la première fois, il te l'interdira pour Rewerber.
Surotut si tu utilises les titres de ses romans. Fais là plus subtil : au lieu de "Lz Fourmilière", tu l'appelles "La Termitière" ou un truc dans ce goût là =).
(avec un clin d'oeil aux fourmis ^^).
Si j'ai bien compris, j'ai le droit si je change ne serait-ce qu'une seule lettre (comme Leblanc avec Herloch Holmes). Pour être tranquille, je précise oeuvre de fiction et je suis blindé. Les titres aussi sont modifiés (au lieu de l'empire des anges, c'est le royaume des anges). Pour la Fourmilière, c'est différent, c'était un forum créé par des fans. Mais tu m'as donné une idée, je devrais peut être changer en la Ruche.
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Alors ma question s'adresse à mamie n'azûul préférée !nico4g a écrit:
pourquoi une virgule avant "et" ?
A moins que je me sois trompé, j'ai suivi les corrections de Miss Azul, ma professeur es ponctuation
Euh... ? oOnico4g a écrit:
c'est quoi le style teuton ? (question personnelle)
plutôt que style arien, je préférais style teuton qui connote aussi chevalier ce qui pour le chevalier servant m'arrangeait bien.
Tu veux dire que c'est le style de l'anti-héroïsme ?
Non, ou bien, pour fiare intervenir les réflexions des personnages, tu peux mettre leurs pensées en italique. Histoire de marquer que là, c'est plus dans la tête du personnage, et non dans celle du narrateur.nico4g a écrit:
C'est assez étrange de lire ça alors que le narrateur est extérieur à l'histoire. Pour un narrateur de ce type, il faut employer un langage neutre, sans réelle familiarité. Sinon, c'est assez confus pour le lecteur : comme si c'était une vague impression que Daniella et le narrateur ne faisaient qu'un .
Je comprends, le narrateur se doit de rester neutre, objectif.Dans mon roman, par moment, il se "met dans la tête" de l'héroïne. Je me dois de le faire que très rarement pour éviter de sortir le lecteur de sa lecture. Ici, je cherche surtout à accentuer le rapprochement lecteur/narrateur par rapport à l'héroïne. Mais, il sera justifié plus tard. En fait, c'est surtout un procédé comique (la voix off qui émet un jugement ironique sur un des personnages ou qui l'alpague carrément).
Azul le fait bien dans le gardien .
Oui mais ça fait plus "cliché" et assez peu original.nico4g a écrit:
Les deux femmes éclatèrent de rire. La reprise ne fut pas trop pénible, même si les clients furent nombreux, et la journée se déroula comme du papier à musique.
Oui, c'est une phrase bateau mais vu que je voulais souligner le fait que la vie avait repris son petit train-train quotidien, ça me semblait pas mal
Tu peux le dire d'une façon plus "excitante", ou du moins, d'une façon qui te soit propre .
On commençait à en éprouver pour le démon amoureux de l'ange. Mais manque de bol, tu l'as tué dès le départ.nico4g a écrit:
Et ça rattraperait cette abondance de personnages. Il y en a de partout, à tous les chapitres il en apparaît un voire deux. Et on a l'impression que sitôt créés, tu les lâches dans la nature sans prendre le temps de les exploiter, de les développer, de les choyer... Par exemple, la copine de Décathlon... bim, on se retrouve à discuter avec elle alors qu'on a l'impression que c'est une totale étrangère.
Oui, là normalement, les protagonistes principaux sont bien en place. Donc, si tu n'arrives pas à éprouver de l'empathie par rapport à eux, j'ai loupé mon coup.
Maintenant, on a un peu des réticences à se lier aux persos. Puis, les passages ne sont pas assez long pour qu'on familiarise .
Que tu sois protégé légalement, peut-être. Quoiqu'on peut y voir de la méprise publique, et c'est dangereux pénalement.nico4g a écrit:
Enfin je veux dire, que tu l'appelles Werber ou Rewerber... où est la différence ? S'il t'a interdit la première fois, il te l'interdira pour Rewerber.
Surotut si tu utilises les titres de ses romans. Fais là plus subtil : au lieu de "Lz Fourmilière", tu l'appelles "La Termitière" ou un truc dans ce goût là =).
(avec un clin d'oeil aux fourmis ^^).
Si j'ai bien compris, j'ai le droit si je change ne serait-ce qu'une seule lettre (comme Leblanc avec Herloch Holmes). Pour être tranquille, je précise oeuvre de fiction et je suis blindé. Les titres aussi sont modifiés (au lieu de l'empire des anges, c'est le royaume des anges). Pour la Fourmilière, c'est différent, c'était un forum créé par des fans. Mais tu m'as donné une idée, je devrais peut être changer en la Ruche.
Mais attention quand même ; un mec comme Werber, s'il t'a dans le nez, autant ne pas le provoquer parce que c'est tout de même un grand gourou de la "littérature marketing".
Il peut te glisser deux ou trois bâtons dans les roues s'il fait rappeler à l'ordre les éditeurs auxquels tu soumets le manuscrit...
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Euh... ? oO
Tu veux dire que c'est le style de l'anti-héroïsme ?
non, au contraire, je fais référence aux chevaliers teutoniques.
tu peux mettre leurs pensées en italique. Histoire de marquer que là, c'est plus dans la tête du personnage, et non dans celle du narrateur.
oui, c'est une bonne idée. Je vais modifier dans le manuscrit.
Oui mais ça fait plus "cliché" et assez peu original.
Tu peux le dire d'une façon plus "excitante", ou du moins, d'une façon qui te soit propre .
Puis, Daniella retrouva les rails de son petit train-train quotidien. Elle accueillit et conseilla le flot de clients anonymes, comme il se doit, jusquà la fermeture du magasin.
Mais attention quand même ; un mec comme Werber, s'il t'a dans le nez, autant ne pas le provoquer parce que c'est tout de même un grand gourou de la "littérature marketing".
Il peut te glisser deux ou trois bâtons dans les roues s'il fait rappeler à l'ordre les éditeurs auxquels tu soumets le manuscrit...
En fait Werber, il me connait même pas, c'est son agent qui m'a envoyé un courrier m'interdisant d'utiliser son image. Mais si je modifie son nom et arrive à me faire publier chez un "petit" éditeur, je pense être tranquille.
Tu veux dire que c'est le style de l'anti-héroïsme ?
non, au contraire, je fais référence aux chevaliers teutoniques.
tu peux mettre leurs pensées en italique. Histoire de marquer que là, c'est plus dans la tête du personnage, et non dans celle du narrateur.
oui, c'est une bonne idée. Je vais modifier dans le manuscrit.
Oui mais ça fait plus "cliché" et assez peu original.
Tu peux le dire d'une façon plus "excitante", ou du moins, d'une façon qui te soit propre .
Puis, Daniella retrouva les rails de son petit train-train quotidien. Elle accueillit et conseilla le flot de clients anonymes, comme il se doit, jusquà la fermeture du magasin.
Mais attention quand même ; un mec comme Werber, s'il t'a dans le nez, autant ne pas le provoquer parce que c'est tout de même un grand gourou de la "littérature marketing".
Il peut te glisser deux ou trois bâtons dans les roues s'il fait rappeler à l'ordre les éditeurs auxquels tu soumets le manuscrit...
En fait Werber, il me connait même pas, c'est son agent qui m'a envoyé un courrier m'interdisant d'utiliser son image. Mais si je modifie son nom et arrive à me faire publier chez un "petit" éditeur, je pense être tranquille.
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
J'ai dit qu'il fallait une virgule ici ? Moi ? Ça devait être du temps où j'en semais partout, et où Bec' disait que je me trimballais avec ma boîte de virgules. Elle n'est pas fautive ici je pense, mais elle n'est pas non plus indispensable.Son mètre soixante-dix, sa taille fine, et sa coupe de cheveux, ajoutaient à son mimétisme d’avec Sara Leigh dans Psychose.
D'avec est correct dans certains cas, mais pas là à mon avis.
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Moi aussi j'ai appelé un ami : le Dictionnaire de l'Académie française.nico4g a écrit:Bon, je vais appeler une amie, Jean Pie.., Azul
D'avec (souvent l'équivalent de De). Indique la séparation de ce qui était uni ou confondu. Elle a divorcé d'avec son mari (on trouve aussi : Elle a divorcé avec son mari ou Elle a divorcé de son mari). Distinguer la fausse monnaie d'avec la bonne, l'ami d'avec le flatteur. Discerner le vrai d'avec le faux.
Il semble que l'on puisse dans ces cas remplacer "d'avec" par "de" ou "du" : Distinguer la fausse monnaie de la bonne, l'ami du flatteur... Je ne pense pas qu'on puisse l'appliquer dans ta phrase.
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Complétation avec la réponse de mon amie :
Les virgules, c'est secondaire, on verra après.
Il y a dans cette phrase deux horreurs à corriger d'abord.
D'abord, dans Psychose, c'est Janet Leigh qui jouait. A ne pas confondre avec Vivien Leigh, la jolie Scarlett O'Hara de Gone with the wind.
Quant à Sara Leigh, je ne connais pas. Ou plutôt, je crois qu'il s'agit d'un prénom composé (quelquefois orthographié Sara Lea).
La moindre des choses, quand on parle de quelqu'un, c'est de l'appeler par son nom sans trop l'écorcher.
Ensuite il ne faut pas confondre mimétisme et ressemblance.
Le mimétisme est une stratégie adaptative d'imitation, la propriété qu'a le caméléon de se confondre avec son environnement.
On peut aussi parler de mimétisme en cas de reproduction machinale des gestes et attitudes d'autrui.
Ici, il s'agit tout simplement de ressemblance avec, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué (et inexact) ?
Pardon si je rouspète, mais vraiment, si on écrit, c'est pour se faire comprendre, alors pourquoi emberlificoter les choses ?
Ensuite, en principe, pas de virgule entre le sujet et le verbe.
Quelquefois, il peut y avoir une incise (entre deux virgules) entre sujet et verbe.
Ici, on pourrait avoir une phrase simple et lisible au premier coup d'œil :
Son mètre soixante-dix, sa taille fine et sa coupe de cheveux ajoutaient à sa ressemblance avec Janet Leigh dans Psychose.
Ou la faisaient ressembler à Janet Leigh dans Psychose.
Ou accentuaient sa ressemblance avec Janet Leigh dans Psychose.
L'italique est nécessaire dès qu'on donne un titre de film, de livre, de chanson, de tableau, bref de n'importe quelle œuvre.
Si on est dans une phrase en italique, les titres d'œuvre se composent en romain, l'important étant de les faire ressortir
Pas commode la correctrice
Les virgules, c'est secondaire, on verra après.
Il y a dans cette phrase deux horreurs à corriger d'abord.
D'abord, dans Psychose, c'est Janet Leigh qui jouait. A ne pas confondre avec Vivien Leigh, la jolie Scarlett O'Hara de Gone with the wind.
Quant à Sara Leigh, je ne connais pas. Ou plutôt, je crois qu'il s'agit d'un prénom composé (quelquefois orthographié Sara Lea).
La moindre des choses, quand on parle de quelqu'un, c'est de l'appeler par son nom sans trop l'écorcher.
Ensuite il ne faut pas confondre mimétisme et ressemblance.
Le mimétisme est une stratégie adaptative d'imitation, la propriété qu'a le caméléon de se confondre avec son environnement.
On peut aussi parler de mimétisme en cas de reproduction machinale des gestes et attitudes d'autrui.
Ici, il s'agit tout simplement de ressemblance avec, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué (et inexact) ?
Pardon si je rouspète, mais vraiment, si on écrit, c'est pour se faire comprendre, alors pourquoi emberlificoter les choses ?
Ensuite, en principe, pas de virgule entre le sujet et le verbe.
Quelquefois, il peut y avoir une incise (entre deux virgules) entre sujet et verbe.
Ici, on pourrait avoir une phrase simple et lisible au premier coup d'œil :
Son mètre soixante-dix, sa taille fine et sa coupe de cheveux ajoutaient à sa ressemblance avec Janet Leigh dans Psychose.
Ou la faisaient ressembler à Janet Leigh dans Psychose.
Ou accentuaient sa ressemblance avec Janet Leigh dans Psychose.
L'italique est nécessaire dès qu'on donne un titre de film, de livre, de chanson, de tableau, bref de n'importe quelle œuvre.
Si on est dans une phrase en italique, les titres d'œuvre se composent en romain, l'important étant de les faire ressortir
Pas commode la correctrice
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
J'adore ! Le jour où je saurai argumenter comme ça, je pourrai me considérer comme pro.
Hier soir, j'étais en train de préparer une réponse au sujet des virgules, et puis j'étais si fatiguée que j'ai eu peur de m'embrouiller, alors j'ai laissé tomber.
J'avais aussi remplacé mimétisme par ressemblance, sans me rendre compte que mimétisme n'était pas tout à fait juste ici.
Quant au nom de l'actrice, ta correctrice a fait ce que fait tout bon correcteur, elle a vérifié les informations.
Et oui, les titres des œuvres se mettent en italique.
C'est vrai que je sais tout ça, et que je ne le mets pas toujours en application. Pourtant, Dieu sait le temps que j'ai passé sur le net à les vérifier ces fameuses informations pour mes devoirs.
Hier soir, j'étais en train de préparer une réponse au sujet des virgules, et puis j'étais si fatiguée que j'ai eu peur de m'embrouiller, alors j'ai laissé tomber.
Ce qui m'intriguait, c'était justement la virgule avant le verbe. Je me souviens qu'à une époque, je disais souvent "si tu gardes cette virgule, il faut en mettre une à tel endroit" (ici avant le et). En fait, ce sont les trois énumérations qui font que le verbe est au pluriel. J'avais l'impression que si tu enlevais l'incise "sa taille fine et sa coupe de cheveux", le verbe se retrouvait au singulier. Certes, même si c'est un peu léger de dire que l'on ressemble à quelqu'un par sa seule taille.Son mètre soixante-dix, sa taille fine, et sa coupe de cheveux, ajoutaient à son mimétisme d’avec Sara Leigh dans Psychose.
J'avais aussi remplacé mimétisme par ressemblance, sans me rendre compte que mimétisme n'était pas tout à fait juste ici.
Quant au nom de l'actrice, ta correctrice a fait ce que fait tout bon correcteur, elle a vérifié les informations.
Et oui, les titres des œuvres se mettent en italique.
C'est vrai que je sais tout ça, et que je ne le mets pas toujours en application. Pourtant, Dieu sait le temps que j'ai passé sur le net à les vérifier ces fameuses informations pour mes devoirs.
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Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Chapitre VI : B. Rewerber est-il un extra-terrestre ?
=> suggestion : Je tourne la tête et constate que je suis seul"
Encore un extrait déjà lu, donc sans grand commentaire (si ce n'est se reporter à celui que j'avais fait à l'époque).
Le "plus" de ce texte, c'est qu'il est assez engageant et on n'a aucun mal à le lire jusqu'au bout. C'est sûrement du au langage bien "parlé" de la narratrice. On aurait pu te le reprocher, mais puisque c'est extrait d'un journal intime... rien à dire.
Le "moins", c'est encore cette confusion des personnages. On s'y perd. Là encore, on est dispersé entre de nombreux (des dizaines !) de contextes différents, des univers qui n'ont aucune similarité réellement visible. Si ce n'est cette lumière rouge que l'on remarque à chaque fois ?
Où es-tu supposé nous emmener avec elle ?
=> pour... pour. C'est désagréable à la lecture....mais elle ne peut rien pour mon pauvre cerveau. Pour une fois, ...
=> maladroit : la constation n'est pas tellement une supposition au présent.afin de constater si je suis seule.
=> suggestion : Je tourne la tête et constate que je suis seul"
=> je n'ai pas compris ici... ?Je fume un joint, clé pour les portes de la perception,
=> on ne dit pas plus "dédicacer votre livre" ?et puis si vous pouviez me dédicacer mon livre, s’il vous plaît.
Encore un extrait déjà lu, donc sans grand commentaire (si ce n'est se reporter à celui que j'avais fait à l'époque).
Le "plus" de ce texte, c'est qu'il est assez engageant et on n'a aucun mal à le lire jusqu'au bout. C'est sûrement du au langage bien "parlé" de la narratrice. On aurait pu te le reprocher, mais puisque c'est extrait d'un journal intime... rien à dire.
Le "moins", c'est encore cette confusion des personnages. On s'y perd. Là encore, on est dispersé entre de nombreux (des dizaines !) de contextes différents, des univers qui n'ont aucune similarité réellement visible. Si ce n'est cette lumière rouge que l'on remarque à chaque fois ?
Où es-tu supposé nous emmener avec elle ?
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Salut Pâco,
Bon, j'ai pris le tout.
Je fume un joint, clé pour les portes de la perception,
allusion au livre d'Aldous Huxley (j'ai un gros doute sur l'orthographe )
Le "moins", c'est encore cette confusion des personnages. On s'y perd. Là encore, on est dispersé entre de nombreux (des dizaines !) de contextes différents, des univers qui n'ont aucune similarité réellement visible. Si ce n'est cette lumière rouge que l'on remarque à chaque fois ?
Où es-tu supposé nous emmener avec elle ?
Bien vu pour la lumière rouge mais il est encore trop tôt pour lever le voile
Oui, le but c'est de poser plein de contextes qui paraissent n'avoir aucun point commun avant de les regrouper. J'aime beaucoup ce genre qui est principalement l'apanage des policiers. Tu donnes plein de pièces du puzzle, elles n'ont pas l'air de s'imbriquer et au fur et à mesure, tu vois tout de même un dessin apparaître.
Là j'essaye de semer le doute dans l'esprit du lecteur. Est-ce que Daniella n'aurait pas pété un plomb depuis sa mésaventure ?
Est-ce elle qui écrit ces messages ? (la question se pose plus lors du second message)
Que vient faire Rewerber là-dedans ?
Bon, j'ai pris le tout.
Je fume un joint, clé pour les portes de la perception,
allusion au livre d'Aldous Huxley (j'ai un gros doute sur l'orthographe )
Le "moins", c'est encore cette confusion des personnages. On s'y perd. Là encore, on est dispersé entre de nombreux (des dizaines !) de contextes différents, des univers qui n'ont aucune similarité réellement visible. Si ce n'est cette lumière rouge que l'on remarque à chaque fois ?
Où es-tu supposé nous emmener avec elle ?
Bien vu pour la lumière rouge mais il est encore trop tôt pour lever le voile
Oui, le but c'est de poser plein de contextes qui paraissent n'avoir aucun point commun avant de les regrouper. J'aime beaucoup ce genre qui est principalement l'apanage des policiers. Tu donnes plein de pièces du puzzle, elles n'ont pas l'air de s'imbriquer et au fur et à mesure, tu vois tout de même un dessin apparaître.
Là j'essaye de semer le doute dans l'esprit du lecteur. Est-ce que Daniella n'aurait pas pété un plomb depuis sa mésaventure ?
Est-ce elle qui écrit ces messages ? (la question se pose plus lors du second message)
Que vient faire Rewerber là-dedans ?
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Chapitre VII : Interlude cauchemardesque
=> suggestion : "Danielle était restée immobile ; elle l'écoutait."
=> suggestion : lui tendit
J'ai envie de dire que c'est dans la continuité du style.
Rien de nouveau, rien de très transcendant non plus.
Au niveau de l'art linguistique, je vais donc redire deux ou trois choses dont j'ai le secret .
Attention quelques fois aux trop nombreuses incises. Comme ici :
Mon autre reproche, linguistique voire stylistique, c'est peut-être que j'ai l'impression que tu ais trop dans le vif, dans l'action, et que tu ne prends pas le temps de poser ton histoire.
Finalement, comment est-elle faite cette chambre ? A quoi ressemblent ces deux amants lorsqu'ils sont nus ?
Et chose, ô combien raté pour moi, c'est l'effet de tension lors du cauchemar. Je n'ai pas été tellement "dedans", je n'ai pas subi l'angoisse de la femme. Cela s'explique éventuellement par le fait que ça ne dure que 6 lignes et que sa bonne humeur revient bien vite.
Point positif : le chant qui fait assez sinistre. Mais il faudrait mieux qu'on s'imagine la voix de l'enfant (un peu éraillée, dans les aigus, avec un silence de plomb qui lui fait écho... tu vois ?)
Dernière chose étrange : l'histoire du couple battu. A-t-il un lien avec le reste ? Où est-ce juste une simple petite intervention "morale" de ta part ?
J'ai pensé à une autre explication : faire surgir un instinct sauvage chez Daniella. Possible ?
=> j'emploierai plus l'expression "Comme convenu". Simple histoire de goût je suppose...Comme prévu,
=> parce que je suis à fond sur la typographie, il ne faut pas d'espace entre "appartenait" et les "..."
Le reste leur appartenait …
=> typographie : virgule inutileelle ouvrit les yeux, mais seule l’obscurité l’accueillit.
=> ce meuble = le lit ? C'est pas le truc auquel on pense tout de suite. Je pensais que tu parlais d'un buffet ou je ne sais quoi qu'autre.et ce meuble dans la chambre
=> normal les espaces ?Les pe tits pois sons »
=> maladroit le "à l'écouter".Daniella était restée immobile, à l’écouter.
=> suggestion : "Danielle était restée immobile ; elle l'écoutait."
=> offrir est mal adapté.Michel lui offrit le verre d’eau posé sur la table de chevet.
=> suggestion : lui tendit
=> pour faire moins "déjà vu", je te propose : "les jours qui succédèrent cette nuit-là". Genre de jeu de mots en plus.Les jours qui suivirent,
J'ai envie de dire que c'est dans la continuité du style.
Rien de nouveau, rien de très transcendant non plus.
Au niveau de l'art linguistique, je vais donc redire deux ou trois choses dont j'ai le secret .
Attention quelques fois aux trop nombreuses incises. Comme ici :
Si Michel avait le droit au repos du guerrier, le sommeil de Daniella, lui, était agité. Bientôt, elle ouvrit les yeux, mais seule l’obscurité l’accueillit.
Mon autre reproche, linguistique voire stylistique, c'est peut-être que j'ai l'impression que tu ais trop dans le vif, dans l'action, et que tu ne prends pas le temps de poser ton histoire.
Finalement, comment est-elle faite cette chambre ? A quoi ressemblent ces deux amants lorsqu'ils sont nus ?
Et chose, ô combien raté pour moi, c'est l'effet de tension lors du cauchemar. Je n'ai pas été tellement "dedans", je n'ai pas subi l'angoisse de la femme. Cela s'explique éventuellement par le fait que ça ne dure que 6 lignes et que sa bonne humeur revient bien vite.
Point positif : le chant qui fait assez sinistre. Mais il faudrait mieux qu'on s'imagine la voix de l'enfant (un peu éraillée, dans les aigus, avec un silence de plomb qui lui fait écho... tu vois ?)
Dernière chose étrange : l'histoire du couple battu. A-t-il un lien avec le reste ? Où est-ce juste une simple petite intervention "morale" de ta part ?
J'ai pensé à une autre explication : faire surgir un instinct sauvage chez Daniella. Possible ?
Re: commentaires sur les chroniques rewerberiennes
Salut Pâco,
j'emploierai plus l'expression "Comme convenu". Simple histoire de goût je suppose...
Oui, et puis c'est ce que Daniella avait prévu
ce meuble = le lit ? C'est pas le truc auquel on pense tout de suite. Je pensais que tu parlais d'un buffet ou je ne sais quoi qu'autre.
j'ai pas trouvé mieux pour éviter la répétition
=> normal les espaces ?
c'est pour donner le rhytme du chant
Pour les suggestions, je prends, merci.
Attention quelques fois aux trop nombreuses incises.
Comme je te l'ai déjà dit, je fais confiance à Azul et à sa boite à virgule , surtout que je suis pas fortiche niveau ponctuation.
Mon autre reproche, linguistique voire stylistique, c'est peut-être que j'ai l'impression que tu ais trop dans le vif, dans l'action, et que tu ne prends pas le temps de poser ton histoire.
Finalement, comment est-elle faite cette chambre ? A quoi ressemblent ces deux amants lorsqu'ils sont nus ?
C'est justement mon style. Pas de digression. Ce que je perds en climax, j'espère le gagner en clarté, pour que le lecteur aille à l'essentiel. J'ai un peu la position du lecteur enquêteur.
c'est l'effet de tension lors du cauchemar. Je n'ai pas été tellement "dedans", je n'ai pas subi l'angoisse de la femme. Cela s'explique éventuellement par le fait que ça ne dure que 6 lignes et que sa bonne humeur revient bien vite.
là, c'est un peu la phase de découverte. Daniella est surtout intriguée, pas encore paniquée. De plus, tu donnes la réponse plus loin. La personnalité de Daniella est en train de se scinder : la Daniella habituelle, souriante, joyeuse et une autre, plus mystique ou sauvage comme tu dis.
Point positif : le chant qui fait assez sinistre.
Alors là merci, parce qu'on s'était fichu de moi pour ce chant Moi, je le trouve d'une belle mélancolie.
Pour la voix, je mets pas trop de renseignements, je laisse place à l'imagination, que le lecteur se rappelle les chants d'enfants.
Pour l'histoire du couple battu, la réponse chapitre suivant. C'est ce qui me sert à me mettre le doute dans l'esprit du lecteur. Est-ce Daniella qui écrit ces posts ?
Merci encore de ta lecture.
j'emploierai plus l'expression "Comme convenu". Simple histoire de goût je suppose...
Oui, et puis c'est ce que Daniella avait prévu
ce meuble = le lit ? C'est pas le truc auquel on pense tout de suite. Je pensais que tu parlais d'un buffet ou je ne sais quoi qu'autre.
j'ai pas trouvé mieux pour éviter la répétition
=> normal les espaces ?
c'est pour donner le rhytme du chant
Pour les suggestions, je prends, merci.
Attention quelques fois aux trop nombreuses incises.
Comme je te l'ai déjà dit, je fais confiance à Azul et à sa boite à virgule , surtout que je suis pas fortiche niveau ponctuation.
Mon autre reproche, linguistique voire stylistique, c'est peut-être que j'ai l'impression que tu ais trop dans le vif, dans l'action, et que tu ne prends pas le temps de poser ton histoire.
Finalement, comment est-elle faite cette chambre ? A quoi ressemblent ces deux amants lorsqu'ils sont nus ?
C'est justement mon style. Pas de digression. Ce que je perds en climax, j'espère le gagner en clarté, pour que le lecteur aille à l'essentiel. J'ai un peu la position du lecteur enquêteur.
c'est l'effet de tension lors du cauchemar. Je n'ai pas été tellement "dedans", je n'ai pas subi l'angoisse de la femme. Cela s'explique éventuellement par le fait que ça ne dure que 6 lignes et que sa bonne humeur revient bien vite.
là, c'est un peu la phase de découverte. Daniella est surtout intriguée, pas encore paniquée. De plus, tu donnes la réponse plus loin. La personnalité de Daniella est en train de se scinder : la Daniella habituelle, souriante, joyeuse et une autre, plus mystique ou sauvage comme tu dis.
Point positif : le chant qui fait assez sinistre.
Alors là merci, parce qu'on s'était fichu de moi pour ce chant Moi, je le trouve d'une belle mélancolie.
Pour la voix, je mets pas trop de renseignements, je laisse place à l'imagination, que le lecteur se rappelle les chants d'enfants.
Pour l'histoire du couple battu, la réponse chapitre suivant. C'est ce qui me sert à me mettre le doute dans l'esprit du lecteur. Est-ce Daniella qui écrit ces posts ?
Merci encore de ta lecture.
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