Commentaires sur Victor et leyla
+4
Lou
Pacô
domingo
Nérouje
8 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Commentaires sur Victor et leyla
J'ai arrangé la taille de ta police pour le commentaire.
Je pense que là, on voit déjà mieux tes impressions.
Merci pour ton intervention, c'est exactement ce type là de commentaire que nous recherchons .
Je pense que là, on voit déjà mieux tes impressions.
Merci pour ton intervention, c'est exactement ce type là de commentaire que nous recherchons .
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Je poursuis mes petites observations, en espérant n'être pas trop à côté de la plaque !!!
Près d’une semaine après mon départ de Lyon-Satolas, je suis enfin à pied d’œuvre… quoique fort découragé. Les lieux sont quasi désert(s), (ici, je mettrais un point) seules quelques indiennes vaquent à leurs occupations ou fument des cigarettes, l’air désœuvrées. Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Toutefois, (toutefois ne me paraît pas nécessaire) aucune n’a semblé comprendre.
Bon Dieu, un européen accompagné de deux enfants indiens ne doit pas passer inaperçu dans le coin, non ? Bien sûr, j’aurais pu aller me renseigner au poste de police, mais je tiens à mener mon enquête incognito. Un rire moqueur m’échappe et le plancher de ma piole, une « chambre » louée à l’unique pension du bled, grince et proteste. Je m’approche de la fenêtre, (je mettrais ici un ; ) ses châssis laissent filtrer une odeur de boue putride.
Mon enquête !
Mais pour qui me prends-je, hein ? Mon indolence légendaire n’a pas attendu la cinquantaine pour me parer d’un ventre rebondi et le moindre effort me laisse essoufflé. Je glousse de nouveau ; (je mettrais ici : ) ainsi, le p’tit libraire casanier et pusillanime joue au détective… On aura tout vu ! À travers la moustiquaire, le (espace) spectacle sordide d’un lieu où tout pourri s’offre à moi (cette formulation (d'un lieu où tout pourri s'offre à moi) ne me paraît pas appropriée (je dirais plus simplement : le spectacle sordide de la pourriture) ou alors il y a un problème de ponctuation (on comprend que c'est un lieu où chaque pourri s'offre à moi ???!!!) à moins qu'il y ait une faute de conjugaison (un lieu où tout pourrit) mais même là, la formulation me semble maladroite) : les habitations elles-même(s) étirent leur(s) fragiles pilotis vers le ciel et semblent fuir la gangrène qui décompose le sol. Les toits de bambous grouillent de vermine, pire : l’absence totale de roches et de pierres est saisissante. Le travail millénaire des racines et de l’eau aurait-il anéanti toute forme stable ?
Victoria… Putain, quelle belle victoire que ce trou à rat !
À vrai dire, j’ai beau scruter les environs, je ne constate aucune trace de conquête ; plutôt une résistance laborieuse de l’humanité contre l’Enfer Vert. De toutes part(s), la jungle paraît écraser cette poignée de demeures, blotties le long d’une piste boueuse encombrée de déchets. Comment peut-on vivre dans ces bicoques en patchwork de planches et de tôles rouillées ? Je détourne le regard et considère, l’œil hagard, les cafards courir sur le « lit ». Moi qui rêvais d’un matelas plat et douillet, me voici à la recherche de crochets où arrimer mon hamac !
Faut être fou pour habiter ici ! D’ailleurs, les loco, qui semblent user d’un portugais ensablé de patois, restent sourd(s) à mon « espanglais » ; seuls les réals d’Andrée semblent (répétition) m’éviter le fiasco. Au loin, le soleil a échappé aux nuages et s’apprête, dans une explosion de couleurs orangées, à plonger dans la forêt ; encore une journée de perdue…
Soudain, un vacarme infernal envahit la ruelle. Je sursaute puis bondis à la fenêtre : d’énormes engins de chantier encombrent la piste, vomissant une foule cosmopolite d’hommes et de matériel.
Des bûcherons !
Parmi les visages harassés de fatigue, je reconnais un certain nombre d’européens (majuscule à Européens qui est ici un nom) Alors, l’espoir renaît : eux doivent savoir. Oui, c’est sûr ! Je descends en courant dans la rue et accoste le premier venu, un géant rasé et tatoué qui me dépasse de deux têtes.
— Casa del frances, por favor ? With dos bambino...
J’agrémente ma question de quelques mimiques pour lui faire comprendre que les enfants ont des yeux bridés. L’homme me détaille sans vergogne ; il est vrai que ma tenue a de quoi le surprendre tant ses habits sont sales et usés. Son débardeur douteux empeste la transpiration et du gazole souille ce qui reste de ses jeans (de son jean ???). D’un geste évocateur, il tend le bras sous mon nez et frotte son pouce contre l’index.
Je reste indécis.
Merde, c’est combien le backshiche dans le coin ?
J’imagine ses gros biceps déséquilibrer la balance du marchandage, pioche donc un billet de cent réals dans ma poche et lui tends. (Ici, je couperais la phrase : J'imagine ses gros biceps déséquilibrer la balance du marchandage et pioche, donc, un billet de cent réals. Je le lui tends.) Il me l’arrache aussitôt, le considère (durant) quelques instants (je mettrais un point ici, aussi) puis son visage s’anime et se fend d’un sourire édenté.
— A french guy with two mulmato ? Si, si. Com’on !
Il pue du goulot mais je n’ai guère le temps d’apprécier (??? le temps d'analyser ? le temps d'identifier ? le temps de profiter des vapeurs ???) les vapeurs d’alcool car il saisit le col de ma veste, zigzague quelques temps (répétition) entre des bûcherons chargés de bidons et de tronçonneuses, bouscule un groupe de gosses puis (répétition) son index noir de cambouis m’indique un taudis digne des faubourgs de Rio.
— Here, man.
J’essaie de reprendre mon souffle.
Hé bien… finalement, pas plus compliqué que ça, hein ?
Néanmoins, j’en ai les jambes qui tremblent : vu la faune qui traîne par ici, j’ai cru un instant que l’homme allait me coincer à l’écart pour me faire la peau. Je suis bien conscient que personne n’y aurait prêté attention, ou n’aurait réclamé après moi. Ceci dit, mon bienfaiteur a disparu, englouti par la foule des travailleurs.
Voilà ! De manière générale, je couperais peut-être un peu plus certaines phrases.
En tous les cas, c'est bien mené ! On a envie de connaître la suite...
Près d’une semaine après mon départ de Lyon-Satolas, je suis enfin à pied d’œuvre… quoique fort découragé. Les lieux sont quasi désert(s), (ici, je mettrais un point) seules quelques indiennes vaquent à leurs occupations ou fument des cigarettes, l’air désœuvrées. Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Toutefois, (toutefois ne me paraît pas nécessaire) aucune n’a semblé comprendre.
Bon Dieu, un européen accompagné de deux enfants indiens ne doit pas passer inaperçu dans le coin, non ? Bien sûr, j’aurais pu aller me renseigner au poste de police, mais je tiens à mener mon enquête incognito. Un rire moqueur m’échappe et le plancher de ma piole, une « chambre » louée à l’unique pension du bled, grince et proteste. Je m’approche de la fenêtre, (je mettrais ici un ; ) ses châssis laissent filtrer une odeur de boue putride.
Mon enquête !
Mais pour qui me prends-je, hein ? Mon indolence légendaire n’a pas attendu la cinquantaine pour me parer d’un ventre rebondi et le moindre effort me laisse essoufflé. Je glousse de nouveau ; (je mettrais ici : ) ainsi, le p’tit libraire casanier et pusillanime joue au détective… On aura tout vu ! À travers la moustiquaire, le (espace) spectacle sordide d’un lieu où tout pourri s’offre à moi (cette formulation (d'un lieu où tout pourri s'offre à moi) ne me paraît pas appropriée (je dirais plus simplement : le spectacle sordide de la pourriture) ou alors il y a un problème de ponctuation (on comprend que c'est un lieu où chaque pourri s'offre à moi ???!!!) à moins qu'il y ait une faute de conjugaison (un lieu où tout pourrit) mais même là, la formulation me semble maladroite) : les habitations elles-même(s) étirent leur(s) fragiles pilotis vers le ciel et semblent fuir la gangrène qui décompose le sol. Les toits de bambous grouillent de vermine, pire : l’absence totale de roches et de pierres est saisissante. Le travail millénaire des racines et de l’eau aurait-il anéanti toute forme stable ?
Victoria… Putain, quelle belle victoire que ce trou à rat !
À vrai dire, j’ai beau scruter les environs, je ne constate aucune trace de conquête ; plutôt une résistance laborieuse de l’humanité contre l’Enfer Vert. De toutes part(s), la jungle paraît écraser cette poignée de demeures, blotties le long d’une piste boueuse encombrée de déchets. Comment peut-on vivre dans ces bicoques en patchwork de planches et de tôles rouillées ? Je détourne le regard et considère, l’œil hagard, les cafards courir sur le « lit ». Moi qui rêvais d’un matelas plat et douillet, me voici à la recherche de crochets où arrimer mon hamac !
Faut être fou pour habiter ici ! D’ailleurs, les loco, qui semblent user d’un portugais ensablé de patois, restent sourd(s) à mon « espanglais » ; seuls les réals d’Andrée semblent (répétition) m’éviter le fiasco. Au loin, le soleil a échappé aux nuages et s’apprête, dans une explosion de couleurs orangées, à plonger dans la forêt ; encore une journée de perdue…
Soudain, un vacarme infernal envahit la ruelle. Je sursaute puis bondis à la fenêtre : d’énormes engins de chantier encombrent la piste, vomissant une foule cosmopolite d’hommes et de matériel.
Des bûcherons !
Parmi les visages harassés de fatigue, je reconnais un certain nombre d’européens (majuscule à Européens qui est ici un nom) Alors, l’espoir renaît : eux doivent savoir. Oui, c’est sûr ! Je descends en courant dans la rue et accoste le premier venu, un géant rasé et tatoué qui me dépasse de deux têtes.
— Casa del frances, por favor ? With dos bambino...
J’agrémente ma question de quelques mimiques pour lui faire comprendre que les enfants ont des yeux bridés. L’homme me détaille sans vergogne ; il est vrai que ma tenue a de quoi le surprendre tant ses habits sont sales et usés. Son débardeur douteux empeste la transpiration et du gazole souille ce qui reste de ses jeans (de son jean ???). D’un geste évocateur, il tend le bras sous mon nez et frotte son pouce contre l’index.
Je reste indécis.
Merde, c’est combien le backshiche dans le coin ?
J’imagine ses gros biceps déséquilibrer la balance du marchandage, pioche donc un billet de cent réals dans ma poche et lui tends. (Ici, je couperais la phrase : J'imagine ses gros biceps déséquilibrer la balance du marchandage et pioche, donc, un billet de cent réals. Je le lui tends.) Il me l’arrache aussitôt, le considère (durant) quelques instants (je mettrais un point ici, aussi) puis son visage s’anime et se fend d’un sourire édenté.
— A french guy with two mulmato ? Si, si. Com’on !
Il pue du goulot mais je n’ai guère le temps d’apprécier (??? le temps d'analyser ? le temps d'identifier ? le temps de profiter des vapeurs ???) les vapeurs d’alcool car il saisit le col de ma veste, zigzague quelques temps (répétition) entre des bûcherons chargés de bidons et de tronçonneuses, bouscule un groupe de gosses puis (répétition) son index noir de cambouis m’indique un taudis digne des faubourgs de Rio.
— Here, man.
J’essaie de reprendre mon souffle.
Hé bien… finalement, pas plus compliqué que ça, hein ?
Néanmoins, j’en ai les jambes qui tremblent : vu la faune qui traîne par ici, j’ai cru un instant que l’homme allait me coincer à l’écart pour me faire la peau. Je suis bien conscient que personne n’y aurait prêté attention, ou n’aurait réclamé après moi. Ceci dit, mon bienfaiteur a disparu, englouti par la foule des travailleurs.
Voilà ! De manière générale, je couperais peut-être un peu plus certaines phrases.
En tous les cas, c'est bien mené ! On a envie de connaître la suite...
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Désolé, j'ai un vrai problème avec la taille de la police.
Pourtant quand j'ai prévisualisé ma réponse, cela semblait correct !!!
Pourtant quand j'ai prévisualisé ma réponse, cela semblait correct !!!
Re: Commentaires sur Victor et leyla
J'ai arrangé la taille de la police Pilgrim. Je crois que tu te mélanges les pinceaux avec les balises
Il te suffit de copier le texte tel qu'il est dans les écrits et de le coller ici, ou dans Word pour rajouter tes annotations avant de le reporter ici. Tu n'as pas besoin de changer la taille de la police.
Il te suffit de copier le texte tel qu'il est dans les écrits et de le coller ici, ou dans Word pour rajouter tes annotations avant de le reporter ici. Tu n'as pas besoin de changer la taille de la police.
azul- Talent Suprême
- Nombre de messages : 1557
Age : 66
Localisation : Lot et Garonne
Votre talent : Écriture
Points : 1556
Date d'inscription : 19/11/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Salut Pilgrim !
Désolé, je n'avais pas fait gaffe que tu avais pondu un commentaire depuis une semaine.
Excuses-moi.
En tous cas, merci pour le temps que tu a consacré à ces deux extraits, c'est chouette de ta part.
=> S'il te plait, évites d'utiliser le bleu-clair pour signaler les répét, avec mes yeux de vieux j'y vois plus que dalle.
À travers la moustiquaire, le spectacle sordide d’un lieu où tout pourrit s’offre à moi : les habitations elles-mêmes étirent leurs fragiles pilotis vers le ciel et semblent fuir la gangrène qui décompose le sol.
Pour le reste, je retiens (quasiment) tout ce que tu as signalé.
Merci
EDIT : Ah oui, je voulais aussi ajouter que la redondance d'une critique est au contraire hyper importante ! Elle permet souvent de m'ouvrir les yeux.
Désolé, je n'avais pas fait gaffe que tu avais pondu un commentaire depuis une semaine.
Excuses-moi.
En tous cas, merci pour le temps que tu a consacré à ces deux extraits, c'est chouette de ta part.
=> S'il te plait, évites d'utiliser le bleu-clair pour signaler les répét, avec mes yeux de vieux j'y vois plus que dalle.
C'est cela.Bon Dieu, qu’est-ce que je suis venu me perdre ici ? (construction incorrecte mais peut-être est-ce un choix stylistique)
Ne serait-ce pas plutôt : Non que je les aient vus ?Non que je les ait (aie (subjonctif)) vus
Je voulais souligner que l'orientation de ses études n'est pas due au hasard mais bien le résultat de son admiration pour le docteur Itard.Après avoir traîné ses godasses deux années en médecine, il avait de ce fait (de ce fait ne me paraît pas indispensable), orienté ses études supérieures vers l’éthologie et l’anthropologie.
J'avais essayé : Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Aucune n’a semblé comprendre. Mais il m'a semblé qu'il manquait quelque chose.Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Toutefois, (toutefois ne me paraît pas nécessaire) aucune n’a semblé comprendre.
Il s'agit effectivement d'une faute de conjugaison (mon principal soucis )À travers la moustiquaire, le (espace) spectacle sordide d’un lieu où tout pourri s’offre à moi (cette formulation (d'un lieu où tout pourri s'offre à moi) ne me paraît pas appropriée (je dirais plus simplement : le spectacle sordide de la pourriture) ou alors il y a un problème de ponctuation (on comprend que c'est un lieu où chaque pourri s'offre à moi ???!!!) à moins qu'il y ait une faute de conjugaison (un lieu où tout pourrit) mais même là, la formulation me semble maladroite) : les habitations elles-même(s) étirent leur(s) fragiles pilotis vers le ciel et semblent fuir la gangrène qui décompose le sol.
À travers la moustiquaire, le spectacle sordide d’un lieu où tout pourrit s’offre à moi : les habitations elles-mêmes étirent leurs fragiles pilotis vers le ciel et semblent fuir la gangrène qui décompose le sol.
Non, d'apprécier. C'est sensé être de de l'humour.Il pue du goulot mais je n’ai guère le temps d’apprécier (??? le temps d'analyser ? le temps d'identifier ? le temps de profiter des vapeurs ???) les vapeurs d’alcool
Pour le reste, je retiens (quasiment) tout ce que tu as signalé.
Merci
EDIT : Ah oui, je voulais aussi ajouter que la redondance d'une critique est au contraire hyper importante ! Elle permet souvent de m'ouvrir les yeux.
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Bien entendu, "les" est un magnifique sujet de phrase.Nérouje a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : Non que je les aient vus ?Non que je les ait (aie (subjonctif)) vus
Héhé, ironie à part, Pilgrim a raison : première personne du subjonctif passé : "que j'aie vu".
Le "toutefois" est redondant dans le concept qu'il impose. Pour moi.Nérouje a écrit:
J'avais essayé : Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Aucune n’a semblé comprendre. Mais il m'a semblé qu'il manquait quelque chose.
=> et le "sembler" me semble (ahah) légèrement passif, pour quelqu'un qui n'aime pas le passif.
"sembler" et "paraître" sont deux verbes d'état à réduire parce qu'on les utilise à outrance ; comme ici.
Et surtout, elle fait dire qu'on est dans le faux .Nérouje a écrit:
EDIT : Ah oui, je voulais aussi ajouter que la redondance d'une critique est au contraire hyper importante ! Elle permet souvent de m'ouvrir les yeux.
Re: Commentaires sur Victor et leyla
'tain, je suis vraiment une grosse bille en conjugaison !Pacô a écrit:Héhé, ironie à part, Pilgrim a raison : première personne du subjonctif passé : "que j'aie vu".
Tiens, tu fais bien de soulever le sujet... je ne me suis jamais posé la question. À étudier, donc.=> et le "sembler" me semble (ahah) légèrement passif, pour quelqu'un qui n'aime pas le passif.
"sembler" et "paraître" sont deux verbes d'état à réduire parce qu'on les utilise à outrance ; comme ici.
Et surtout, elle fait dire qu'on est dans le faux
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
suite du chapitre 2
=> cohérence : la boue rentre-t-elle en décomposition ou n'est-elle pas déjà de la décomposition ?
=> suggestion : "toute forme solide" ?
=> typographie : le point-virgule me semble beaucoup trop faible... Un point ?
Appréciation linguistique :
Au niveau typographique, je remarque un peu trop de point-virgules, un peu trop de propositions hachées.
Comme ici :
Comme si tu recherchais un esthétisme "visuel" de la phrase, et non au niveau de la lecture (parce qu'une phrase avec un point virgule, ça fait "grande phrase").
J'aurais donc tendance à te recommander de limiter ces excès de ponctuation.
Sinon, la lecture est plutôt fluide et agréable. Tu l'agrémentes de pensées "internes" et ça renforce la complicité du lecteur avec ton protagoniste principal.
Appréciation du récit :
Tu donnes un bon reflet de la saleté, du manque d'hygiène, du dégoût etc. de l'endroit.
J'aurais peut-être rajouter un peu plus de "désespoir hygiénique" () de la part du narrateur, mais ce n'est qu'une très légère suggestion.
On commence à sentir que le type est mal à l'aise ; il perd son assurance. C'est pas mal du tout.
Enfin, peut-être que le coup du mec qui se fait payer avant de répondre est très cliché, voire trop. Mais pourquoi pas ?
Non, la découverte de ton histoire fut là aussi très agréable.
Poursuivons .
=> orthographe : je n'en suis toutefois pas sûr à 100%, mais il me semble que lorsqu'on écrit "l'air quelque chose", cet adjectif doit s'accorder avec le terme air (masculin singulier) car c'est un épithète au mot "air", et non la personne (ou les personnes) concernées. Donc : "l'air désœuvré"seules quelques indiennes vaquent à leurs occupations ou fument des cigarettes, l’air désœuvrées
=> maladresse : effectivement, je rejoins l'avis de Pilgrim. Ce "Toutefois" dérange, parce qu'il alourdit le sens. Redondance de concept un peu...Dès mon arrivée, je n’ai cessé de les accoster : casa del frances, Where ?… casa del frances ? Toutefois, aucune n’a semblé comprendre.
=> orthographe : ne serait-ce pas plus une "piaule" ?Un rire moqueur m’échappe et le plancher de ma piole,
=> compréhension : si l'odeur filtre par les châssis, c'est qu'elle vient de l'extérieur, c'est bien ça ? N'aurait-il pas été plus judicieux au préalable de renseigner que les rues étaient pas goudronnées mais plutôt boueuses ?ses châssis laissent filtrer une odeur de boue putride.
=> cohérence : la boue rentre-t-elle en décomposition ou n'est-elle pas déjà de la décomposition ?
=> typographie : il me semble que la virgule est bien trop faible... Point-virgule ?Les toits de bambous grouillent de vermine, pire : l’absence totale de roches et de pierres est saisissante
=> maladresse : je trouve "forme stable" un peu trop évasif, pas très adapté...Le travail millénaire des racines et de l’eau aurait-il anéanti toute forme stable ?
=> suggestion : "toute forme solide" ?
=> remarque : tu sais qu'il y a un terme qui existe pour qualifier ça : le "spanglish". C'est pour désigner le baragouinage des communautés hispaniques aux USA qui commencent des phrases en anglais et qui les terminent en espagnol... ^^restent sourds à mon « espanglais »
=> incompréhension : les réals ?seuls les réals d’Andrée semblent m’éviter le fiasco
=> suggestion : jolie image, toutefois, je n'aurais pas employer le terme "explosion" puisqu'il plonge, mais un terme plus référant à l'eau. "tourbillon" ? "profusion" ? "torrent" ?Au loin, le soleil a échappé aux nuages et s’apprête, dans une explosion de couleurs orangées, à plonger dans la forêt ; encore une journée de perdue…
=> typographie : le point-virgule me semble beaucoup trop faible... Un point ?
=> pourquoi ne pas mettre au pluriel "matériel" => "matériels" ? (et non matériaux)vomissant une foule cosmopolite d’hommes et de matériel.
=> n'aurait réclamé après moi ? oOou n’aurait réclamé après moi.
Appréciation linguistique :
Au niveau typographique, je remarque un peu trop de point-virgules, un peu trop de propositions hachées.
Comme ici :
Comme si ce n'était finalement pas nécessaire, mais que tu collais un point-virgule tout de même.Au loin, le soleil a échappé aux nuages et s’apprête, dans une explosion de couleurs orangées, à plonger dans la forêt ; encore une journée de perdue…
Comme si tu recherchais un esthétisme "visuel" de la phrase, et non au niveau de la lecture (parce qu'une phrase avec un point virgule, ça fait "grande phrase").
J'aurais donc tendance à te recommander de limiter ces excès de ponctuation.
Sinon, la lecture est plutôt fluide et agréable. Tu l'agrémentes de pensées "internes" et ça renforce la complicité du lecteur avec ton protagoniste principal.
Appréciation du récit :
Tu donnes un bon reflet de la saleté, du manque d'hygiène, du dégoût etc. de l'endroit.
J'aurais peut-être rajouter un peu plus de "désespoir hygiénique" () de la part du narrateur, mais ce n'est qu'une très légère suggestion.
On commence à sentir que le type est mal à l'aise ; il perd son assurance. C'est pas mal du tout.
Enfin, peut-être que le coup du mec qui se fait payer avant de répondre est très cliché, voire trop. Mais pourquoi pas ?
Non, la découverte de ton histoire fut là aussi très agréable.
Poursuivons .
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Salut Pacô !
Je veux le sens de pérenne, durable, permanent, perpétuel...
Merci à toi !
Sisi, tu as raison : désœuvré s'accorde bien avec l'air.=> orthographe : je n'en suis toutefois pas sûr à 100%, mais il me semble que lorsqu'on écrit "l'air quelque chose", cet adjectif doit s'accorder avec le terme air (masculin singulier) car c'est un épithète au mot "air", et non la personne (ou les personnes) concernées. Donc : "l'air désœuvré"
Oui c'est maladroit. J'en suis conscient depuis que je l'ai pondu mais c'est adapté. J'ai tourné autour sans rien trouver de satisfaisant. Pourquoi pas "solide" ? Parce que les arbres sont solides mais n'ont pas de forme stable.=> maladresse : je trouve "forme stable" un peu trop évasif, pas très adapté...Le travail millénaire des racines et de l’eau aurait-il anéanti toute forme stable ?
=> suggestion : "toute forme solide" ?
Je veux le sens de pérenne, durable, permanent, perpétuel...
C'en est justement une traduction personnelle.=> remarque : tu sais qu'il y a un terme qui existe pour qualifier ça : le "spanglish". C'est pour désigner le baragouinage des communautés hispaniques aux USA qui commencent des phrases en anglais et qui les terminent en espagnol... ^^restent sourds à mon « espanglais »
J'ai déjà employé ce mot. En fait une monnaie brésilienne. Je suis néanmoins en train de changer par cruzado car l'action se passe dans la fin des années 80 (je recadre la nouvelle pour l'étendre à la dimension d'un roman.)=> incompréhension : les réals ?seuls les réals d’Andrée semblent m’éviter le fiasco
Parce que matériel au singulier désigne un ensemble d'objets de toutes nature qui servent à une exploitation.=> pourquoi ne pas mettre au pluriel "matériel" => "matériels" ? (et non matériaux)vomissant une foule cosmopolite d’hommes et de matériel.
Peux-tu être plus explicite, s'il te plait ?=> n'aurait réclamé après moi ? oOou n’aurait réclamé après moi.
Heueue... tu n'y es pas. En fait, je n'y comprends pas grand chose, pas plus compliqué que cela. Alors, des fois ça va et des fois non !Comme si ce n'était finalement pas nécessaire, mais que tu collais un point-virgule tout de même.
Comme si tu recherchais un esthétisme "visuel" de la phrase, et non au niveau de la lecture (parce qu'une phrase avec un point virgule, ça fait "grande phrase").
Merci à toi !
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Comment ça, pas de formes stables ? oONérouje a écrit:
Oui c'est maladroit. J'en suis conscient depuis que je l'ai pondu mais c'est adapté. J'ai tourné autour sans rien trouver de satisfaisant. Pourquoi pas "solide" ? Parce que les arbres sont solides mais n'ont pas de forme stable.
Je veux le sens de pérenne, durable, permanent, perpétuel...
Un caillou, ça a une forme "stable" ? oO
Et moi c'était juste une remarque.Nérouje a écrit:C'en est justement une traduction personnelle.
Ton personnage peut très bien croire avoir inventé une langue xD.
Oui, en fait, je l'avais compris après en fait .Nérouje a écrit:
J'ai déjà employé ce mot. En fait une monnaie brésilienne. Je suis néanmoins en train de changer par cruzado car l'action se passe dans la fin des années 80 (je recadre la nouvelle pour l'étendre à la dimension d'un roman.)
Peux-tu être plus explicite, s'il te plait ? [/quote]Nérouje a écrit:=> n'aurait réclamé après moi ? oOou n’aurait réclamé après moi.
Je n'ai juste pas compris la formulation de cette phrase...
Enfin, si ça peut t'aider .
Re: Commentaires sur Victor et leyla
C'est une vision humaine de l'environnement : quand tu aura quatre-vingt-dix balais, le bloc sur lequel tu jouais durant ton enfance n'aura pas pris une ride, ce qui ne sera pas le cas du noyer dans lequel tu avais construit ta cabane. Pourtant, tous deux possèdent une forme solide. À une dimension humaine, la forme du premier est pérenne, durable, permanente, perpétuelle, celle de l'autre non. Le problème de ma formulation vient peut-être autant du mot forme que de l'adjectif stable, d'ailleurs.Pacô a écrit:Comment ça, pas de formes stables ? oONérouje a écrit:
Oui c'est maladroit. J'en suis conscient depuis que je l'ai pondu mais c'est adapté. J'ai tourné autour sans rien trouver de satisfaisant. Pourquoi pas "solide" ? Parce que les arbres sont solides mais n'ont pas de forme stable.
Je veux le sens de pérenne, durable, permanent, perpétuel...
Un caillou, ça a une forme "stable" ? oO
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Avec un peu de retard, me revoilà !
Des détails, des détails, toujours des détails comme tu le vois. ^^
Si je devais émettre une critique, peut-être, sur le fond, c'est que je trouve que cette rencontre providentielle se déroule un peu trop vite. Peut-être aurais-je fait buter le narrateur contre deux ou trois refus, avant de trouver la bonne personne. Mais bon, pour que je confirme cette idée, il faudrait que je lise la suite, afin de savoir s'il est vraiment sur la bonne piste ou si c'est un cul-de-sac.
Bizarrement, j'aurais plutôt vu cette phrase arrangée typographiquement comme cela : «...,je suis enfin à pied d’œuvre, quoique fort découragé...»Près d’une semaine après mon départ de Lyon-Satolas, je suis enfin à pied d’œuvre… quoique fort découragé.
Après «quasi déserts» je ne sais pas si une virgule suffit. Peut-être un point, ou un point-virgule ?Les lieux sont quasi déserts, seules quelques indiennes vaquent à leurs occupations ou fument des cigarettes, l’air désœuvrées.
=> piauleUn rire moqueur m’échappe et le plancher de ma piole, une « chambre » louée à l’unique pension du bled, grince et proteste.
Là par contre j'aurais mis deux points après «fenêtre»Je m’approche de la fenêtre ; ses châssis laissent filtrer une odeur de boue putride.
Je ne sais pas si le lien sous-entendu avec ce "pire" est très judicieux. Après tout y en a-t-il vraiment un direct entre les bambous et leurs vermines, et l'absence totale de roches ?Les toits de bambous grouillent de vermine, pire : l’absence totale de roches et de pierres est saisissante.
=> locos non ?Faut être fou pour habiter ici ! D’ailleurs, les loco, qui parlent un portugais ensablé de patois, restent sourds à mon « espanglais »
Des détails, des détails, toujours des détails comme tu le vois. ^^
Si je devais émettre une critique, peut-être, sur le fond, c'est que je trouve que cette rencontre providentielle se déroule un peu trop vite. Peut-être aurais-je fait buter le narrateur contre deux ou trois refus, avant de trouver la bonne personne. Mais bon, pour que je confirme cette idée, il faudrait que je lise la suite, afin de savoir s'il est vraiment sur la bonne piste ou si c'est un cul-de-sac.
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Alors je parlerais plus d'immuable en ce cas .Nérouje a écrit:
C'est une vision humaine de l'environnement : quand tu aura quatre-vingt-dix balais, le bloc sur lequel tu jouais durant ton enfance n'aura pas pris une ride, ce qui ne sera pas le cas du noyer dans lequel tu avais construit ta cabane. Pourtant, tous deux possèdent une forme solide. À une dimension humaine, la forme du premier est pérenne, durable, permanente, perpétuelle, celle de l'autre non. Le problème de ma formulation vient peut-être autant du mot forme que de l'adjectif stable, d'ailleurs.
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Salut Nérouje,
Je me suis mis à jour et j'ai terminé le chapitre 2.
L'ensemble est de qualité, on rentre facilement dans l'histoire les ellipses me semblent placées au bon moment donc pas de défauts majeurs à souligner.
Chapitre 1 : le personnage et l'évènement déclencheur
Le personnage de Nicolas est intéressant, c'est un monsieur tout le monde avec ses problèmes qui -comme le lecteur- va partir à la recherche de Victor. Par le biais de ce personnage nous allons faire connaissance avec Victor (Mr. Itard) et je trouve amusante la corrélation entre le personnage qui part à la recherche de son ami et le lecteur qui va faire connaissance avec le travail d'un scientifique.
Rien à dire sur le coup de téléphone ou la prise de décision de Nicolas. C'est bien amené, c'est crédible et on sent le lien qui lie les deux personnages.
Chapitre 2 : première partie
Ellipse est placée au bon moment. Nicolas se retrouve en Amazonie dans les traces de son vieil ami et cela permet au lecteur d'entrevoir les conditions de vie d'un éthologue. On sent aussi que Victor est un homme courageux et de conviction qui n'hésite pas à aller au bout de ses choix donc bien que ce personnage ne soit pas dans l'action physiquement on sent sa présence et ça c'est bien.
Pourquoi ne pas accentuer le caractère exceptionnel d'une personne comme Victor ? Tu nous dis qu'il ne correspond pas aux normes sociales (pas marié, mais avec des gosses, il n'aime pas la religion) mais au final on en sait peu sur ses convictions profondes, ce qu'il veut faire avec ses enfants... bref peut-être pourrais tu nous montrer que Victor n'est pas seulement un éthologue mais réputé mais aussi un homme exceptionnel.
Chapitre 2 : deuxième partie
Les considérations de Nicolas sont vraiment bien, ça donne vie au personnage et la multitude de détails créée une bonne ambiance (on s'y croirait !^^). Grâce à ce passage on imagine bien le quotidien de Victor mais j'avoue me poser des questions sur "l'éducation" des deux enfants. Cet endroit n'est pas dangereux pour eux ? Bon j'imagine que l'aspect dangereux de l'Amazonie doit être du à mon côté jeune occidental qui n'a jamais vu la jungle et des serpents de 10 mètres mais bon... ^^
Je me suis étonné de ne pas lire de considérations sur les bucherons responsables de la déforestation, tu as volontairement évité le sujet pour ne pas faire de cliché écolo ?
Ici il y a moins d'info sur Victor on est concentré sur les problèmes de Nicolas qui cependant ne se décourage pas, il n'a pas non plus les regrets qu'il avait émis au début du chap 2. S'est-il fait une raison ou bien le sentiment de toucher au but l'encourage à persévérer ? ( des petits détails là dessus seraient les bien venus).
Je me suis mis à jour et j'ai terminé le chapitre 2.
L'ensemble est de qualité, on rentre facilement dans l'histoire les ellipses me semblent placées au bon moment donc pas de défauts majeurs à souligner.
Je ne crois pas que ceci était indiqué lors de mon premier commentaire, ça change des trucs tout de même.
Voici le premier volet d’une nouvelle en trois parties dédiée à Jean-Marc Itard, un compatriote bas-alpin.
Chapitre 1 : le personnage et l'évènement déclencheur
Le personnage de Nicolas est intéressant, c'est un monsieur tout le monde avec ses problèmes qui -comme le lecteur- va partir à la recherche de Victor. Par le biais de ce personnage nous allons faire connaissance avec Victor (Mr. Itard) et je trouve amusante la corrélation entre le personnage qui part à la recherche de son ami et le lecteur qui va faire connaissance avec le travail d'un scientifique.
Rien à dire sur le coup de téléphone ou la prise de décision de Nicolas. C'est bien amené, c'est crédible et on sent le lien qui lie les deux personnages.
Chapitre 2 : première partie
Ellipse est placée au bon moment. Nicolas se retrouve en Amazonie dans les traces de son vieil ami et cela permet au lecteur d'entrevoir les conditions de vie d'un éthologue. On sent aussi que Victor est un homme courageux et de conviction qui n'hésite pas à aller au bout de ses choix donc bien que ce personnage ne soit pas dans l'action physiquement on sent sa présence et ça c'est bien.
Pourquoi ne pas accentuer le caractère exceptionnel d'une personne comme Victor ? Tu nous dis qu'il ne correspond pas aux normes sociales (pas marié, mais avec des gosses, il n'aime pas la religion) mais au final on en sait peu sur ses convictions profondes, ce qu'il veut faire avec ses enfants... bref peut-être pourrais tu nous montrer que Victor n'est pas seulement un éthologue mais réputé mais aussi un homme exceptionnel.
Chapitre 2 : deuxième partie
Les considérations de Nicolas sont vraiment bien, ça donne vie au personnage et la multitude de détails créée une bonne ambiance (on s'y croirait !^^). Grâce à ce passage on imagine bien le quotidien de Victor mais j'avoue me poser des questions sur "l'éducation" des deux enfants. Cet endroit n'est pas dangereux pour eux ? Bon j'imagine que l'aspect dangereux de l'Amazonie doit être du à mon côté jeune occidental qui n'a jamais vu la jungle et des serpents de 10 mètres mais bon... ^^
Je me suis étonné de ne pas lire de considérations sur les bucherons responsables de la déforestation, tu as volontairement évité le sujet pour ne pas faire de cliché écolo ?
Ici il y a moins d'info sur Victor on est concentré sur les problèmes de Nicolas qui cependant ne se décourage pas, il n'a pas non plus les regrets qu'il avait émis au début du chap 2. S'est-il fait une raison ou bien le sentiment de toucher au but l'encourage à persévérer ? ( des petits détails là dessus seraient les bien venus).
domingo- Talent Génial
- Nombre de messages : 757
Age : 39
Localisation : Gard
Emploi/loisirs : Dormir
Votre talent : Inutile
Points : 826
Date d'inscription : 06/05/2010
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Salut les amis !
Désolé pour ce retard mais je n'ai guère de temps ces jours-ci, et quand j'en ai ... je m'aperçois qu'il y a pas mal de choses intéressantes à lire dans la section Administration Générale.
=> À Mystère Songe.
Merci de ton aide. (Je suis d'accord avec ce que je n'ai pas repris.)
=> À Pacô.
=> À Dom'
Dis-moi : dans tout ton com' tu as confondu Stéf (le copain de Nico) et Victor (l'enfant trouvé en Amazonie.) Est-ce une coquille ou bien tu as réellement mal compris ? Car en ce cas, il faut que je comprenne pourquoi.
Merci à tous !
Désolé pour ce retard mais je n'ai guère de temps ces jours-ci, et quand j'en ai ... je m'aperçois qu'il y a pas mal de choses intéressantes à lire dans la section Administration Générale.
=> À Mystère Songe.
Non, je garde ma solution. Près d’une semaine après mon départ de Lyon-Satolas, je suis enfin à pied d’œuvre (et toi qui lis cela, pense que je devrais danser de joie) quoique fort découragé. (fait brutal et irrémédiable)Bizarrement, j'aurais plutôt vu cette phrase arrangée typographiquement comme cela : «...,je suis enfin à pied d’œuvre, quoique fort découragé...»Près d’une semaine après mon départ de Lyon-Satolas, je suis enfin à pied d’œuvre… quoique fort découragé.
Alors là, je ne sais pas. Pour ce jeu de mot (locaux / loco - fou) dois-je mettre le mot en espagnol au pluriel ?=> locos non ?Faut être fou pour habiter ici ! D’ailleurs, les loco, qui parlent un portugais ensablé de patois, restent sourds à mon « espanglais »
Donc, on en reparlera...Si je devais émettre une critique, peut-être, sur le fond, c'est que je trouve que cette rencontre providentielle se déroule un peu trop vite. Peut-être aurais-je fait buter le narrateur contre deux ou trois refus, avant de trouver la bonne personne. Mais bon, pour que je confirme cette idée, il faudrait que je lise la suite, afin de savoir s'il est vraiment sur la bonne piste ou si c'est un cul-de-sac.
Merci de ton aide. (Je suis d'accord avec ce que je n'ai pas repris.)
=> À Pacô.
Oui, c'est ça. Car, après tout, rien n'est véritablement immuable. Merci.Alors je parlerais plus d'immuable en ce casC'est une vision humaine de l'environnement : quand tu aura quatre-vingt-dix balais, le bloc sur lequel tu jouais durant ton enfance n'aura pas pris une ride, ce qui ne sera pas le cas du noyer dans lequel tu avais construit ta cabane. Pourtant, tous deux possèdent une forme solide. À une dimension humaine, la forme du premier est pérenne, durable, permanente, perpétuelle, celle de l'autre non. Le problème de ma formulation vient peut-être autant du mot forme que de l'adjectif stable, d'ailleurs.
=> À Dom'
Dis-moi : dans tout ton com' tu as confondu Stéf (le copain de Nico) et Victor (l'enfant trouvé en Amazonie.) Est-ce une coquille ou bien tu as réellement mal compris ? Car en ce cas, il faut que je comprenne pourquoi.
J'ai prévu de le faire d'ici peu, car je veux que cette "entrée" en Stéf soit à point nommée et me serve à d'autres choses. La question est de savoir si le lecteur est disposé à attendre un peu. Qu'en penses-tu ?Pourquoi ne pas accentuer le caractère exceptionnel d'une personne comme Stéf ? Tu nous dis qu'il ne correspond pas aux normes sociales (pas marié, mais avec des gosses, il n'aime pas la religion) mais au final on en sait peu sur ses convictions profondes, ce qu'il veut faire avec ses enfants... bref peut-être pourrais tu nous montrer que Stéf n'est pas seulement un éthologue mais réputé mais aussi un homme exceptionnel.
Je ne comprends pas : dangereux pour eux ??? Ne serait-ce pas plutôt la ville et le monde moderne qui représenterait un danger pour des enfants-sauvages ?Cet endroit n'est pas dangereux pour eux ?
Même remarque que Pacô, et même réponse : cette nouvelle s'est transformée en roman. La première partie se passe à la fin des années 80, le sujet n'était pas à la mode. La deuxième partie sera dans le vif du sujet.Je me suis étonné de ne pas lire de considérations sur les bucherons responsables de la déforestation, tu as volontairement évité le sujet pour ne pas faire de cliché écolo ?
En fait, le sentiment de toucher au but lui enlève toute prudence. Il est vraiment persuadé qu'il va régler ça en deux coups de cuillère à pot. Je vais réfléchir à appuyer ce fait.Ici il y a moins d'info sur Stéf, on est concentré sur les problèmes de Nico qui cependant ne se décourage pas, il n'a pas non plus les regrets qu'il avait émis au début du chap 2. S'est-il fait une raison ou bien le sentiment de toucher au but l'encourage à persévérer ? ( des petits détails là dessus seraient les bien venus).
Merci à tous !
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
C'est une coquille qui s'explique par ma connerie.Dis-moi : dans tout ton com' tu as confondu Stéf (le copain de Nico) et Victor (l'enfant trouvé en Amazonie.) Est-ce une coquille ou bien tu as réellement mal compris ? Car en ce cas, il faut que je comprenne pourquoi.
Pour ma part je suis mûr. Ceci dit retarder son "entrée" ajouterais du suspens : Mais comment est vraiment ce Stéf ?
J'ai prévu de le faire d'ici peu, car je veux que cette "entrée" en Stéf soit à point nommée et me serve à d'autres choses. La question est de savoir si le lecteur est disposé à attendre un peu. Qu'en penses-tu ?
Ben même si ce sont des sauvageons, avec Stéf ils vivent à proximité de la civilisation : il y a des bûcheron, un petit village(donc peut-être un marché ou voler de la bouffe) et vu qu'ils sont deux je me dis que Stéf n'a peut-être pas l'oeil tout le temps sur eux.Je ne comprends pas : dangereux pour eux ??? Ne serait-ce pas plutôt la ville et le monde moderne qui représenterait un danger pour des enfants-sauvages ?
Ok.Même remarque que Pacô, et même réponse : cette nouvelle s'est transformée en roman. La première partie se passe à la fin des années 80, le sujet n'était pas à la mode. La deuxième partie sera dans le vif du sujet.
Appuyé pas forcément. Si personne à part moi n'a relevé ce fait c'est pas la peine de cherché trop loin la raison (c'est la même que plus haut!^^)En fait, le sentiment de toucher au but lui enlève toute prudence. Il est vraiment persuadé qu'il va régler ça en deux coups de cuillère à pot. Je vais réfléchir à appuyer ce fait.
domingo- Talent Génial
- Nombre de messages : 757
Age : 39
Localisation : Gard
Emploi/loisirs : Dormir
Votre talent : Inutile
Points : 826
Date d'inscription : 06/05/2010
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Le principal est que tu ne sois pas blet quand ça arrivera !Dom a écrit:Pour ma part je suis mûr. Ceci dit retarder son "entrée" ajouterais du suspens : Mais comment est vraiment ce Stéf ?J'ai prévu de le faire d'ici peu, car je veux que cette "entrée" en Stéf soit à point nommée et me serve à d'autres choses. La question est de savoir si le lecteur est disposé à attendre un peu. Qu'en penses-tu ?
J'ai tenté d'en tenir compte. On verra bien...Ben même si ce sont des sauvageons, avec Stéf ils vivent à proximité de la civilisation : il y a des bûcheron, un petit village (donc peut-être un marché ou voler de la bouffe) et vu qu'ils sont deux je me dis que Stéf n'a peut-être pas l'oeil tout le temps sur eux.
Ça ne me coûte rien d'être un poil plus explicatif. J'ai horreur de ne pas être clair en dehors des ellipses.Appuyé pas forcément. Si personne à part moi n'a relevé ce fait c'est pas la peine de cherché trop loin la raison (c'est la même que plus haut!^^)En fait, le sentiment de toucher au but lui enlève toute prudence. Il est vraiment persuadé qu'il va régler ça en deux coups de cuillère à pot. Je vais réfléchir à appuyer ce fait.
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Bien l'bonjour m'sieur Nérouje !
Voilàvoilà pour ce passage. Toujours un plaisir de te lire, incapable de relever autre chose que d'infimes détails de forme ! ^^
Je ne suis pas un spécialiste de la fabrication des bidons, mais peut-on réellement parler de «dérouler» un bidon ?Une série de vieux bidons déroulés en habille la toiture et je devine par endroits, malgré le jour qui fuit, l’inscription Total en blanc sur fond bleu.
=> coupsdeux coup de cuillères à pot.
Est-ce qu'on peut vraiment stopper un élan ? (non pas l'animal ! xD) On peut être stoppé dans son élan, mais est-ce l'élan qui se stoppe ?Toutefois, parvenu devant la porte, l’absence de scellé stoppe mon élan.
Je ne suis pas sûr que l'utilisation du «celle-ci» soit très judicieuse, étant donné que «la porte» est quand même deux phrases avant...J’hésite, celle-ci est certainement verrouillée et si des passants me découvrent en train de la forcer, je ne vois pas comment me justifier.
Point d'interrogation, peut-être ?La recherche de cette maison a occupé mes pensées, à un point tel que j’en ai oublié le principal : comment procéder une fois celle-ci découverte.
Je remplacerais les deux points par une virgule.Pour tout dire : je m’imagine un verre de Laphroaigh à la main !
Répétition : «me file» et «file dans la rue»Son air furibond me file une telle frousse que je décampe sans demander mon reste, descends les marches quatre à quatre et file dans la ruelle, jusqu’à en perdre haleine.
Je mettrais « éblouissant : il se met alors à pleuvoir...»Un coup de tonnerre me fait sursauter, suivit d’un éclair éblouissant, alors il se met à pleuvoir comme vache qui pisse.
Deux fois »mêler»des rythmes de salsa suintent au milieux du brouhaha, l’odeur de friture mêlée aux effluves de cannabis et de cigares cubains se mêlent au rideau compact de la pluie.
Voilàvoilà pour ce passage. Toujours un plaisir de te lire, incapable de relever autre chose que d'infimes détails de forme ! ^^
Dernière édition par MrSonge le Lun 4 Oct 2010 - 18:47, édité 1 fois
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Salut, Ô grand censeur !
Les détails de forme... tu sais bien que j'en raffole
J'ai un peu du mal à doser le parler-courant.
Pour le reste, aucune objection.
Merci
Les détails de forme... tu sais bien que j'en raffole
Quelques fautes de frappe font que je ne comprends pas bien. Te demandes-tu s'il est possible de dérouler des bidons (j'ai vu ça en Maurienne) ou si le verbe "dérouler" est approprié (en ce cas, je n'en vois pas d'autres) ?Je ne suis pas un spécialiste de la fabrication des bidons, mais peut-être réellement parlé de «dérouler» un bidon ?Une série de vieux bidons déroulés en habille la toiture et je devine par endroits, malgré le jour qui fuit, l’inscription Total en blanc sur fond bleu.
Non non. C'est en fait une erreur de français : j'aurais du mettre à un point tel que j’en ai oublié le principal : la manière de procéder une fois celle-ci découverte. ou à un point tel que j’en ai oublié le principal : ce que je ferais une fois celle-ci découverte.Point d'interrogation, peut-être ?La recherche de cette maison a occupé mes pensées, à un point tel que j’en ai oublié le principal : comment procéder une fois celle-ci découverte.
Crois-tu que je puisse mettre : Son air furibond me flanque une telle frousse... ?Répétition : «me file» et «file dans la rue»Son air furibond me file une telle frousse que je décampe sans demander mon reste, descends les marches quatre à quatre et file dans la ruelle, jusqu’à en perdre haleine.
J'ai un peu du mal à doser le parler-courant.
Pour le reste, aucune objection.
Merci
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Ouhlala, oui, en effet c'est ce que je me demandais. T'as du mérite d'avoir compris.Quelques fautes de frappe font que je ne comprends pas bien. Te demandes-tu s'il est possible de dérouler des bidons (j'ai vu ça en Maurienne) ou si le verbe "dérouler" est approprié (en ce cas, je n'en vois pas d'autres) ?
En fait, je ne sais pas si on peut parler de dérouler les bidons alors que c'est en fait les «tranches» de bidons qui sont déroulées...
Oui, pour moi ça coule tout aussi bien et la familiarité du verbe, dans ce contexte, me parait tout-à-fait appropriée.Crois-tu que je puisse mettre : Son air furibond me flanque une telle frousse... ?
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Là... le coup de le tranche de bidon (style tranche de saus'), je ne suis plus.MrSonge a écrit:Ouhlala, oui, en effet c'est ce que je me demandais. T'as du mérite d'avoir compris.Quelques fautes de frappe font que je ne comprends pas bien. Te demandes-tu s'il est possible de dérouler des bidons (j'ai vu ça en Maurienne) ou si le verbe "dérouler" est approprié (en ce cas, je n'en vois pas d'autres) ?
En fait, je ne sais pas si on peut parler de dérouler les bidons alors que c'est en fait les «tranches» de bidons qui sont déroulées...
Je t'explique le truc que j'ai observé (entre Alberville et Moutiers). Il y a plus d'une cinquantaine d'année, les payz' du cru ont eu l'idée géniale de découper le haut et le fond des bidons de 200 litres rejetés par toutes les usines du coin, puis d'y faire une découpe verticale et de les dérouler pour en habiller leurs demeures. Certains se sont même servi des deux cercles (couvercle et fond) pour les imbriquer comme des tuiles. Tu vois le truc ?
Alors le coup de la tranche, comprends pô !
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Je comprends pas bien le coup de la découpe verticale. Tu veux dire qu'ils les ont coupés en deux dans le sens de la hauteur ?
Moi, par dérouler, j'avais compris qu'il prenait une tranche, comme une tranche de saucisson et qu'il la «détordrait» afin de la rendre plane et donc d'en faire une lame de tôle que l'on pourrait poser sur le toit d'une maison.
Moi, par dérouler, j'avais compris qu'il prenait une tranche, comme une tranche de saucisson et qu'il la «détordrait» afin de la rendre plane et donc d'en faire une lame de tôle que l'on pourrait poser sur le toit d'une maison.
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Et là, ça te dis ?
1 => le bidon de 200 litres;
2 => on enlève le haut et le bas;
3 => on fait une découpe verticale et on ouvre (déroule);
4 => on aplatir le tout pour obtenir une tôle.
1 => le bidon de 200 litres;
2 => on enlève le haut et le bas;
3 => on fait une découpe verticale et on ouvre (déroule);
4 => on aplatir le tout pour obtenir une tôle.
Nérouje- Talent Génial
- Nombre de messages : 546
Age : 58
Localisation : alpes du sud
Votre talent : Aucun
Points : 593
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Suite du chapitre 2
=> suggestion : "une série de vieilles tôles gondolées"
=> tu sais d'où elle vient cette expression ? (question HS)
Lecture amusante (et à ne pas prendre comme un reproche).
Quelques images intéressantes et elles-aussi assez plaisantes, tout en illustrant bien ta pensée :
Et je ne vois pas grand chose à redire d'autres, de plus que MrSonge (et moi j'ai compris l'histoire des bidons, même si je trouve aussi l'explication assez maladroite dans le texte).
Voilà pour mon impression .
=> déroulé... je le sens pas ce terme. Peut-être parce qu'il n'exprime pas exactement ce que je crois que tu veux dire.Une série de vieux bidons déroulés
=> suggestion : "une série de vieilles tôles gondolées"
=> il y a bien du rouge et jaune aussi dans le logo ?l’inscription Total en blanc sur fond bleu.
=> accord : coups
de régler cette histoire en deux coup de cuillères à pot.
=> tu sais d'où elle vient cette expression ? (question HS)
=> il me semble que "scellé" est toujours au pluriell’absence de scellé stoppe mon élan.
=> typographie : le point-virgule me semble inappropriéy pénétrer en catimini ; lui… moi,
=> problème d'expression : à la vue de tous, non ?Au vu de tous,
=> légère répétitiontends le bras [...] serrer ce vieux pote dans mes bras.
=> oh, j'aime !!J’ai le cœur qui cogne à tout rompre, ce couard désire fuir encore… je le sens remonter dans ma gorge, prêt à s’échapper !
=> les ou le "sud" ?qui descendent les longs fleuves asphaltés vers les sud
=> accord : suiviUn coup de tonnerre me fait sursauter, suivit d’un éclair éblouissant,
Lecture amusante (et à ne pas prendre comme un reproche).
Quelques images intéressantes et elles-aussi assez plaisantes, tout en illustrant bien ta pensée :
J'avoue, je l'ai beaucoup aimée celle-ci.J’ai le cœur qui cogne à tout rompre, ce couard désire fuir encore… je le sens remonter dans ma gorge, prêt à s’échapper !
Et je ne vois pas grand chose à redire d'autres, de plus que MrSonge (et moi j'ai compris l'histoire des bidons, même si je trouve aussi l'explication assez maladroite dans le texte).
Voilà pour mon impression .
Re: Commentaires sur Victor et leyla
Ah oui là ça me dit.
Mais en fait, moi je voyais les bidons comme ça :
Et j'imaginais en fait qu'on le découpait d'abord en trois sections sur les relief.
Mais maintenant j'ai compris. ^^
Mais en fait, moi je voyais les bidons comme ça :
Et j'imaginais en fait qu'on le découpait d'abord en trois sections sur les relief.
Mais maintenant j'ai compris. ^^
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» Les Contemplations, de Victor Hugo
» Les Misérables - Victor Hugo
» Mélancholia de Victor Hugo... Revisité ?
» Commentaires sur Mon Ami
» Commentaires "I am because we are"
» Les Misérables - Victor Hugo
» Mélancholia de Victor Hugo... Revisité ?
» Commentaires sur Mon Ami
» Commentaires "I am because we are"
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum