Commentaires : L'ombre du passé
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
En orange et violet, des répétitions.
Encore beaucoup trop de verbes faibles "être", "avoir", et "faire". Je n'en ai relevé que certains, en cyan, sinon ton texte aurait fini en guirlande de Noël.
Remarques globales :
Sur la forme, tout est expliqué dans le texte. Fais bien attention à l'emploi des temps. Cela dit, je comprends ton problème car j'ai le même dans mon roman actuel. Une vraie galère à prévenir et à corriger.
J'aime beaucoup le découpage de ton texte : extraits du passé, extraits du présent. Je suis totalement plongée dans ton récit. Tu alternes la douceur, la nostalgie, mais aussi la tristesse d'un présent douloureux auquel le narrateur est confronté et contre lequel il ne semble pas avoir envie de se battre tant ce passé que tu nous exposes, violent, impitoyable, affreux, l'a mis à terre et a bouleversé toute sa vie.
Sur le fond, l'idée est de plus en plus intéressante. Pour l'instant, nous n'avons que deux problématiques. Il nous reste à savoir comment le héros va faire pour se sortir de ces deux situations périlleuses : comment s'est-il échappé, et comment va-t-il surmonter le fait que sa promise ait refait sa vie avec Eric ?
Je reviens d'ailleurs sur le fait que tu fais couler toute une année de sa captivité de façon trop expéditive. J'aimerais en savoir plus sur ce qu'a été sa vie pendant ce laps de temps.
Tu dis que tu as corrigé ton texte par rapport aux commentaires que tu as reçus. Un conseil : si tu souhaites que tes bêta-lecteurs puissent donner un nouvel avis sur ta V2, attends un peu avant de poster un nouvel extrait. Comme ça, tout le monde pourra comparer et te donner un nouvel avis, avant d'être dévoréspar la curiosité envers ton extrait suivant.
Encore beaucoup trop de verbes faibles "être", "avoir", et "faire". Je n'en ai relevé que certains, en cyan, sinon ton texte aurait fini en guirlande de Noël.
- Spoiler:
- 20 octobre 1970,
Sur les bords du lac Truc Bach,
Nord Vietnam.
Si dans ma confusion, je crus d’abord que les passants étaient là pour m’aider, je revins vite à la réalité. La correction qu’ils me donnèrent, après m’avoir hissé sur la berge, fut si haineuse pas de virgule, ça casse la lecture ici que je m’évanouis sous les coups. Je ne sus jamais vraiment de quelle manière pas de virgule je fus transporté jusqu’au « Hilton », virgule la fameuse prison d’ supprimer l'espace ici Hanoi. Tout ce dont je me souviens c’est de mon réveil brutal sur le sol crasseux de la cellule. >>> un réveil brutal ? Pourtant, il semblerait qu'il se soit réveillé de lui-même, donc ce n'est pas vraiment "brutal". L'odeur le gêne, la souffrance aussi, mais personne n'est responsable de son réveil, à ce moment-là.
Mes yeux étaient si tuméfiés que les entrouvrir me demandait un véritable effort. Les murs autour de moi n’avaient pas de fenêtre et la seule lumière qui me parvenait pas de virgule était celle d’une minuscule ouverture située en haut de la porte. >>> aucune lumière ne filtre par les interstices autour de la porte ? Une odeur fade presque salée, si écœurante qu’elle me donna l’impression d’avaler de la morve, virgule suintait par tous les interstices >>> "pores" irait peut-être mieux des murs. Je voulus bouger un peu mais aussitôt une sensation de déchirure me coupa le souffle.
Lentement, je fis le compte de mes blessures et compris à quel point j’étais blessé. Je fermai les yeux quelques minutes, quelques heures peut-être et je crus presque qu’on m’avait oublié, lorsque j’entendis un bruit de clé. La porte s’ouvrit à grand fracas et on m’ordonna de me lever. Sans doute pas assez rapide à son goût, un des gardiens me souleva par le bras droit. >>> syntaxe incorrecte. Là, on pense que c'est le gardien qui n'est pas assez rapide. "Je ne fus pas assez rapide au goût de l'un des gardiens, qui me souleva par le bras droit", ou une tournure dans ce style. Par rapport à la remarque de Ferdi : ce n'est pas parce que certains auteurs (et leurs correcteurs) font des erreurs, qu'il faut les reproduire. La brûlure fut alors telle pas de virgule que je m’arrachai de son emprise pour me recroqueviller en hurlant dans un des recoins crasseux de la geôle. Ni les coups, [ni] les insultes ou les ordres braillés ne réussirent davantage à faire que je me lève et que je les suive. >>> "faire" + 2 pronoms relatifs... lourd
Ils décidèrent alors de me traîner par les cheveux jusqu’à la salle d’interrogatoire, virgule car tu changes de sujet dans la principale suivante et lorsque je parvins enfin à destination, je transpirais tant de douleur et de peur qu’il me semblait avoir pris une douche glacée. La salle circulaire où je me trouvais était vide, à l’exception d’une table munie de sangles, d’une sorte d’établi et d’une grande bassine. Un homme en tenue militaire noire était assis sur un tabouret, son visage effrayant reflétait si peu d’émotions humaines, qu’il semblait comme inutile. >>> inapproprié. il est comme inhumain, il apparaît dur, froid, rude, sans pitié... à toi de choisir. Il n'est pas inutile puisqu'on devine qu'il est là pour mener un interrogatoire. Et d'ailleurs, j'aurais aimé assister à cet interrogatoire. Or, tu nous expliques juste, ensuite, que le calvaire va durer 4 jours. J'aimerais bien savoir ce que cherchent à apprendre ses ravisseurs.
– Je suis le Lieutenant Linkford. Matricule 624787 de l’aéronavale des États-Unis d’Amérique et je demande…
Le coup que je reçu en réponse fut le premier que je dus encaisser… Quatre jours. La première étape de mon enfer dura quatre jours. Au début j’ai eu du courage, j’en suis presque sûr. Je me rappelle même avoir tenté de me jouer d’eux, en leur donnant le nom de mes joueurs de basket préférés, à la place de ceux qu’ils me demandaient. Je dois avouer que j’ai payé cette fantaisie bien au-delà de ce qu’il m’était possible d’imaginer. C’est entre leurs mains que j’ai appris que j’étais capable de faire n’importe quoi pour vivre et faire cesser la douleur. Vraiment n’importe quoi… >>> pourquoi ne pas décrire rapidement quelques unes des tortures qu'il subit ? Je demande ça non par curiosité malsaine, mais pour qu'on éprouve de plus en plus d'empathie envers lui.
Quand enfin, je ne pus répondre à leurs questions que par la souffrance, je fus transféré dans un autre quartier de la prison, le « little Las Vegas ». Son nom venait du fait pas de virgule que les gardiens pariaient sur le nombre de jours de survie des prisonniers qui leur étaient amenés. Après divers examens et soins sommaires, ils me placèrent en isolement et parièrent sur cinq jours. Mais la semaine passa. Puis une autre et encore une autre, et contre toute attente, je survécu. Chaque jour j'arrachai un morceau de ma survie, en faisant plier mon corps, en l'obligeant à boire et à manger, quand je n’avais ni l’un ni l’autre. >>> alors comment fait-il pour se nourrir ? Je parvins même, presque un an jour pour jour après mon crash, à me tenir debout et à marcher. >>> un an, c'est long. Comment a-t-il occupé ses journées ? Que lui faisaient faire les gardiens ? A-t-il été interrogé non-stop pendant tout ce temps ?
Je fus alors envoyé dans un camp pour dissidents nommé « la Plantation fermer les guillemets. Je n’avais pas parlé dans ma langue depuis si longtemps pas de virgule que, virgule lorsqu’un des prisonniers américain s’adressa à moi, j’en tremblai >>> un imparfait suivant un passé simple, ce n'est pas correct. Il faut respecter la concordance des temps. des pieds à la tête. Les jours s’enchaînèrent, aussi lourds et terrifiants que l’éternité. Je supportais de plus en plus mal les coups et les humiliations auxquelles nous étions soumis et je doutais de pouvoir le supporter [encore] longtemps lorsqu'un évènement vint tout bouleverser…
Le 15 mars 1975,
Blue Rock en fin de soirée. >>> tout le passage qui suit est très poétique. J'aime beaucoup.
Les ténèbres saluèrent les embruns et me brodèrent touche après touche, >>> ce n'est pas adapté, ça. On ne brode pas avec des touches et on ne brode pas un manteau, d'ailleurs. "brodèrent point après point", par exemple, mais ce "broder", hem... un manteau dans lequel je disparus. Ombre maladroite, je me dirigeai pourtant sans faillir vers le lieu que j’avais tant aimé. Sans doute, parce qu’elle m’avait donné l’illusoire impression de m’appartenir un peu, je fus réellement surpris par son apparence. Ses murs, éclairés par des réverbères blafards et tellement plus petits que dans mon souvenir, se détachaient comme un linceul dans l’obscurité.
Les mauvaises herbes disputaient leur territoire aux vieux rosiers et la toiture avait de nouveau besoin d’être réparée. Tous les outils nécessaires étaient là, dans la petite cabane en bois, près du poirier. Je connaissais les moindres recoins de cette maison, de la porte d’entrée qui raclait le sol, aux marches gémissantes de l’escalier qui menait à la cave. Elle avait fait partie de moi.
J’aurai tant voulu, une fois encore, sentir son odeur de tarte aux pommes, de pain frais et d’enfance. Retrouver sa protection, sa pérennité, remonter aux temps heureux où je me blottissais contre elle pour rêver. Ses souvenirs avaient peuplé ma captivité, ils m’avaient permis de survivre ou presque. J’aurais voulu les retrouver intacts. Mais tandis que je me débattais, la maison avait continué à vivre et m’avait oublié. Je ne pouvais même plus y être un invité de passage. Ça n’était plus ni mon refuge, ni l’endroit où je pouvais imaginer mon avenir. M’était-il possible d’en avoir un désormais ?
J’avançai presque avec cérémonie et je pus lire, virgule sur une boîte aux lettres ricanante, à qui cette maison appartenait désormais. Je grimpai les quelques marches du perron et acceptai l’invitation du banc posé contre le mur. Une jungle, virgule peuplée de lions, d’éléphants et de Monster trucks, virgule s’étalait à mes pieds. >>> dans cette phrase, le sujet principal est "la jungle". Il faut donc bien mettre les détails de cette jungle entre virgules pour qu'ils n'aient pas d'influence sur le verbe "étaler". Je pris une girafe dans mes mains et sursautai sous le couinement qui résonna dans le silence de l’heure tardive. Je la reposai sur le banc en serrant les poings. Il était hors de question que je laisse mon esprit me dire à qui ce jouet aurait dû appartenir. Je le savais déjà. Le froid qui flottait autour de moi pas de virgule me pénétra aussi loin qu’il le pût. Je me relevai et fit le tour de la maison. Découpée, tranchée par les persiennes, une lumière douce semblait me faire signe d’approcher ; mon regard se faufila alors dans l’intimité de la pièce éclairée...
Remarques globales :
Sur la forme, tout est expliqué dans le texte. Fais bien attention à l'emploi des temps. Cela dit, je comprends ton problème car j'ai le même dans mon roman actuel. Une vraie galère à prévenir et à corriger.
J'aime beaucoup le découpage de ton texte : extraits du passé, extraits du présent. Je suis totalement plongée dans ton récit. Tu alternes la douceur, la nostalgie, mais aussi la tristesse d'un présent douloureux auquel le narrateur est confronté et contre lequel il ne semble pas avoir envie de se battre tant ce passé que tu nous exposes, violent, impitoyable, affreux, l'a mis à terre et a bouleversé toute sa vie.
Sur le fond, l'idée est de plus en plus intéressante. Pour l'instant, nous n'avons que deux problématiques. Il nous reste à savoir comment le héros va faire pour se sortir de ces deux situations périlleuses : comment s'est-il échappé, et comment va-t-il surmonter le fait que sa promise ait refait sa vie avec Eric ?
Je reviens d'ailleurs sur le fait que tu fais couler toute une année de sa captivité de façon trop expéditive. J'aimerais en savoir plus sur ce qu'a été sa vie pendant ce laps de temps.
Tu dis que tu as corrigé ton texte par rapport aux commentaires que tu as reçus. Un conseil : si tu souhaites que tes bêta-lecteurs puissent donner un nouvel avis sur ta V2, attends un peu avant de poster un nouvel extrait. Comme ça, tout le monde pourra comparer et te donner un nouvel avis, avant d'être dévoréspar la curiosité envers ton extrait suivant.
B.- Talent Divin
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Votre talent : Écriture
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Un homme en tenue militaire noire était assis sur un tabouret, son visage effrayant reflétait si peu d’émotions humaines, qu’il semblait comme inutile. >>>inapproprié. il est comme inhumain, il apparaît dur, froid, rude, sans pitié... à toi de choisir. Il n'est pas inutile puisqu'on devine qu'il est là pour mener un interrogatoire.
Je ne veux pas dire que c'est l'homme qui était inutile mais que son visage lui l'était. Un visage c'est le miroir d'un être, son regard, sa bouche, le froncement de ses sourcils, tout cela peut nous renseigner sur ce qu'il veut ou pense. Là, il doit faire face à un visage totalement impassible.
Et d'ailleurs, j'aurais aimé assister à cet interrogatoire. Or, tu nous expliques juste, ensuite, que le calvaire va durer 4 jours. J'aimerais bien savoir ce que cherchent à apprendre ses ravisseurs.
Oui en effet je ne l'ai pas précisé car ce sont des renseignements classiques, des noms de codes, le nom des soldats de sa compagnie, des informations sur l'avion qu'il pilote etc. Quand à préciser ce qu'il lui ont fait, j'aurai pu en effet mais j'ai préféré laisser place l'imagination de celui qui me lirait. Mais il y aura une scène qui contiendra plus tard davantage de détail et qui expliquera pourquoi il est à la dérive.
Chaque jour j'arrachai un morceau de ma survie, en faisant plier mon corps, en l'obligeant à boire et à manger, quand je n’avais ni l’un ni l’autre. >>> alors comment fait-il pour se nourrir ? Je parvins même, presque un an jour pour jour après mon crash, à me tenir debout et à marcher. >>> un an, c'est long. Comment a-t-il occupé ses journées ? Que lui faisaient faire les gardiens ? A-t-il été interrogé non-stop pendant tout ce temps ?
J'ai en effet les réponses à toutes ces questions, je vais les intégrer au texte même si pour le moment je me bats avec la suite (qui parle des conditions de vie du camp notamment).
Merci encore pour tous tes commentaires, ils me sont précieux.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Votre talent : Écriture
Points : 76
Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Commentaires : L'ombre du passé
OK. J'ai trouvé le truc qui me chiffonnait, en fait : il faut enlever la virgule entre "émotions humaines" et "qu'il", pour lier ce "il" au visage.OmbreD'azur a écrit:Un homme en tenue militaire noire était assis sur un tabouret, son visage effrayant reflétait si peu d’émotions humaines, qu’il semblait comme inutile. >>>inapproprié. il est comme inhumain, il apparaît dur, froid, rude, sans pitié... à toi de choisir. Il n'est pas inutile puisqu'on devine qu'il est là pour mener un interrogatoire.
Je ne veux pas dire que c'est l'homme qui était inutile mais que son visage lui l'était. Un visage c'est le miroir d'un être, son regard, sa bouche, le froncement de ses sourcils, tout cela peut nous renseigner sur ce qu'il veut ou pense. Là, il doit faire face à un visage totalement impassible.
Je suis d'accord avec toi en ce qui concerne le miroir d'un être à travers son visage, mais je t'assure que ce visage, ses traits, ne sont justement pas inutiles puisqu'ils traduisent un personnage "impassible" et sans pitié. Inutile n'est pas le bon mot, vraiment.
Laisser la place à l'imaginaire du lecteur, c'est une très bonne chose, mais c'est valable surtout pour les descriptions des décors, des costumes, etc. Pas en ce qui concerne des évènements. Et encore moins quand ces évènements ont une importance : et sur la vie du personnage principal et sur les sentiments qu'ils peuvent susciter chez le lecteur.Oui en effet je ne l'ai pas précisé car ce sont des renseignements classiques, des noms de codes, le nom des soldats de sa compagnie, des informations sur l'avion qu'il pilote etc. Quand à préciser ce qu'il lui ont fait, j'aurai pu en effet mais j'ai préféré laisser place l'imagination de celui qui me lirait.
Quant à ne pas préciser que ce sont des renseignements classiques, qu'ils demandent, c'est dommage, parce que le lecteur peut penser qu'au contraire, ils recherchent quelque chose de précis. Et généralement le lecteur n'aime pas être tenu à l'écart de ce type d'informations. Et en fait, l'auteur ne doit pas tenir le lecteur à l'écart de ce type d'informations. Le lecteur et l'auteur sont intimement liés. Les seules informations que cachent l'auteur au lecteur doivent maintenir le suspense pour la suite de l'intrigue. Donc dans ton cas, il vaut mieux dire justement que les militaires ne cherchent rien d'autre que des renseignements de base, en posant des questions auxquelles un pilote a normalement été entraîné à ne pas répondre.
J'ajoute que tout ce que je te dis n'est pas pour t'embêter, ou te contrarier, ou te donner plus de travail. Je suis correctrice, j'ai l'habitude de corriger des romans et autres textes (pour des maisons d'édition ou pour des auteurs eux-mêmes), et il y a des informations qu'il ne faut pas négliger, que ce soit dans une nouvelle ou dans un roman, et même si tu juges que le lecteur peut les "imaginer". Le lecteur n'est pas là pour combler les trous d'un récit.
Mais au final, ce ne sont que des conseils et tu es maître à bord de ton texte, évidemment.
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Commentaires : L'ombre du passé
J'ajoute que tout ce que je te dis n'est pas pour t'embêter, ou te contrarier, ou te donner plus de travail. Je suis correctrice, j'ai l'habitude de corriger des romans et autres textes (pour des maisons d'édition ou pour des auteurs eux-mêmes), et il y a des informations qu'il ne faut pas négliger, que ce soit dans une nouvelle ou dans un roman, et même si tu juges que le lecteur peut les "imaginer". Le lecteur n'est pas là pour combler les trous d'un récit.
Mais au final, ce ne sont que des conseils et tu es maître à bord de ton texte, évidemment.
Je vais tenter d'expliquer et d'être honnête autant que je le peux. L'écriture et moi, c'est une histoire d'amour et de haine. Je ne sais pas si je peux aller jusqu'à dire que je n'aime pas écrire, mais je n'en suis pas loin. Rien ne me frustre davantage. Mais je continue, parce que j'aime les mots, parce qu'ils me font voyager comme rien d'autre au monde, parce que même quand je me jure d'arrêter, je ne peux m'empêcher d'y revenir. Mais j'écris j'écrivais pour moi seule, me préoccuper d'un lecteur éventuel est une chose nouvelle, à la fois vertigineuse et exaltante.
ps : à aucun moment tu ne m'ennuies, au contraire. J'ai beaucoup à apprendre si je veux m'améliorer, pour moi d'abord et pour les autres peut-être.
pps : un signe, ça correspond à un caractère quand on parle de nouvelle ou de roman ?
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Ben voilà. C'est, je peux le dire sans trop m'avancer, ce qui pousse tous les auteurs à écrire et à progresser et travailler sans cesse.OmbreD'azur a écrit:Je vais tenter d'expliquer et d'être honnête autant que je le peux. L'écriture et moi, c'est une histoire d'amour et de haine. Je ne sais pas si je peux aller jusqu'à dire que je n'aime pas écrire mais je n'en suis pas loin. Rien ne me frustre autant. Mais je continue, parce que j'aime les mots, parce qu'ils me font voyager comme rien d'autre au monde, parce que même quand je me jure d'arrêter, je ne peux m'empêcher d'y revenir. Maisj'écrisj'écrivais pour moi seule, me préoccuper d'un lecteur éventuel est une chose nouvelle, à la fois vertigineuse et exaltante.
Et puis bon, perso, je galère aussi pas mal quand j'écris, m'enfin, j'adore écrire.
ps : à aucun moment tu ne m'ennuies, au contraire. J'ai beaucoup à apprendre (j'ai quitté l'école après mon cap, j'ai donc pas mal de lacunes au niveau littéraire) si je veux m'améliorer, pour moi d'abord et pour les autres peut-être.
C'est valable quel que soit le texte que tu écris : nouvelle, roman, lettre, etc. Un signe c'est une lettre, une virgule, une apostrophe, des guillemets, et les espaces aussi (sauf si on précise : "espaces non compris"). Word te les calcule de façon automatique.pps : un signe, ça correspond à un caractère quand on parle de nouvelle ou de roman ?
B.- Talent Divin
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