Commentaires : L'ombre du passé
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Commentaires : L'ombre du passé
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OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Hello Ombre d'azur.
Dans le spoiler, tu trouveras des corrections et quelques remarques. En-dessous, je t'expose mon avis sur ton texte.
Code couleurs :
bleu : maladresses
vert : mes commentaires et suggestion
orange : répétition
rouge : corrections orthographe, grammaire, conjugaison
Mon avis global sur le fond :
Ton sujet est intéressant, mais la première impression qui ressort à la lecture c'est qu'il n'est pas assez développé. On a affaire à un homme qui ressurgit du passé, qui n'est pas mort contrairement à ce qu'en dit sa tombe, car ses proches l'ont cru mort, puisqu'il a disparu depuis longtemps. OK. Ensuite, on voit un pilote, ses copains, une blague sur un navire. OK. Puis on découvre qu'il apprend de la bouche d'une tenancière quel a été son destin. OK... Et ? Pourquoi est-il revenu ? Si tu évoques sa vie sur un navire à travers une anecdote , c'est fait dans quel but ? Cette anecdote a-t-elle un intérêt ? Quelle a été sa vie de marin ? Quel a été cet accident qui l'a fait disparaître ? Que s'est-il passé après ? Que lui est-il arrivé, qu'à t-il fait pendant ses années d'absence ?
Ton texte ne répond à aucune question et on n'en comprend pas bien le but. On a une problématique, mais pas de développement adapté et encore moins de chute.
À moins que tu n'aies pas fini de présenter des extraits de ta nouvelle (et dans ce cas il te faut le préciser dans ton premier post), ce n'est pas un texte terminé. Il faut encore que tu l'écrives.
Quant à la forme :
Petit problème au niveau des incises dans tes phrases : il faut les placer entre virgules. Problème imparfait/passé simple : le second est à mettre pour les verbes d'action. La présentation est judicieuse, l'orthographe est correcte, ta narration est claire et précise. Belle écriture agréable à lire.
Dans le spoiler, tu trouveras des corrections et quelques remarques. En-dessous, je t'expose mon avis sur ton texte.
Code couleurs :
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vert : mes commentaires et suggestion
orange : répétition
rouge : corrections orthographe, grammaire, conjugaison
- Spoiler:
- Je crois vraiment qu’on n'a aucun contrôle sur nos vies. Parfois les évènements, jouets de quelque vengeance divine, surgissent et détruisent nos rêves impitoyablement. (Matt Linkford)
Blue Rock, Caroline du Nord,
Le 15 mars 1975 en fin d’après-midi.
Les grilles étaient lourdes, noires et ornées de deux croix blanches. J’ouvris l’un des ventaux et fis disparaître, ombre grise entre les allées, un chat pelé qui avait connu des jours meilleurs. La brise cinglante de mars agitait quelques pots de chrysanthèmes échoués au bord des stèles de marbre ; cela me fit sourire. Cette fraîcheur marine m’avait tellement manqué. >>> avec "tellement", vu que c'est une exclamation, je verrais bien un point d'exclamation, ou des points de suspension, comme s'il soupirait d'aise. Le gravier crissa sous mon poids et le son moelleux habilla, virgule à mettre ici pour un instant, ma solitude et celle du lieu. Avec ma démarche bancale je dus prendre mon temps bien sûr, virgule mais je finis par trouver ce que je cherchais, une tombe laide, terne, semblable à toutes les autres à un détail près… Il s’agissait de la mienne.
“Au Lieutenant Commander Matt Linkford
Il a donné sa vie pour notre pays
Qu’il repose en paix.
Sa famille éplorée, ses amis Hélène et Eric Holder.
__________________________________________________
Quelques années en arrière, au large d’Hanoï (Nord Vietnam)
Sur le Porte-avions Oriskany,
Le 20 octobre 1970 à 6 :30 AM
- Debout ! Ramassis de bon à rien !
Le sifflet et la voix de fausset de l’enseigne de vaisseau Collin me transperça littéralement les tympans. Je pris ce qui me servait d’oreiller et je le balançai d’un geste aussi rageur qu’inutile sur le haut-parleur de la chambrée.
- Non d’un chien Eric, fais-moi penser à lui apprendre à vivre, à cet empêcheur de dormir en rond !
Je l’entendis rire doucement. Je n’avais pas besoin de le regarder pour savoir qu’il était déjà debout et prêt à prendre sa douche.
- Bouge-toi plutôt Lieutenant !
- Pas avant que tu m’aies dit comment tu peux faire la fête la veille et être debout avant tout le monde ? Moi ma langue reste collée à mon palais. Et je ne te parle pas de l’odeur !
- C’est pas la peine…
- Je me devais de fêter ma petite merveille, virgule non ?
- Tu ne parles pas d’Hélène j’espère ?
- Un peu de respect mécréant ! Hélène Keagan n’est pas une merveille, c’est une déesse ! Je parlais de mon bébé, de mon magnifique SkyHawk. Avec son nouveau moteur, je vais pouvoir le pousser jusqu’à Mach 1 !
- Il n’est pas conçu pour ça, virgule Matt.
- Ça >>> pour la cédille sous la majuscule, tape alt128 il ne le sait pas…
- Ne commence pas à faire des folies pendant les essais, virgule ok ?
- Non papa… T’inquiète pas, j’ai des projets que je ne veux pas mettre en danger. Pourtant ça me titillerait bien de savoir ce qu’il a dans l’estomac.
- Hum, grogna Eric.
J’adorais voir Eric inquiet, sans doute parce que je savais qu’en dehors de lui et d’Hélène, il n’y aurait pas eu >>> pourquoi ce temps ? "il n'y avait pas"grand monde pour l’être. Son amitié était un pilier essentiel à ma vie et remontait au moment où j’avais emménagé dans sa ville natale. Pour une raison inconnue mon père avait décrété que cette ville allaitêtrelui permettre de repartir de zéro. Je n’avais pourtant déjà plus aucune illusion à ce sujet et Blue Rock n’était pour moi qu’un endroit à rajouter à mon parcours. Je ne me souviens plus vraiment des circonstances précises de ma rencontre avec Eric, ce dont je me souviens par contre c’est de ma fascination lorsque j’appris le passé de pilote de chasse de son paternel. Ce fut leur amitié et leur bienveillance qui changèrent ma vie. Grâce à eux je pus accomplir mon rêve et rentrer dans l’aéronavale. Car évidemment, virgule de son coté, virgule mon paternel n’était finalement allé nulle part et son penchant pour la boisson que je ne faisais que deviner enfant, était devenu notoire. Nos relations, virgule déjà bien peu chaleureuses, virgule s’étaient lentement diluées dans les vapeurs d’alcool. J’avais bien mon idée sur les véritables raisons de son manque d’affection, mais ma mère ne m’avait pas laissé le temps de lui poser de questions. Elle s’était tirée du jour au lendemain bien avant notre installation à Blue Rock . Cela dit, il suffisait de nous regarder tous les deux pour comprendre que nous ne partagions pas vraiment de patrimoine génétique. >>> je ne comprends pas cette phrase. Que sous-entends-tu ?
Le haut-parleur se mit soudain à diffuser le Venus des Shocking blue, et interrompit mon excursion dans le passé. Je sautai de ma bannette et commençait à enrouler mon couchage. Je souris ; la vie était magnifique. Le bateau sur lequel j’étais affecté était impressionnant de puissance, je faisais ce qui me passionnait le plus et surtout, oui surtout, j’allais avoir droit à une permission assez longue pour faire le grand saut. J’avais du mal à tenir en place tant j’avais hâte de passer la bague à Hélène. J’ouvris ma cantine pour regarder une fois de plus les alliances que j’avais achetées lors d’une escale.
- Tu vas finir par les user à force de les regarder, virgule Linkford !
Je jetai un coup d’œil à Eric qui revenait les cheveux encore dégoulinants de sa douche.
- Tu ne te rends pas compte de l’enjeu !
- Je crois que si…
Je voulus répliquer mais une annonce me coupa la parole.
- Les lieutenants Landers, Holder et Linkford sont attendus par le commandant en salle de briefing dans dix minutes.
Je fis la moue et remis intrigué et disons-le vaguement inquiet, ma douche à plus tard. D’un pas plus décidé qu’il ne l’était vraiment, >>> maladroit Eric et moi arrivâmes dans la coursive qui menait à la salle [de quoi ?]. Landers était déjà là. Je lui jetai un regard >>> répétition : tu as écrit "je jetai un coup d'oeil" plus haut qui se voulait rassurant, mais le secrétaire du commandant, une espèce de lèche-botte à tête de fouine, >>> ils ont toujours des têtes de fouine, les second et les lèche-botte... me regarda avec une telle suspicion que je dus arrêter assez vite. Le capitaine de frégate Douglas, virgule plongé dans un volumineux dossier, virgule leva la tête à notre arrivée.
- Venez ici les trois rigolos !
C’était un cinq galons d’une belle prestance, qui avait été cloué au sol quelques années auparavant par un mauvais atterrissage sur le tarmac. Étrangement, >>> majuscule "e" avec accent, tape alt144 il n’en semblait pas amer et dominait toutes les situations ou presque, car tandis que je le regardais, le monceau de paperasse devant lui semblait vraiment sur le point d’avoir sa peau. Il glissa son regard sur chacun d’entre nous, peut-être plus particulièrement sur Landers, virgule si vous voulez mon avis. >>> inutile. Le narrateur nous donne d'emblée son avis. Pas besoin de le préciser. Bref, me doutant un peu que cette petite réunion soit à cause de moi, >>> maladroit : "que cette réunion se produise à cause de moi", ou "qu'elle fasse suite à l'une de mes facéties", enfin, un truc dans le genre. je pris la parole.
- Monsieur, je prends l’entière responsabilité de ce qui s’est passé.
- Et vous pensez à quoi Linkford ?
Là, il m’avait eu. >>> est-ce bien utile ?
- … Aux crickets mon Commandant ?
- Bonne pioche Linkford ! Mais n’en doutez pas, virgule je finirai bien par découvrir le reste de vos pièges à cons !
- Oui, virgule Monsieur.
- Vous êtes une tête d’ahuri, virgule Linkford !
- Oui, virgule mon Commandant.
J’entendis à coté de moi un gloussement.
- Ça vous amuse Holder ?
- Non monsieur.
- Parce que je vais vous faire passer l’envie de rire moi ! Si l’idée est de lui, (dit-il en pointant un doigt rageur sur moi >>> il ne le touche pas. "dans ma direction"), la mise en œuvre c’est vous, n’essayez pas de me la faire ! Quant au troisième pitre, oui Landers je parle de vous, je sais parfaitement que vous complétez le trio ! Nom de Dieu, mais d’où vous est sortie l’idée de parier sur de foutues sauterelles ?
- Crickets Capitaine ... >>> capitaine ou commandant ?
- Je vais vous les faire bouffer ces bestioles, vous m’entendez Linkford ? espace ici Par les trous de nez vous allez les avaler !
- Oui, virgule mon Commandant.
- Jetez-moi ces putain d’insectes par-dessus bord et rendez-moi les sommes extorquées aux triples buses de ce bateau ! Que vos conneries servent au moins aux orphelins de la Navy.
- Capitaine… essaya d’intervenir le lieutenant Jack Landers. point
- Fermez-la ! Je dois préparer le briefing de notre prochaine mission sur Hanoi. Les choses en resteront donc là pour l’instant, virgule mais croyez-moi vous ne perdrez rien pour attendre. Comptez sur moi pour m’amuser avec vous à votre retour ! Et ça commencera par le nettoyage complet de toutes les latrines de ce foutu rafiot ! Rompez !
Cimetière de Blue Rock, Caroline du Nord,
Le 15 mars 1975 en fin d’après-midi.
Planté là, aussi inutile que les murs qui m’entouraient, je cherchais à ressentir une absurdité, un contresens, n’importe quoi mais j’étais aussi vide que la tombe devant moi. Je restais un long moment à la contempler, mais je ne vis se promener qu’un gros cafard mâtiné de blues. Je refermai la grille sur ce cimetière imbécile et regagnais les abords de la ville. Un crépuscule sombre teintait de mélancolie les maisons et les arbres endeuillés par les frimas de l’hiver. Le matin même, j’avais choisi un hôtel discret en périphérie de la ville, idéal pour passer inaperçu. La propriétaire Meggy McKeen était une quadragénaire bavarde qui avait depuis longtemps perdu son combat contre les kilos. Mon apparence, virgule trop négligée sans doute, lui avait fait pincer les lèvres comme un banquier qui découvre un compte à découvert. Du moins ce fut le cas, jusqu’à ce qu’elle lise ma fiche. Cherchant la discrétion avant tout, je n’y avais pas mis mon nom véritable bien sûr mais tout le reste était vrai et cela avait changé la donne. J’appris alors tant de choses sur sa petite vie que j’en eus presque la nausée et notamment, fait ô combien important pour elle, que son fils venait de s’enrôler. Ceci expliquait sans doute cela. Aussi curieuse qu’une vieille chatte, >>> mouais bof elle finit par m’extorquer entre autre, le fait que je ne faisais qu’une petite halte à Blue Rock . Elle n’eut de cesse alors que je visite avant de partir le cimetière de sa ville, en particulier sa partie réservée aux « héros ». J’eus même droit, cerise sur le gâteau, à l’histoire de ce pauvre pilote de chasse disparu en mission, virgule qui avait laissé un ami désespéré et une pauvre fiancée éplorée. J’apprenais, virgule de la bouche de cette inconnue, tout un pan de mon histoire. C’était aussi douloureux que surréaliste. Bref, inutile de vous dire que je n’avais aucune envie de la croiser à nouveau pour des détails supplémentaires, mon expédition au doux pays des sacrifiés m’avait largement suffit comme épreuve. Heureusement, sans doute occupée à saouler quelqu’un d’autre sous son flot continu de paroles, je pus récupérer discrètement ma clé et monter me reposer un peu. Manger un morceau ne m’aurait sans doute pas fait de mal, mais mon estomac avait pris l’habitude de se contenter de peu. Je pris donc ma douche et m’allongeai sur le patchwork qui recouvrait le lit.
Mon avis global sur le fond :
Ton sujet est intéressant, mais la première impression qui ressort à la lecture c'est qu'il n'est pas assez développé. On a affaire à un homme qui ressurgit du passé, qui n'est pas mort contrairement à ce qu'en dit sa tombe, car ses proches l'ont cru mort, puisqu'il a disparu depuis longtemps. OK. Ensuite, on voit un pilote, ses copains, une blague sur un navire. OK. Puis on découvre qu'il apprend de la bouche d'une tenancière quel a été son destin. OK... Et ? Pourquoi est-il revenu ? Si tu évoques sa vie sur un navire à travers une anecdote , c'est fait dans quel but ? Cette anecdote a-t-elle un intérêt ? Quelle a été sa vie de marin ? Quel a été cet accident qui l'a fait disparaître ? Que s'est-il passé après ? Que lui est-il arrivé, qu'à t-il fait pendant ses années d'absence ?
Ton texte ne répond à aucune question et on n'en comprend pas bien le but. On a une problématique, mais pas de développement adapté et encore moins de chute.
À moins que tu n'aies pas fini de présenter des extraits de ta nouvelle (et dans ce cas il te faut le préciser dans ton premier post), ce n'est pas un texte terminé. Il faut encore que tu l'écrives.
Quant à la forme :
Petit problème au niveau des incises dans tes phrases : il faut les placer entre virgules. Problème imparfait/passé simple : le second est à mettre pour les verbes d'action. La présentation est judicieuse, l'orthographe est correcte, ta narration est claire et précise. Belle écriture agréable à lire.
B.- Talent Divin
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Merci infiniment de m'avoir lue avec autant d'attention. J'ai pris note de toutes tes remarques et je pense avoir tout corrigé (virgules, temps et tournures). Et c'est vrai que mon texte est bien mieux ainsi. Je n'ai pas mentionné en effet qu'il s'agissait du début de ma nouvelle, je vais de ce pas rectifier mon msg.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Ah, génial ! Donc je vais en savoir un peu plus sur tous ces mystères.
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Première impression : un texte bien écrit, à l’écriture fluide, à la présentation soignée.
Le début suscite l’intérêt à la fois par l’ambiance lugubre dans le cimetière que par la phrase :
« Il s’agissait de la mienne »
Les personnages secondaires sont caractérisés.
Quelques remarques mineures :
«Le gravier crissa sous mon poids et le son moelleux habilla, pour un instant, ma solitude et celle du lieu. » moelleux pour le bruit du gravier me semble mal choisi ainsi que le verbe habiller.
«Landers était déjà là. Je lui jetais un …» je mettrais le passé simple 'jetai'
«une espèce de lèche-botte doublée d'une tête d'enclume… J’accorderais doublé avec lèche-bottes et mettrais ce dernier mot au pluriel.
Cricket ou criquet ?
« mon expédition au doux pays des sacrifiés m’avait largement suffit comme épreuve. »
Je préfère ‘suffi’
Pour conclure, j’ai eu du plaisir à lire ce début.
Ps- J'ai rédigé ce commentaire sans avoir lu celui de Barbara, ce qui explique des redites éventuelles.
Le début suscite l’intérêt à la fois par l’ambiance lugubre dans le cimetière que par la phrase :
« Il s’agissait de la mienne »
Les personnages secondaires sont caractérisés.
Quelques remarques mineures :
«Le gravier crissa sous mon poids et le son moelleux habilla, pour un instant, ma solitude et celle du lieu. » moelleux pour le bruit du gravier me semble mal choisi ainsi que le verbe habiller.
«Landers était déjà là. Je lui jetais un …» je mettrais le passé simple 'jetai'
«une espèce de lèche-botte doublée d'une tête d'enclume… J’accorderais doublé avec lèche-bottes et mettrais ce dernier mot au pluriel.
Cricket ou criquet ?
« mon expédition au doux pays des sacrifiés m’avait largement suffit comme épreuve. »
Je préfère ‘suffi’
Pour conclure, j’ai eu du plaisir à lire ce début.
Ps- J'ai rédigé ce commentaire sans avoir lu celui de Barbara, ce qui explique des redites éventuelles.
ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Merci beaucoup pour tes compliments et tes remarques ferdi, j'ai corrigé ce que tu m'a dit notamment ma phrase
en
Je crois que c'est mieux en effet.
Le gravier crissa sous mon poids et le son moelleux habilla, pour un instant, ma solitude et celle du lieu.
en
Le gravier crissa sous mon poids et le son velouté peupla, pour un instant, ma solitude et celle du lieu.
Je crois que c'est mieux en effet.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Barbara a écrit:Ah, génial ! Donc je vais en savoir un peu plus sur tous ces mystères.
C'est gentil et intimidant . En tout cas j'ai posté une petite suite
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Je suis desolé, Ombre, velouté ne me semble pas convenir.
Mais je ne pense pas détenir la vérité.
Mais je ne pense pas détenir la vérité.
ferdi- Talent Expérimenté
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deuxième partie
Déjà quelques remarques de détail
« Vos exploits étant mis de coté … » côté
« Avec panache, la plupart du temps, nous réussîmes à éviter les tirs croisés… » Panache me gêne un peu ; je verrais mieux habileté, brio
« ERIC : Eject ! Eject ! Matt ! Ejectes-toi merde ! » Éjecte-toi ( c’est l’impératif) On a É avec Alt144
« tout en y étant également parfaitement étranger. » Attention à l’accumulation des adverbes.
« elle n’avait jamais rien représentée … » représenté
Dans la scène de combat, le mélange de dialogue rapporté et pensées exprimées à la première personne me semble gênant, rien n’indique qu’on va de l’un à l’autre.
Il y a des choses à dire sur la typographie, mais comme c’est un de mes points faibles, je laisse cela à d’autres.
Je reste pris par le récit. Les allers et retours entre présent et passé donnent de la densité au texte. Le récit est bien mené.
« Vos exploits étant mis de coté … » côté
« Avec panache, la plupart du temps, nous réussîmes à éviter les tirs croisés… » Panache me gêne un peu ; je verrais mieux habileté, brio
« ERIC : Eject ! Eject ! Matt ! Ejectes-toi merde ! » Éjecte-toi ( c’est l’impératif) On a É avec Alt144
« tout en y étant également parfaitement étranger. » Attention à l’accumulation des adverbes.
« elle n’avait jamais rien représentée … » représenté
Dans la scène de combat, le mélange de dialogue rapporté et pensées exprimées à la première personne me semble gênant, rien n’indique qu’on va de l’un à l’autre.
Il y a des choses à dire sur la typographie, mais comme c’est un de mes points faibles, je laisse cela à d’autres.
Je reste pris par le récit. Les allers et retours entre présent et passé donnent de la densité au texte. Le récit est bien mené.
ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Yep ! Tout lu !OmbreD'azur a écrit:Barbara a écrit:Ah, génial ! Donc je vais en savoir un peu plus sur tous ces mystères.
C'est gentil et intimidant . En tout cas j'ai posté une petite suite
Alors, je te proposerai une correction précise demain, comme je l'ai fait pour ton premier extrait. Là, je vais juste relever quelques détails importants :
>>> tu écris "Non de Dieu" et "Non d'un chien" : il faut écrire "nom", ce que d'ailleurs tu as fait correctement à un moment. Ces "nom de..." reviennent un peu trop souvent. Faudrait voir à en modifier un ou deux par un autre juron.
>>> tu as écris : "Lets go". Il faut écrire "Let's go" en italique car ce n'est pas du français.
>>> un pilote ne s'éjecte pas en appuyant sur un bouton. Ils ont deux poignées : une sous leur siège, qu'ils tirent en se penchant en avant, et une sur le haut du dossier de leur siège. Ils tirent l'une ou l'autre suivant leur position, leur état, leur capacité du moment. (Mon mari est dans l'armée de l'air. )
Pour le fond, je suis accro, ça y est. J'ai envie de connaître la suite. Il y a une suite, au moins, hein ? Parce que tu n'as pas mis... à suivre. (je sais, je pinaille)
B.- Talent Divin
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Encore une fois merci pour ton soutien, alors je viens de faire la correction des fautes d'orthographe et des maladresses. J'ai supprimé la partie pensées exprimées (c'est ce qui m'a semblé le plus approprié, maintenant je ne sais pas trop). Quand à la typographie j'avoue que je ne sais pas ce que c'est (ça se voit que je débute ? mdr)
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
La typographie, c'est tout ce qui concerne les points, les virgules, les tirets des dialogues, les majuscules accentuées ou non, l'italique ou le romain, etc.
Pour les tirets des dialogues, par exemple, il faut taper alt0151.
Pour les tirets des dialogues, par exemple, il faut taper alt0151.
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Ton mari est dans l'armée de l'air ??? Hé ! Mais c'est génial pour la correction ça !! Je vais de ce pas modifier ce que tu as si justement fait remarqué ^^ et je rajoute (à suivre)
Ah c'est ça la typographie... Et bien je dois dire que je ne connais pas vraiment, mais j'apprends et j'avance, j'ai déjà essayé de faire effort sur les virgules dans la seconde partie, j'espère que ça se verra ^^
Merci infiniment pour ton soutien.
Ah c'est ça la typographie... Et bien je dois dire que je ne connais pas vraiment, mais j'apprends et j'avance, j'ai déjà essayé de faire effort sur les virgules dans la seconde partie, j'espère que ça se verra ^^
Merci infiniment pour ton soutien.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Commentaires : L'ombre du passé
De rien ! On est là pour ça, ici.OmbreD'azur a écrit:Merci infiniment pour ton soutien.
B.- Talent Divin
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Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Commentaires : L'ombre du passé
Bonjour, Ombre,
Pour la typographie, voici deux sites qui peuvent t’aider :
http://www.dsi.univ-paris5.fr/typo.html
http://www.synapse-fr.com/typographie/TTM_0.htm
Bonne journée
Pour la typographie, voici deux sites qui peuvent t’aider :
http://www.dsi.univ-paris5.fr/typo.html
http://www.synapse-fr.com/typographie/TTM_0.htm
Bonne journée
ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Merci infiniment ferdi
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Commentaires : L'ombre du passé
à moi !
Alors, j'aime beaucoup le début. Trop rien à dire, à mon avis !
-- Ensuite, le premier dialogue... Eh bien, ils sont gentillet, ces soldats américains... un peu de respect, Mécréant !
Wow... Ce sont des soldats, qui plus est américains. Ils adooorent utiliser des gros mots, tout ça tout ça... !
-- Le premier passage de narration a quelques problèmes de concordances de temps. je n'avais pas lu "quelques années plus tôt, au large d'hanoï" et je pensais qu'on était encore à Blue rock. Enfin, Dans le sens où quand il parle de son paternel, de sont installation à Blue rock, le passé n'est peut-être pas assez passé. (je veux dire, faut utiliser du PqP quand tu passe de la narration au récit antérieur)
-- Aux vues de la suite, je dirais que ce passage est un peu trop rapidement placé. Je veux dire, on sait tout de suite la moitié de sa vie, alors que ça n'a pas lieu vraiment d'être, dans la démarche de pensée du bonhomme. C'est vraiment trop pour le lecteur à mon goût. Après, je sais que plein de gens vont te dire que ça va pas attirer le lecteur si tu dis pas tout, tout de suite... mais faut pas écouter les gens, et essayer surtout d'être cohérent x)
-- J'aurai bien aimé qu'il y ait un peu plus de description. qu'on s'attarde un peu sur Landers, les autres personnages. La tête d'enclume, c'est bien ^_^ Mais pourquoi simplement s'arrêter à lui ? Ce me semble un peu expéditif. Au moins, en dire deux mots, si le personnage n'y prête pas beaucoup d'attention.
--
Ensuite, ces deux proposition (1 et 2) sont un peu compliquées à mettre en exergue, sauf du fait du presque, mais si on enlève tandis que je regardais, ça passe mieux ! (et ne pas placer dans la même phrase que le Amer)
sinon, le dialogue ensuite est vraiment sympa !
Là, pour le coup, c'est nickel, du fait que le gradé dois faire attention à son langage, et que les lieutenant ne sont pas entre eux ! J'aime !
La suite au prochain com' !
Alors, j'aime beaucoup le début. Trop rien à dire, à mon avis !
-- Ensuite, le premier dialogue... Eh bien, ils sont gentillet, ces soldats américains... un peu de respect, Mécréant !
Wow... Ce sont des soldats, qui plus est américains. Ils adooorent utiliser des gros mots, tout ça tout ça... !
-- Le premier passage de narration a quelques problèmes de concordances de temps. je n'avais pas lu "quelques années plus tôt, au large d'hanoï" et je pensais qu'on était encore à Blue rock. Enfin, Dans le sens où quand il parle de son paternel, de sont installation à Blue rock, le passé n'est peut-être pas assez passé. (je veux dire, faut utiliser du PqP quand tu passe de la narration au récit antérieur)
-- Aux vues de la suite, je dirais que ce passage est un peu trop rapidement placé. Je veux dire, on sait tout de suite la moitié de sa vie, alors que ça n'a pas lieu vraiment d'être, dans la démarche de pensée du bonhomme. C'est vraiment trop pour le lecteur à mon goût. Après, je sais que plein de gens vont te dire que ça va pas attirer le lecteur si tu dis pas tout, tout de suite... mais faut pas écouter les gens, et essayer surtout d'être cohérent x)
-- J'aurai bien aimé qu'il y ait un peu plus de description. qu'on s'attarde un peu sur Landers, les autres personnages. La tête d'enclume, c'est bien ^_^ Mais pourquoi simplement s'arrêter à lui ? Ce me semble un peu expéditif. Au moins, en dire deux mots, si le personnage n'y prête pas beaucoup d'attention.
--
Cette phrase ne va vraiment pas ! syntaxiquement, mais surtout du fait que 1 : il ne semblait pas amer et (mise en opposition avec amer) dominait toute les situation, ça n'a pas de rapport 2 : car tandis que je le regardais le monceau semblait (peut-être redondance de regarder/sembler) vraiment sur le point (louurd) d'avoir sa peau. ça me semble pas être très en phase. Enfin, ça se dit pas comme ça. Je pense qu'il faut enlever le Tandis que je le regardais, en priorité.Étrangement, il n’en semblait pas amer et dominait toutes les situations ou presque, car tandis que je le regardais, le monceau de paperasse devant lui semblait vraiment sur le point d’avoir sa peau.
Ensuite, ces deux proposition (1 et 2) sont un peu compliquées à mettre en exergue, sauf du fait du presque, mais si on enlève tandis que je regardais, ça passe mieux ! (et ne pas placer dans la même phrase que le Amer)
Pas terrible, "glisser son regard"Il glissa son regard sur chacun d’entre nous, peut-être plus particulièrement sur Landers.
sinon, le dialogue ensuite est vraiment sympa !
Là, pour le coup, c'est nickel, du fait que le gradé dois faire attention à son langage, et que les lieutenant ne sont pas entre eux ! J'aime !
La suite au prochain com' !
Shaï- Talent Habitué
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Merci Shaï pour ta lecture et tes commentaires. Alors j'ai rectifié la phrase dont tu m'as parlé car tu avais raison. Ensuite...
J'ai très envie que tu développes la phrase que j'ai soulignée car j'aimerai savoir qu'elle est pour toi sa démarche de pensée justement.
Cela dit pour te répondre, je dirai que je n'ai écouté personne à part mon personnage. Dans son esprit tout est terminé. Il est mort, pour ses amis, pour la société, pour sa famille. A ses propres yeux, il n'a plus d'existence. C'est pour cela que ça n'a pas d'importance de connaître son passé aussi vite. Pour les personnages (Landers, le commandant etc) c'est la même chose, ils n'ont plus de consistance pour lui.
par Shaï le Mer 30 Nov - 2:19
-- Le premier passage de narration a quelques problèmes de concordances
de temps. je n'avais pas lu "quelques années plus tôt, au large
d'hanoï" et je pensais qu'on était encore à Blue rock. Enfin, Dans le
sens où quand il parle de son paternel, de sont installation à Blue
rock, le passé n'est peut-être pas assez passé. (je veux dire, faut
utiliser du PqP quand tu passe de la narration au récit antérieur)
--
Aux vues de la suite, je dirais que ce passage est un peu trop
rapidement placé. Je veux dire, on sait tout de suite la moitié de sa
vie, alors que ça n'a pas lieu vraiment d'être, dans la démarche de
pensée du bonhomme. C'est vraiment trop pour le lecteur à mon goût.
Après, je sais que plein de gens vont te dire que ça va pas attirer le
lecteur si tu dis pas tout, tout de suite... mais faut pas écouter les
gens, et essayer surtout d'être cohérent x)
J'ai très envie que tu développes la phrase que j'ai soulignée car j'aimerai savoir qu'elle est pour toi sa démarche de pensée justement.
Cela dit pour te répondre, je dirai que je n'ai écouté personne à part mon personnage. Dans son esprit tout est terminé. Il est mort, pour ses amis, pour la société, pour sa famille. A ses propres yeux, il n'a plus d'existence. C'est pour cela que ça n'a pas d'importance de connaître son passé aussi vite. Pour les personnages (Landers, le commandant etc) c'est la même chose, ils n'ont plus de consistance pour lui.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Ah, j'ai vu que tu as posté un autre extrait.
Voici les corrections pour le 2e, j'irai lire le suivant au plus vite.
Je n'ai pas relevé les participes présent et les adverbes, mais il y en a trop. Essaie de les supprimer au maximum.
Voici les corrections pour le 2e, j'irai lire le suivant au plus vite.
Je n'ai pas relevé les participes présent et les adverbes, mais il y en a trop. Essaie de les supprimer au maximum.
- Spoiler:
- Au large d’Hanoï (Nord Vietnam)
Sur le Porte-avions Oriskany,
Le 20 octobre 1970 à 13:50 PM
Sur pont d’envol, quelques heures plus tard, nous étions tous prêts et en attente des instructions de décollage. Le briefing avait eu lieu et je devais bien avouer que cette fois, j’éprouvais une sale impression. Certes nos missions étaient toutes risquées, mais celle-ci l’était encore plus que toutes les autres. Notre cible, la centrale électrique qui alimentait Hanoi, virgule était fortement protégée et difficile d’accès. Notre objectif stratégique consistait à pousser les performances de nos “scooters” au maximum, à échapper aux radars et à piquer sur notre cible par surprise.
- Vos exploits étant mis de côté pour l’instant, virgule Linkford, vous prendrez la tête de cette mission comme prévu. Montrez-moi que vous n’êtes pas qu’un crétin patenté… Et faites-les tous >>> précise : "faites revenir vos coéquipiers", par exemple revenir en un seul morceau ! avait-il rajouté en laissant traîner son regard du côté de Jack.
Sur le tarmac, les mécaniciens de bord terminait les derniers réglages, virgule car tu changes de sujet et je vis Eric en train de boucler sa check-list. Ma gorge se serra. Combien de pilotes avaient-ilsla chance d’avoir leur meilleur ami, à leurs côtés, dans cette guerre ? Je n’avais jamais su lui dire à quel point il était important [pour moi] ou [combien il comptait pour moi], ça n’est pas le genre de choses qui se disaient >>> lourd facilement entre hommes. Alors à la place, je décidai d’aller l’asticoter un peu, avant le départ. Je grimpai sur l’aile >>> il ne peut pas monter sur l'aile. Il peut tout au plus grimper sur l'échelle qui mène au cockpit, et encore, si Erice boucle sa check-list, cela veut dire que le cockpit est fermé et qu'il est harnaché. Enfin, je pense. Faut que je vérifie. et le prit par surprise tandis qu’il plaçait une photo devant lui.
- Bordel Linkford ! Qu’est-ce que tu fous ici, tu devrais déjà être dans ton scooter ! dit-il en arrachant la photo.
- Qu’est-ce que tu caches ?
- Fiche-moi la paix et va te préparer !
- Allez ! Montre-moi ! Je la connais ?
- Si on te le demande, tu diras que non !
- Quoi ? Elle est tellement moche qu’elle pourrait me faire peur, c’est ça ?
- Va te faire voir, virgule Matt !
- Ben j’dirais pas non mais…
- Lieutenant Linkford ? La tour demande votre check ! nous interrompit un mécanicien de bord qui venait de s’accrocher à mon pantalon. >>> comme un petit enfant tire les pantalons de son père ? Ça ne va pas. A modifier.
- Mec tu me lâches immédiatement le caleçon !
- C’est ça, tire-toi Linkford ! rajouta Eric dans un sourire nerveux.
- Tu ne perds rien pour attendre, virgule Holder !
- Ouais ! Je tremble rien qu’à l’idée ma jolie !
>>> modifie tous les tirets de dialogue.
J’allumais mes instruments de vol et procédait à la vérification qui m’était demandée, pourtant mon esprit était ailleurs. J’étais préoccupé par ce que j’avais cru apercevoir dans le cockpit d'Eric. Nous avions tous pris l’habitude de coller sur nos tableaux de bord, une photo de la personne à laquelle on tenait le plus ; c’était une sorte de soutien moral, de gri-gri. Le problème c’est que la personne figurant sur celle que j’avais cru apercevoir entre les mains d’Eric ressemblait comme deux gouttes d’eau à Hélène… Le temps clair fit >>> verbe faible de notre début de mission pas de virgule une vraie promenade de santé. Comme toujours les soucis et les préoccupations que j’avais >>> verbe faible au sol disparurent et, ce n’est qu’à l’approche d’Hanoi, que les choses se compliquèrent.
>>> il faudrait enrichir ce passage en remplaçant les "faire", "être" et "avoir".
MATT : Cible identifiée. Paré à verrouiller.
CONTRÔLE : Roger. Alpha zéro vous avez le feu vert. Rapprochement à 400 nœuds. Cherchez contact radar.
MATT : Roger.
JACK LANDER : Target à 2.6.0
CONTRÔLE : Faites gaffe les gars, dès que vous vous serez rapprochés ça va être chaud pour vos fesses. Les missiles vont pleuvoir !
MATT : Pas d’inquiétude, virgule contrôle, >>> peut-être qu'il faut une majuscule, ici on va faire gaffe à nos postérieurs.
ERIC : J’ai le target en reconnaissance à vue.
JACK : Let’s rock les gars !
MATT (en voyant une volée de missiles arriver dans leur direction) : Merde ! J’ai l’impression d’être à la fête foraine, sauf que c’est nous >>> maladroit les canards ! Fais gaffe Eric t’en a un sur ta droite !
ERIC : Hippa !
MATT : Il faut se rapprocher de la cible.
JACK : Y en a un qui vient de m’accrocher !
ERIC : Vire à droite Jack ! Bordel vire à droite ! Il te colle. Décale ! Décale !
JACK : Nom d’un chien, je crois que je viens de me faire raser gratis là ! On a intérêt à déposer nos bébés et à se tirer le plus vite possible.
MATT : Ok les gars, on s’en sort pas si mal ! Il faut continuer ! Il faut l’avoir cette saleté de centrale !
JACK : C’est de pire en pire ! J’ai l’impression de voir une forêt de poteaux télégraphiques me foncer dessus !
MATT : Continuez ! Lâchez pas !
ERIC : Ça fait plus d'une heure qu’on fait mumuse, on va commencer à être short pétrole Alpha zéro.
MATT : Roger Alpha bravo, je fais un dernier arrosage et virer >>> il donne un ordre ou bien il dit qu'il va virer après ? au 140.
CONTROLE : Contrôle à Alpha zéro, il est temps de rentrer chez maman.
ERIC : T’as entendu Alpha zéro ? Faut dégager !
MATT : Je couvre vos arrières, allez-y !
JACK : Vous avez entendu le chef ? Let's go !
ERIC : Reste plus que nous Matt !
MATT : Je fais un dernier passage et on y va.
ERIC : Non Matt ! On y va tout de suite ! Matt ! Bordel, on est les derniers et je suis vraiment short là !
ERIC : Linkford décroche ! Décroche ! T’as un missile aux fesses ! Matt !
MATT : Je lâche d’abord les bombes !
ERIC : Décroche, je te dis ! Décroche, virgule nom de Dieu !
MATT : Touché ! Perte de contrôle ! Perte de contrôle ! Putain, je pars à la flotte !
CONTROLE : Alpha zéro répondez ! Alpha zéro !
ERIC : Matt ! Éjecte-toi merde ! Matt...
CONTROLE : Contrôle à Alpha bravo ? Contrôle à Alpha bravo ! Repliez-vous immédiatement ! Vous m’entendez ? Immédiatement ! C’est un ordre !
Parti en vrille, j’avais la tête qui cognait >>> ma tête cognait contre le cockpit comme une balle de jokari. Je ne réussis que par instinct, à trouver la poignée d’éjection un peu avant qu’un deuxième missile ne finisse le travail. Le souffle de l’explosion, virgule ou l’éjection peut-être, virgule me brisa la jambe et le bras droit en plusieurs morceaux >>> je doute qu'il sache à ce moment précis que ses os étaient brisés en plusieurs endroits. La douleur est assez intense pour qu'il n'ait pas conscience de ce détail, puisqu'il perd connaissance et je perdis connaissance.
Ce fut le contact de l’eau du lac Truc Bach qui me sortit de ma torpeur et ramena >>> raviva la douleur. Je levai les yeux vers le ciel et vit avec désespoir Eric faire un dernier passage au-dessus de la corolle de mon parachute [avant de] disparaître dans les nuages.
Blue Rock, Caroline du Nord,
Le 15 mars 1975, le soir.
J’ouvris les yeux quelques heures plus tard et fixais le plafond que les années avaient commencé à parcheminer. J’avais pu me reposer bien mieux que je n’avais pu >>> répétition et phrase maladroite l’espérer. Ça n’était pas tant que le sommeil me fuyait, au contraire, mais lorsque je lui cédais, il me replongeait systématiquement dans mes souvenirs, et croyez-moi vous n’auriez pas apprécié non plus. >>> dire que lui-même n'apprécie pas du tout suffit, car on imagine sans peine que ce soit difficile pour lui J’avais appris par force à me contenter d’un étrange sommeil durant lequel ma conscience restait toujours aux bords extrêmes de l’éveil. >>> J'avais appris par la force des choses à me contenter d'un sommeil léger durant lequel ma conscience restait en éveil (ou quelque chose dans le genre, car ta formulation est un peu lourde) Je descendis avec prudence, pour ne pas croiser qui vous savez et sortis me promener un peu.
Blue Rock était la même que dans mes souvenirs, une ville douce et tranquille, bercée par le rythme des saisons. Chaque pas que je faisais >>> verbe faible [pas de virgule] >>> "Chacun de mes pas résonnait..." résonnait dans mon corps et je ressentais avec une profonde acuité tout ce qui m’entourait. C’était ainsi depuis mon retour, plus je me sentais vide à l’intérieur, plus l’univers autour de moi me paraissait tangible. De la texture du sol, à l’air sur mon visage et jusqu’au goût que me laissait l’air salé au fond de la gorge, tout prenait une dimension, un existence nouvelle et me donnait l’impression insensée de faire partie intégrante de la ville tout en y étant parfaitement étranger.
Lorsque la maison de mon père apparut au détour d’une des ruelles, mon absence d’émotion me confirma mieux que n’importe quoi d’autre qu’elle n’avait jamais rien représenté pour moi. Nulle envie de retrouver les lieux de mon adolescence ou de revoir mon père. Rien. Et c’était confortable. Je sais que cela peut paraître incongru >>> c'est ce présent et le fait que le narrateur s'adresse directement au lecteur qui me paraît incongru. mais j’aimais ce néant. Pourtant, comme pour me tester, j’extirpais de ma mémoire [pas de virgule] les meilleurs souvenirs que j’en avais gardé : deux points, car il énumère un barbecue avec des voisins, une partie de basket jamais terminée, une discussion un soir de noël...C’était tTellement peu. Je regardais une dernière fois, virgule sans état d’âme, >>> il en a, pourtant, puisqu'il semble regretter de n'avoir pas vraiment joué au basket, que ses plantations n'aient pas plu à sa mère, ou que sa maison sente autant l'alcool le vieux panier de basket qui n’avait jamais provoqué de parties endiablées, les rosiers que j’avais plantés dans l’espoir imbécile qu’ils plairaient à ma mère, la porte d’entrée et ses relents d’alcool quand on l’ouvrait. Je fis tout de même un geste d’adieu un peu vague et je partis sans me retourner ; ma véritable destination n’était >>> faible pas là. >>> j'aime beaucoup cette fin d'extrait, touchante et nostalgique
B.- Talent Divin
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
J'ai très envie que tu développes la phrase que j'ai soulignée car j'aimerai savoir qu'elle est pour toi sa démarche de pensée justement.
Cela dit pour te répondre, je dirai que je n'ai écouté personne à part mon personnage. Dans son esprit tout est terminé. Il est mort, pour ses amis, pour la société, pour sa famille. A ses propres yeux, il n'a plus d'existence. C'est pour cela que ça n'a pas d'importance de connaître son passé aussi vite. Pour les personnages (Landers, le commandant etc) c'est la même chose, ils n'ont plus de consistance pour lui.
Ouff.... Alors en fait, c'est vachement compliqué à explicité. Enfin, pas vraiment, mais à saisir vraiment, je veux dire, et à le faire comprendre, mais je t'assure que c'est vraiment très important pour la concordance du récit.
On va dire qu'il existe plusieurs passé. Je vais définir et inventer des concepts, puisque je ne connait pas les travaux et les noms donné à ces façons de faire, m'enfin, dans l'idée, ça colle...
Le passé dit de narration,
On raconte quelque chose au passé, mais dans une continuité présent. C'est à dire que le narrateur est Lui aussi dans le passé, et raconte tout ce qui s'est passé dans le "présent du passé".
le passé dit de souvenir,
ça commence généralement au présent, ça présente très peu de dialogue, ou alors, de manière différente. c'est le récit d'un personnage présent (ou passé ?) qui va parler directement de son passé, et donc, qui l'a déjà vécu, et qui en parle comme quelque chose de passé. (Du type : je me rappelle une histoire qui a changé le cours de ma vie... Ou encore : Je me tenais là, devant ma tombe, et j'essayais de me remémorer tout ce que j'avais fait pour en arriver là. c'était à l'époque..."
Ces deux passé sont, dans la formulation, l'aménagement du texte, la pensée même du narrateur, très différente. Est-ce que la pensée du narrateur est centrée sur le personnage qui vit comme au présent ce qui est raconté au passé ? (passé de narration ?)
Ou plutôt est-ce que la pensée du narrateur est centrée sur le souvenir qu'il s'en fait, et donc, s'il accorde plus ou moins d'importance à des choses qu'ils ne se souvient pas.
C'est vraiment très différent. Ici, dans ton texte, on est dans une incohérence entre les deux. Déjà, on est dans du passé de narration directement centrée sur l'action présent du passé. (il se demande ce qu'il se passe, il est inquiet du son de l'alarme qui le réveille, ya des prises de conscience, des sentiment, des dialogues bien précis, et pas forcément retranscriptible pour un mec qui se souvient (parce qu'ils sont savoureux, mais n'ont pas de véritable intérêt pour le passé des souvenirs, pour le coup) et puis, ensuite, il y a dans ce qui est raconté, de temps en temps, des excursions dans la forme de passé souvenir, où ce serait le type en regardant la tombe, qui nous parle de cette époque. ça ne va pas non plus avec le "quelques années plutôt" qui est là de manière assez impersonnel, quand, pour une forme de passé de ce genre, j'aurai fait écrire le lieutenant sous la forme : "je me souviens..."
Enfin, voilà !
En plus, quand on revient au "présent" (blue rock) on est encore au passé. Ce qui fait que si jamais ce sont des souvenirs, et non pas de la narration flash back, ça devraient être au Plus que Parfait.... !
Je ne sais pas si je me suis fait bien comprendre, mais voilà, c'est vraiment important, même si ça semble chipoter. Il me semble qu'il faille revoir ta cohérence de narration à ce niveau là... !
Shaï- Talent Habitué
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
J'aimerai comprendre mais en fait ça n'est pas du tout le cas Shaï. Peux-tu me donner des exemples concrets ?
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
*pleure*
Bah, hum... C'est une question de feeling... et aussi de point de vue.
Exemple... Bon je vais raconter deux fois la même histoire sous un passé différent.
Passé Souvenir (donc, présent qui pense au passé) :
Je me souviens l'autre jour, j'ai rencontré une belle brune, magnifique. Elle s'appelait Lucie, et faisait ses courses dans un supermarché en même temps que moi. Je tournais depuis un moment à la recherche d'une boîte de lait, obnubilé et agacé par les incessantes opérations marketing sous la forme de réorganisation des rayons quand je suis pratiquement tombé dessus.
"oh, excusez moi...
-- non, non, c'est moi, je suis désolée !"
sa voix était douce et belle, j'ai levé les yeux, et c'est à ce moment là que je me suis rendu compte à quel point elle était magnifique."
Passé Narration (ou passé narré comme un présent)
J'étais au super marché, et je rageais contre les différentes réorganisation des rayons. Foutu bordel... tout ça pour me faire aller dans de nouveaux rayons ! C'était une tactique bien rodée, qui consistait à perdre le client. Une fois perdu, sûr qu'il allait regarder autour de lui, et, par exemple, acheter des boissons gazeuses quand il cherchait simplement une botte de carotte...
Soudain, je trébuchai sur quelqu'un. J'étais trop occupé à chercher le lait, et ne l'avais pas vu. Je marmonnai un bref "oh, excusez moi...", quand la plus belle voix du monde me répondit : "Non, non, c'est moi, je suis désolée !"
je m'arrêtais, estomaqué. Cette voix était si douce, si calme, si profonde, que je ne pus m'empêcher d'oublier mon lait. Mes yeux se dirigèrent vers la bouche qui les avait prononcé, et ne purent s'en détacher. J'avais devant moi la plus belle femme que j'avais jamais vue... !
Troisième forme : passé souvenir par le passé (donc, passé de narration dans lequel il y a un passé de souvenir, avec du Plus que Parfait)
J'étais devant sa tombe. Lucie... à chaque foi que je venais ici, je me remémorais comment nous nous étions rencontrés. C'était dans un SuperMarché. J'avais grand peine à trouver du lait, à cause de ces diverses opérations marketing, quand je lui étais rentré dedans sans faire attention. j'avais eut la révélation. La plus belle femme que j'avais jamais vue ! Nous avions beaucoup discuté, je l'ai même poursuivie jusque chez elle, en la harcelant quasiment. Elle en était charmée. Elle avait finit par se laisser séduire, et nous avions convenue d'un rendez-vous...
etc etc !
ça te va, comme exemple ?
L'important, c'est de savoir quand est-ce que le narrateur se situe, puisqu'il ne va pas voir les choses de la même manière ou ne va pas raconter la même chose. (cela dit, il peut raconter exactement pareil, mais dans la seconde forme, il ne peut pas zapper des trucs aussi facilement que dans les autres formes...!)
Bah, hum... C'est une question de feeling... et aussi de point de vue.
Exemple... Bon je vais raconter deux fois la même histoire sous un passé différent.
Passé Souvenir (donc, présent qui pense au passé) :
Je me souviens l'autre jour, j'ai rencontré une belle brune, magnifique. Elle s'appelait Lucie, et faisait ses courses dans un supermarché en même temps que moi. Je tournais depuis un moment à la recherche d'une boîte de lait, obnubilé et agacé par les incessantes opérations marketing sous la forme de réorganisation des rayons quand je suis pratiquement tombé dessus.
"oh, excusez moi...
-- non, non, c'est moi, je suis désolée !"
sa voix était douce et belle, j'ai levé les yeux, et c'est à ce moment là que je me suis rendu compte à quel point elle était magnifique."
Passé Narration (ou passé narré comme un présent)
J'étais au super marché, et je rageais contre les différentes réorganisation des rayons. Foutu bordel... tout ça pour me faire aller dans de nouveaux rayons ! C'était une tactique bien rodée, qui consistait à perdre le client. Une fois perdu, sûr qu'il allait regarder autour de lui, et, par exemple, acheter des boissons gazeuses quand il cherchait simplement une botte de carotte...
Soudain, je trébuchai sur quelqu'un. J'étais trop occupé à chercher le lait, et ne l'avais pas vu. Je marmonnai un bref "oh, excusez moi...", quand la plus belle voix du monde me répondit : "Non, non, c'est moi, je suis désolée !"
je m'arrêtais, estomaqué. Cette voix était si douce, si calme, si profonde, que je ne pus m'empêcher d'oublier mon lait. Mes yeux se dirigèrent vers la bouche qui les avait prononcé, et ne purent s'en détacher. J'avais devant moi la plus belle femme que j'avais jamais vue... !
Troisième forme : passé souvenir par le passé (donc, passé de narration dans lequel il y a un passé de souvenir, avec du Plus que Parfait)
J'étais devant sa tombe. Lucie... à chaque foi que je venais ici, je me remémorais comment nous nous étions rencontrés. C'était dans un SuperMarché. J'avais grand peine à trouver du lait, à cause de ces diverses opérations marketing, quand je lui étais rentré dedans sans faire attention. j'avais eut la révélation. La plus belle femme que j'avais jamais vue ! Nous avions beaucoup discuté, je l'ai même poursuivie jusque chez elle, en la harcelant quasiment. Elle en était charmée. Elle avait finit par se laisser séduire, et nous avions convenue d'un rendez-vous...
etc etc !
ça te va, comme exemple ?
L'important, c'est de savoir quand est-ce que le narrateur se situe, puisqu'il ne va pas voir les choses de la même manière ou ne va pas raconter la même chose. (cela dit, il peut raconter exactement pareil, mais dans la seconde forme, il ne peut pas zapper des trucs aussi facilement que dans les autres formes...!)
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
Barbara a écrit:Ah, j'ai vu que tu as posté un autre extrait.
Voici les corrections pour le 2e, j'irai lire le suivant au plus vite.
Je n'ai pas relevé les participes présent et les adverbes, mais il y en a trop. Essaie de les supprimer au maximum.
[spoiler]Au large d’Hanoï (Nord Vietnam)
Sur le Porte-avions Oriskany,
J'ai corrigé et nettoyé le texte de ses participes présent et adverbes. J'espère que c'est mieux ^^
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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Le récit des traitements infligés à Matt est vraiment prenant et correspond à ce que j’ai lu. J’ai apprécié le non- dit : tu parles d’une table munie de sangles, d’une sorte d’établi et d’une grande bassine mais tu laisses le lecteur imaginer l’emploi qui en est fait.
J’aurais aimé avoir plus de précisions sur les blessures, ainsi que sur la nourriture à Little Végas et à la Plantation.
Dans la phrase « Sans doute pas assez rapide à son goût, un des gardiens me souleva par le bras droit. » le sujet du verbe devrait être la personne qui n’est pas assez rapide. Mais même des auteurs reconnus s’autorisent la même construction que toi.
Dans le dernier paragraphe, il y a des confusions entre imparfait et passé simple. Je mettrais avançais,grimpais,acceptais,sursautais,reposais au passé simple.
Tu as parfaitement le droit de me trouver pinailleur mais n’oublie pas que j’ai du plaisir à te lire.
J’aurais aimé avoir plus de précisions sur les blessures, ainsi que sur la nourriture à Little Végas et à la Plantation.
Dans la phrase « Sans doute pas assez rapide à son goût, un des gardiens me souleva par le bras droit. » le sujet du verbe devrait être la personne qui n’est pas assez rapide. Mais même des auteurs reconnus s’autorisent la même construction que toi.
Dans le dernier paragraphe, il y a des confusions entre imparfait et passé simple. Je mettrais avançais,grimpais,acceptais,sursautais,reposais au passé simple.
Tu as parfaitement le droit de me trouver pinailleur mais n’oublie pas que j’ai du plaisir à te lire.
ferdi- Talent Expérimenté
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Re: Commentaires : L'ombre du passé
ferdi a écrit: Le récit des traitements infligés à Matt est vraiment prenant et correspond à ce que j’ai lu. J’ai apprécié le non- dit : tu parles d’une table munie de sangles, d’une sorte d’établi et d’une grande bassine mais tu laisses le lecteur imaginer l’emploi qui en est fait.
J’aurais aimé avoir plus de précisions sur les blessures, ainsi que sur la nourriture à Little Végas et à la Plantation.
Dans la phrase « Sans doute pas assez rapide à son goût, un des gardiens me souleva par le bras droit. » le sujet du verbe devrait être la personne qui n’est pas assez rapide. Mais même des auteurs reconnus s’autorisent la même construction que toi.
Dans le dernier paragraphe, il y a des confusions entre imparfait et passé simple. Je mettrais avançais,grimpais,acceptais,sursautais,reposais au passé simple.
Tu as parfaitement le droit de me trouver pinailleur mais n’oublie pas que j’ai du plaisir à te lire.
Au contraire ferdi, je suis là pour apprendre et je suis ravie que tu prennes le temps de me lire, de me faire part de ton ressenti et de me corriger. Par contre, je m'aperçois grâce à vos correction, que j'ai des failles dont je n'avais pas même conscience (le placement des virgules, les confusions de temps, l'abus des participes présents etc ) Si on rajoute celles que je connais intimement (mon manque de clarté, ma tendance à avoir un style ampoulé et emphatique etc) y a pas à dire le chemin va être très très long
ps : c'est vrai, c'est à dessein que j'ai mentionné la table et que j'ai laissé l'imagination du lecteur faire le reste mais ça ne sera pas toujours le cas. Pour ce qui est de la nourriture j'ai en tête une partie de l'histoire, où on voit à quel point mon personnage peut être affamé et que ce qu'il lui arrive de faire pour survivre. J'écrirais cette partie et je l'insèrerai plus tard je pense.
OmbreD'azur- Talent Hasardeux
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