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Le Véritable Visage de la Lumière

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Le Véritable Visage de la Lumière - Page 8 Empty Re: Le Véritable Visage de la Lumière

Message  Pacô Ven 11 Déc 2009 - 20:15

Pour les corrections du passage précédent:
Non, Napoléon est "l'empereur des français" et je dirais même l'empereur de tous les français, si l'on voulait garder l'expression exacte.
Certes, il est aussi empereur de France, mais là tu vois, c'est une question de saveur. Et je pense que beaucoup de ceux qui partagent mes goûts prononcés pour ce passage de l'histoire m'en voudront d'être passé à côté de l'expression culte ^^.
Tu vas quand même pas me dire que tu as jamais écouté cette appellation ô combien répétée:
"Napoléon Bonaparte, Empereur des français !"
Et pour prouver le tout, mon ami google est encore un bon copain:
http://www.google.fr/search?q=empereur+des+fran%C3%A7ais&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla🇫🇷official&client=firefox-a

J'ai bien dit un "air sage". Les airs sont les choses à première vue, les aspects du visages qui reflètent plus ou moins bien le caractère de la personne.
Je ne dis donc pas qu'il est sage et qu'il en sait plus que toi du haut de ses 19-20 ans (oui le voilà son âge. Je crois que je le donne à un moment, mais tu peux te douter du "à peu près" sachant que c'est un étudiant qui vit encore à moitié chez ses parents), mais bien qu'il donne l'impression d'être un gamin intelligent et réfléchi.

Je laisse sursauter pour l'instant alors Smile.
Pour "la ville et ses buildings de plus en plus grands", je ne vois pas ce qui pose problème en fait.
Comment conjuguerais-tu ceci:
"La maman et son fils de plus en plus polisson (assister) au spectacle du clown Bonzo." ?
C'est de même pour la ville et ses buildings oO.

Sinon, merci beaucoup pour les deux longues propositions de phrases pour le passage que tu trouvais plus enfantin. J'ai repris comme un bon élève qui copie ce que son prof lui dicte. Je ne trouve pas mieux et tes tournures me plaisent Wink.

Pour l'extrait suivant:

Même chose que pour l'ancien. J'ai repris une majeure partie de ce que tu as proposé/exigé (XD).
Sauf ces quelques là:

Déjà, certaines corrections que je n'ai bonnement pas du tout comprises:
azul a écrit:Il l’inséra dans son oreille (là ou dans la boule noire du lobe ?) ; elle grésilla et engourdit ses tympans.
Là je n'ai tout simplement pas compris ce que tu voulais me dire ? Quelle boule noire ? La puce ? Mais pourquoi la boule noire du lobe... ? oO
(et c'est quoi "là" ? ^^)

azul a écrit:
Marc se concentra sur l’accueil et il n’eut aucun mal à apercevoir le logo des messages qui scintillait par intermittences. (par moments, dit Larousse. Caractère de ce qui est coupé d'interruptions : L'intermittence d'une source. Seul le Jouette cite « intermittence(s) » Pour ma part, le pluriel me surprend.)
On se la refait ? ^^
Tu me proposes quoi au final ? Parce que je n'ai pas tout compris.

Puis ensuite, des choses que je conteste:


azul a écrit:
Il faisait partie des clients dont le système mental ne fonctionnait pas avec eux (avec qui ? Tu ne donnes la réponse qu’à la phrase suivante. Il vaudrait peut-être mieux la mettre ici). Ou très mal. Les techniciens de l’agence Psychie, principale productrice de cet appareil, avaient prétendu, après avoir doucement ri en voyant l’allure ancestrale de la puce, que certains utilisateurs bloquaient, inconsciemment, la partie désirée du cerveau à la structure informatique du gadget.
Non, là ça ne va pas. C'est une erreur de compréhension qui ne vient malheureusement que de toi ^^.
Le "eux" ne reprend pas les "techniciens de Psychie" mais "les clients" c'est à dire, trois mots avant u_u".
En d'autres termes, cette phrase signifie: Marc fait partie des clients qui n'arrivent pas à faire fonctionner le gadget par la force mentale.

azul a écrit: Qu’ils étaient drôles (Étaient-ils drôles) !
Non ! Tout simplement parce que tu transformes complètement ce que je voulais faire passer.
"Qu'ils étaient drôles !" c'est du sarcasme, de l'ironie, de l'antiphrase voire de la moquerie.
"Étaient-ils drôles ?" c'est une question qui annule cet effet puisque même sous une forme rhétorique, fait un semblant d'interrogation: ce n'est plus une antiphrase, Marc ne veut pas de réponses et puis... c'est déjà suffisant pour dire non. Na ! Razz

azul a écrit: Il avait hérité de cette anxiété abusive de sa mère. (tu ne l’as pas dit dans le premier chapitre ça ?)
Nous sommes toujours au premier chapitre ^^.
Mais sinon, j'ai dit juste avant que sa mère était très anxieuse et qu'il ne voulait pas l'inquiéter avec ses examens.

azul a écrit: Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés (pardon ? Comptés tu veux dire ?) à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?
Non plus. C'est bien "contés" du verbe "conter" et qui signifie raconter.

azul a écrit:Il profita de son passage sur sa boîte de réception pour envoyer un message (ah ! On serait plutôt dans le répertoire) à son meilleur ami, Roald, et ainsi le prévenir de son arrivée.
Euh... moi j'envoie tout à partir de ma boite de réception. En faisant "nouveau message". C'est ptètre pas la même chose dans les portables de mamie Smile.
Razz
(je plaisante hein u_u")

azul a écrit:
Les deux garçons s’étaient élevés (hein ? c’est quoi cette expression ? J’ai une impression d’élevage de poulets^^ « Les deux garçons avaient grandi ensemble. » Point) ensemble tout au long de leur enfance.
Tu sais que tu m'as fait douter cinq secondes quand même ?
Mais je suis allé consulter mon ami et il faut croire que beaucoup de parents considèrent leurs enfants comme des poulets:
http://www.google.fr/search?q=%C3%A9lever+des+enfants&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla🇫🇷official&client=firefox-a

azul a écrit: Et surtout, (pas de virgule) chargé de préjugés … tellement que l’on se demandait encore aujourd’hui comment il faisait pour garder la tête haute devant une glace, sans s’affaisser. (qui ? le quartier ?)
Oui, encore une histoire de personnification. Le quartier est considéré comme un individu, un individu représentatif de tous ses habitants. Arf', on se comprend jamais sur ces points là u_u".

azul a écrit:Les Pasceli, quant à eux, avaient été soufflés de plein fouet par la crise et il nécessita (avait nécessité) moins d’un an pour réduire le patrimoine familial au dixième de sa valeur. La firme la plus prisée de toute la section eurasiatique (il n’y a plus de majuscule ?) – une pionnière de la technologie électropsychique – était entrée en procédure de faillite en quelques mois, sans avoir eu le temps de pousser un cri de détresse.
Je ne critique pas la conjugaison, je les ai toutes bien reprises scrupuleusement en élève honteux que je suis.

Mais écrivons-nous: "les français ont gagné la coupe du monde" ou "les Français ont gagné la coupe du monde" ? Le Véritable Visage de la Lumière - Page 8 Icon_scratch

azul a écrit:multisections (une entreprise multisection, des entreprises multisections)
Teuh teuh !
Je reste maître des mots que j'invente quand même Razz !

J'étais parti sur la logique de la multisections, avec "s", parce que ça englobe plusieurs sections.
C'est sûr, je tranche avec l'orthographe de "multinational" mais je fais ce que je veux: pouet pouet.


Bon et pis wala.
Sinon, que les passagers du train soient un peu éludés, c'est voulu. En même temps, ça va avec la situation. Les cabines sont des bulles, et là, sans emprunter l'expression à une chanteuse que je n'apprécie pas, Marc s'enferme dans sa bulle. Et on a droit à un tour d'horizon de ses pensées et, à travers elles, un balayage rapide de l'environnement dans lequel il évolue. Et quand je dis "rapide", c'est voulu. Pour ce genre de récit, le premier reproche fait aux jeunes auteurs, c'est leur volonté de tout vouloir bombardé leurs idées sur ce nouveau monde et leur intrigue dès les six premières pages... et écrire du vide sur les cents suivantes.

Et il y a une transition de huit lignes, tout juste, entre l'action et le retour aux pensées de Marc par une explication rapide (encore une fois) de qui sont ces gaillards qui ont foutu le ramdam à Leipzig.
Sinon, je te l'accorde, on se serait posé quelques questions. Et encore, c'est à travers les pensées et les réflexions de Marc que tu vois cet Empire. Sinon, je pense que tu aurais pu lire d'autres façons de voir les choses: positivement ou non.

Et ne pas parler de l'Empire immédiatement, je crois que c'est obligatoire sachant que toute l'intrigue de ce premier tome est basé sur "Who is it ?" et un peu sur: "Are they good?".
Tout ce que le lecteur a besoin de savoir est dit,en d'autres termes et si je ressors mon bon vieux plan du fond d'un tiroir:

  • La République a failli se casser la gueule
  • Une organisation encore inconnue jusqu'alors est apparue et a répondu aux besoins de la République qui tombait dans un gouffre.
  • La République a accepté parce qu'elle ne pouvait pas trop se permettre de faire autrement si elle voulait ne pas disparaître.
  • Mais aujourd'hui, environ une petite décennie plus tard, on s'aperçoit que cette organisation influence énormément la planète et s'accapare beaucoup de pouvoirs.
Mais on ne va pas dire qui sont-ils. Sinon, l'intrigue, la curiosité... etc, tout s'évapore en quelques mots Smile.
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Message  azul Ven 11 Déc 2009 - 21:27

Pacô, juste ça pour l'instant
Autour, la ville effarée et ses buildings de plus en plus grands assistaient, comme les passagers courbaturés, à ce mystérieux déploiement.
Qu'est-ce que tu veux dire par "la ville et ses buildings" ? Les gens qui sont dans la rue, plus ceux qui sont dans les buildings ?

J'ai posé la question sur le forum des correcteurs et j'attends la réponse.
Je poserai aussi celle sur "les enfants s'étaient élevés ensemble", parce que "élever des enfants" ok, "j'avais élevés les enfants ensemble" ok, mais "s'être élevé ensemble" pour parler des enfants, je ne connais pas.
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Message  Kain Ven 11 Déc 2009 - 22:15

4eme extrait, donc:


Ah enfin de l'action ca faisait longtemps. J'ai bien aimé ce passage, les choses avancent.

Deux, trois points:

*Tu te laisses emporter par ton lyrisme à écrire des choses dont on n'est pas sûres qu'elles aient une queue, ou bien une tête.
*On ne sait pas vraiment où est la mère quand le héros rentre dans la maison fatale, elle gare la voiture tout ce temps?
*Ca va mener quelque part ces fauteuils qui parlent, ou ces horloges qui participent à la baston? Parce que t'en parles beaucoup et ça fait un peu bizarre si c'est juste une métaphore. Tu voulais montrer l'attachement du héros à ses vieux murs, ou ca correspond à une réalité?

Les remarques habituelles, glanées en cours de lecture:

la porte d’entrée finement ciselée dans les murs

Là encore la licence poètique n'excuse pas tout, ciseler veut dire tailler au ciseau, si elle est finement ciselée dans les murs c'est que c'est une porte en trompe l'oeil. Et ciselé s'appliquant au travail délicat, généralement du métal ou de la pierre, une porte ciselée, bof. 'élégamment taillée dans du chêne', par exemple.

Le bois était élimé

Non les tissus s'éliment, le bois il s'use, se râcle, part en copeau, etc...

Les fines dentelles de métal noir qui formaient un sombre voile devant les yeux de la porte

Là ça peut venir de moi, mais je comprend pas ce que tu cherches à représenter.


ce sentiment de sérénité feintée

feintée c'est synonime d'esquivée, donc feinte tout court, mais vu qu'on ne sait toujours pas si il y a quelqu'un c'est un peu fort. 'fausse sérénité'?



Les palpitations de son cœur atteignirent brusquement une telle fréquence que Marc doutait que ce fût tolérable pour un simple homme.

Il a un oscilloscope pour vérifier la fréquence? Là ça fait un peu nature et découverte, test du ryhtme cardiaque.

'Les palpitations de son cœur devienrent si violentes que Marc doutait qu'il puisse le tolérer longtemps.'

Quelle nouvelle créature Marc aurait-il à affronter ?

Pourquoi nouvelle? Il sort pas d'un match de catch avec un dragon.

une voix enrouée par la panique

Euh, haut perchée, aïgue, sont deux effets que la panique a sur la voix, mais enrouée c'est plus un bon rhume quand même. T'as essayé de copier l'expression 'enrouée par l'émotion', et je trouve pas ça très heureux.

, comme deux chatons en duel

Pourquoi chatons, et pas chats? C'est des nains les deux personnages?
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Message  Pacô Ven 11 Déc 2009 - 23:27

Kain a écrit:
Les fines dentelles de métal noir qui formaient un sombre voile devant les yeux de la porte

Là ça peut venir de moi, mais je comprend pas ce que tu cherches à représenter.
La maison est une vieille aristocrate, depuis le départ (et surtout depuis l'extrait précédent).
Une vieille aristocrate ruinée et endeuillée par la perte de sa fortune dirons-nous Rolling Eyes.
Mais sinon, ce ne sont que des métaphores que mon esprit toqué adore répandre un peu partout dans le texte Very Happy.

Donc voilà, j'ai pris tout le reste sinon !

Kain a écrit:
*Tu te laisses emporter par ton lyrisme à écrire des choses dont on n'est pas sûres qu'elles aient une queue, ou bien une tête.
*On ne sait pas vraiment où est la mère quand le héros rentre dans la maison fatale, elle gare la voiture tout ce temps?
*Ca va mener quelque part ces fauteuils qui parlent, ou ces horloges qui participent à la baston? Parce que t'en parles beaucoup et ça fait un peu bizarre si c'est juste une métaphore. Tu voulais montrer l'attachement du héros à ses vieux murs, ou ca correspond à une réalité?

La mère est partie ranger la voiture, elle est en retrait. J'ai renforcé l'idée à cette phrase:
". Marc s’apprêtait à rebrousser chemin et prévenir sa mère, partie garée la berline dans le garage, quand tout à coup un bruissement de vêtement le tétanisa et lui proscrivit toute retraite. "
Et à la fin, j'ai mis ça:
Sa dernière pensée avant de s’évanouir tout à fait alla pour sa mère et il pria, faute de mieux, pour que ces individus ne la croisent pas lorsqu’elle rejoindrait l’entrée
Voilà qui explique un peu mieux je pense. Smile

Le mobilier qui participe à la baston, comme tu dis, c'est une première approche fantastique, un effleurement je dirais plutôt. Ils n'auront aucune implication dans l'histoire, ils ne se transformeront pas en super-héros qui sauveront la planète. Mais pas seulement.

Cette vision est aussi de l'étrange. La peur de Marc lui fait voir un peu tout et n'importe quoi (et surtout, croire en n'importe quoi). J'ai trouvé que c'était une manière d'illustrer cette angoisse à travers des constations qui pourraient s'avérer surnaturelles mais qui en fait ne le sont pas. Marc n'a qu'une impression.
Et ensuite, que l'homme se heurte à l'un d'eux, c'est une simple coïncidence que Marc interprète un peu différemment. Mais comme nous le ferions tous en pareille circonstance Smile.

Donc en gros, c'est un combiné. Ce choix d'approche n'est pas innocent et il y aura forcément un lien avec la suite. Mais je voulais aussi souligner et illustrer avec d'autres manières la situation. Parler de la peur comme on le lit partout, c'est très peu pour moi. Je voulais faire passer autrement. Si je l'ai raté, tant pis. Mais je ne pense pas le changer de sitôt non plus.

Et mon lyrisme, il est inhérent à ma plume. Je ne peux pas m'en séparer; ce serait renier ma façon d'écrire pour une manière qui ne me conviendrait pas du tout.
Et puis, certains aiment d'autres non. Mais ce n'est pas parce que certains n'aiment pas le chocolat qu'un chocolatier doit changer de profession.

Azul:
Par ville et buildings, je voulais simplement dire "ville" et "buildings".
Comment dire, c'est une manière de faire "plus important". J'ai emprunté cette technique à Hugo, mais lui-même s'était inspiré de je ne sais plus qui. Et puis, ça, on peut s'autoriser à l'emprunter sans se faire traiter de voleur Razz.

En gros, pour faire mieux que: la ville assiste, on veut donner un effet d'importance ou d'accumulation si tu préfères pour donner l'impression au lecteur que c'est vraiment énorme.
La ville et ses buildings de plus en plus grands.

Pour les plus adorateurs de la figure de style, on peut aussi essayer de voir que les buildings sont les habitants de la ville et que c'est donc la ville et par extension tous ses habitants qui assistent à la scène sans faire de mouvements.

Mais mon idée première était liée à Hugo. C'est en l'écrivant et recevant l'avis d'une prof amie de ma mère que je me suis dit que l'idée de se la jouer comme ça n'était pas mal non plus.

Et je pense qu'il faut conserver le pluriel. Mais oui, attendons l'avis des correcteurs hiérarchisés XD.
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Message  azul Sam 12 Déc 2009 - 15:38

En gros, pour faire mieux que: la ville assiste, on veut donner un effet d'importance ou d'accumulation si tu préfères pour donner l'impression au lecteur que c'est vraiment énorme.
La ville et ses buildings de plus en plus grands.

Pour les plus adorateurs de la figure de style, on peut aussi essayer de voir que les buildings sont les habitants de la ville et que c'est donc la ville et par extension tous ses habitants qui assistent à la scène sans faire de mouvements.

Mais mon idée première était liée à Hugo. C'est en l'écrivant et recevant l'avis d'une prof amie de ma mère que je me suis dit que l'idée de se la jouer comme ça n'était pas mal non plus.

Et je pense qu'il faut conserver le pluriel. Mais oui, attendons l'avis des correcteurs hiérarchisés XD.
Voici ma question et une réponse, qui je pense va te satisfaire :

azul47 a écrit:
"La ville effarée et ses buildings de plus en plus grands assistaient à ce mystérieux déploiement."
Pour moi, c'est la ville effarée qui assiste au déploiement. Les buildings sont dans la ville, une information secondaire (ou complémentaire pour décrire la ville). Je n'arrive pas à me résoudre au pluriel de ce verbe. À moins qu'il veuille dire : les gens qui sont dans la rue, plus ceux qui sont dans les buildings...


L'accord ne dépend pas du sens que vous attribuez aux mots mais de la construction de la phrase. Vous avez ici deux sujets, reliés par une conjonction de coordination (et). Le verbe est donc obligatoirement au pluriel. Et si, après avoir respecté la grammaire, je m'attarde sur le sens de la phrase, je dirai qu'elle est très évocatrice, puisque les buildings y sont traités comme des êtres vivants qui assistent à quelque chose. C'est beaucoup plus puissant que si leur mention n'était, comme vous le dites, qu'une information secondaire. (A propos, cette phrase m'évoque le magnifique Manhattan Transfer de John Dos Passos, dans lequel la ville et ses buildings en construction sont également quasi personnifiés.)
Un building qui regarde, c'est une très belle image. J'aime bien.
D'ailleurs, quand vous écrivez : « À moins qu'il veuille dire : les gens qui sont dans la rue, plus ceux qui sont dans les buildings... », il me semble que, pour vous, la ville qui assiste, ce sont les habitants de la ville. Alors que pour l'auteur, apparemment, c'est vraiment la ville, la ville comme un tout, bâtiments + gens, et même peut-être la ville sans les gens, la ville comme amas de pierres, comme matière bâtie, bref : comme ensemble de buildings. Il faudrait lire au moins quelques pages du livre pour en juger.
Ce n'est pas ce que tu as voulu faire ? Personnifier les buildings ?
Bon en tout cas tu avais raison : accord au pluriel. Je crois que j'ai surtout eu un problème de compréhension avec cette phrase. Ça m'a un peu beaucoup dérouté^^
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Message  Pacô Sam 12 Déc 2009 - 16:31

Eh bien je crois que ton interlocutrice a tout à fait cerné ce que je voulais faire.
Sauf qu'elle le fait mieux comprendre que moi.

Donc oui, je voulais personnifier les buildings (d'ailleurs si tu me lis encore un peu quelques fois, tu remarqueras que la personnification et moi, nous faisons tout ensemble u_u". Ou presque, j'essaie de ne pas trop en abuser non plus. Kain pourra te dire que lui, ça lui déplaît ^^).

C'est pour rajouter de la puissance qu'on met les buildings en plus de la ville, même si la ville englobe les buildings. Parce que ça fait l'ensemble la ville, plus tous un tas d'êtres d'acier qui contemplent cette arrestation.

Enfin bref, je ne vais paraphraser la réponse que tu as postée u_u".

PS: Et je note pour le magnifique Manhattan Transfer de John Dos Passos. Je ne connais pas encore Smile.
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Message  azul Sam 12 Déc 2009 - 20:45

ton interlocutrice
Interlocuteur chizz Un correcteur qui a trente-cinq ans de métier ; tu imagines donc à quel point sa réponse est parole d'Evangile pour moi.

Ok, je vais faire attention à tes images de personnification maintenant.

PS : je ne connais pas non plus cet auteur ni ce roman.

PS2 : suis crevée, je bosse ce week Sad
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Message  Pacô Sam 12 Déc 2009 - 23:26

Bon courage alors ...

Désolé pour ce cher monsieur. Je serai enchanté de le rencontrer un jour moi Smile.
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Message  azul Dim 13 Déc 2009 - 15:25

Bon, je vais essayer de ne pas me perdre sur les deux pages.
Pour ce qui est de l'âge de ton personnage, comme tu utilises les expressions "jeune homme", "jeune garçon", on a quand même envie de situer. Je le glisserais (conditionnel) ici :

Le jeune garçon n’aurait su dire par quelle réaction exacte ; ne lui restait qu’une vague notion sur les acides et les bases acquise durant l’apprentissage obligatoire à l’école généraliste parisienne, un vieux lycée à mi-chemin entre les gargouilles de Notre-Dame et les gravillons du champ de Mars. Aujourd'hui, à dix-neuf ans, son domaine intellectuel était davantage centré sur les sciences humaines ou l’histoire en général.

Ce que tu n'as pas compris :
Il l’inséra dans son oreille (là ou dans la boule noire du lobe ?) ; elle grésilla et engourdit ses tympans.
Là je n'ai tout simplement pas compris ce que tu voulais me dire ? Quelle boule noire ? La puce ? Mais pourquoi la boule noire du lobe... ? oO
(et c'est quoi "là" ? ^^)
Marc y fourra sa main et saisit une petite puce électronique. Sa taille, aussi grosse que l’ongle du majeur, témoignait de sa vétusté. (Et) les gens souriaient lorsqu’ils remarquaient une petite boule noire dans le lobe de son oreille, comme les boules quiès de grands-mères. Cependant, elle contenait tout de même une centaine de fonctionnalités différentes et une archive de plusieurs milliers de musiques… la moitié des disponibilités des puces modernes. Un petit voyant rouge clignotait, signe d’un nouvel événement. Il l’inséra dans son oreille

Je ne comprends pas ce qu'est la petite boule noire dans le lobe de son oreille et quel rapport elle a avec la puce qu'il introduit dans son oreille. D'abord, si la boule noire est dans le lobe de l'oreille, ça n'a rien à voir avec une boule qui est-ce^^. Et ensuite, comment ça "il introduit la puce dans son oreille" ?
le logo des messages qui scintillait par intermittences. (par moments, dit Larousse. Caractère de ce qui est coupé d'interruptions : L'intermittence d'une source. Seul le Jouette cite « intermittence(s) » Pour ma part, le pluriel me surprend.)
Le Larousse donne le mot "intermittence" au singulier. Le jouette ( Robert "orthographe et expression écrite") propose le mot au singulier et met le "s" entre parenthèses. Comme "par intermittence" signifie "par moments (pluriel), je ne comprends pas pourquoi tu l'écris au pluriel.

Ce que tu conteste :
En d'autres termes, cette phrase signifie: Marc fait partie des clients qui n'arrivent pas à faire fonctionner le gadget par la force mentale.

Alors dis-le de façon plus explicite. Il commande vocalement la boîte de reception et "Ils faisait partie des clients qui n'utilisaient pas leur système mental. Ou très mal...
"Étaient-ils drôles ?" c'est une question qui annule cet effet puisque même sous une forme rhétorique, fait un semblant d'interrogation: ce n'est plus une antiphrase, Marc ne veut pas de réponses et puis... c'est déjà suffisant pour dire non
Je n'ai pas dit "Étaient-ils drôles ?" mais "Étaient-ils drôles !". La ponctuation ce n'est pas là pour faire joli, elle sert exprimer une intonnation. Donc exclamation avec toute la dérision que tu voulais y mettre. Et en plus c'était dans le ton de ce jeune érudit, voilà pourquoi je te l'avais proposé.
Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés (pardon ? Comptés tu veux dire ?) à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?
Non plus. C'est bien "contés" du verbe "conter" et qui signifie raconter.
Là, j'ai eu un moment de doute à cause de ce qui précède. Le garçon est apparemment souvent privé de son père qui travaille dur, au point même de passer certains de ses anniversaires sans lui. Puis "Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?" Quelque chose ne va pas dans cette phrase. Quel moments chaleureux a-t-il pu lui raconter au retour d'une opération chirurgicale ? Surtout un jour d'anniversaire. Ou pas, d'ailleurs. Je ne crois pas que le récit d'une opération soit très folichon. Par contre, que le temps passé auprès de son père ait été compté au garçon, ça je veux bien le croire s'il était souvent absent.
Euh... moi j'envoie tout à partir de ma boite de réception. En faisant "nouveau message".
Comme je ne voulais pas avoir l'air d'une quiche, j'ai pris renseignement auprès de ma fille.
D'abord, je n'ai pas un tel de mamie (en fait je l'aurais toujours si je ne l'avais pas laissé dehors le seul de septembre où il a plu. Le seul jour où je l'ai laissé dehors aussi^^). Donc, dans la boîte de reception, tu as tes messages reçus, que tu peux lire, supprimer et auxquels tu peux répondre (même moi je le sais). Je ne sais pas quel portable tu as, mais je ne vois pas comment tu peux faire "nouveau message" sans repasser par le menu des messages. Vas-y, c'est à toi Very Happy
Les deux garçons s’étaient élevés
Celle-là, tu peux être sûr que je vais la poser sur le forum des correcteurs. Tu as fait ta recherche google avec "élever des enfants" et non pas "s'élever ensemble". Je pense qu'on peut s'élever socialement ou professionnelement, mais "s'élever ensemble" je ne connais pas. Grandir ensemble à la limite.
Et surtout chargé de préjugés … tellement que l’on se demandait encore aujourd’hui comment il faisait pour garder la tête haute devant une glace, sans s’affaisser.
Oui, encore une histoire de personnification. Le quartier est considéré comme un individu, un individu représentatif de tous ses habitants. Arf', on se comprend jamais sur ces points là
Je comprends cette image, mais "le quartier" est trop loin au moment où tu y fais référence et c'est comme ça que tu perds le lecteur. Si tu avais dit : "Un quartier bourgeois et arrogant, dont on se demandait aujourd'hui comment il pouvait garder la tête haute devant une glace..." ç'aurait été plus clair.
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Message  Pacô Dim 13 Déc 2009 - 19:49

azul a écrit:
Le jeune garçon n’aurait su dire par quelle réaction exacte ; ne lui restait qu’une vague notion sur les acides et les bases acquise durant l’apprentissage obligatoire à l’école généraliste parisienne, un vieux lycée à mi-chemin entre les gargouilles de Notre-Dame et les gravillons du champ de Mars. Aujourd'hui, à dix-neuf ans, son domaine intellectuel était davantage centré sur les sciences humaines ou l’histoire en général.
Je prends Smile.


azul a écrit:
Je ne comprends pas ce qu'est la petite boule noire dans le lobe de son oreille et quel rapport elle a avec la puce qu'il introduit dans son oreille. D'abord, si la boule noire est dans le lobe de l'oreille, ça n'a rien à voir avec une boule qui est-ce^^. Et ensuite, comment ça "il introduit la puce dans son oreille" ?
Puce = boule noire.

Dois-je mettre: "dans le trou de son oreille" ?
Les boules quiès (boule qui-est-ce est une blagounette ? Parce que j'ai ça pour appuyer mon orthographe: http://fr.wikipedia.org/wiki/Boules_Quiès) ne se mettent pas dans le trou de l'oreille ?



azul a écrit:
Le Larousse donne le mot "intermittence" au singulier. Le jouette ( Robert "orthographe et expression écrite") propose le mot au singulier et met le "s" entre parenthèses. Comme "par intermittence" signifie "par moments (pluriel), je ne comprends pas pourquoi tu l'écris au pluriel.
Bah tout simplement parce que ... j'ai appliqué la même logique que avec "par moments".
Je prends.


azul a écrit:
Alors dis-le de façon plus explicite. Il commande vocalement la boîte de reception et "Ils faisait partie des clients qui n'utilisaient pas leur système mental. Ou très mal...
Oui mais je ne vois pas comment faire plus explicite.
Quand je dis la phrase:
C'était l'une des marmites qui faisaient un drôle de son métallique lorsqu'on tapait sur elles.

Il se refère à quoi "elles" de la fin de la phrase ?
C'est le même principe que pour:
"Il faisait partie des clients dont le système mental ne fonctionnait pas avec eux."


azul a écrit:
Je n'ai pas dit "Étaient-ils drôles ?" mais "Étaient-ils drôles !". La ponctuation ce n'est pas là pour faire joli, elle sert exprimer une intonnation. Donc exclamation avec toute la dérision que tu voulais y mettre. Et en plus c'était dans le ton de ce jeune érudit, voilà pourquoi je te l'avais proposé.
Mais: Qu'ils étaient drôles ! ne fonctionne vraiment pas ?

azul a écrit:
Là, j'ai eu un moment de doute à cause de ce qui précède. Le garçon est apparemment souvent privé de son père qui travaille dur, au point même de passer certains de ses anniversaires sans lui. Puis "Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?" Quelque chose ne va pas dans cette phrase. Quel moments chaleureux a-t-il pu lui raconter au retour d'une opération chirurgicale ? Surtout un jour d'anniversaire. Ou pas, d'ailleurs. Je ne crois pas que le récit d'une opération soit très folichon. Par contre, que le temps passé auprès de son père ait été compté au garçon, ça je veux bien le croire s'il était souvent absent.
Mais non ^^.
Ce ne sont pas les opérations qui sont contées, mais les moments chaleureux que le papa Roland a ratés.
La phrase est explicite il me semble aussi:
Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?
Ce sont bien les moments chaleureux sujet du verbe contés ici ? oO
A moins que je ne sache plus aucun point de grammaire xD.



azul a écrit:
Comme je ne voulais pas avoir l'air d'une quiche, j'ai pris renseignement auprès de ma fille.
D'abord, je n'ai pas un tel de mamie (en fait je l'aurais toujours si je ne l'avais pas laissé dehors le seul de septembre où il a plu. Le seul jour où je l'ai laissé dehors aussi^^). Donc, dans la boîte de reception, tu as tes messages reçus, que tu peux lire, supprimer et auxquels tu peux répondre (même moi je le sais). Je ne sais pas quel portable tu as, mais je ne vois pas comment tu peux faire "nouveau message" sans repasser par le menu des messages. Vas-y, c'est à toi Very Happy
Beh pas moi. Moi tu vas dans boite de réception et j'ai tout un menu:

  • Nouveau message
  • Messages reçus
  • Messenger
  • Email
  • Brouillons
  • Boite d'envoi
  • Messages envoyés
Mais bon après, on va pas chipoter non plus.
C'est vrai que boîte de réception, ça renvoie au fait de recevoir mais bon ... Je changerai surement encore une fois u_u".


azul a écrit:
Celle-là, tu peux être sûr que je vais la poser sur le forum des correcteurs. Tu as fait ta recherche google avec "élever des enfants" et non pas "s'élever ensemble". Je pense qu'on peut s'élever socialement ou professionnelement, mais "s'élever ensemble" je ne connais pas. Grandir ensemble à la limite.
Demande oui, je voudrais en avoir le cœur net Smile.

azul a écrit:
Je comprends cette image, mais "le quartier" est trop loin au moment où tu y fais référence et c'est comme ça que tu perds le lecteur. Si tu avais dit : "Un quartier bourgeois et arrogant, dont on se demandait aujourd'hui comment il pouvait garder la tête haute devant une glace..." ç'aurait été plus clair.
Va falloir alléger alors ^^.

Je corrige dans la soirée ou mercredi ... ou pendant les vacances la semaine prochaine \o/ !!!
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Message  azul Dim 13 Déc 2009 - 21:37

Dois-je mettre: "dans le trou de son oreille" ?
Les boules quiès (boule qui-est-ce est une blagounette ? Parce que j'ai ça pour appuyer mon orthographe: http://fr.wikipedia.org/wiki/Boules_Quiès) ne se mettent pas dans le trou de l'oreille ?
Le bon lien http://fr.wikipedia.org/wiki/Protections_auditives
Bon déjà les boules Quiès c'est une marque ; à toi de voir si tu veux l'utiliser. Le nom de ses boules est en fait bouchon d'oreille. Ensuite, si, elles se mettent dans le trou de l'oreille, mais toi tu dis le lobe. Le lobe reçoit la boucle d'oreille, à la limite.
Dons, tu dis "la boule noire dans le lobe" et la puce dans l'oreille. Et moi je me dis : "Mais de quoi il parle ?"
M'est avis que la boule noire est dans l'orifice de l'oreille. Là, je suis. Ensuite, où se loge la puce ? Il y a une fente dans la boule pour l'y introduire ? Il me manque des infos, je n'arrive pas à créer l'image.
C'était l'une des marmites qui faisaient un drôle de son métallique lorsqu'on tapait sur elles.
C'était l'une des marmites qui faisait un drôle de son métallique lorsqu'on tapait sur elle. (Sur elle, la marmite.)

"Il faisait partie des clients dont le système mental ne fonctionnait pas avec eux." (Avec eux... les clients ?) Non, là, je demande un autre avis : je ne comprends rien !
Mais: Qu'ils étaient drôles ! ne fonctionne vraiment pas ?
Si, je trouvais que c'était en décalage avec le style, c'est tout.
Ce ne sont pas les opérations qui sont contées, mais les moments chaleureux que le papa Roland a ratés.
La phrase est explicite il me semble aussi:
Ça y est, j'ai compris ! Tu pourras dire que tu m'auras fait cogiter, et pourtant Dieu sait si j'en lis des textes de tout poils !
Soulagé, Marc desserra les dents. Ce n’était pas la première fois que le dur travail de son père empiétait sur le cercle familial. Combien d’anniversaires avait-il manqué pour (à cause) un accidenté ? Combien de moments chaleureux lui avaient-ils été contés à son retour d’une opération chirurgicale à haut risque ?
J'ai cru que le sujet était Marc. J'ai cru qu'il ne fêtait pas ses anniversaires parce que son père n'était pas là. Il faut que tu sois plus explicite pour qu'il n'y ait pas de quiproquo : Combien d'anniversaires celui-ci avait-il manqué afin d'intervenir auprès d'un accidenté ? Que de moments chaleureux lui avaient été contés...

Quelquefois, il ne faut pas grand-chose pour clarifier.

Je continue, j'ai encore l'autre page.
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Message  Pacô Dim 13 Déc 2009 - 21:42

Ah mince, je savais pas que c'était une marque Quès.
Bon, je parlerai de bouchon d'oreille alors. En évitant les répétitions.

Et puis... oui, c'est bien:
eux= les clients

Je crois que ça va être dur à faire comprendre. Je risque de reformuler ici (je note)

Enfin, je prends ta petite modification pour les moments chaleureux contés.

A force, on va y arriver \o/.

Merci beaucoup en tout cas Very Happy.
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Message  azul Dim 13 Déc 2009 - 21:50

Ouais, on les aura, les pieds gelés ! Very Happy
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Message  azul Mar 15 Déc 2009 - 20:33

La réponse du correcteur pour ton "s'élever ensemble" :

Décidément, il me plaît bien votre auteur ! Il aime les images inhabituelles et un brin intriguantes. Là encore, il me faudrait le contexte, mais peut-être met-il dans son expression cette double signification : s'élever au sens classique de grandir en taille et en âge ; s'élever au sens figuré de devenir plus grand, d'aller plus haut, dépasser sa condition initiale (quelle condition ? sociale ? intellectuelle, psychologique ? humaine au sens large ? le contexte le dira), bref : de « monter ».
En tout cas, c'est l'exemple parfait du texte que le correcteur doit respecter au mot près. L'auteur veut produire un effet, le correcteur n'a pas à en juger. C'est l'auteur qui signe le livre, pas le correcteur. Imaginez un interprète professionnel qui modifierait les propos qu'il traduit parce qu'ils ne lui plairaient pas.


La dernière partie me fait penser aux expressions inhabituelles que tu soulignes dans mon propre texte chizz

Je lui ai répondu que je comprenais l'expression "s'élever - monter", mais que pour ta défense tu m'avais citer celle d' "élever des enfants", ce qui était différent Wink
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Message  Elijah Mar 15 Déc 2009 - 21:52

Yo. J'ai commencé à lire ton roman.
Première impression : Dès le début j'avais l'impression de lire un livre, de le tenir entre mes mains et d'avoir la curiosité de continuer. Le début nous lâche directement dans une action plate (où peu de choses se passe) qui nous donne envie de continuer pour voir un peu d'action et ce qui te permet d'introduire le futur de notre monde avec facilité.

J'aime et je continuerai.
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Message  Pacô Mer 16 Déc 2009 - 17:21

Azul: Hum oui... je l'avais peut être moins vu comme ça. Mais en fait, c'est drôle: ça doit vraiment être une expression locale. Car à tous ceux que je demande: "ça te choque si je te dis: on s'est élevé ensemble", tous me disent que non.
Mais tous habitent vers chez moi aussi...

Mais je sais pas, deux meilleurs amis qui ont passé toute leur jeunesse la main dans la main, chez nous on dit qu'ils se sont élevés ensemble. Mais c'est peut être une expression très... régionale.

Mais ce que dit ton correcteur est pas mal: je n'avais pas pensé à tout ce qu'il suggère, mais c'est une image qui est finalement un brin intrigante, comme il dit Smile.

Elijah: Merci beaucoup pour ton commentaire. Tu veux dire quoi par "action plate" ?

Et tu en es où exactement ?
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Message  azul Sam 19 Déc 2009 - 0:02

Bon, on continue. Je pense qu'il ne va pas y avoir trop de polémiques ce coup-ci. Quoique avec toi, je m'attends à tout Very Happy

Le message envoyé, Marc retourna oralement sur l’accueil. Il restait une petite dizaine de minutes avant le terminus. Son esprit vagabonda sur les titres de musique. Elles étaient toutes agréables et il les appréciait pour leur rythme. Cependant, il ne recherchait pas le dynamisme. Le garçon opta pour une valeur sûre. Il changea d’archive et ouvrit celle qu’il cachait parfois à ses camarades lorsqu’il prêtait sa puce. Plusieurs avaient oublié la musique classique et la magie de ses sons. L’homme ne jouait plus, il programmait. Les instruments avaient été remisés au profit des outils informatiques qui synthétisaient les notes et les codaient de manière à produire une sonorité originale. Il n’était plus question de talent mais de technologie. Quelques notes de « La Primavera » (on utilise l’italique pour citer une œuvre : La Primavera) entamèrent l’introduction des quatre saisons (là j’ai un doute, tu dis quatre saisons comme tu dirais : il y a quatre saisons dans une année. Or, il s’agit quand même d’une œuvre qui mérite son article (les), ses majuscules et l’italique, bien sûr). On ne se souvenait plus du compositeur (m’sieur, m’sieur, moi je sais ô_ô). Un Mozart (peut-être), seul nom resté emblématique (j’eusse préféré Chopin ! Mais c’est très perso). Mais les consonances révélaient un caractère italien (je mettrais plutôt la virgule ici) et surtout, un pendant pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. (il y a une réponse alors) Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai (pourquoi le vrai ?) Vivaldi. Cependant, on ne préférait pas (on évitait ?). Marc doutait que certains érudits regrettaient (regrette, subjonctif présent) cette absence de culture et la dissimulaient (dissimule) sous une impassibilité déconcertante. (je ne comprends pas cette phrase. Marc avait un doute quant à l’absence de culture pour les érudits, et il doute aussi que les érudits la dissimulaient sous l’impassibilité ?)

« Welcome to Paris »
Marc sursauta. Il se colla à la vitre de la bulle, résistant aux nausées engendrées par le tournis. La ville des Lumières n’avait pas été entièrement défigurée par les grands travaux de la République – le faisait-on croire ! Se dressaient pourtant ci et là de hautes cheminées qui brûlaient on ne savait quoi ; la Seine était recouverte d’immenses chapes de béton, la rendant (alors ça c’est pas très joli, et en plus je trouve qu’il y a un peu trop de participe présent tout d’un coup) souterraine, pour gagner de la place et favoriser les échanges entre les deux rives – quitte à perdre le surnom d’île de France. La piste pneumatique avait été tracée sur son lit. Marc distingua au loin le sommet des tours de la cathédrale Notre-Dame, ses gargouilles scrutant l’horizon d’un air malsain et narquois, comme s’ils (qui ça « ils ». J’ai l’impression qu’il s’agit des gargouilles, qui est féminin) avaient toujours leur mot à dire dans les croyances des hommes actuels. Le bas de l’édifice était difficilement visible. On avait recouvert les monuments historiques d’immenses (vastes ? Deuxième « immense ») coupoles protectrices, contre la fumée des pollutions diverses et le temps qui coulait éternellement. Plus loin, le Louvre, le musée débordant du génie humain, avait été lui aussi muselé sous d’imposants échafaudages, enfermant (mouirf ! Il faut que tu fasses quelque chose pour tes multiples « ant ») de leurs couvertures de verre l’Arc de Triomphe, le jardin des Tuileries et une partie de la place de la Concorde. A (À) l’intérieur, l’air était épuré, les gens contrôlés et les accès réduits. Ainsi témoignait la politique de préservation du patrimoine : l’interdire au public présent pour que d’éventuelles générations futures en bénéficient. Un moyen doublement efficace car elle (elle ?) permettait aussi d’oublier le fastueux passé des nations indépendantes, octroyant à la République Terrae le monopole de l’attention universelle.
La piste pneumatique quitta le lit de la Seine et obliqua à gauche. Le train ralentit. Sur les deux derniers kilomètres, il grimpa sur une sorte de ponton aérien, passa au-dessus du quai d’Orsay, lui aussi emmitouflé dans sa camisole protectrice, et l’esplanade des Invalides. Les pneumatiques se dégonflèrent, la glace fondit et les décharges électrostatiques cessèrent. Le convoi amorça la descente du ponton, arrivé à la gare Montparnasse, mais fut freiné jusqu’à son arrêt total devant les quais bondés de familles soucieuses. Marc rassembla ses affaires, ouvrit de l’index sa cabine et tira son sac derrière lui. Mentalement, il composa le code numéroté de la puce de sa mère. Sa demande fut rejetée. Exaspéré, il énuméra à voix haute les chiffres, au nombre de dix. Les autres passagers le dévisagèrent d’une étrange façon dans le couloir, mais il tenta de les ignorer. Les portes transversales se séparèrent en deux lentement et le garçon fut l’un des premiers à sortir.
« Maman ? dit-il lorsque celle-ci eut manifesté sa présence par la puce. Tu es où exactement ?
– Dans le hall. Tu vas bien ? J’ai su que …
– Ne t’inquiète pas, je me porte à merveille. Juste … une turbulence, répondit-il en reprenant les mots de la SCTE. J’arrive. »
Et il coupa la communication. Des médecins en blouses laiteuses l’approchèrent. Marc eut la désagréable impression qu’il sortait d’une catastrophe naturelle. Quelques ecchymoses justifiaient-elles toute cette effervescence ? Il les repoussa gentiment, prétextant qu’il n’avait mal nulle part. Une horde de journalistes, contenue (jusque-là), investit les quais et harponna les passagers surpris. Leurs capteurs filmèrent l’ensemble du train intact afin de former une image trois dimensions, exploitée ensuite par les grandes chaînes de télévision. Le garçon en esquiva plusieurs et se dirigea vers la sortie. En plus du vacarme de la foule, les mégaphones, du haut de leur tour d’acier, annonçaient les correspondances suivantes et Marc crut s’évader aisément des griffes des médias massifs et du tumulte assourdissant. Il pensa trop vite.
« Jeune homme ! l’interpella un homme vêtu d’un ample manteau gris, au moment où il croyait avoir échappé à un interrogatoire. Comment ressens-tu l’agression de l’Empire ?
– Il n’y a pas eu d’agression, démentit Marc en poussant la porte.
– Tiens donc ! s’exclama l’homme. Et comment appelles-tu l’incident qu’il s’est produit à Leipzig ? »
Marc mit un certain temps à répondre. Ce journaliste se croyait au-dessus de tout. Il l’agaçait dans son par-dessus trop propre, (dans) sa voix trop assurée et (dans) son allure trop sereine. La gare n’avait pourtant signalé qu’une légère turbulence et ces reporters considéraient l’évènement comme une véritable catastrophe diplomatique. Que cherchaient-ils donc à la fin ? L’Empire n’avait fait ni plus ni moins ce qu’il faisait (il y a sans doute quelque chose à faire avec ces deux « faire » qui n’ont guère de poids) depuis des mois, depuis son apparition, depuis la signature des accords de Bagdad : il traquait quelque chose (je mettrais en italique ou entre guillemets). Personne ne savait quoi ou qui et, en cet instant, Marc s’en fichait comme de sa première chemise, tant qu’il n’interférait pas dans ses projets personnels. Plusieurs investigations avaient révélé que toutes les « proies » – ainsi les chaînes de télévision surnommaient les personnes poursuivies par les services impériaux – s’avéraient être des criminels. Comme si l’Empire se chargeait de nettoyer la planète, sans aucun but précis. Devant l’impatience du journaliste, Marc haussa les épaules et rétorqua :
« De l’audimat pendant une semaine ? »
L’homme au manteau gris (lui) sourit et lui adressa un clin d’œil complice. Puis, s’apercevant qu’il ne tirerait rien du garçon, il s’en détourna et partit vers le convoi impuissant, visé par tous les capteurs trois dimensions. Marc pénétra dans le hall, beaucoup plus peuplé encore, où le silence était notion inconnue. Il repéra rapidement sa mère, petite, rondelette, accompagnée de son sourire fabriqué, imité (emprunté ?) à une plus glorieuse période où elle était réellement heureuse. De grotesques reconstitutions de l’incident à Leipzig défilaient sur les écrans géants autour de lui. Il n’y avait plus deux mais dix engins volants et ce n’était plus une exécution mais une boucherie. Cependant, Marc ne fit pas attention aux journaux (tout autour de lui) et à l’article sur le discours du président Mernine, le matin même.

Voilà un bon chapitre avec peu de zones obscures (j'ai assez bien suivi, c'est dire !). Je me posais des questons sur le fameux train. Je trouve qu'il ressemble à tout sauf à un train. En fait, j'ai du mal à m'imaginer les cabines bulles. Je cherche sans doute à faire référence avec ce que je connais des trains. Je me dis quand même que tu aurais peut-être pu leur donner un autre nom, genre aéroglisseurs ou quelque chose comme ça. Maisje sens déjà que tu n'adhères pas Very Happy )

Pour ce qui est de l'italique pour le titre des oeuvres, j'ai relu l'épisode 1, et il te faudra rectifier ça :

"Marc partageait la même passion et relisait parfois ses ouvrages, comme L’Armée de Napoléon"
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Message  Pacô Sam 19 Déc 2009 - 11:45

Effectivement, il y a toujours à redire pour te montrer que je tiens à mon texte quand même XD.
Mais bon, c'est un peu comme toi avec Vinc' avec qui je ne suis pas toujours ok.

azul a écrit: Quelques notes de « La Primavera » (on utilise l’italique pour citer une œuvre : La Primavera) entamèrent l’introduction des quatre saisons (là j’ai un doute, tu dis quatre saisons comme tu dirais : il y a quatre saisons dans une année. Or, il s’agit quand même d’une œuvre qui mérite son article (les), ses majuscules et l’italique, bien sûr). On ne se souvenait plus du compositeur (m’sieur, m’sieur, moi je sais ô_ô). Un Mozart (peut-être), seul nom resté emblématique (j’eusse préféré Chopin ! Mais c’est très perso). Mais les consonances révélaient un caractère italien (je mettrais plutôt la virgule ici) et surtout, un pendant pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. (il y a une réponse alors) Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai (pourquoi le vrai ?) Vivaldi. Cependant, on ne préférait pas (on évitait ?). Marc doutait que certains érudits regrettaient (regrette, subjonctif présent) cette absence de culture et la dissimulaient (dissimule) sous une impassibilité déconcertante. (je ne comprends pas cette phrase. Marc avait un doute quant à l’absence de culture pour les érudits, et il doute aussi que les érudits la dissimulaient sous l’impassibilité ?)

J'ai remplacé le passage ainsi:
Quelques notes de « La Primavera » entamèrent l’introduction des Quatre Saisons. On ne se souvenait plus du compositeur. Un Mozart peut être, seul nom resté emblématique. Mais les consonances révélaient un caractère italien, et surtout un pendant pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai Vivaldi. Cependant, on l’évitait car lui et ses comparses virtuoses tels que Chopin, ou plus tard Ravel, incarnaient le génie humain des nations indépendantes. Marc ne doutait pas que certains érudits éprouvaient quelques regrets sur cette absence de culture et qu’ils les dissimulaient sous une impassibilité déconcertante.
=> je dois faire un aveu: je n'avais pas édité ce passage suite aux corrections de Kain Embarassed. Du coup, la dernière phrase avait déjà été modifiée, mais c'est bien de le redire Razz.
=> pour tout ce qui est italique, généralement, ils y sont sur Word, mais pas sur le forum car à chaque fois je prends pas le temps (à mon grand regret) de tout bien remettre.
=> J'ai mis en italique et des majuscules à Quatre Saisons. Et je dirais qu'on peut très bien dire "des Quatre Saisons" plutôt que "de Les Quatre Saisons". Et pour connaître un vieux connaisseur (non pas Mr Songe XD), il emploie souvent des Quatre Saisons quand il doit tourner sa phrase comme ça Wink.
=> Non c'est Mozart qui est emblématique. Et je pense que si tu fais un sondage dans la tête des jeunes gens de mon âge, tu verras que Mozart sort spontanément des bouches lorsqu'on parle de "musique classique" et que beaucoup ne connaissent malheureusement pas Chopin...
=> Pour le "le passé est le passé", je n'appelle pas ça une réponse moi. Si je pose la question à quelqu'un: "Pourquoi oublie t-on l'Art ?" et que mon prof me répond: "Le passé est le passé", je ne crois pas être tellement servi de bons arguments et donc d'avoir reçu une réponse...
=> Pourquoi les "regrette" et "dissimule" alors que déjà ils sont au subjonctif présent (et nous sommes dans un texte au passé) et qu'ils sont en plus de ça au singulier ? oO Mais bon, vu que j'avais changé la tournure de la phrase, dis-moi ce que tu penses de cette dernière version.

azul a écrit: Se dressaient pourtant ci et là de hautes cheminées qui brûlaient on ne savait quoi ; la Seine était recouverte d’immenses chapes de béton, la rendant (alors ça c’est pas très joli, et en plus je trouve qu’il y a un peu trop de participe présent tout d’un coup) souterraine, pour gagner de la place et favoriser les échanges entre les deux rives – quitte à perdre le surnom d’île de France.
J'ai remplacé ainsi:

Se dressaient pourtant ci et là de hautes cheminées qui brûlaient on ne savait quoi. La Seine était recouverte d’immenses chapes de béton ; elle était à présent souterraine, pour gagner de la place et favoriser les échanges entre les deux rives – quitte à perdre le surnom d’île de France.


azul a écrit: ses gargouilles scrutant l’horizon d’un air malsain et narquois, comme s’ils (qui ça « ils ». J’ai l’impression qu’il s’agit des gargouilles, qui est féminin) avaient toujours leur mot à dire dans les croyances des hommes actuels.
Effectivement, c'est bien "elles". Je sais même pas pourquoi j'ai mis "ils" u_u".

azul a écrit: Plus loin, le Louvre, le musée débordant du génie humain, avait été lui aussi muselé sous d’imposants échafaudages, enfermant (mouirf ! Il faut que tu fasses quelque chose pour tes multiples « ant ») de leurs couvertures de verre l’Arc de Triomphe, le jardin des Tuileries et une partie de la place de la Concorde.
Remplacé comme ceci:
Plus loin, le Louvre, le musée débordant du génie humain, avait été lui aussi muselé sous d’imposants échafaudages qui enfermaient également de leurs couvertures de verre l’Arc de Triomphe, le jardin des Tuileries et une partie de la place de la Concorde.


azul a écrit:Un moyen doublement efficace car elle (elle ?) permettait aussi d’oublier le fastueux passé des nations indépendantes, octroyant à la République Terrae le monopole de l’attention universelle.
Elle = la politique de préservation du patrimoine, mentionnée juste au-dessus Smile.

azul a écrit:L’Empire n’avait fait ni plus ni moins ce qu’il faisait (il y a sans doute quelque chose à faire avec ces deux « faire » qui n’ont guère de poids) depuis des mois, depuis son apparition,
Non, moi je les aime.
Au contraire, ils ont un autre poids pour moi: celui du "je m'enfoutisme". "Il fait ce qu'il a à faire": en d'autres termes, Marc montre très bien qu'il n'en a rien à faire des agissements de l'Empire et qu'il a pas envie que ce journaliste l'emmerde encore plus. C'est vraiment l'expression type du: je ne m'occupe pas de l'Empire, il fait bien ce qu'il a à faire.

azul a écrit: Il repéra rapidement sa mère, petite, rondelette, accompagnée de son sourire fabriqué, imité (emprunté ?) à une plus glorieuse période où elle était réellement heureuse.
Le même aveux qu'au-dessus: j'avais déjà remplacé par "imité" Embarassed.
Tout simplement aussi parce que la structure "imiter à" n'est pas française.

azul a écrit: Cependant, Marc ne fit pas attention aux journaux (tout autour de lui) et à l’article sur le discours du président Mernine, le matin même.
Pourquoi enlever tout autour de lui ? On perd une notion spatiale selon moi Le Véritable Visage de la Lumière - Page 8 Icon_scratch ...

azul a écrit:
Voilà un bon chapitre avec peu de zones obscures (j'ai assez bien suivi, c'est dire !). Je me posais des questons sur le fameux train. Je trouve qu'il ressemble à tout sauf à un train. En fait, j'ai du mal à m'imaginer les cabines bulles. Je cherche sans doute à faire référence avec ce que je connais des trains. Je me dis quand même que tu aurais peut-être pu leur donner un autre nom, genre aéroglisseurs ou quelque chose comme ça. Maisje sens déjà que tu n'adhères pas Very Happy )
Si, ça aurait pu être une idée intéressante.
Mais je préfère garder train pour l'unique et seule raison qui motive mon texte: je veux des références à notre monde actuel, et beaucoup, tout en restant dans le futur.
Pourquoi ? Parce que ce roman sera un genre de satire du monde dans lequel nous vivons, avec nos vices extrapolés dans un monde futuriste.
Le problème en inventant plein de nouvelles choses, c'est que le lecteur perd le "contact" avec notre société actuelle et ne se rend plus compte du message que tu veux faire passer.

Orwell fait la même chose dans 1984: il garde des liens forts avec le monde communiste et n'invente que les mots réellement nécessaires (comme le novlangue).

azul a écrit:
"Marc partageait la même passion et relisait parfois ses ouvrages, comme L’Armée de Napoléon"
Ouais, je sais, mais encore une fois: c'est à cause de ma flemme. Sur mon traitement texte, tout est en italique u_u".

Merci de ta contribution ! Héhé, tu pourras enfin attaquer le chapitre 2 ! Le Véritable Visage de la Lumière - Page 8 106584
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Message  MrSonge Sam 19 Déc 2009 - 12:32

Evidemment, dès qu'on parle de musique, j'interviens ! Razz

Quelques notes de « La Primavera » entamèrent l’introduction (Bwoarf, non. Une note n'entame rien. Le musicien commence, entame le morceau, oui, mais les notes sont entamées. Et l'"introduction", encore moins. Le Printemps n'en a pas, puisque la première chose que l'on entend dans ce mouvement, c'est le premier thème lui-même. Et à la limite, tu pourrais mettre tous les titres en italiens ou en français, histoire de cohérence, ça fait un peu bizarre "Primavera" et "Quatre Saisons"... ^^) des Quatre Saisons. On ne se souvenait plus du compositeur. Un Mozart peut être, seul nom resté emblématique. Mais les consonances (Impossible. La musique consonante, il en existe encore aujourd'hui. Il n'y a d'ailleurs presque plus que cela. Les instruments peuvent révéler du baroque, la forme du morceau, les rythmes, mais pas la consonance de la pièce, puisque tous les classiques n'ont rien fait d'autre que de la consonance, comme l'immense majorité des romantiques.) révélaient un caractère italien, et surtout un pendant (heu... le pendant de quelque chose, c'est quelque chose de similaire. "Ces deux tableaux en dyptique sont le pendant l'un de l'autre". Donc je ne vois pas trop ce que tu veux dire ici...) pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai Vivaldi. Cependant, on l’évitait car lui et ses comparses virtuoses tels que Chopin, ou plus tard Ravel (Ravel n'était pas un virtuose. Il jouait du piano, bien, certes, mais il ne donnait absolument pas de concerts, et n'a jamais été considéré comme un virtuose. Si tu veux un autre virtuose, parle de Rachmaninoff, par exemple.), incarnaient le génie humain des nations indépendantes. Marc ne doutait pas que certains érudits éprouvaient quelques regrets sur cette absence de culture et qu’ils les dissimulaient sous une impassibilité déconcertante.
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Message  Pacô Sam 19 Déc 2009 - 12:49

Merci Mister Songe Smile. J'ai rajouté quelques précisions alors.
Berlioz fait-il partie de ces virtuoses... ? Le Véritable Visage de la Lumière - Page 8 Icon_rolleyes

Bon sinon, je remplace comme ceci:
Le message envoyé, Marc retourna oralement sur l’accueil. Il restait une petite dizaine de minutes avant le terminus. Son esprit vagabonda sur les titres de musique. Elles étaient toutes agréables et il les appréciait pour leur rythme. Cependant, il ne recherchait pas le dynamisme. Le garçon opta pour une valeur sûre. Il changea d’archive et ouvrit celle qu’il cachait parfois à ses camarades lorsqu’il prêtait sa puce. Plusieurs avaient oublié la musique classique et la magie de ses sons. L’homme ne jouait plus, il programmait. Les instruments avaient été remisés au profit des outils informatiques qui synthétisaient les notes et les codaient de manière à produire une sonorité originale. Il n’était plus question de talent mais de technologie. Quelques notes de « Le Printemps » ouvrirent le thème des Quatre Saisons. On ne se souvenait plus du compositeur. Un Mozart peut être, seul nom resté emblématique. Mais l’instrumentation révélait un caractère italien, et surtout un penchant pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai Vivaldi. Cependant, on l’évitait car lui et ses comparses virtuoses tels que Chopin, Berlioz, ou plus tard Rachmaninov en région russe, incarnaient le génie humain des nations indépendantes. Marc ne doutait pas que certains érudits éprouvaient quelques regrets sur cette absence de culture et qu’ils les dissimulaient sous une impassibilité déconcertante.

Et j'édite là-bas \o/.
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Message  MrSonge Sam 19 Déc 2009 - 12:56

Non, Berlioz, lui, carrément, ne jouait même pas bien du piano ^^. Si tu veux un contemporain de Chopin, prend Liszt.

de «Le Printemps »

Je mettrais du «Printemps», tout simplement, ces deux déterminants font un peu bizarre.
Et je mettrais plutôt que l'instrumentation révèle un morceau baroque, parce que le caractère italien, c'est beaucoup plus difficile à définir que par la seule instrumentation, sachant que Bach usait très souvent de la même que son collègue. Mais c'est toujours ce "pendant" que je trouve bizarre, tu as voulu dire quoi, par là ?

Son esprit vagabonda sur les titres de musique.

=> des morceaux, ou des morceaux de musique. Mais là, ça ne veut pas dire grand chose, "les titres de musique".

(ah, et à la limite, si on voulait vraiment pinailler : "ouvrirent ce premier mouvement des «Quatre Saisons», mais bon... ^^)
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Message  azul Sam 19 Déc 2009 - 13:54

Effectivement, il y a toujours à redire pour te montrer que je tiens à mon texte quand même XD.
Mais bon, c'est un peu comme toi avec Vinc' avec qui je ne suis pas toujours ok.
Oui, c'est comme ça qu'il faut faire : écouter ce que l'autre a à dire, et ne prendre que ce que toi tu as voulu dire. Ça demande une certaine prise de recul sur ton texte, ça te permet parfois de voir que tu t'es trompé ou que tu n'as pas été assez clair. Au final, et même si le texte appartient indubitablement à l'auteur, l'important est que le lecteur te suive.
Quelques notes de « La Primavera » entamèrent l’introduction des Quatre Saisons. On ne se souvenait plus du compositeur. Un Mozart peut-être, seul nom resté emblématique. Mais les consonances révélaient un caractère italien, et surtout un pendant pour le baroque. Pourquoi avait-on oublié l’Art ? Personne ne répondait à cette vaine question. Le passé est le passé, disait-on. Si on fouillait dans les archives de la République, on retrouverait sans nul doute le vrai Vivaldi. Cependant, on l’évitait car lui et ses comparses virtuoses tels que Chopin, ou plus tard Ravel, incarnaient le génie humain des nations indépendantes. Marc ne doutait pas que certains érudits éprouvaient quelques regrets sur cette absence de culture et qu’ils les dissimulaient sous une impassibilité déconcertante.
Je suis d'accord avec les italiques des titres d'oeuvres. Évite cependant de doubler avec des guillemets.
Et je dirais qu'on peut très bien dire "des Quatre Saisons" plutôt que "de Les Quatre Saisons".
Ne place jamais tes guillemets comme ça, ils sont fautifs, "des" et "de" ne font pas parti du titre. C'est clair que de "Les..." est très bizarre, et qu'il vaut mieux ne garder que Quate Saisons.

Je ne mettrais pas "Le passé est le passé" en italique, d'abord parce que c'est trop près des oeuvres pour ne pas prêter à confusion, ensuite parce qu'il faut choisir une typo et s'y tenir, le maître mot étant "uniformiser".

En début de chapitre, tu as des guillemets pour les noms des villes, la voix dans l'interphone, les dialogues à haute voix (il me semble qu'on avait eu aussi une discussion au sujet des dialogues intérieur). Pour moi, "Le passé est le passé", doit être entre guillemets au même titre que "Aucune conséquence neurologique, prouvée scientifiquement ", affirmaient les spots publicitaires.

Pour la réponse, désolée de te contredire, mais si, c'en est une. Qu'elle soit argumentée ou pas n'y change rien. Je dirais plutôt que personne ne savait répondre à cette vaine question autrement que par une banalité du genre "Le passé est le passé". (Est-ce là tout ce que tu as à me répondre ? Je te dis que l'Art est oublié, et ton seul argument est "Le passé est le passé" ?)

Ensuite, je ne comprends toujours pas pourquoi le vrai Vivaldi. Il en existait un faux ? On retrouverait sans nul doute le nom de Vivaldi ?Ou le vrai nom de l'auteur ?

La dernière phrase est beaucoup mieux. Je la comprends : c'est dire ! Les verbes n'étaient pas déjà au présent du subjonctif, et pour le singulier c'est une erreur de ma part.

Les jeunes aiment Mozart ? Ce n'est pas à cause de l'opéra rock au moins ? Very Happy Je garde de doux souvenirs de la musique classique grâce à Chopin, c'est pour ça que son nom m'est venu en tête, mais j'avoue que je ne suis pas calée sur le sujet.

La reconstruction des phrases suivantes est parfaite.
En ce qui concerne "L'Empire n'avait fait que ce qu'il faisait", ça t'apprendra à bien écrire Wink Quand je lis ce genre de phrases, je suis forcément arrêtée dans ma lecture, parce que tu ne m'as pas habituée à ça depuis le début (et je n'ai pas encore lu grand-chose finalement). Je ne fais donc que signaler et suis le conseil que m'a donné le correcteur : Cool, Azul ! On laisse l'auteur donner libre cours à sa plume. (Ne t'imagine pas sorti d'affaire pour autant Evil or Very Mad )
Pourquoi enlever tout autour de lui ? On perd une notion spatiale selon moi
Parce que tu avais cette information une ligne au-dessus. Et on ne perd rien du tout, on sait où on est. Mais c'est toi qui vois.
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Message  azul Sam 19 Déc 2009 - 15:16

Je voudrais bien savoir qui est l’Empire pour avoir des pensées si humaines. Quelques annotations dans le texte, et des questions que je garde pour moi chizz

L’étincelle.
Si petite et pourtant si visible au milieu de l’obscurité, son aura outrepasse la constance des choses (choses est très impersonnel. Il faudrait préciser ce que tu entends par là) qui ont été. Instigatrice de l’espoir, elle libère les cœurs des chaînes qui les maintiennent dans la peur de l’ignorance. (elle libère les cœurs enchaînés par ou dans la peur de l’ignorance ?) Fugace, elle ébranle la confiance des souverains et génère à son tour la terreur chez son ennemi. Oui, messieurs les grands, les sages et les puissants, (je mettrais des majuscules à ces mots pour les appuyer) méfiez-vous de la volonté des choses (encore !), craignez l’acharnement d’une petite lueur qui rêve d’illumination. Aujourd’hui, le Néant déplore amèrement la perte de son royaume de ténèbres (virgule) car il n’a (pas) su envisager l’obstination d’une simple étincelle à travers l’immensité de son ombre. (Était)-il si compliqué, (pour ?) lui souverain d’un univers, d’éradiquer l’éclat effronté d’un si futile esprit ? Par quel moyen réussit-elle à invoquer la puissance qui (devait terrasser) terrasserait le Néant ? Ne commit-elle pas l’erreur de créer une force qu’elle ne contrôlerait pas ensuite (qu’elle ne pourrait contrôler par la suite) ? Il en était toutefois ainsi. L’étincelle (pourquoi « étincelle » n’a-t-elle pas de majuscule, alors que « Néant » et « Lumière » en ont une ?) conçut la rivale du Néant qui, forcé d’admettre sa défaillance, partage désormais son univers avec la Lumière. Mère du génie, (que l’étincelle soit mère de la lumière, ok. Je ne dirais pas qu’elle est celle du génie pour ne pas prêter à confusion avec la lumière ; elle est à son origine, sa source) elle s’éteignit en pleine gloire, satisfaite de son rôle éphémère (mais tant essentiel ça c’est pas génial par contre). Aujourd’hui, aurait-elle agi avec autant d’impétuosité si elle avait appris que son enfant, sa propre fille à qui elle avait décerné trop de pouvoirs, avait été abusée par la cupidité des hommes ?
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Message  MrSonge Sam 19 Déc 2009 - 15:35

Les jeunes aiment Mozart ? Ce n'est pas à cause de l'opéra rock au moins ? Je garde de doux souvenirs de la musique classique grâce à Chopin, c'est pour ça que son nom m'est venu en tête, mais j'avoue que je ne suis pas calée sur le sujet.

Ce qu'il voulait dire ce n'est pas qu'ils l'aime particulièrement (hélas), mais que l'emblème de la musique classique chez ceux qui n'y connaissent rien, c'est Mozart. N'importe quel jeune nourri à la culture Pop-Rock depuis sa naissance, connaît Mozart de nom. ^^
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Message  Pacô Sam 19 Déc 2009 - 20:47

azul a écrit:Pour la réponse, désolée de te contredire, mais si, c'en est une. Qu'elle soit argumentée ou pas n'y change rien. Je dirais plutôt que personne ne savait répondre à cette vaine question autrement que par une banalité du genre "Le passé est le passé". (Est-ce là tout ce que tu as à me répondre ? Je te dis que l'Art est oublié, et ton seul argument est "Le passé est le passé" ?)
Réponse: Solution, explication, éclaircissement apportés à une question, à un point obscur. (Cf: Larousse)
Si l'on suit le sens strict du dico, je suis dans mon bon droit, parce que déjà, "Le passé est le passé" ne convient pas du tout aux critères mentionnés au-dessus.
De plus, moi je pensais au sens philosophique de la réponse: une réponse doit t'apporter des éléments qui te permettront de résoudre les problèmes posés par la raison, la morale etc... (enfin MrSonge saura surement mieux l'expliquer que moi u_u"). Or, cette parole, puisque complètement décalée de la question, ne peut pas être une réponse pour moi. Une simple réplique pourquoi pas. Mais on élude la réponse justement.

azul a écrit:
Ensuite, je ne comprends toujours pas pourquoi le vrai Vivaldi. Il en existait un faux ? On retrouverait sans nul doute le nom de Vivaldi ?Ou le vrai nom de l'auteur ?
Parce que pour l'instant tout le monde pense qu'il s'agit d'un Mozart. En gros, Mozart est le seul nom resté emblématique dans l'esprit des gens. Du coup, il vole un peu les œuvres des autres et usurpe leur identité. Par "le vrai Vivaldi", je veux dire par là, que c'est le bon compositeur, celui qui a vraiment composé ce morceau.
Si je mets "Vivaldi" tout court, je perds un peu tout ce sous-entendu. C'est pas que ça sera moche, mais je trouve ça dommage.

Et sinon, oui, MrSonge a répondu avant moi: ce n'est pas que les jeunes aiment spécialement Mozart parce que même avant l'Opéra Rock, c'était le nom qui stagnait sur toutes les lèvres. On dira que l'Opéra Rock a du renforcer ce symbole de la musique classique, mais c'est surtout parce que Mozart a toujours été vu comme le grand Amadeus, le seul compositeur génial encensé, et que la plupart se contente de ça et ne cherche pas à creuser un peu plus.
D'ailleurs, pour beaucoup, ils peuvent citer Mozart mais ne pas connaître une seule de ses œuvres (pas même une de ses symphonies T_T). En fait, il est ancré dans les esprits comme la plupart pense "USA" quand on parle du continent "Amérique".

azul a écrit:Parce que tu avais cette information une ligne au-dessus. Et on ne perd rien du tout, on sait où on est. Mais c'est toi qui vois.
Bon alors j'ai écris ça:
Cependant, Marc ne fit pas attention aux autres articles projetés sur de moindres écrans qui relataient le discours au palais présidentiel du président Mernine, le matin même.
Mieux ?

MrSonge, je ne parle plus de pendant, mais de penchant. Wink
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