Toujours la meilleure amie ... (Version roman)

INTRODUCTION

Ce soir, une jeune fille fait la une du journal télévisé de 20h. Elle a perpétré un attentat suicide dans son lycée. Les enquêteurs privilégient la thèse d’une vie qui ne lui convenait pas. Quelques lycéens ont réussi à réchapper par miracle au massacre. Ils racontent que Laëtitia était une fille toujours aux petits soins pour ses amis, et qu’ils ne comprennent pas ce qu’il lui est passé par la tête.

Pour comprendre sa réaction, revenons au début de l’histoire.

Laëtitia a vu le jour pour la première fois le 13 Août 1988. Elle est née dans une famille sans histoire, mais cependant, il y a un petit bémol à tout ça. Ses parents auraient préféré avoir un fils. Bien sûr, ils ne lui ont jamais fait sentir, mais la jeune fille a toujours cru qu’elle ne méritait pas sa place.

C’est ainsi qu’elle s’est toujours montrée attentive au bien-être de ses proches. Dès que quelqu’un avait un problème, elle était là pour l’aider, pour le rassurer, bref, elle faisait tout pour que son ami reprenne confiance en lui. Jusqu’à il y a quelques mois. Laëtitia avait alors 17 ans. L’adolescence battait son plein avec les premiers émois du cœur. C’était le premier jour du Printemps …

Laumie a écrit:

INTRODUCTION

Ce soir, une jeune fille fait la une du journal télévisé de 20h (j'ai toujours préféré le "vingt heure"). Elle a perpétré un attentat suicide dans son lycée. Les enquêteurs privilégient la thèse d’une vie qui ne lui convenait pas. Quelques lycéens ont réussi à réchapper par miracle au massacre. Ils racontent que Laëtitia était une fille toujours aux petits soins pour ses amis, et qu’ils ne comprennent pas ce qu’il lui est passé par la tête (bah je reformulerai moi ... "et ile ne comprennent pas le pourquoi de ses actes" ou "aux petits soins pour ses amis; aucun d'eux ne comprend son acte subi de ce matin/cet après-midi").

Pour comprendre sa réaction, revenons au début de l’histoire.

Laëtitia a vu le jour pour la première fois le 13 Août 1988. Elle est née dans une famille sans histoire, mais cependant, il y a un petit bémol à tout ça. Ses parents auraient préféré avoir un fils. Bien sûr, ils ne lui ont jamais fait sentir, mais la jeune fille a toujours cru qu’elle ne méritait pas sa place.

C’est ainsi qu’elle s’est toujours montrée attentive au bien-être de ses proches. Dès que quelqu’un avait un problème, elle était là pour l’aider, pour le rassurer, bref, elle faisait tout pour que son ami reprenne confiance en lui. Jusqu’à il y a quelques mois. Laëtitia avait alors 17 ans. L’adolescence battait son plein avec les premiers émois du cœur. C’était le premier jour du Printemps …

Ce soir, une jeune fille fait la une du journal télévisé de 20h. Elle a perpétré un attentat suicide dans son lycée. Les enquêteurs privilégient la thèse d’une vie qui ne lui convenait pas. Quelques lycéens ont réussi à réchapper par miracle au massacre. Ils racontent que Laëtitia était une fille toujours aux petits soins pour ses amis, et qu’ils ne comprennent pas ce qu’il lui est passé par la tête.

Pour comprendre sa réaction, revenons au début de l’histoire.

Laëtitia a vu le jour pour la première fois le 13 Août 1988. Elle est née dans une famille sans histoire, mais cependant, il y a un petit bémol à tout (heu tout quoi ? tu as juste dis "sans histoire" ^^) cela. Ses parents auraient préféré avoir un fils. Bien sûr, ils ne lui ont jamais fait sentir, mais la jeune fille a toujours cru qu’elle ne méritait pas sa place. (pourquoi, s'ils ne l'ont jamais fait sentir ?)

C’est ainsi qu’elle s’est toujours montrée attentive au bien-être de ses proches. Dès que quelqu’un avait un problème, elle était là pour l’aider, pour le rassurer, bref, elle faisait tout pour que son ami reprenne confiance en lui. Jusqu’à il y a quelques mois. Laëtitia avait alors 17 ans. L’adolescence battait son plein avec les premiers émois du cœur. C’était le premier jour du Printemps …

Laumie a écrit:
(Je suis suicidaire, je poste alors que Barbara est dans le coin )

INTRODUCTION

Ce soir, une jeune fille fait la Une du journal télévisé de 20h. Elle a perpétré un attentat suicide dans son lycée. Les enquêteurs privilégient la thèse d’une vie qui ne lui convenait pas. Quelques lycéens ont réussi à réchapper par miracle au massacre. Ils racontent que Laëtitia était une fille toujours aux petits soins pour ses amis pas de virgule ici et qu’ils ne comprennent pas ce qui lui est passé par la tête.

Pour comprendre sa réaction, revenons au début de l’histoire.

Laëtitia a vu le jour pour la première fois >>> parce qu'elle va avoir plusieurs vies au cours de ton histoire? le 13 Août 1988. Elle est née dans une famille sans histoire, mais cependant >>> pléonasme pas de virgule ici il y a un petit bémol à tout ça. Ses parents auraient préféré avoir un fils. Bien sûr, ils ne lui ont jamais fait sentir, mais la jeune fille a toujours cru qu’elle ne méritait pas sa place. >>> cette phrase est maladroite. "Les parents se sont toujours évertués à ne pas le lui laisser sentir" serait mieux je pense, parce que cela donne davantage l'idée qu'ils ont fait de leur mieux pour ça, mais que Laëtitia le percevait tout de même.

C’est ainsi qu’elle s’est toujours montrée attentive au bien-être de ses proches. Dès que quelqu’un avait un problème, elle était là pour l’aider, pour le rassurer, bref, elle faisait tout pour que son ami reprenne confiance en lui. Jusqu’à il y a quelques mois. Laëtitia avait alors 17 ans. L’adolescence battait son plein avec les premiers émois du cœur >>> bof : "Les tourments de l'adolescence battaient leur plein avec les premiers émois sentimentaux". C’était le premier jour du printemps >>> répétition du mot "premier" par rapport à la phrase précédente >>> "Le printemps venait à peine de renaître" par exemple …

Laumie a écrit:Ha ouais j'ai bien fait de le poster ici LoL

Bah je vais retravailler tout ça alors, merci Barbara ^^

Edit de 22h02 : Bon, j'ai repris les formules que tu m'avais dites, mis à part celle sur le printemps que voilà : "Le printemps venait de s’annoncer …"

Pacô a écrit:Un carnage j'vous dis moi

Barbara a écrit:

Laumie a écrit:Ha ouais j'ai bien fait de le poster ici LoL

Bah je vais retravailler tout ça alors, merci Barbara ^^

Edit de 22h02 : Bon, j'ai repris les formules que tu m'avais dites, mis à part celle sur le printemps que voilà : "Le printemps venait de s’annoncer …"

Parce que tu pensais qu'en postant ton texte ici je ne le verrais pas? Mouahahahah, je suis démoniaque.
Oui, ta formulation de la phrase du printemps est meilleure.

Les enquêteurs privilégient la thèse d’une vie qui ne lui convenait pas.

CHAPITRE I : LA RENCONTRE.

*SBLARM*
- Aïe !!!!!!!
- Ouch !!!!!!

Laëtitia se retrouva soudain assise sur le trottoir à se masser la tête tout en grimaçant de douleur. Une main apparut dans son champ de vision :
- Tu as besoin d’aide ?

Levant les yeux vers le propriétaire de la main, elle constata qu’elle avait devant elle ce que l’on pouvait qualifier de « beau gosse pur souche ». Rougissante, elle s’empressa de se relever, ignorant la main secourable. Elle examina ensuite son vis-à-vis. Cheveux en bataille, yeux bleu outremer, grand, musclé et d’après ce qu’elle pouvait apercevoir dessous la manche de chemise relevée au coude, un tatouage. Toute à son observation, elle ne s’aperçut pas que le jeune garçon faisait de même de son côté. Après avoir détaillé l’inconnu, elle reprit ses esprits et s’excusa automatiquement :
- Désolée, je ne regardais pas où j’allais.
- Non non c’est moi, intervint-il avec un léger sourire. Tu es en 1°L1 non ?
- Heu oui … Répondit-elle un peu surprise. Comment tu le sais ?
- Une de mes amies est dans ta classe, répondit-il avec un haussement d’épaules.

Jetant un coup d’œil machinal vers sa montre, elle constata avec horreur qu’elle était en retard. Ne prenant même pas le temps de dire au revoir au garçon, elle récupéra son sac et reprit sa course vers le lycée. Le jeune homme, un peu surpris, se contenta d’un « Drôle de fille … » avant de gagner l’établissement, lui aussi.

La journée s’écoula normalement, puis la semaine, puis le week-end. Vint ensuite une nouvelle semaine.

Ce matin-là, Laëtitia était arrivée en avance au Lycée. Comme elle était la seule de son groupe d’amis, elle attendait le reste en dessinant et en écoutant de la musique, tout ça en étant assise soleil. Une ombre s’interposa soudain entre la lumière et elle. Sursautant, elle leva la tête vers l’intrus et reconnut aussitôt le garçon de l’autre jour. Se demandant ce qu’il lui voulait, elle éteignit son lecteur MP4 et enleva ses écouteurs.
- Salut la-fille-qui-part-sans-dire-au-revoir, la salua-t-il.
- Bonjour, répondit-elle sobrement.
- Pourquoi t’es partie comme ça l’autre jour ? Demanda-t-il.

Haussant les sourcils d’un air surpris, elle rétorqua :
- Bah c’était l’heure. J’étais en retard.
- Ah bon, j’ai cru que tu me fuyais, blagua-t-il.

Ne sachant pas quoi répondre, Laëtitia sourit gentiment tandis qu’il reprenait :
- Ca t’ennuie si je te tiens compagnie un petit moment ?
- Heu … Hésita-t-elle.
- Je me tiendrai tranquille pendant que tu dessines, promit-il, enjôleur.

Se sentant déjà fondre sous le charme du jeune homme, Laëtitia se rappela d’un seul coup qu’elle ne connaissait toujours pas son prénom :
- Minute !!!!! Je ne connais pas ton nom, lui indiqua-t-elle. Alors pourquoi devrais-je céder ?
- Mmmmh … Eh bien, commençons par le commencement alors ! S’exclama-t-il gaiement. Je m’appelle Lionel, j’ai 17 ans et je suis en 1°S3, se présenta-t-il. Et j’aimerais beaucoup qu’on devienne amis tous les deux, parce que tu m’intrigues.
- Je … Je t’intrigue ? Demanda-t-elle avec de grands yeux étonnés.

Il hocha la tête. Quelque peu intéressée par le personnage, Laëtitia décida d’accepter sa proposition. Elle reprit donc son dessin et tenta de continuer ce qu’elle faisait avant. Cependant, la présence de Lionel la troublait trop. Elle préféra donc abandonner et rangea son attirail, ce qui lui valut une remarque dudit Lionel :
- Pourquoi tu t’arrêtes ?
- Je n’aime pas qu’on m’observe quand je dessine, expliqua-t-elle en prenant un livre.
- Dis que je te gêne tant que t’y es, la taquina-t-il.

Gênée qu’il le prenne comme ça, elle rougit et tenta de développer ses raisons. Sauf que Lionel, qui commençait à la cerner au bout de la deuxième rencontre (Nda : Il est fort ce Lionel *SBAF*), l’arrêta tout de suite en précisant qu’il plaisantait. Encore plus rouge qu’auparavant, elle se mit les mains sur les joues pour tenter (en pure perte) de réguler la circulation du sang. Heureusement, ses amis arrivaient pour la sortir de ce mauvais pas.
- Hey Laëti ! L’interpella l’un d’eux, nommé Kévin.

Retrouvant une attitude normale, elle lui sourit et lui répondit d’un geste de la main. Lorsqu’il fut prêt d’eux, il les salua et tournant carrément le dos à Lionel, commença à raconter son week-end à Laëtitia. Laquelle fut stupéfaite de ce manque de savoir-vivre. Certes, Kévin n’était déjà pas, en temps normal, un monstre d’amabilité, mais là, il venait de battre son record. Lionel se remit debout, récupéra son sac et dit à Laëtitia :
- On se voit bientôt. Ciao.

Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’il avait déjà disparu, happé par la foule de lycéens. Fronçant les sourcils, elle fixa un moment l’endroit où elle l’avait perdu de vue, jusqu’à ce qu’elle soit rappelée à l’ordre par une amie qui venait de les rejoindre à Kévin et elle.
- Laëti ? Tu dis plus bonjour à tes amis ?
- Oh désolée Tat’, j’étais dans mes pensées, murmura-t-elle.
Elle salua ses amis et tenta de ne plus penser à ce mystérieux garçon durant toute la journée. Cependant elle fut plus distraite ce jour-là qu’en temps normal.

*SBLARM*
- Aïe !!!!!!!
- Ouch !!!!!!

Laëtitia se retrouva soudain (brutalement ?) assise sur le trottoir à se masser la tête tout en grimaçant de douleur. Une main apparut dans son champ de vision :
- Tu as besoin d’aide ?

Levant les yeux vers le propriétaire de la main, elle constata qu’elle avait devant elle ce que l’on pouvait qualifier de « beau gosse pure souche ». Rougissante, elle s’empressa de se relever, ignorant la main secourable. Elle examina ensuite son vis-à-vis. Cheveux en bataille, yeux bleu outremer, grand, musclé et d’après ce qu’elle pouvait apercevoir sous (mais c'est un peu bizarre ^^) la manche de chemise relevée au coude, un tatouage. Toute à son observation, elle ne s’aperçut pas que le jeune garçon faisait de même de son côté. Après avoir détaillé l’inconnu, elle reprit ses esprits et s’excusa automatiquement :
- Désolée, je ne regardais pas où j’allais.
- Non non c’est moi, intervint-il avec un léger sourire. Tu es en 1°L1 non ?
- Heu oui … Répondit-elle un peu surprise. Comment tu le sais ?
- Une de mes amies est dans ta classe, répondit-il avec un haussement d’épaules.

Jetant un coup d’œil machinal vers sa montre, elle constata avec horreur qu’elle était en retard. Ne prenant même pas le temps de dire au revoir au garçon, elle récupéra son sac et reprit sa course vers le lycée. Le jeune homme, un peu surpris, se contenta d’un « Drôle de fille … » avant de gagner l’établissement, lui aussi.

La journée s’écoula normalement, puis la semaine, puis le week-end. Vint ensuite une nouvelle semaine.

Ce matin-là, Laëtitia était arrivée en avance au Lycée. Comme elle était la seule de son groupe d’amis, elle attendait le reste en dessinant et en écoutant de la musique, tout ça en étant assise soleil. Une ombre s’interposa soudain entre la lumière et elle. Sursautant, elle leva la tête vers l’intrus et reconnut aussitôt le garçon de l’autre jour. Se demandant ce qu’il lui voulait, elle éteignit son lecteur MP4 (les Ipod c'est mieux !!xD) et enleva ses écouteurs.
- Salut la-fille-qui-part-sans-dire-au-revoir, la salua-t-il.
- Bonjour, répondit-elle sobrement.
- Pourquoi t’es partie comme ça l’autre jour ? demanda-t-il.

Haussant les sourcils d’un air surpris, elle rétorqua :
- Bah c’était l’heure. J’étais en retard.
- Ah bon, j’ai cru que tu me fuyais, blagua-t-il.

Ne sachant pas quoi répondre, Laëtitia sourit gentiment tandis qu’il reprenait :
- Ça t’ennuie si je te tiens compagnie un petit moment ?
- Heu … Hésita-t-elle.
- Je me tiendrai tranquille pendant que tu dessines, promit-il, enjôleur.

Se sentant déjà fondre sous le charme du jeune homme, Laëtitia se rappela d’un seul coup qu’elle ne connaissait toujours pas son prénom :
- Minute !!!!! Je ne connais pas ton nom, lui indiqua-t-elle. Alors pourquoi devrais-je céder ?
- Mmmmh … Eh bien, commençons par le commencement alors ! s’exclama-t-il gaiement. Je m’appelle Lionel, j’ai 17 ans et je suis en 1°S3, se présenta-t-il. Et j’aimerais beaucoup qu’on devienne amis tous les deux, parce que tu m’intrigues.
- Je … Je t’intrigue ? demanda-t-elle avec de grands yeux étonnés.

Il hocha la tête. Quelque peu intéressée par le personnage, Laëtitia décida d’accepter sa proposition. Elle reprit donc son dessin et tenta de continuer ce qu’elle faisait avant. Cependant, la présence de Lionel la troublait trop. Elle préféra donc abandonner et rangea son attirail, ce qui lui valut une remarque dudit Lionel :
- Pourquoi tu t’arrêtes ?
- Je n’aime pas qu’on m’observe quand je dessine, expliqua-t-elle en prenant un livre.
- Dis que je te gêne tant que t’y es, la taquina-t-il.

Gênée qu’il le prenne comme ça, elle rougit et tenta de développer ses raisons. Sauf que Lionel, qui commençait à la cerner au bout de la deuxième rencontre (Ndla : Il est fort ce Lionel *SBAF*), l’arrêta tout de suite en précisant qu’il plaisantait. Encore plus rouge qu’auparavant, elle se mit les mains sur les joues pour tenter (en pure perte) de réguler la circulation du sang. Heureusement, ses amis arrivaient pour la sortir de ce mauvais pas.
- Hey Laëti ! L’interpella l’un d’eux, nommé Kévin.

Retrouvant une attitude normale, elle lui sourit et lui répondit d’un geste de la main. Lorsqu’il fut prêt d’eux, il les salua et tournant carrément le dos à Lionel, commença à raconter son week-end à Laëtitia. Laquelle fut stupéfaite de ce manque de savoir-vivre. Certes, Kévin n’était déjà pas, en temps normal, un monstre d’amabilité, mais là, il venait de battre son record. Lionel se remit debout, récupéra son sac et dit à Laëtitia :
- On se voit bientôt. Ciao.

Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’il avait déjà disparu, happé par la foule de lycéens. Fronçant les sourcils, elle fixa un moment l’endroit où elle l’avait perdu de vue, jusqu’à ce qu’elle soit rappelée à l’ordre par une amie qui venait de les rejoindre, Kévin et elle.
- Laëti ? Tu dis plus bonjour à tes amis ?
- Oh désolée Tat’, j’étais dans mes pensées, murmura-t-elle.
Elle salua ses amis et tenta de ne plus penser à ce mystérieux garçon durant toute la journée. Cependant elle fut plus distraite ce jour-là qu’en temps normal.

- Heu oui … Répondit-elle un peu surprise. Comment tu le sais ?
- Une de mes amies est dans ta classe, dit-il avec un haussement d’épaules.

Sursautant, elle leva la tête vers l’intrus et reconnut aussitôt le garçon croisé la semaine d’avant.

Certes, Kévin n’était déjà pas, d’habitude, un monstre d’amabilité, mais là, il venait de battre son record.

Laumie a écrit:

CHAPITRE I : LA RENCONTRE.

*SBLARM*
- Aïe !!!!!!!
- Ouch !!!!!!

Laëtitia se retrouva soudain assise sur le trottoir à se masser la tête tout en grimaçant de douleur. Une main apparut dans son champ de vision :
- Tu as besoin d’aide ?

Levant les yeux vers le propriétaire de la main, elle constata qu’elle avait devant elle ce que l’on pouvait qualifier de « beau gosse pur souche » >>> bof : "le type même du beau gosse". Rougissante, elle s’empressa de se relever, ignorant la main secourable. Elle examina ensuite son vis-à-vis. Cheveux en bataille, yeux bleus outremer, grand, musclé et d’après ce qu’elle pouvait apercevoir sous la manche de chemise repliée jusqu'au coude, un tatouage >>> donc on en déduit que la chemise est de couleur claire, quasi transparente. Tu devrais sans doute le préciser. Toute à son observation, elle ne s’aperçut pas que le jeune garçon faisait de même de son côté >>> "la dévisageait tout autant" ?. Après avoir détaillé l’inconnu, elle reprit ses esprits et s’excusa aussitôt :
- Désolée, je ne regardais pas où j’allais.
- Non non c’est moi, intervint-il avec un léger sourire. Tu es en 1°L1 non ?
- Heu oui … Répondit-elle un peu surprise. Comment tu le sais ?
- Une de mes amies est dans ta classe, répondit-il avec un haussement d’épaules.

Jetant un coup d’œil machinal vers sa montre, elle constata avec horreur qu’elle était en retard. Ne prenant même pas le temps de dire au revoir au garçon, elle récupéra son sac et reprit sa course vers le lycée. Le jeune homme, un peu surpris, se contenta d’un « drôle de fille … » avant de gagner l’établissement, lui aussi.

La journée s’écoula normalement, puis la semaine, puis le week-end. Vint ensuite une nouvelle semaine. >>> bof : "La semaine s'écoula ensuite de façon tout à fait banale." Et tu enchaînes avec "Quelques jours plus tard"

Ce matin-là, >>> voir au-dessus Laëtitia était arrivée en avance au Lycée. Comme elle était la seule de son groupe d’amis, elle attendait le reste >>> Arrivée la première, elle attendait son groupe d'amis en dessinant et en écoutant de la musique, tout ça en étant assise soleil. Une ombre s’interposa soudain entre la lumière et elle. Sursautant, elle leva la tête vers l’intrus et reconnut aussitôt le garçon de l’autre jour. Se demandant ce qu’il lui voulait, elle éteignit son lecteur MP4 et enleva ses écouteurs.
- Salut la-fille-qui-part-sans-dire-au-revoir, la salua-t-il.
- Bonjour, répondit-elle sobrement.
- Pourquoi t’es partie comme ça l’autre jour ? Demanda-t-il.

Haussant les sourcils d’un air surpris, elle rétorqua :
- Bah c’était l’heure. J’étais en retard.
- Ah bon, j’ai cru que tu me fuyais, blagua-t-il.

Ne sachant pas quoi répondre, Laëtitia sourit gentiment tandis qu’il reprenait :
- Ca t’ennuie si je te tiens compagnie un petit moment ?
- Heu … Hésita-t-elle.
- Je me tiendrai tranquille pendant que tu dessines, promit-il, enjôleur.

Se sentant déjà fondre sous le charme du jeune homme, Laëtitia se rappela d’un seul coup qu’elle ne connaissait toujours pas son prénom :
- Minute !!!!! Je ne connais pas ton nom, lui indiqua-t-elle. Alors pourquoi devrais-je céder ? >>> bof, elle n'a pas à céder, juste à accepter sa présence. A revoir.
- Mmmmh … Eh bien, commençons par le commencement alors ! S’exclama-t-il gaiement. Je m’appelle Lionel, j’ai 17 ans et je suis en 1°S3, se présenta-t-il. Et j’aimerais beaucoup qu’on devienne amis tous les deux, parce que tu m’intrigues.
- Je … Je t’intrigue ? Demanda-t-elle avec de grands yeux étonnés.

Il hocha la tête. Quelque peu intéressée par le personnage, Laëtitia décida d’accepter sa proposition. Elle reprit donc son dessin et tenta de continuer ce qu’elle faisait avant >>> cette fin de phrase est maladroite, faudrait n'en faire qu'une avec la première partie de la phrase. Cependant, la présence de Lionel la troublait trop. Elle préféra donc abandonner et rangea son attirail, ce qui lui valut une remarque dudit Lionel :
- Pourquoi tu t’arrêtes ?
- Je n’aime pas qu’on m’observe quand je dessine, expliqua-t-elle en prenant un livre.
- Dis que je te gêne tant que t’y es, la taquina-t-il.

Ennuyée qu’il le prenne comme ça, elle rougit et tenta de développer ses raisons. Sauf que Lionel, qui commençait à la cerner au bout de la deuxième rencontre (Nda : Il est fort ce Lionel *SBAF*), l’arrêta tout de suite en précisant qu’il plaisantait. Encore plus rouge qu’auparavant, elle se mit les mains sur les joues pour tenter (en pure perte) de réguler la circulation du sang. Heureusement, ses amis arrivaient pour la sortir de ce mauvais pas.
- Hey Laëti ! L’interpella l’un d’eux, nommé Kévin.

Retrouvant une attitude normale, elle lui sourit et lui répondit d’un geste de la main. Lorsqu’il fut prêt d’eux, il les salua et tournant carrément le dos à Lionel et commença à raconter son week-end à Laëtitia. Elle fut stupéfaite par le manque de savoir-vivre de son ami. Certes, Kévin n’était déjà pas, en temps normal, un monstre d’amabilité, mais là, il venait de battre son record. Lionel se remit debout, récupéra son sac et dit à Laëtitia :
- On se voit bientôt. Ciao.

Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’il avait déjà disparu, happé par la foule de lycéens. Fronçant les sourcils, elle fixa un moment l’endroit où elle l’avait perdu de vue, jusqu’à ce qu’elle soit rappelée à l’ordre par une amie qui venait de les rejoindre à kévin et elle.
- Laëti ? Tu dis plus bonjour à tes amis ?
- Oh désolée Tat’, j’étais perdue dans mes pensées, murmura-t-elle.
Elle salua ses amis et tenta de ne plus penser à ce mystérieux garçon durant toute la journée. Cependant elle fut plus distraite ce jour-là qu’en temps normal.

- Minute !!!!! Je ne connais pas ton nom, lui indiqua-t-elle gentiment. Donc je n’ai aucune raison de te laisser t’asseoir à côté de moi.

Quelque peu intéressée par le personnage, Laëtitia décida d’accepter sa proposition et reprit donc son dessin pour le continuer.

Laumie a écrit:

CHAPITRE I : LA RENCONTRE.

*SBLARM*
- Aïe !!!!!!!
- Ouch !!!!!!

Laëtitia se retrouva soudain assise (hum ... le "se retrouver" coupe l'élan, empâte l'action si tu préfères. Du coup, on se projette moins dans la scène. De plus, vu ce qui vient de se produire, le "assise" fait un peu léger ... pour une chute ^^) sur le trottoir à se masser la tête tout en grimaçant de douleur. Une main apparut dans son champ de vision (formulation peu heureuse) :
- Tu as besoin d’aide ?

Levant les yeux vers le propriétaire de la main (formulation peu heureuse également), elle constata qu’elle avait devant elle ce que l’on pouvait qualifier de « beau gosse pure souche ». Rougissante, elle s’empressa de se relever, ignorant la main secourable (formul ... bon okay, j'arrête, et j'en dis un peu plus ^^. Déjà tous les qualificatifs en "-able" sont laids au pas possible (genre acceptable, refusable, mangeable etc ...) ce qui doit obliger l'auteur à les employer le moins souvent. Ensuite, la tournure ne fait pas très français non donc je vois plus un truc du style: "et ignora la main tendue") . Elle examina ensuite son vis-à-vis. Cheveux en bataille, yeux bleu outremer, grand, musclé et d’après ce qu’elle pouvait apercevoir dessous la manche de chemise relevée au coude, un tatouage (c'est pas fameux non plus ça ^^. => déjà je sais pas si tu devrais le préciser dès le départ, parce que ça fait vraiment la fille qui l'examine avec minutie au point d'en devenir très inconvenante. De plus, tu aurais plutôt dû le préciser lorsqu'il tendait sa main, ce qui aurait été plus logique pour qu'elle aperçoive le tatouage. Et enfin ... essaie de voir si tu préfères pas un truc du genre: "et un tatouage |tatouage à décrire| s'esquissait sur son avant bras découvert par la chemise relevée". Je suis pas heureux de la fin de ma phrase je te dirais XD.) . Toute à son observation, elle ne s’aperçut (répétition => "elle ne remarqua pas que l'homme faisait de même ...") pas que le jeune garçon faisait de même de son côté. Après avoir détaillé l’inconnu, elle reprit ses esprits et s’excusa automatiquement :
- Désolée, je ne regardais pas où j’allais.
- Non non c’est moi, intervint-il (il n'intervient pas tellement puisqu'il est sollicité par son interlocutrice ...) avec un léger sourire. Tu es en 1°L1 non ?
- Heu oui … Répondit-elle un peu surprise. Comment tu le sais ?
- Une de mes amies est dans ta classe, répondit-il avec un haussement d’épaules.

Jetant un coup d’œil machinal vers sa montre, elle constata avec horreur qu’elle était en retard. Ne prenant même pas le temps de dire au revoir au garçon, elle récupéra son sac et reprit sa course vers le lycée. Le jeune homme, un peu surpris, se contenta d’un « Drôle de fille … » avant de gagner l’établissement, lui aussi.

La journée s’écoula normalement, puis la semaine, puis le week-end. Vint ensuite une nouvelle semaine.

Ce matin-là, Laëtitia était arrivée en avance au lycée (généralement les majuscules sont réservées soit pour le grand lycée, dans le sens d'important, ou alors pour un livre de sciences-fiction si le Lycée signifie autre chose). Comme elle était la seule de son groupe d’amis, elle attendait le reste en dessinant et en écoutant de la musique, tout ça en étant assise au soleil. Une ombre s’interposa soudain entre la lumière et elle. Sursautant, elle leva la tête vers l’intrus et reconnut aussitôt le garçon de l’autre jour. Se demandant ce qu’il lui voulait, elle éteignit son lecteur MP4 et enleva ses écouteurs.
- Salut la-fille-qui-part-sans-dire-au-revoir, la salua (hem ... joli je trouve)-t-il.
- Bonjour, répondit-elle sobrement.
- Pourquoi t’es partie comme ça l’autre jour ? Demanda-t-il.

Haussant les sourcils d’un air surpris, elle rétorqua :
- Bah c’était l’heure. J’étais en retard.
- Ah bon, j’ai cru que tu me fuyais, blagua-t-il.

Ne sachant pas quoi répondre, Laëtitia sourit gentiment tandis qu’il reprenait :
- Ça t’ennuie si je te tiens compagnie un petit moment ?
- Heu … Hésita-t-elle.
- Je me tiendrai tranquille pendant que tu dessines, promit-il, enjôleur.

Se sentant déjà fondre sous le charme du jeune homme, Laëtitia se rappela d’un seul coup qu’elle ne connaissait toujours pas son prénom :
- Minute !!!!! Je ne connais pas ton nom (très redondant là ^^), lui indiqua-t-elle. Alors pourquoi devrais-je céder ?
- Mmmmh … Eh bien, commençons par le commencement alors ! S’exclama-t-il gaiement. Je m’appelle Lionel, j’ai 17 ans et je suis en 1°S3, se présenta-t-il. Et j’aimerais beaucoup qu’on devienne amis tous les deux, parce que tu m’intrigues.
- Je … Je t’intrigue ? Demanda-t-elle avec de grands yeux étonnés.

Il hocha la tête. Quelque peu intéressée par le personnage, Laëtitia décida d’accepter sa proposition. Elle reprit donc son dessin et tenta de continuer ce qu’elle faisait avant. Cependant, la présence de Lionel la troublait trop. Elle préféra donc abandonner et rangea son attirail, ce qui lui valut une remarque dudit Lionel :
- Pourquoi tu t’arrêtes ?
- Je n’aime pas qu’on m’observe quand je dessine, expliqua-t-elle en prenant un livre.
- Dis que je te gêne tant que t’y es, la taquina-t-il.

Gênée qu’il le prenne comme ça, elle rougit et tenta de développer ses raisons. Sauf que Lionel, qui commençait à la cerner au bout de la deuxième rencontre (Nda : Il est fort ce Lionel *SBAF* (j'avoue ... ^^)), l’arrêta tout de suite en précisant qu’il plaisantait. Encore plus rouge qu’auparavant, elle se mit les mains sur les joues pour tenter (en pure perte) de réguler la circulation du sang. Heureusement, ses amis arrivaient pour la sortir de ce mauvais pas.
- Hey Laëti ! L’interpella l’un d’eux, nommé Kévin.

Retrouvant une attitude normale, elle lui sourit et lui répondit d’un geste de la main. Lorsqu’il fut prêt d’eux, il les salua et tournant carrément le dos à Lionel, commença à raconter son week-end à Laëtitia. Laquelle fut stupéfaite de ce manque de savoir-vivre. Certes, Kévin n’était déjà pas, en temps normal, un monstre d’amabilité, mais là, il venait de battre son record. Lionel se remit debout, récupéra son sac et dit à Laëtitia :
- On se voit bientôt. Ciao.

Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’il avait déjà disparu, happé par la foule de lycéens. Fronçant les sourcils, elle fixa un moment l’endroit où elle l’avait perdu de vue, jusqu’à ce qu’elle soit rappelée à l’ordre par une amie qui venait de les rejoindre à Kévin et elle.
- Laëti ? Tu dis plus bonjour à tes amis ?
- Oh désolée Tat’, j’étais dans mes pensées, murmura-t-elle.
Elle salua ses amis et tenta de ne plus penser à ce mystérieux garçon durant toute la journée. Cependant elle fut plus distraite ce jour-là qu’en temps normal. (en même temps ... logique hein, après ce que tu viens de dire à la phrase précédente ... ^^)