Commentaires sur la Page Blanche

Quelle est donc la vraie chose à faire alors?

Considérer que si le capitalisme s'est installé d'une façon aussi complète, c'est peut-être pour des bonnes raisons, et essayer de l'améliorer du mieux que l'on peut au lieu de vouloir à tout prix trouver un autre système, encore plus douteux, et surtout suspendu au fil du conditionnel. Le capitalisme, au moins, il a fait ses preuves en pratique. On a les bases, on les tient, il n'y a plus qu'à se mettre au travail et à fignoler.

MrSonge a écrit:Considérer que si le capitalisme s'est installé d'une façon aussi complète, c'est peut-être pour des bonnes raisons, et essayer de l'améliorer du mieux que l'on peut au lieu de vouloir à tout prix trouver un autre système, encore plus douteux, et surtout suspendu au fil du conditionnel. Le capitalisme, au moins, il a fait ses preuves en pratique. On a les bases, on les tient, il n'y a plus qu'à se mettre au travail et à fignoler.

Voilà pourquoi je me considère comme apolithique, la politique m'ennuie. Je ne m'y retrouve pas

Tu ne peux pas te dire Apolitique et dire le communisme est un empire génial.

Pour moi, la société est effectivement et définitivement capitaliste. Mais ça n'empêche pas qu'on peut essayer d'en tirer du bon, de s'arranger pour que la culture soit accessible à tous. Le communisme est certes un façon de gérer l'économie, mais c'est un parti politique qui a aussi des idées (et pas mal de trucs irréalisable). Je suis coco non pas pour qu'on soit les maitre du monde, mais pour contrebalancer un peu, et si on ouvre plus de bibliothèque en France, j'en serai déjà heureuse.

J'ai quand même beaucoup de mal à saisir tes réflexions Thibauld.

Tu t'extasies devant un "communiste magnifient", puis ensuite tu te considères comme apolitique. Assume tes positions ; c'est la première étape avant de vouloir apporter une thèse sur le sujet.
Mais pourquoi sommes-nous à parler de communisme versus capitalisme déjà ?

Je me cherche, voilà pourquoi je suis apolitique. Je peux être anar le lundi, coco le mardi et libéral le mercredi... c'est excessivement ennuyeux!

Apolotique ne veut pas dire se chercher. Tu n'as pas de parti, ça e t'empêche pas d'avoir certaines conviction.

C'est un peu comme avec dieu, soit tu y crois, tu as donc une religion, soit tu "te cherche" et donc tu es Agnostique, soit tu y crois pas et tu es Athé.

Lou a écrit:Apolotique ne veut pas dire se chercher. Tu n'as pas de parti, ça e t'empêche pas d'avoir certaines conviction.

C'est un peu comme avec dieu, soit tu y crois, tu as donc une religion, soit tu "te cherche" et donc tu es Agnostique, soit tu y crois pas et tu es Athé.

Soit on a fait le bon choix comme moi, Juif.

Ou comme ma copine, catholique.
Ou comme mon oncle, protestant.
Ou comme moi, athée.

Ça fait beaucoup de bons choix à disposition !

Pourquoi juif c'est un bon choix ?

(et ta fameuse grande nation communiste russe, tu sais qu'elle leur en a fait baver aux juifs ?)

Je crois que toute idéologie politique en veut aux juifs.
Sauf les capitalistes.

Le capitalisme n'est pas une idéologie politique et certains régimes capitaliste ont aussi dégommé les juifs.

Arf', les libéraux si tu préfères.
Bah non, du moment qu'ils engrangent du profit... je vois pas pourquoi ils dégommeraient de bons partenaires économiques ?

En temps de crise, c'est la cible idéale, ce sont les méchants on peut leur piquer leurs biens, les exploiter.

Euh ^^ Je croyais qu'on commentait ici, je me suis trompée ? J'ose plus rien dire moi

Vas y malaulau, excuse les, ils sont partis sur un débat ^^

D'un autre côté, à la différence d'un roman, un essai est par essence fait pour débattre un peu puisqu'il défend plusieurs idées .

Oui, mais je voulais voir les coms précédents pour savoir si il était utile que je le poste et je me demandais si le lien du post de Barbara était le bon du coup ^^. Je poste après l'école alors...

Alors le premier truc c'est que je trouve que le titre ne reflête pas bien l'âme du texte. Il ne s'agit pas vraiment de la page blanche mais de tout ce qui freine l'imagination ou du moins la création du texte.

Surtout lorsque l’on est maman et qu’il ne paraît pas acceptable, pour autrui, qu’une mère se consacre à l’écriture et fasse passer sa passion en priorité, devant l’éducation de ses enfants

+1 , je le vis aussi ce regard.

qu’une femme montre les mêmes talents qu’un homme et elle devra fournir deux fois plus d’efforts que celui-ci, elle devra prouver avec deux fois plus d’acharnement ses capacités, pour parvenir au même résultat que lui. La réussite d’une femme est, pour cette simple raison, beaucoup plus admirable que celle d’un homme.

Là je t'ai trouvé très dure ^^ Mais la suite met en lumière le fait que ces mots sont un éxutoire.

Dure loi du temps et implacable fatalité de la vie. Je suis mère, il est presque huit heures et, vacances ou pas, mes chérubins viennent de se réveiller. Allez mémé, au turbin ! L’heure de la préparation du petit-déjeuner a sonné, tu te lamenteras plus tard !

J'ai l'impression de voir ma vie ^^

Je trouve que ce texte cache beaucoup d'émotions et certainement du vécu mais les sentiments sont bridés et c'est dommage. L'écriture est très technique et c'est aussi un frein. Je ne sais pas comment exprimer mon ressenti mais tu as du travailler ce texte (ou peut-être que ta technique est telle que ton premier jet suffise ^^) et l'âme est un peu voilée à mon avis.
À la lecture, les idées s'enchainent se bousculent, se retrouvent... et on a du mal à saisir, au final, le tableau que tu as voulu donner. On y voit le syndrome de la page blanche, le carcan familial grosso modo. Je pense que tu voulais qu'on retienne autre chose mais je ne l'ai pas "imprimé".
La partie, qui parle de ton rythme de travail, casse la sensibilité du texte, je trouve. On en vient à des comptes mathématiques qui mettent en avant, encore une fois, l'aspect technique, méthodique et froid. Comme si tu comparais l'écriture à des sciences exactes et cela m'a un peu dérangée. Car là je visualise un comptable qui est ennuyé par les dérangements occasionnés. Le processus créatif qui est tué, je ne le ressens pas vraiment.
Le clin d'oeil sur le mari riche, m'a fait sourire mais il est aussi amené de telle sorte que je l'analyse froidement comme un calcul ignoble. Je ne sens pas l'ironie perçante que tu aurais pu y mettre. Juste un clin d'oeil alors que je pense que bien d'autres choses se cachent derrière ce petit passage. Cet aspect là, n'est pas bien mis en avant.

Bref, un texte bien écrit sans conteste, peut-être un peu trop ^^.
Une chute qui m'a fait sourire, tellement je m'y retrouve mais un regret, l'âme est un peu noyée. J'ai l'impression que tu t'es retenue mais c'est un peu-être un ressenti totalement erroné.
J'avais préféré de beaucoup ton texte sur les pages écrites et détruites... La sensibilité était tellement bien rendue...

Merci beaucoup, Malaulau, pour ton commentaire. C'est vrai que ce topic avait viré au débat idéologique, et comme c'était intéressant, je ne suis pas intervenue pour leur rappeler que c'était un lieu de commentaires.

Ton analyse de mon texte est très juste. Je te remercie d'avoir pris le temps de le lire et de l'analyser.
En fait, c'est ce que j'ai dit dans le nouveau fil que j'ai ouvert dans la salle d'interrogatoires : ce texte fait justement partie de tous ces essais que j'écris depuis quelques mois, avant de trouver la bonne façon d'appréhender mes idées et de les retranscrire. Là, j'ai fini le roman en question.
Comme tu dis, ça manque d'âme. J'ai des choses à dire, à crier, à reprocher, et ça manquait de sentiments, de quelque chose qui touche le lecteur, justement parce que j'avais mis trop de retenue, trop de barrières, ne sachant pas vraiment par quoi commencer, ni comment transmettre ma frustration.
Dans quelques jours, je vais poster le début de ce roman, et j'espère que je m'y suis mieux prise.

^^ Comment s'appelait ce texte déjà avec "la jeune femme" qui écrivait en cachette par peur d'être violentée ?

Je ne m'en souviens plus, en fait... Faudrait le rechercher dans le forum, s'il y est encore... Parce que pour le retrouver dans mon ordi, aïe, c'est un peu le bazar.

Finalement, je ne vais pas attendre quelques jours avant de poster le début de mon roman. Je le fais aujourd'hui.

^^ Comment ça, c'est la pagaille ?

Ben je mélange des nouvelles achevées avec des idées de nouvelles, des réflexions, des trucs à la noix... Rien n'est classé, sauf par année. Et chaque doc prend rapidement des proportions assez énormes, et je ne prends pas la peine de faire un sommaire. Donc galère pour retrouver un texte dont je ne me souviens plus du titre !

Tiens, j'en ai retrouvé un qui pourrait être celui dont tu parles :
https://imperialdreamer.1fr1.net/t2436-souffrance

C'est celui-là. Il m'avait beaucoup marqué. Je n'avais pas vu qu'il y avait une suite