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Re: commentaires sur : l'Elue
il y a un programme pour le répet que j'utilise, ça aide bien à en voir un paquet. Le nom c'est répétition détector, tu connais ? Je te le donne si tu veux
Re: commentaires sur : l'Elue
kat a écrit:il y a un programme pour le répet que j'utilise, ça aide bien à en voir un paquet. Le nom c'est répétition détector, tu connais ? Je te le donne si tu veux
Demande à un aveugle s'il veut voir ! yes, je veux bien merci...
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bof l'agonie mentaleA midi, ils étaient tous réunis à la même table, Éric, Laurent, Valérie et Djamila quand cette dernière la secoua de son agonie mentale.
Elle rencontra (croisa) le regard d’Éric ; il était triste. Il réalisait que quelque chose n’allait pas mais n’osait pas l’aborder de peur de déclencher une dispute. Elle s’en voulu davantage, il ne méritait pas d’être traité comme un yoyo(même si elle le voit comme un yoyo, l'expression n'est pas terrible). C’est l’impression qu’elle se faisait de leur relation. Elle se força un sourire (à sourire).
Tu sais parfaitement que si tu n’y vas pas Éric n’ira pas non plus. (virgule après plus et pas de majuscule à persifla) Persifla-t-elle.
ah, ça commence à devenir très interessant çaElle n’eut pas conscience de la suite, les cris, le bruit du verre qui éclate, les portes qui volent, tout cela lui parvint à travers un immense brouillard et elle perdit connaissance.
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Suite Chapitre 2 : (7ème partie) Nouvelles amitiés ?
=> mouis. Encore que c'est lui qui se rend compte de ce que ressent un père qui est "abandonné" par ses enfants. Pas elle, vu que ce n'est pas elle qui est abandonnée.
=> lancer, c'est pas top. Lancer, c'est sur un ton péremptoire, méprisant etc... pour faire une menace, pour interpeler de loin quelqu'un afin de régler ses comptes, tu vois ? Je verrais plus "s'écrier".
Je ne vais pas refaire toutes les appréciations.
Niveau langue, il y a encore les mêmes erreurs : c'est un peu récurrent mais maintenant tu es au courant (et peut-être n'as-tu pas encore corrigé).
Pense que tu écris un livre et non un scénario de film. Que tu as une plume et non une caméra.
C'est visible dans ta narration que tu réfléchis comme un metteur en scène et non comme une écrivaine. Les mots sont là pour faire parler l'image.
Or toi, tu n'as pas d'image, donc il te faut impérativement les mots .
Niveau histoire, ce Samuel devient clairement quelqu'un de pas bien. Son "c'est fait" est pour moi très cliché (trop cliché ?) parce que du coup, on la fout direct dans la catégorie "méchant" et le lecteur prend une longueur d'avance sur la narration.
On a envie de te dire : mais dis-le qu'il est là pour nuire, on le sait déjà.
C'est ça qui m'embête un peu.
Sinon, l'histoire prend du sens tout à coup. Intéressé de voir la suite, de savoir ce que Eric va bien pouvoir faire aussi dans tout ça, comment va évoluer l'univers d'Eli en gros.
Par contre, pourquoi "Marie" à la place de "Maman" ?! oO
=> c'est pas le genre de détail que le lecteur aime lire. C'est un peu un "tue ambiance". Comme si tu venais de dire qu'il allait pisser dans un coin pour attendre ^^.Il attendit l'accusé de réception avant de ranger l'appareil dans la poche.
=> si ça se passe tranquillement, c'est forcément qu'il n'y a aucun incident .
Le reste de la semaine se passa tranquillement sans incident
=> beurk. Cauchemarder, enlève-le de ton vocabulaire. C'est un mot inventé, je sais même pas s'il est toléré dans le dico. En tout cas, formule autrement du genre : "Elizabeth dormait d'un sommeil profond sans aucun cauchemar".Élisabeth dormait d’un sommeil profond sans cauchemarder.
=> une manie est déjà une habitude... c'est un peu un gros pléonasme ^^.Alain avait la manie des habitudes ce qu’appréciait beaucoup Élisabeth.
=> non, ça c'est typique du film. Il y a des mots pour dire ça. Tu écris un film, pas un scénario derrière une caméra !— …
=> lorsqu'il venaitElle sut alors ce que ressentait une fille devant son père lorsqu’il vient de s’apercevoir que son enfant a grandi.
=> mouis. Encore que c'est lui qui se rend compte de ce que ressent un père qui est "abandonné" par ses enfants. Pas elle, vu que ce n'est pas elle qui est abandonnée.
=> détoner... c'est-à-dire ?Elle détonait dans ce quartier modeste.
=> ça je trouve ça trop fort. C'est rare les enfants qui appellent leur mère par leur prénom et non par "maman". C'est fait exprès ? oO (c'est pas la première fois que je te le dis, mais tu as jamais expliqué dans ton texte pourquoi elle fait ça. En tout cas, ça choque)« Je suis rentrée Marie ! » Lança-t-elle en accrochant son manteau sur la patère dans l’entrée.
=> lancer, c'est pas top. Lancer, c'est sur un ton péremptoire, méprisant etc... pour faire une menace, pour interpeler de loin quelqu'un afin de régler ses comptes, tu vois ? Je verrais plus "s'écrier".
=> élégant, c'est en référence à Samuel ? Parce que ça ne va pas la disposition. Si c'est en rapport avec la chemise, il faut un "e" et si c'est en rapport avec chemise jean, il faut un "s" !Vêtu d’un jean et d’une chemise noire, toujours très élégant,
=> Oui mais attention. Déjà le titre d'avant j'ai rien dit. Mais là, c'est tout juste pas crédible. Surtout dit comme ça ; il faut prendre des gants et l'introduire plus judicieusement quand même pour parler d'une oeuvre comme celle-ci !— Oui. Comme beaucoup d’autres d’ailleurs. La dernière trouvaille de grand-mère : une édition de 1557, les prophéties de Michel Nostradamus.
=> le "il se leva" ne va pas. On a l'impression que ça fait partie du dialogue, alors que pas du tout !— Bien. Donc c’est décidé. Je t’enlève ta fille Marie. Il se leva. On devrait y aller maintenant. Ainsi tu auras plus de temps pour fouiner dans la bibliothèque ! »
Je ne vais pas refaire toutes les appréciations.
Niveau langue, il y a encore les mêmes erreurs : c'est un peu récurrent mais maintenant tu es au courant (et peut-être n'as-tu pas encore corrigé).
Pense que tu écris un livre et non un scénario de film. Que tu as une plume et non une caméra.
C'est visible dans ta narration que tu réfléchis comme un metteur en scène et non comme une écrivaine. Les mots sont là pour faire parler l'image.
Or toi, tu n'as pas d'image, donc il te faut impérativement les mots .
Niveau histoire, ce Samuel devient clairement quelqu'un de pas bien. Son "c'est fait" est pour moi très cliché (trop cliché ?) parce que du coup, on la fout direct dans la catégorie "méchant" et le lecteur prend une longueur d'avance sur la narration.
On a envie de te dire : mais dis-le qu'il est là pour nuire, on le sait déjà.
C'est ça qui m'embête un peu.
Sinon, l'histoire prend du sens tout à coup. Intéressé de voir la suite, de savoir ce que Eric va bien pouvoir faire aussi dans tout ça, comment va évoluer l'univers d'Eli en gros.
Par contre, pourquoi "Marie" à la place de "Maman" ?! oO
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Donc là j'ai mis : "Elle imagina alors ce que ressentait une fille devant son père qui vient de réaliser que son enfant a grandi".Pacô a écrit:Suite Chapitre 2 : (7ème partie) Nouvelles amitiés ?=> mouis. Encore que c'est lui qui se rend compte de ce que ressent un père qui est "abandonné" par ses enfants. Pas elle, vu que ce n'est pas elle qui est abandonnée.Elle sut alors ce que ressentait une fille devant son père lorsqu’il vient de s’apercevoir que son enfant a grandi.
Certes, elle a été abandonnée mais ça ne l'empêche pas de ressentir, de percevoir les relations entre un père et sa fille, à travers les films qu'elle peut voir, les romans qu'elle peut lire, l'observation des autres autour d'elle...
Pacô a écrit: Elle détonait dans ce quartier modeste. => détoner... c'est-à-dire ?
Imagine une nana super friquée à Barbés... (à la Marseillaise !)
Pacô a écrit: => ça je trouve ça trop fort. C'est rare les enfants qui appellent leur mère par leur prénom et non par "maman". C'est fait exprès ? oO (c'est pas la première fois que je te le dis, mais tu as jamais expliqué dans ton texte pourquoi elle fait ça. En tout cas, ça choque)
Ok, effectivement, cela peut paraître un peu froid... donc, je vais faire en sorte qu'elle appelle Marie : Maman.
Pacô a écrit: Vêtu d’un jean et d’une chemise noire, toujours très élégant=> élégant, c'est en référence à Samuel ? Parce que ça ne va pas la disposition. Si c'est en rapport avec la chemise, il faut un "e" et si c'est en rapport avec chemise jean, il faut un "s" !,
Finalement, j'ai tout viré ! On s'en foue commet il est sapé... J'ai déja fait référence à son élegance au resto.
=> Oui mais attention. Déjà le titre d'avant j'ai rien dit. Mais là, c'est tout juste pas crédible. Surtout dit comme ça ; il faut prendre des gants et l'introduire plus judicieusement quand même pour parler d'une oeuvre comme celle-ci !. [/quote]Pacô a écrit: — Oui. Comme beaucoup d’autres d’ailleurs. La dernière trouvaille de grand-mère : une édition de 1557, les prophéties de Michel Nostradamus.
Alors là, j'avais pas tilté sur ce point. EVIDEMMENT ! j'ai modifié le passage et je vais introduire un meuble sous verre dans la bibliothèque pour les oeuvres rares. (soupir). Pour l'autre édition de Delaunay, elle se vend sur internet. (200 euros environ) ;
J'ai modifié les autres erreurs que tu as "pointé du clavier".
Pacô a écrit: Niveau langue, il y a encore les mêmes erreurs : c'est un peu récurrent mais maintenant tu es au courant (et peut-être n'as-tu pas encore corrigé).
Pacô a écrit:Pense que tu écris un livre et non un scénario de film. Que tu as une plume et non une caméra.
Facile à dire, moins facile à faire...
Pacô a écrit: Niveau histoire, ce Samuel devient clairement quelqu'un de pas bien. Son "c'est fait" est pour moi très cliché (trop cliché ?) parce que du coup, on la fout direct dans la catégorie "méchant" et le lecteur prend une longueur d'avance sur la narration.
On a envie de te dire : mais dis-le qu'il est là pour nuire, on le sait déjà.
Sauf que non... c'est pas le cas Tout n'est pas blanc ou noir.
Pacô a écrit:Sinon, l'histoire prend du sens tout à coup. Intéressé de voir la suite, de savoir ce que Eric va bien pouvoir faire aussi dans tout ça, comment va évoluer l'univers d'Eli en gros.
Merci Pacô. La suite, mais est un peu longuette j'en suis consciente...
Re: commentaires sur : l'Elue
Pour le détonner... c'est surtout que "détoner" n'est pas un des verbes les plus heureux... Il fait très "sale" au milieu du reste, pour moi. Un peu comme si tu mettais : la voiture flashait au milieu du quartier.
C'est maladroit, surtout quand ce n'est pas ton style de base.
Pour le livre, il faudrait surtout parler un peu plus d'eux et ne pas les faire tomber comme ça. Préalablement, tu aurais pu souligner que Samuel était riche, qu'il avait les moyens d'avoir ce qu'il voulait et puis... je sais pas, mais il faut introduire pleins de notions avant de faire tomber une oeuvre comme ça .
C'est maladroit, surtout quand ce n'est pas ton style de base.
Pour le livre, il faudrait surtout parler un peu plus d'eux et ne pas les faire tomber comme ça. Préalablement, tu aurais pu souligner que Samuel était riche, qu'il avait les moyens d'avoir ce qu'il voulait et puis... je sais pas, mais il faut introduire pleins de notions avant de faire tomber une oeuvre comme ça .
Re: commentaires sur : l'Elue
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, une lumière blanche l’aveugla. Elle les referma aussitôt. Etait-elle au paradis ? Que c’était-il passé ? Elle entendit qu’on murmurait son prénom à côté d’elle. Elle reconnut la voix de sa mère, puis un bruit de chaise qu’on traîne (en général plutôt une chaise qu'on tire, surtout à l'hôpital, pas top de trainer une chaise) , des rideaux qu’on ferme d’un coup sec. Aussitôt une douce obscurité fit place à la lumière aveuglante. A travers ses cils, elle distingua une chambre d’hôpital et retint un cri de stupeur. Marie revenait vers elle et lui prit la main. Ses yeux trahissaient son anxiété mais un sourire lumineux (là, ça me dérange, ok pour avoir les yeux anxieux et sourire malgré tout, mais sourire lumineux, c'est un terme un peu fort) éclairait son visage lorsqu’elle se pencha sur sa fille pour embrasser son front (déposer un baiser sur son front)..
Sans attendre la réponse, elle se redressa et appuya sur un bouton attaché au lit. Une lumière orange clignota tandis que dans le couloir résonnait un bip strident (est ce que c'est vraiment si important de décrire la lumière orange qui clignote et le bip strident, on comprend très bien que c'est la sonnette d'appel. A la limite au passage précédent, dit qu'elle appuya sur la sonnette d'appel) Une infirmière apparut aussitôt.
Je vais encore t'embeter avec ça mais tu ne dois pas mettre de majuscules après un ! ou un ? si cette ponctuation ne termine pas la phrase.—Elle est réveillée Paula ! Peux-tu appeler le médecin, s’il te plaît.
là encore, je trouve que tater le front n'est pas très heureux. Je trouve (avis personnel) que poser sa main sur le front est mieux.L’infirmière hocha la tête et disparut. Marie se tourna à nouveau vers sa fille et tata son front.
—
1ere phrase : pas de majuscule à réussitQu’est-ce qui m’arrive ? Réussit à articuler Élisabeth.
—Rien de grave ma chérie, ne t’inquiète pas, il…
2eme phrase : manque espace entre tiret et premier mot
Elle fut interrompue par l’arrivée du médecin. Un homme de grande taille qui semblait remplir la pièce à lui tout seul ( je ne comprends pas bien, pourquoi il remplit la pièce à lui tout seul, parce qu'il est grand ?). Sa voix forte perça les dernières volutes (volute : ce qui est en forme de spirale, d'hélice... je ne trouve pas que ça colle dans ta phrase) d’inconscience d’où émergeait la jeune fille.
Pas de majuscule à Hum—Hé bien, jeune fille, comment se passe ce réveil ? Hum, voyons voir.
manque un espace entre tiret et premier mot
Il inspecta (consulta) le carnet accroché au pied du (ça porte un autre nom, en général si je ne m'abuse, c'est la fiche de température qui est accrochée au lit. C'est le médecin qui doit avoir le dossier avec lui. De plus, s'il y a un dossier accroché au lit ok, mais ne l'accroche pas au pied du lit) lit puis s’approcha d’elle. Marie s’esquiva (donc si elle s'esquive, elle part ?) discrètement pendant que le médecin prenait le pouls d’Élisabeth. Cette dernière l’observait, inquiète. Elle n’avait jamais était malade. Les rares fois où elle était venue ici, étaient exceptionnelles (donc si ses visites étaient rares, elles étaient forcément exceptionnelles. ça fait doublon) . Notamment lorsque la jeune fille, plus petite, accompagnait sa mère sur son lieu de travail. Mais déjà à l’époque, elle détestait l’odeur qui y régnait et surtout cet (cette) atmosphère emprunt(e) d’un mélange de tristesse, de peur et d’espoir.
Pas de majuscule à lui—Comment t’appelles-tu jeune fille ? Lui demanda le médecin en soulevant sa paupière.
Un rayon lumineux éclata soudain dans l’œil d’Élisabeth Elle eut un r(alors là, sérieux j'ai rien compris Je n'ai compris qu'en lisant la suite. Utilise les termes qui correspondent aux accessoires que tu cites, ça porte un nom l'appareil pour voir dans les yeux, je croyais que c'était le soleil ou un truc surnaturel au départ). Elle eut un recul qui amusa le médecin (un mouvement de recul) .
—Marie (Ta mère) ne t’a pas dit ? Je ne mange pas les patients à cette heure matinale. Pas avant onze heures. Ça m’indispose, ajouta-t-il avec un clin d’œil. (en lui adressant un clin d'oeil ?)
Il retira ses petites lunettes (ah bah tu l'avais pas dit dans sa description qu'il avait des lunettes) qu’il percha sur le haut de sa tête dégarnie (tu aurais pu aussi le descrire précédemment) et se tourna vers la mère de la jeune fille qui attendait sagement à côté de la porte. (je croyais qu'elle s'était eclipsée ? ça, c'est pas cohérent je trouve, tu la fait partir sans préciser qu'elle reste à proximité de la porte, du coup ça surprent de voir qu'elle est finalement là et que donc, par conséquent, elle a forcément suivit la discussion entre Eli et le médecin)
Dans le coma ? je croyais qu'elle avait perdu connaissance (post précédent), c'est un peu excessif le coma je trouveelle est tombée dans un léger coma,
Re: commentaires sur : l'Elue
kat a écrit:Pas de majuscule à lui—Comment t’appelles-tu jeune fille ? Lui demanda le médecin en soulevant sa paupière.
D'accord avec toi, Kat, mais dans ce cas, il faudrait mettre une virgule après le point d'interrogation, afin de distinguer la narration du dialogue.
deadbabies77- Talent Hasardeux
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Re: commentaires sur : l'Elue
Ben apparemment pas non. J'ai devant moi un manuel de typo et il est écrit ceci :
"Pas de capitale initale après un point d'interrogation, d'exclamation lorsque ces signes ne terminent pas la phrase."
en exemple : Pourquoi ? tu n'as pas le droit
Donc, visiblement pas de virgule. J'ai vérifié sur un livre que j'ai lu et en effet c'est bien rédigé de cette façon.
"Pas de capitale initale après un point d'interrogation, d'exclamation lorsque ces signes ne terminent pas la phrase."
en exemple : Pourquoi ? tu n'as pas le droit
Donc, visiblement pas de virgule. J'ai vérifié sur un livre que j'ai lu et en effet c'est bien rédigé de cette façon.
Re: commentaires sur : l'Elue
Après un point d'exclamation, un point d'interrogation, des points de suspension lorsqu'ils terminent une phrase.
* Exemples :
o J'ai besoin d'une épithète ; peu m'importe de sacrifier la vérité ! Je prends dans le dictionnaire le mot qui fait l'affaire, quand même il dirait le contraire de ce que je voulais dire. (Vallès)
o Qu’est-ce que signifie ici que l'existence précède l'essence ? Cela signifie que l'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu'il se définit après. (Sartre)
o J'étais peut-être jolie ; ma mère et mes portraits de ce temps-là ne sont pas toujours d'accord... Je l'étais à cause de mon âge et du lever du jour, à cause des yeux bleus assombris par la verdure, des cheveux blonds qui ne seraient lissés qu'à mon retour, et de ma supériorité d'enfant éveillée sur les autres enfants endormis. (Colette)
Source : http://www.etudes-litteraires.com/langue-francaise/majuscules.php
* Exemples :
o J'ai besoin d'une épithète ; peu m'importe de sacrifier la vérité ! Je prends dans le dictionnaire le mot qui fait l'affaire, quand même il dirait le contraire de ce que je voulais dire. (Vallès)
o Qu’est-ce que signifie ici que l'existence précède l'essence ? Cela signifie que l'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu'il se définit après. (Sartre)
o J'étais peut-être jolie ; ma mère et mes portraits de ce temps-là ne sont pas toujours d'accord... Je l'étais à cause de mon âge et du lever du jour, à cause des yeux bleus assombris par la verdure, des cheveux blonds qui ne seraient lissés qu'à mon retour, et de ma supériorité d'enfant éveillée sur les autres enfants endormis. (Colette)
Source : http://www.etudes-litteraires.com/langue-francaise/majuscules.php
Laumie- Talent Divin
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Re: commentaires sur : l'Elue
okidacodac mais moi je pensais à une phrase telle que:
Pourquoi?, demanda-t-il, ne puis-je pas...
Mais en réfléchissant (hé oui, ça m'arrive parfois )il serait plus exact de retirer carrément le point d'interrogation, ce qui donnerait:
Pourquoi, demanda-t-il, ne puis je pas... et mettre le point d'interrogation tout à la fin de la phrase...
Ce qui est plus égréable à lire...
Pourquoi?, demanda-t-il, ne puis-je pas...
Mais en réfléchissant (hé oui, ça m'arrive parfois )il serait plus exact de retirer carrément le point d'interrogation, ce qui donnerait:
Pourquoi, demanda-t-il, ne puis je pas... et mettre le point d'interrogation tout à la fin de la phrase...
Ce qui est plus égréable à lire...
deadbabies77- Talent Hasardeux
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Re: commentaires sur : l'Elue
ben je sais pas, ça changerait le sens de la phrase si on ne met pas le ? après le pourquoi de l'exemple. J'avoue que ça me laisse perplexe ces histoires de typo.
Re: commentaires sur : l'Elue
Je t'avoue que moi aussi
Je viens de trouver sur un site ceci:
"Les seules phrases de récit qui n'obligent pas à fermer les guillemets (avant elles) puis à les rouvrir (après elles) sont les phrases incises (aussi appelées propositions incises), dont les caractéristiques sont :
un sujet inversé par rapport au verbe
un verbe dont la signification générale est "dire" (aussi appelé «verbe de parole»)
des virgules qui l'encadrent (si les paroles finissent par un “?”, un “!” ou des “...”, on maintient cette ponctuation)
une minuscule initiale systématique (en tête de phrase incise)."
Source: Fiche de synthèse grammaire
Je viens de trouver sur un site ceci:
"Les seules phrases de récit qui n'obligent pas à fermer les guillemets (avant elles) puis à les rouvrir (après elles) sont les phrases incises (aussi appelées propositions incises), dont les caractéristiques sont :
un sujet inversé par rapport au verbe
un verbe dont la signification générale est "dire" (aussi appelé «verbe de parole»)
des virgules qui l'encadrent (si les paroles finissent par un “?”, un “!” ou des “...”, on maintient cette ponctuation)
une minuscule initiale systématique (en tête de phrase incise)."
Source: Fiche de synthèse grammaire
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Re: commentaires sur : l'Elue
La typographie correcte est comme ceci :
Pas de virgule après un autre signe de ponctuation (et ça c'est une règle générale, pas que dans le dialogue).
La virgule n'est utilisée que s'il n'y a point d'exclamation ou d'interrogation.
Exemple :
J'espère que mes exemples auront de quoi vous convaincre !
« Pourquoi sont-ils si grands ? demanda le petit garçon
- Parce que ce sont des géants ! » s'écria sa sœur aînée.
Pas de virgule après un autre signe de ponctuation (et ça c'est une règle générale, pas que dans le dialogue).
La virgule n'est utilisée que s'il n'y a point d'exclamation ou d'interrogation.
Exemple :
« Les animaux sont des êtres comestibles, expliqua la maîtresse à ses élèves
- Mais moi je n'aime pas le poulet ! » s'exclama Brigitte
J'espère que mes exemples auront de quoi vous convaincre !
Re: commentaires sur : l'Elue
coucou,
je viens de lire le début du chapitre 6 et là je trouve que ton écriture a changé, c'était vraiment très agréable à lire (d'ailleurs c'était pas assez long )
j'aurais dis "des" sanglotsElle dut se taire, les sanglots dans la gorge,
Pour te dire qu’il m’est difficile de te dire ce qui s’est réellement passé
manque un espace après le .Elle semblait se parler à elle-même.Marie se racla la gorge avant de poursuivre.
Ben dis-donc, t'as pris ton temps mais là tu n'y vas pas avec le dos de la cuiller ça déménage chez Petite briseLe bâtiment s’est comment dire… éventré.
je viens de lire le début du chapitre 6 et là je trouve que ton écriture a changé, c'était vraiment très agréable à lire (d'ailleurs c'était pas assez long )
Re: commentaires sur : l'Elue
kat a écrit:je viens de lire le début du chapitre 6 et là je trouve que ton écriture a changé, c'était vraiment très agréable à lire (d'ailleurs c'était pas assez long )
Tu peux pas savoir à quel point ta remarque me fait plaisir : mais c'est surtout grâce à vous tous. Alors MERCI
Re: commentaires sur : l'Elue
CHAPITRE 6 - 2eme partie
ensuite, "elle semblait parler au tel" il s'agit de Marie. Mais après "une sensation étrange l'envahie, je suppose qu'il s'agit d'Eli mais cela peut porter à confusion, j'ai du relire plusieurs fois le paragraphe parce que ça me perturbait.
Concernant la partie soulignée, en fait on s'embrouille sur qui est qui. Au départ tu dis "elle entendit marie" ok c'est donc EliL’étoile du berger, sa préférée, apparue encore clignotante, comme pour lui souhaiter la bienvenue. Elle entendit la voix de Marie. Elle semblait parler au téléphone. Une impression étrange l’envahie, d’être dans un autre monde, différent tout du moins de celui qu’elle connaissait. A bien y réfléchir était-ce le monde qui lui semblait différent, ou bien elle qui avait changé. Le ton de Marie l’obligea à se concentrer sur ce monde réel.
ensuite, "elle semblait parler au tel" il s'agit de Marie. Mais après "une sensation étrange l'envahie, je suppose qu'il s'agit d'Eli mais cela peut porter à confusion, j'ai du relire plusieurs fois le paragraphe parce que ça me perturbait.
— Pas d’enfantillage ma belle. Tu es une grande fille. Allez, ouvre grand la bouche.
décrétant qu’il était temps qu’elle sorte un peu de son antre. Si au début, l’idée de sortir de son lit lui parut être une aventure au-delà du possible,
Vérifie ton Il, pour moi tu as du taper deux fois i en majusculesII est venu te voir tous les jours à l’hôpital.
Elle regarda la fille s’éloignée er, regrettant que la coquille se soit déjà refermée. Son instinct de mère (instinct maternel) lui soufflait que quelque chose n’allait pas bien
Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 2 - 9ème extrait.
=> mets "bip" entre guillemets ou en italique
=> pas de majuscule à "s'enquit"
=> pas de fermeture de guillemet puisque le dialogue se poursuit
=> "d'hommes et de femmes plus ou moins sévères", ce sont les représentations qui sont sévères ou non, pas les tableaux eux-mêmes.
=> "couleurs chatoyantes" rentre un peu en contradiction avec toute l'idée qu'on s'était faite de ce manoir. Tu devrais continuer sur le côté austère, froid et inamical. Chatoyant fait envie, bien au contraire.
=> ça fait très philosophie de comptoir sortie à un moment inopportun
Analyse linguistique :
C'est vachement mieux dis-moi.
Quelques maladresses, relevées, certes, mais l'ensemble m'a paru en lui-même beaucoup plus fluide !
J'ai apprécié là.
Encore un petit reproche sur les dialogues : ils sont encore un peu "plat", dans le sens où on dirait qu'ils décorent plus qu'autre chose mais que finalement, ils apportent rien d'intéressant.
En particulier quand c'est pour répéter ce que dit la narration, avec le fait qu'ils arrivent dans un grand château et que Eli dit :
"Pouff. C'est immense."
Là, ça ne sert à rien et le lecteur peut se lasser.
Mais sinon, c'est beaucoup plus captivant .
Analyse de l'histoire :
Effectivement, Samuel fait beaucoup plus sympathique tout à coup.
Mais pourquoi développer tout un sentiment de crainte si finalement, elle s'envole dès les seconds chapitres ?
Tu aurais pu bosser dessus et faire croire à ton lecteur que ce mec était méchant jusqu'au bout, ou jusqu'à un certain temps !
Sinon, un manoir qui promet d'être quelque peu effrayant. Pense à retirer le "chatoyant" qui fait tout de suite plus convivial que l'histoire de fantômes.
C'est un mélange qui va pas, parce que tu perds tout ton effet.
Sinon, the suite pour bientôt.
C'est que j'ai du retard ^^.
=> qui est "ils" ? Si c'est Marie Samuel, c'est bon, mais je trouve ça bizarre. Si c'est samuel, il y a un pluriel qui ne convient pas !tandis qu’ils revenaient vers l’entrée.
=> ça fait un peu le même effet que "en embrassant sa fille sur le front". Un drôle d'effet quoi...dit-elle en embrassant sa fille sur le perron.
=> j'aurais joué avec une image : l'obscurité assombrissait le ciel" pour faire simple et traditionnel, ou mieux "l'obscurité encrait le ciel". A toi de voir.l’obscurité gagnait le ciel.
=> admiréede la voiture qu’elle avait admiré
=> j'aime pas trop la formulationet un bip sonna
=> mets "bip" entre guillemets ou en italique
=> majuscule au "ç"« ça va ? » S’enquit-il.
=> pas de majuscule à "s'enquit"
=> pas de fermeture de guillemet puisque le dialogue se poursuit
=> elle s'était faite à l'idée d'un animal effrayé ?C’est justement l’idée qu’elle s’était faite juste après avoir accepté l’invitation.
=> comment peut-elle filer alors que Samuel n'a pas démarré tout de suite la voiture ?Elle souriait tandis que la voiture filait sur la route.
=> rit-il, ça évite la confusion dialogue/narration— Oui, on peut dire comme cela. Il rit devant l’expression éberluée de la jeune fille.
=> bof le agrémenter. L'entrée était ouverte sur un immense escalier en pierre.L’entrée était agrémentée d’un immense escalier en pierre.
=> "Des portraits" suffit.Des tableaux représentant des portraits plus ou moins sévères ornaient les murs et un grand tapis au sol déployait des couleurs chatoyantes.
=> "d'hommes et de femmes plus ou moins sévères", ce sont les représentations qui sont sévères ou non, pas les tableaux eux-mêmes.
=> "couleurs chatoyantes" rentre un peu en contradiction avec toute l'idée qu'on s'était faite de ce manoir. Tu devrais continuer sur le côté austère, froid et inamical. Chatoyant fait envie, bien au contraire.
=> des choses— Et si on montrait des chose déplaisantes à cet aveugle ? Souhaiterait-il toujours voir ?
=> ça fait très philosophie de comptoir sortie à un moment inopportun
=> grande pièce/grand salon : c'est redondant. Soit tu dis "Le salon", ou alors tu dis "la meilleure pièce : le grand salon" mais bon... pas les deuxOn commence par la plus grande pièce : le grand salon… »
=> ça je pense qu'on avait compris ^^une galerie avant d’entrer dans une immense pièce.
=> euh... les fauteuils font un peu mis n'importe comment. Cette tournure va bien pour des choses du type des plantes d'agréments ou des petites choses (comme des choses avec courbures et légèretés) tout à fait antagonistes à des fauteuils !et des fauteuils étaient disposés ça et là formant plusieurs petits salons
=> j'aurais mis "..." après tapisseries.Des sculptures, des tableaux, des tapisseries ;
=> Mets : chassée ensuite par les révolutionnaires. Sinon, on croirait qu'ils sont venus s'installer au 15ème après être chassés par les révolutionnaires.« Le château a été édifié à la fin du 15ème siècle par une famille italienne, chassée par les révolutionnaires.
=> c'est sûr, elle ne sera pas revendue à des locataires... lol.Elle fût revendue à plusieurs propriétaires.
=> il y a plusieurs annéesil y plusieurs années
Analyse linguistique :
C'est vachement mieux dis-moi.
Quelques maladresses, relevées, certes, mais l'ensemble m'a paru en lui-même beaucoup plus fluide !
J'ai apprécié là.
Encore un petit reproche sur les dialogues : ils sont encore un peu "plat", dans le sens où on dirait qu'ils décorent plus qu'autre chose mais que finalement, ils apportent rien d'intéressant.
En particulier quand c'est pour répéter ce que dit la narration, avec le fait qu'ils arrivent dans un grand château et que Eli dit :
"Pouff. C'est immense."
Là, ça ne sert à rien et le lecteur peut se lasser.
Mais sinon, c'est beaucoup plus captivant .
Analyse de l'histoire :
Effectivement, Samuel fait beaucoup plus sympathique tout à coup.
Mais pourquoi développer tout un sentiment de crainte si finalement, elle s'envole dès les seconds chapitres ?
Tu aurais pu bosser dessus et faire croire à ton lecteur que ce mec était méchant jusqu'au bout, ou jusqu'à un certain temps !
Sinon, un manoir qui promet d'être quelque peu effrayant. Pense à retirer le "chatoyant" qui fait tout de suite plus convivial que l'histoire de fantômes.
C'est un mélange qui va pas, parce que tu perds tout ton effet.
Sinon, the suite pour bientôt.
C'est que j'ai du retard ^^.
Re: commentaires sur : l'Elue
chapitre 6 - 3e et 4e partie
baisé : baiser (et attention répétition du même mot)
bonne soirée ma belle.
J'ai un doute, si il n'y en a aucun, ne devrait-on pas écrire mal de têteAucun maux de tête, pas de nausées, que du bonheur
des cartons dans les braselle avait juste aperçu un beau garçon avec des cartons sur les bras
Sans hésitation, Élisabeth se précipita dehors (à l'extérieur) . Même si le soleil réchauffait l’atmosphère, l’air était loin d’être doux. Le claquement de la porte attira l’attention du jeune homme. Lorsqu’il aperçut Élisabeth debout (on se doute bien qu'elle n'est pas couchée ou assise , tu pourrais dire qu'il l'aperçoit sur le perron) ou alors comme tu as écrit sur le pas de la porte) sur le pas de sa porte, il resta un moment immobile
refugiés : réfugiésl n’y avait plus rien… que du vide, un trou béant. Lui revinrent alors toutes ces images. Tous ces souvenirs. Celui où ils s’étaient refugiés sous l’abri bus, le premier baisé, son premier baisé, lorsqu’il était venu la chercher la première fois pour l’accompagner au lycée.
baisé : baiser (et attention répétition du même mot)
genre il se pince le nez comme quand on n'a pas envie de sentir une mauvaise odeur ? nan sérieusement je ne comprends pas ce que tu veux direIl se pinça le nez et ferma les yeux.
manque accent à éviter« Eviter les chamboulements ! Il en avait de belles lui qui allait la laisser (l'abandonner) »
La sonnette de l’entrée retentit et presque aussitôt Élisabeth entendit une voix familière qu’elle aurait reconnue entre toutes.
— Bonjour Marie !
— Bonjour Samuel ! Élisabeth est dans le salon. (rho la la, mais ça craint du boudin ça pauvre Eric)
Élisabeth ne sut pas ce qu’il dit, ce qu’il pensa, une seule chose la retenait c’était la voix de sa mère, ses bras que la berçait doucement, ses caresses pour atténuer la douleur qui montait doucement et qui brûlait son corps.
bonne soirée ma belle.
Re: commentaires sur : l'Elue
Merci Kat.
Pour répondre à l'expression : se pinçer le nez, je voulais juste montrer au lecteur qu'Eric, par son attitude, ses mimiques, semblait vouloir se maîtriser... qu'il était gêné... C'est un tique que j'ai moi même (lol) lorsque je réfléchis ou que je ravale une réflexion qui me "démange le gosier", je me pinçe le nez... Souvent, quand je lis les commentaires sur ce forum, je me pinçe le nez !
J'ai également une petite question : j'ai voulu ce passage très triste, plein d'émotions. Ais-je réussi ma mission ? As-tu ressenti de la tristesse ?
Merci encore Kat pour tes lumières
Pour répondre à l'expression : se pinçer le nez, je voulais juste montrer au lecteur qu'Eric, par son attitude, ses mimiques, semblait vouloir se maîtriser... qu'il était gêné... C'est un tique que j'ai moi même (lol) lorsque je réfléchis ou que je ravale une réflexion qui me "démange le gosier", je me pinçe le nez... Souvent, quand je lis les commentaires sur ce forum, je me pinçe le nez !
J'ai également une petite question : j'ai voulu ce passage très triste, plein d'émotions. Ais-je réussi ma mission ? As-tu ressenti de la tristesse ?
Merci encore Kat pour tes lumières
Re: commentaires sur : l'Elue
Je comprends mieux ce que tu veux dire mais est ce que tu veux dire que tu te pinces le nez réellement ou c'est une image ?Souvent, quand je lis les commentaires sur ce forum, je me pinçe le nez
Pour répondre à ta question, on ressent en effet des sentiments. L'impression qu'Eli, finalement, comprend qu'elle a plus de sentiments pour Eric qu'elle n'en a pour Samuel. On ressent de la tristesse du côté d'Eli, par contre de la part d'Eric, j'ai plus la sensation d'indifférence, de consoler la jeune fille "par devoir" mais pas de tristesse de sa part. On ressent aussi de la part d'Eric une certaine peur vis-à-vis d'elle (et pour cause).
Par contre je sens la mère d'Eli beaucoup plus mature d'un coup, plus centrée sur sa fille, et ça c'est bien.
Ton écriture est quand même réellement modifiée depuis le début du chapitre 6, beaucoup plus de texte narrant ce qui se passe que de dialogues, j'apprécie beaucoup
Re: commentaires sur : l'Elue
kat a écrit: Je comprends mieux ce que tu veux dire mais est ce que tu veux dire que tu te pinces le nez réellement ou c'est une image ?
Oui (lol) je me pinçe réellement le nez ! aucune image, que du vécu...
kat a écrit: Ton écriture est quand même réellement modifiée depuis le début du chapitre 6, beaucoup plus de texte narrant ce qui se passe que de dialogues, j'apprécie beaucoup
Merci. Je vais essayer de continuer comme ça alors
Re: commentaires sur : l'Elue
Pacô a écrit: Chapitre 2 - 9ème extrait.
=> qui est "ils" ? Si c'est Marie Samuel, c'est bon, mais je trouve ça bizarre. Si c'est samuel, il y a un pluriel qui ne convient pas !
Effectivement, en plus Kat me l'avait également souligné j'ai viré la phrase... correction à la verticale
Pacô a écrit:=> j'aurais joué avec une image : l'obscurité assombrissait le ciel" pour faire simple et traditionnel, ou mieux "l'obscurité encrait le ciel". A toi de voir.
J'ai repris "assombrissait", Merki.
Pacô a écrit:=> admirée
L'avais pas vue celle-là...
Pacô a écrit:=> mets "bip" entre guillemets ou en italique
Bien chef ! c'est fait.
Pacô a écrit: C’est justement l’idée qu’elle s’était faite juste après avoir accepté l’invitation. => elle s'était faite à l'idée d'un animal effrayé ?
Nettoyage à la verticale ! lol
Pacô a écrit: Elle souriait tandis que la voiture filait sur la route. => comment peut-elle filer alors que Samuel n'a pas démarré tout de suite la voiture ?
Et bien, je pense que le lecteur est assez grand pour imaginer que Samuel a démarré puisque la voiture roule...
Pacô a écrit:=> rit-il, ça évite la confusion dialogue/narration
ok
Pacô a écrit:=> "couleurs chatoyantes" rentre un peu en contradiction avec toute l'idée qu'on s'était faite de ce manoir. Tu devrais continuer sur le côté austère, froid et inamical. Chatoyant fait envie, bien au contraire.
J'aime les paradoxes. Je ne raconte pas l'histoire d'un chateau hanté, non plus... c'est une demeure vieille de plusieurs centaines d'années, certes, mais bon, si j'étais riche, je rendrais l'intérieur le plus agréable possible... c'est plus vraisemblable...
Pacô a écrit: — Et si on montrait des chose déplaisantes à cet aveugle ? Souhaiterait-il toujours voir ? => des choses
=> ça fait très philosophie de comptoir sortie à un moment inopportun
Clin d'oeil pour la suite... je garde
Pacô a écrit: « Le château a été édifié à la fin du 15ème siècle par une famille italienne, chassée par les révolutionnaires. => Mets : chassée ensuite par les révolutionnaires. Sinon, on croirait qu'ils sont venus s'installer au 15ème après être chassés par les révolutionnaires.
Bien vu ou bien lu (comme tu voudras). rectification effectuée
Pacô a écrit: Elle fût revendue à plusieurs propriétaires. => c'est sûr, elle ne sera pas revendue à des locataires... lol.
Ca n'est pas le mot "propriétaires" qui est important, c'est "plusieurs"... après, je pourrais écrire : elle fût revendue à plusieurs personnes (mais bof, ça me plaît pas ! autant appeler les choses par leur nom
Les autres corrections ont été apportées. Merci Pacô !
Pacô a écrit:Effectivement, Samuel fait beaucoup plus sympathique tout à coup. Mais pourquoi développer tout un sentiment de crainte si finalement, elle s'envole dès les seconds chapitres ? Tu aurais pu bosser dessus et faire croire à ton lecteur que ce mec était méchant jusqu'au bout, ou jusqu'à un certain temps !
Tu trouvais déja que le début était long... J'ai juste voulu souligner le caractère craintif de l'héroïne, son côté frileux...
Pacô a écrit: Sinon, un manoir qui promet d'être quelque peu effrayant. Pense à retirer le "chatoyant" qui fait tout de suite plus convivial que l'histoire de fantômes.C'est un mélange qui va pas, parce que tu perds tout ton effet.
Oublie le chateau ! au lieu d'écrire : Samuel est riche, je montre qu'il l'est ! le chateau est juste un moyen. Désolée, rien d'extravagant ne va se passer dans ce château... il n'est pas important.
Pacô a écrit: Sinon, the suite pour bientôt.
C'est que j'ai du retard ^^.
Sincérement, tu m'épates : autant de corrections ça me souffle. Je tente de suivre tes post (sur les autres sujets) mais en vain... J'essaye de tous les lire car (ne rougit pas !) j'en apprends à chaque fois... Chapeau bas, tu dois être super passionné.
En tous les cas merci.
Re: commentaires sur : l'Elue
ça fait beaucoup d'excuses tout çaAh oui ? vraiment ? Tu n’as pourtant pas l’air d’être en pleine forme. Excuse-moi mais je t’ai vu des mines plus réjouies.
— Excuse-moi de ne pas ressembler à miss monde tous les jours !
Tu as tendance à reprendre systématiquement les mêmes mots que ceux de l'interlocuteur précédent, ce qui fait des répétitions à chaque dialogue (dis-donc... t'as pas un logiciel pour vérifier les répet toi ? )— Mais qu’est-ce que vous avez tous avec cette foutue confiance ! Vous avez créé un club « des gens à qui il faut faire confiance ». Ça me mène où moi ? hein ? les énigmes, la confiance
punshing-ballJ’adore jouer les punshing ball.
C'est tout ce que j'ai trouvé qui clochait dans cet extrait. Par contre, y a un truc qui me dérange un tout petit peu Ben oui quoi, elle a des sentiments pour Eric apparemment. Elle est très contrariée, mais elle ne fait rien pour essayer de le retenir. Bon je sais que ce n'est pas les enfants qui décident si les parents ont pris la décision de, mais quand même, elle n'essaye même pas de lui soutirer une promesse de se revoir, elle ne demande même pas où il va, etc.
Sinon lecture rapide et sympatique mais je trouve (avis perso) qu'il y a trop de dialogues, enfin pas trop mais disons pas assez de scènes actives entre les dialogues, tu vois ce que je veux dire ? Ils parlent mais pendant ce temps ils ne font rien (genre se passer une main dans les cheveux, se mordre les lèvres...) enfin des choses qui expriment les sentiments en rapport avec les dialogues et ce qu'ils procurent comme sensation où bien simplement le fait de boire un verre d'eau, de s'asseoir sur le bord du canapé, de tirer la couverture sur soi...)
Re: commentaires sur : l'Elue
[quote="kat"] dis-donc... t'as pas un logiciel pour vérifier les répet toi ? )
Si, il s'appelle Kat et il est méga cool !
Primo : je te rappelle qu'elle joue au yoyo avec lui depuis le début de leur relation - jamais elle ne lui a avoué qu'elle l'aimait (d'ailleurs, l'aime-t-elle ? le sait-elle ?)
deuxio : elle soupconne que ce départ à un lien avec ce qui s'est passé (mais sans savoir lequel exactement.)
troisio : elle essaye, à sa façon... c'est délicat pour elle. Et comme tu le dis si bien, ce sont des jeunes. Que veux tu qu'elle fasse d'autre : "NON tu ne peux pas partir ! dis à tes parents que tu restes ! où ? m'en foue ! tu restes ! " (non, sincèrement, je le sentais pas différemment ! Ma Elie a beaucoup de retenue... c'est pas une "rentre dedans"... c'est une petite chose fragile (pour le moment)...Elle sait qu'elle ne peut pas lui demander de rester ! et son adresse ? elle lui demande... hihi, plus tard...haha.
Effectivement, il faudrait peut-être ajouté quelques détails gestuels, quelques mimiques.
Si, il s'appelle Kat et il est méga cool !
kat a écrit: Par contre, y a un truc qui me dérange un tout petit peu Ben oui quoi, elle a des sentiments pour Eric apparemment. Elle est très contrariée, mais elle ne fait rien pour essayer de le retenir. Bon je sais que ce n'est pas les enfants qui décident si les parents ont pris la décision de, mais quand même, elle n'essaye même pas de lui soutirer une promesse de se revoir, elle ne demande même pas où il va, etc.
Primo : je te rappelle qu'elle joue au yoyo avec lui depuis le début de leur relation - jamais elle ne lui a avoué qu'elle l'aimait (d'ailleurs, l'aime-t-elle ? le sait-elle ?)
deuxio : elle soupconne que ce départ à un lien avec ce qui s'est passé (mais sans savoir lequel exactement.)
troisio : elle essaye, à sa façon... c'est délicat pour elle. Et comme tu le dis si bien, ce sont des jeunes. Que veux tu qu'elle fasse d'autre : "NON tu ne peux pas partir ! dis à tes parents que tu restes ! où ? m'en foue ! tu restes ! " (non, sincèrement, je le sentais pas différemment ! Ma Elie a beaucoup de retenue... c'est pas une "rentre dedans"... c'est une petite chose fragile (pour le moment)...Elle sait qu'elle ne peut pas lui demander de rester ! et son adresse ? elle lui demande... hihi, plus tard...haha.
kat a écrit: Sinon lecture rapide et sympatique mais je trouve (avis perso) qu'il y a trop de dialogues, enfin pas trop mais disons pas assez de scènes actives entre les dialogues, tu vois ce que je veux dire ? Ils parlent mais pendant ce temps ils ne font rien (genre se passer une main dans les cheveux, se mordre les lèvres...) enfin des choses qui expriment les sentiments en rapport avec les dialogues et ce qu'ils procurent comme sensation où bien simplement le fait de boire un verre d'eau, de s'asseoir sur le bord du canapé, de tirer la couverture sur soi...)
Effectivement, il faudrait peut-être ajouté quelques détails gestuels, quelques mimiques.
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