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Re: commentaires sur : l'Elue
Bonjour petitebrise, je viens de sortir de mon partiel et je m'attaque à ta correction.
Je commence par le prologue.
Merhia, son ami, se précipita pour l'aider à se relever/se remettre de bout (puisqu'en début il tendit ses muscles pour relever la tête).
Il plongea son regard bleu dans celui de Merhia accroupi à ses côtéset qui lui soutenait la tête presque avec tendresse.
Ben, écoute, il n'y avait rien à corriger. Je me suis contentée de te proposer deux modifications. J'aurais voulu faire plus mais il semble que le prologue ait été pas mal corrigé.
Impression: j'aime beaucoup. C'est intriguant et à la fois triste. On sent bien les émotions.
Je commence par le prologue.
Merhia, son ami, se précipita pour l'aider à se relever/se remettre de bout (puisqu'en début il tendit ses muscles pour relever la tête).
Il plongea son regard bleu dans celui de Merhia accroupi à ses côtés
Ben, écoute, il n'y avait rien à corriger. Je me suis contentée de te proposer deux modifications. J'aurais voulu faire plus mais il semble que le prologue ait été pas mal corrigé.
Impression: j'aime beaucoup. C'est intriguant et à la fois triste. On sent bien les émotions.
Re: commentaires sur : l'Elue
Je continue avec le chapitre 1.
Assis dans la voiture luxueuse aux vitres fumées, le vieil homme observait depuis un moment la jeune fille qui marchait sur le trottoir, sa/la tête légèrement inclinée vers l’avant.
J'aurais mis "la" pour bien distinguer que ce n'est pas celle de l'homme même si on s'en doute. Je titille.
Nous étions à la mi-septembre et le soleil jouait au chat et à la souris avec les nuages. Élisabeth passa devant une boutique et pendant un instant observa son reflet dans la vitrine ; ses longs cheveux châtains formaient un barrage autour de son visage en forme de fraise, ses yeux étaient d'un vert lumineux et sa bouche qu'elle trouvait trop grande, découvrait de petites dents blanches. Un ensemble qui plaisait à beaucoup de personnes sauf à elle puisqu’elle ne se trouvait pas jolie mais juste pas moche.
"Mais juste pas moche" m'embête un peu. Je te suggère potable à la place.
Impression: le style est fluide. Tu précises les bons détails sans nous noyer dedans. J'aime bien le coup du palmarès de sa mère.
Assis dans la voiture luxueuse aux vitres fumées, le vieil homme observait depuis un moment la jeune fille qui marchait sur le trottoir, sa/la tête légèrement inclinée vers l’avant.
J'aurais mis "la" pour bien distinguer que ce n'est pas celle de l'homme même si on s'en doute. Je titille.
Nous étions à la mi-septembre et le soleil jouait au chat et à la souris avec les nuages. Élisabeth passa devant une boutique et pendant un instant observa son reflet dans la vitrine ; ses longs cheveux châtains formaient un barrage autour de son visage en forme de fraise, ses yeux étaient d'un vert lumineux et sa bouche qu'elle trouvait trop grande, découvrait de petites dents blanches. Un ensemble qui plaisait à beaucoup de personnes sauf à elle puisqu’elle ne se trouvait pas jolie mais juste pas moche.
"Mais juste pas moche" m'embête un peu. Je te suggère potable à la place.
Impression: le style est fluide. Tu précises les bons détails sans nous noyer dedans. J'aime bien le coup du palmarès de sa mère.
Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 1 - extrait 2 :
Pourtant, Élisabeth était loin d’être une enfant difficile, au contraire. Élève studieuse, d’une nature curieuse, elle prenait plaisir à apprendre, presqu'une nécessité,
Je comprends ce que tu as voulu dire mais le presqu'une nécessité sans le c'était, ça sonne mal. Maintenant, je comprends que tu le laisses tel quel sinon ça ferait trop lourd.
Au bout de quatre séances, ce dernier avait rassuré la mère inquiète, encouragé l’enfant terrible et affirmé que rien ne clochait chez Élisabeth.
J'adore cette phrase avec plusieurs participes passés. Bon rythme.
En s’approchant de la maison, Élisabeth aperçut sa mère derrière l’une des fenêtres de la maison. Elles vivaient là depuis toujours et Élisabeth/la jeune fille adorait sa mère.
La relation entre la mère et la fille est très bien développée.
Pourtant, Élisabeth était loin d’être une enfant difficile, au contraire. Élève studieuse, d’une nature curieuse, elle prenait plaisir à apprendre, presqu'une nécessité,
Je comprends ce que tu as voulu dire mais le presqu'une nécessité sans le c'était, ça sonne mal. Maintenant, je comprends que tu le laisses tel quel sinon ça ferait trop lourd.
Au bout de quatre séances, ce dernier avait rassuré la mère inquiète, encouragé l’enfant terrible et affirmé que rien ne clochait chez Élisabeth.
J'adore cette phrase avec plusieurs participes passés. Bon rythme.
En s’approchant de la maison, Élisabeth aperçut sa mère derrière l’une des fenêtres de la maison. Elles vivaient là depuis toujours et Élisabeth/la jeune fille adorait sa mère.
La relation entre la mère et la fille est très bien développée.
Re: commentaires sur : l'Elue
Merci Arden ! bien vu pour le "relever" : je vais le changer ! rrhhaa dix fois que je le lis et je pensais avoir supprimé toutes les répét.
C'est agréable aussi d'avoir des avis sur le ressenti de la lecture. Merci beaucoup.
Je flood juste un tout petit peu : et tes partiels alors ? comment tu t'en es sortie ?
C'est agréable aussi d'avoir des avis sur le ressenti de la lecture. Merci beaucoup.
Je flood juste un tout petit peu : et tes partiels alors ? comment tu t'en es sortie ?
Re: commentaires sur : l'Elue
petitebrise, je continuerai de te corriger. Je tenais à te rendre la pareille au plus vite pour éviter qu'on ne me prenne pour une profiteuse. Je procède par ordre. Tu as été la première à me commenter.
Mes partiels se sont très bien passés. Les trois plus gros sont derrière moi. Il ne m'en reste plus qu'un vendredi et après, je pars en we à Paris pour le salon du livre avec les gens de mon autre fofo.
Je pense qu'en plus des corrections, c'est primordial de donner son ressenti sur l'histoire. J'ai un bon feeling sur la tienne mais tite nath m'avait déjà dit que c'était très intéressant.
Mes partiels se sont très bien passés. Les trois plus gros sont derrière moi. Il ne m'en reste plus qu'un vendredi et après, je pars en we à Paris pour le salon du livre avec les gens de mon autre fofo.
Je pense qu'en plus des corrections, c'est primordial de donner son ressenti sur l'histoire. J'ai un bon feeling sur la tienne mais tite nath m'avait déjà dit que c'était très intéressant.
Re: commentaires sur : l'Elue
Itzpapalotl a écrit:Re: l'Elue (fantastique)
Nouveau message petitebrise le Dim 28 Mar - 21:46
Chapitre 1 - extrait 4 :
Un maître d’Hôtel les accompagna au fond de la salle où elle découvrit avec stupeur tous ces (=} ses) amis les plus proches : Laurent, Djamila et Valérie étaient assis autour d’une table présidée par Alain et la regardaient approcher, hilares, alors qu’elle s’acharnait à tenir debout tant bien que mal. Élisabeth lança un regard noir à sa mère.
« Continuez de rire et je vous enfonce ma chaussure dans la gorge en guise d’entrée !
— Allez, assied-toi avant de te ratatiner par terre, s’esclaffa son amie Djamila.
Élisabeth prit place entre Laurent et sa mère. Elle rencontra le regard complice de Valérie assise devant elle. Élisabeth la considérait comme sa meilleure amie. Elles se connaissaient depuis maintenant deux ans et avaient tout de suite sympathisé. Élisabeth se souvint (=} se souvenait bien) de leur première rencontre : c’était la rentrée des classes, sa première année de lycée. Elle avait retrouvé Laurent et Djamila dans la cour de l’établissement bondée d’élèves irrités ou hilares qui se bousculaient dans un brouhaha de jurons ou de saluts. Effarée, elle avait observé ce nouveau monde, se demandant comment elle allait pouvoir affronter ces prochaines années. Elle avait aperçu une jeune fille brune, pas très grande, avançant au milieu de la foule, qui paraissait encore plus désemparée. Elle l'avait suivi (=} suivie) du regard tandis qu’elle trébuchait, ballotée entre les élèves. Un garçon l'avait soudain bousculé (=} bousculée) et le contenu du sac de la petite brune s'était déversé à ses pieds. L’élève s’était éloigné en riant, sans une excuse, sans un regard et la jeune fille, rouge écarlate, cachée derrière la frange de ses longs cheveux, avait rassemblé ses affaires. Djamila avait alors murmuré : « Moi qui pensais que tu détenais le record de la timidité, hé ben tu vas avoir de la concurrence ! Regarde-moi cette bouffonne. » Élisabeth lui avait lancé un regard acerbe avant d’accourir pour aider celle qui allait devenir sa meilleure amie.
Je me contente de corriger quelques fautes parce que je n'ai pas le temps de faire plus... J'essaierai de revenir dessus un peu plus tard.
Re: commentaires sur : l'Elue
Désolée pour les deux posts, je n'avais pas vu. Comment puis-je supprimer le premier?
Re: commentaires sur : l'Elue
J'ai supprimé le premier .
Il faut en faire la demande à l'administration ; c'est une mesure prise pour éviter qu'un auteur détruise la moitié d'un sujet en enlevant ses propres messages (ce qui rendrait un dialogue mené en monologue pour l'interlocuteur).
Tu me diras que l'auteur peut toujours éditer l'intégralité de ses messages, mais la manœuvre est fastidieuse et le fait reste néanmoins en évidence : il prouve qu'il y a quelqu'un qui a tout supprimé .
Revenons aux corrections :
Chapitre 1 - extrait 4 :
=> j'ai moins d'expérience que toi, mais perso, mes meilleurs amis ont minimum 7 ou 8 ans d'expérience en la matière, pour ne pas dire 17 (oui, ils ont souffert aussi)
=> enfin ce que je veux dire, tu as tendance ici à souligner le stéréotype de la pauvre fille désemparée que le bon Dieu a oublié. C'est ce qu'on reproche aux séries américaines et c'est ce que je te reprocherais ici aussi.
=> pourquoi un regard acerbe ? C'est méchant un regard acerbe o_O !
Un court extrait encore une fois.
Que dire de plus ? Les mêmes petits reproches, les mêmes petits compliments et les mêmes grands encouragement.
Le principal est affirmé dans les commentaires particuliers...
Veille néanmoins à réfléchir sur la portée de chacune de tes phrases et sur le sens et la profondeur que tu souhaites leur conférer. C'est généralement de là que provient la démarche de l'enrichissement littéraire.
Les réactions des personnages sont parfois étranges. Le brusque flash-back sur la rencontre des deux filles étonne, peut un peu dérouté.
Mais il te faudra d'autres avis et surtout, pouvoir lire la suite, pour mieux encadrer la scène ^_^.
Il faut en faire la demande à l'administration ; c'est une mesure prise pour éviter qu'un auteur détruise la moitié d'un sujet en enlevant ses propres messages (ce qui rendrait un dialogue mené en monologue pour l'interlocuteur).
Tu me diras que l'auteur peut toujours éditer l'intégralité de ses messages, mais la manœuvre est fastidieuse et le fait reste néanmoins en évidence : il prouve qu'il y a quelqu'un qui a tout supprimé .
Revenons aux corrections :
Chapitre 1 - extrait 4 :
=> Etrange que ce soit Alain qui préside la table, sachant qu'il n'est en rien concerné par l'évènement. Théoriquement, la place serait réservée à Eli non ?Laurent, Djamila et Valérie étaient assis autour d’une table présidée par Alain et la regardaient approcher
=> ouhh, c'est peu pour en faire sa meilleure amie...Elles se connaissaient depuis maintenant deux ans
=> j'ai moins d'expérience que toi, mais perso, mes meilleurs amis ont minimum 7 ou 8 ans d'expérience en la matière, pour ne pas dire 17 (oui, ils ont souffert aussi)
=> si tu mets "et" à la place de "ou" dans "un brouhaha de jurons ou de saluts", tu renforces l'effet brouhaha puisque tu cumules les bruits, tandis que le ou donne un caractère plutôt aléatoire.Elle avait retrouvé Laurent et Djamila dans la cour de l’établissement bondée d’élèves irrités ou hilares qui se bousculaient dans un brouhaha de jurons ou de saluts
=> tu y vas peut-être un petit peu fort, non ? ^_^ Je veux bien croire que la rentrée c'est tumultueux, mais au point d'en faire la pauvre isolée qui trébuche, à la manière d'une étrangère livrée à un pays tribal...Elle l'avait suivie du regard tandis qu’elle trébuchait, ballotée entre les élèves.
=> enfin ce que je veux dire, tu as tendance ici à souligner le stéréotype de la pauvre fille désemparée que le bon Dieu a oublié. C'est ce qu'on reproche aux séries américaines et c'est ce que je te reprocherais ici aussi.
=> ouh ! Elle n'y va pas de main morte o_O. Finalement, tu casses l'image de l'héroïne bon samaritain !Moi qui pensais que tu détenais le record de la timidité, hé ben tu vas avoir de la concurrence ! Regarde-moi cette bouffonne.
=> tiens encore la strucutre "lancer un regard". Tu l'utilises trop, et maintenant c'en serait limite un abus de ma part (mais c'est la conséquence de ce surplus) que dfe le voir partout dans ton texte.
Élisabeth lui avait lancé un regard acerbe
=> pourquoi un regard acerbe ? C'est méchant un regard acerbe o_O !
Un court extrait encore une fois.
Que dire de plus ? Les mêmes petits reproches, les mêmes petits compliments et les mêmes grands encouragement.
Le principal est affirmé dans les commentaires particuliers...
Veille néanmoins à réfléchir sur la portée de chacune de tes phrases et sur le sens et la profondeur que tu souhaites leur conférer. C'est généralement de là que provient la démarche de l'enrichissement littéraire.
Les réactions des personnages sont parfois étranges. Le brusque flash-back sur la rencontre des deux filles étonne, peut un peu dérouté.
Mais il te faudra d'autres avis et surtout, pouvoir lire la suite, pour mieux encadrer la scène ^_^.
Re: commentaires sur : l'Elue
Je suis d'accord, le flash-back sur la rencontre des deux filles surgit brusquement, à un moment un peu étrange, on ne s'y attend pas et on se demande un peu ce que cela vient faire là.
Sinon, deux ans pour une meilleure amie, c'est tout à fait faisable. Il y a des gens avec qui on se sent un lien et la relation qui s'établit ensuite est très forte.
Sinon, deux ans pour une meilleure amie, c'est tout à fait faisable. Il y a des gens avec qui on se sent un lien et la relation qui s'établit ensuite est très forte.
Re: commentaires sur : l'Elue
Merci à vous deux. Pour le flash back, cela avait été revu lors de mes premiers post sur ce forum. Au départ les personnages arrivaient sans que je les présente et cela avait perturbé certains. J'ai donc modifié en ajoutant des flash back.
Pour répondre à Paco, l'amitié se bonnifie avec le temps certes mais tu peux rencontrer une personne avec laquelle le feeling va tout de suite passer, pas besoin de temps pour cela une sorte de coup de foudre de l'amitié. Bref...
et acerbe, oui, cela veut dire : sec, méchant, piquant.
Voili, voilou. merci encore.
Pour répondre à Paco, l'amitié se bonnifie avec le temps certes mais tu peux rencontrer une personne avec laquelle le feeling va tout de suite passer, pas besoin de temps pour cela une sorte de coup de foudre de l'amitié. Bref...
et acerbe, oui, cela veut dire : sec, méchant, piquant.
Voili, voilou. merci encore.
Re: commentaires sur : l'Elue
Bon, il est trop tard pour que je corrige tout en détail, mais je voulais juste dire que tu avais fait beaucoup de progrès. Franchement, je te félicite !
Lou- Shérif(ette)
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Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 1 - extrait 5 :
=> "leurs mots" je pense, à moins qu"ils ne veuillent n'en dire qu'un
=> pourquoi ne pas prendre modèle sur "se tortiller" et mettre le reste dans une suite logique d'infinitif ? Ce qui donnerait : "...se tortiller sur leur chaise, réfléchir à chaque parole, choisir consciencieusement leur mot et leur posture."
=> ne le considéraient pas
Appréciation linguistique :
Eh bien une très bonne appréciation linguistique o_O.
Non, franchement, cet extrait-là est rédigé d'une manière presque supérieure au reste. La description des personnages coule toute seule, l'analyse psychologique est abordée sans trop lasser et le vocabulaire est adapté et plutôt riche.
Tu as laissé tombé un peu la conjugaison parfois, mais bon, il vaut mieux ça parce que ça c'est simple à rectifier ^_^.
Appréciation du récit :
Un Alain que tu décris immédiatement comme quelqu'un de chaleureux, de respectable, de sage... il prendrait dans ton récit le rôle du "mentor". A toi de bien lui faire garder sa place et de ne pas briser l'aura que tu viens d'installer autour de lui.
Un Laurent où on sent venir le fait qu'il aime plus Eli que une simple meilleure amie. On sent aussi venir les troubles que cet amour va surement apporter.
Un Laurent qui inspire peu confiance donc, malgré pourtant son statut de meilleur ami de l'héroïne.
Et enfin, une Djamila qui fait très bécasse, pour l'instant, mais à qui on se dit qu'on peut s'attacher parce que les filles avec ces petits défauts ne sont pas très méchantes dans le fond.
Le truc maintenant, c'est de tenir les profils de ces trois personnages tout au long de ta romance .
=> annéesun homme sec d’une cinquantaine d’année
=> pour que le verbe soit conjugué au pluriel, il faut écrire "leurs flûtes"lorsque leur flûte s’entrechoquèrent
=> participe présent adverbe en -ement, c'est pas très poétiquechoisissant consciencieusement leur mot
=> "leurs mots" je pense, à moins qu"ils ne veuillent n'en dire qu'un
=> pourquoi ne pas prendre modèle sur "se tortiller" et mettre le reste dans une suite logique d'infinitif ? Ce qui donnerait : "...se tortiller sur leur chaise, réfléchir à chaque parole, choisir consciencieusement leur mot et leur posture."
=> pas de majuscule à "Les autres"Voila l’effet que faisait Alain en général ; Les autres ne le considérait pas comme l’ami d'Élisabeth mais comme le « psy de service ».
=> ne le considéraient pas
=> le double "C'était" est un peu maladroit et je pense que tu peux condenser : "Il était le garçon le plus adorable et son ami de toujours ; ils se fréquentaient depuis la maternelle."C'était son ami de toujours ; ils se fréquentaient depuis la maternelle. C’était le garçon le plus gentil qu’elle connaissait.
Appréciation linguistique :
Eh bien une très bonne appréciation linguistique o_O.
Non, franchement, cet extrait-là est rédigé d'une manière presque supérieure au reste. La description des personnages coule toute seule, l'analyse psychologique est abordée sans trop lasser et le vocabulaire est adapté et plutôt riche.
Tu as laissé tombé un peu la conjugaison parfois, mais bon, il vaut mieux ça parce que ça c'est simple à rectifier ^_^.
Appréciation du récit :
Un Alain que tu décris immédiatement comme quelqu'un de chaleureux, de respectable, de sage... il prendrait dans ton récit le rôle du "mentor". A toi de bien lui faire garder sa place et de ne pas briser l'aura que tu viens d'installer autour de lui.
Un Laurent où on sent venir le fait qu'il aime plus Eli que une simple meilleure amie. On sent aussi venir les troubles que cet amour va surement apporter.
Un Laurent qui inspire peu confiance donc, malgré pourtant son statut de meilleur ami de l'héroïne.
Et enfin, une Djamila qui fait très bécasse, pour l'instant, mais à qui on se dit qu'on peut s'attacher parce que les filles avec ces petits défauts ne sont pas très méchantes dans le fond.
Le truc maintenant, c'est de tenir les profils de ces trois personnages tout au long de ta romance .
Re: commentaires sur : l'Elue
Merci Paco. Toutes les fautes sont corrigées.
Je veillerai à garder le caractère des personnages tout le long de cette histoire.
Je veillerai à garder le caractère des personnages tout le long de cette histoire.
Re: commentaires sur : l'Elue
Yo miss,
Chapitre 1 - extrait 5 :
Alain, un homme sec d’une cinquantaine d’années, la tête (le crâne plutôt) légèrement dégarnie (donc si crâne, pas de e), offrit une coupe de champagne (à la jeune fille ou à Eli enfin précise quand même) et lui lança un clin d’œil complice lorsque leurs flûtes s’entrechoquèrent.
Seule Élisabeth était à l’aise en sa présence. C’était amusant de voir les autres se tortiller sur leur chaise, réfléchir à chaque parole, choisir consciencieusement leurs mots, leur posture. Voila(voilà) l’effet que faisait (produisait ?) Alain en général ; les autres ne le considéraient pas comme l’ami d'Élisabeth mais comme le « psy de service ». C’était peut-être la raison pour laquelle ils s’entendaient bien tous les deux ; elle restait naturelle en toute circonstance, pas de faux semblants. Depuis presque deux ans, Élisabeth et lui se voyaient quasiment toutes les semaines. Elle avait de suite apprécié,(pas de virgule) son humour, sa culture, sa perspicacité devant le mur de froideur derrière lequel elle se cachait (jsuis pas sûre, je ne perçois pas Eli comme arborant un masque de froideur pour se protéger, ça ne reflète pas le portrait que tu nous as brossé de la miss). Il lui avait fallu deux séances pour la percer à jour (trop fort le psy) et s’attacher à cette jeune fille. Les séances s'étaient transformées (muées ?) en longues conversations : elle s’intéressait à tout, lisait énormément et était d'une nature très curieuse(moi je dirais : D’une nature très curieuse, elle s’intéressait à tout, lisait beaucoup). Lorsqu’il avait déclaré qu’elle n’avait pas besoin d’être suivie, il n’avait pu se résoudre à ne plus la voir. Cette tendresse innée, ce besoin de la protéger, Alain ne se l'expliquait pas lui même(lui-même). Il lui avait demandé si parfois elle voudrait (y’a pas un problème de temps dans ta phrase ? je trouve qu’elle ne sonne pas bien avec voudrait) bien partager son repas du midi pour discuter de littérature, sujet qui les passionnait (pas sûre mais aient à la fin non ?) tous les deux.
Laurent l’observait à la dérobée et Élisabeth crut déceler de l’admiration dans son regard. Il était le garçon le plus adorable (de tous ceux qu’elle connaissait sinon il n’y a pas de comparaison) et son ami de toujours ; ils se fréquentaient depuis la maternelle. Le seul de son âge aussi. Une perle de gentillesse. Déjà à la maternelle il la défendait mais elle n’imaginait pas que leur relation puisse être différente. Son visage portait les cicatrices d’une acné encore présente et pour l’occasion, il avait tenté de dompter sa tignasse châtain foncée sans vraiment y parvenir, ce qui lui donnait un petit air de garnement.
— Le serveur est plutôt joli garçon ! s’esclaffa soudain Djamila pour combler le silence gêné. Elle se reprit aussitôt, toute rouge (toute rouge, c’est un peu enfantin je trouve, peut-être : le rouge lui monta aux jours lorsqu’elle croisa le regard de …) devant le regard interrogateur d’Alain. Enfin, je veux dire… jeune… non ? enfin pour un serveur, hoqueta-t-elle mal à l’aise.
En voici une, à qui Élisabeth réservait la palme de l’impertinence. Elle n’avait jamais bien compris pourquoi elles étaient devenues amies. Elles étaient si différentes. Peut-être le fait d’avoir perdu leur père l’une comme l’autre les avait (les avait-il) rapprochées dès la maternelle. C’était la seule chose qu’elles avaient en commun et même si Élisabeth lui trouvait des défauts qu’elle ne supportait pas chez les autres, cette métisse, issue d’un père africain et d’une mère française, la plus bavarde et la plus futile du groupe, restait (demeurait ?) son amie.
Re: commentaires sur : l'Elue
Salut la belle ! merci pour tes corrections. À force tu vas connaitre l'histoire par coeur !lol.
Pour le coup du "rougissement", je ne trouve pas ça si enfantin. Il m'arrive fréquemment de rougir et souvent, notamment quand je lis des passages "chauds" dans les livres (mais ça tu le sais, c'est mon côté prout prout).
Pour le coup du "rougissement", je ne trouve pas ça si enfantin. Il m'arrive fréquemment de rougir et souvent, notamment quand je lis des passages "chauds" dans les livres (mais ça tu le sais, c'est mon côté prout prout).
Re: commentaires sur : l'Elue
non ce n'est pas le fait de rougir que je trouve enfantin, c'est l'écrit "toute rouge", tu vois, je trouve que elle rougit ou ses joues s'empourprèrent sont plus à l'image. lol mais tu sais que c'est juste un avis, donc tu choizz comme que tu veux
Re: commentaires sur : l'Elue
Je reviens faire un petit tour. J'ai déserté cette section parce que j'aimerai vraiment finir mon recueil de nouvelles et ici j'ai envie de reprendre mon roman ^^.
Assis dans la voiture luxueuse aux vitres fumées, le vieil homme observait depuis un moment la jeune fille qui marchait sur le trottoir, la tête légèrement inclinée vers l’avant. Attendri, il sourit. Cette adolescente au corps élancé lui semblait si fragile et pourtant... Son regard bleu acier se posa sur la canne ornée d’une tête de tigre dorée et un long soupir lui échappa. "Mon ami, pensa-t-il, je ferai le maximum pour tenir ma promesse". Mais il savait que le moment était venu pour eux de réapparaître dans la vie d'Élisabeth plutôt une virgule : Elisabeth, elle ne tarderait ... qui ne tarderait pas à montrer les premiers signes. Personne n'y pouvait plus rien et il ferait le nécessaire pour la préserver. Il tapa sur le dossier du conducteur et la voiture démarra lentement.
Nous étions à la mi-septembre et le soleil jouait au chat et à la souris avec les nuages. Élisabeth passa devant une boutique et pendant un instant observa son reflet dans la vitrine ; ses longs cheveux châtains formaient un barrage dessinaient un contour en forme de fraise à son visage autour de son visage en forme de fraise, ses yeux étaient d'un vert lumineux et sa bouche qu'elle trouvait trop grande, découvrait de petites dents blanches. Un ensemble qui plaisait à beaucoup de personnes sauf à elle puisqu’elle ne se trouvait pas jolie mais juste pas moche. Cette phrase dénote avec le reste plus recherché : Un ensemble que beaucoup trouvait harmonieux, même si elle se considérait comme "juste pas moche".
Elle reprit son chemin. phrase inutile Après le lycée, en général, elle aimait se rendre à la bibliothèque, mais ce soir elle rentrerait directement chez elle. Sa mère, Marie, avec qui elle vivait dans une petite maison située à six cent mètres du lycée, lui avait demandé de ne pas rentrer tard. Élisabeth se doutait qu’une surprise l’attendait. Sa mère avait pris l’habitude de lui en faire régulièrement. Ce n’était pas pour son anniversaire ; elle n’aurait dix-sept ans que dans quelques mois. Élisabeth grimaça au souvenir de la dernière « surprise ». Un dimanche matin, aux aurores, Marie avait débarqué dans sa chambre, l’avait sortie du lit sans ménagement et poussée littéralement dans la voiture. Au bout d’une heure, la jeune fille, les yeux encore collés englués par le sommeil, avait découvert avec effarement un parc d’attractions. Super ! Elle qui vomissait dès qu’elle avait les yeux bandés ! Une idée saugrenue de plus à ajouter au palmarès de sa mère.
Assis dans la voiture luxueuse aux vitres fumées, le vieil homme observait depuis un moment la jeune fille qui marchait sur le trottoir, la tête légèrement inclinée vers l’avant. Attendri, il sourit. Cette adolescente au corps élancé lui semblait si fragile et pourtant... Son regard bleu acier se posa sur la canne ornée d’une tête de tigre dorée et un long soupir lui échappa. "Mon ami, pensa-t-il, je ferai le maximum pour tenir ma promesse". Mais il savait que le moment était venu pour eux de réapparaître dans la vie d'Élisabeth plutôt une virgule : Elisabeth, elle ne tarderait ... qui ne tarderait pas à montrer les premiers signes. Personne n'y pouvait plus rien et il ferait le nécessaire pour la préserver. Il tapa sur le dossier du conducteur et la voiture démarra lentement.
Nous étions à la mi-septembre et le soleil jouait au chat et à la souris avec les nuages. Élisabeth passa devant une boutique et pendant un instant observa son reflet dans la vitrine ; ses longs cheveux châtains formaient un barrage dessinaient un contour en forme de fraise à son visage autour de son visage en forme de fraise, ses yeux étaient d'un vert lumineux et sa bouche qu'elle trouvait trop grande, découvrait de petites dents blanches. Un ensemble qui plaisait à beaucoup de personnes sauf à elle puisqu’elle ne se trouvait pas jolie mais juste pas moche. Cette phrase dénote avec le reste plus recherché : Un ensemble que beaucoup trouvait harmonieux, même si elle se considérait comme "juste pas moche".
Elle reprit son chemin. phrase inutile Après le lycée, en général, elle aimait se rendre à la bibliothèque, mais ce soir elle rentrerait directement chez elle. Sa mère, Marie, avec qui elle vivait dans une petite maison située à six cent mètres du lycée, lui avait demandé de ne pas rentrer tard. Élisabeth se doutait qu’une surprise l’attendait. Sa mère avait pris l’habitude de lui en faire régulièrement. Ce n’était pas pour son anniversaire ; elle n’aurait dix-sept ans que dans quelques mois. Élisabeth grimaça au souvenir de la dernière « surprise ». Un dimanche matin, aux aurores, Marie avait débarqué dans sa chambre, l’avait sortie du lit sans ménagement et poussée littéralement dans la voiture. Au bout d’une heure, la jeune fille, les yeux encore collés englués par le sommeil, avait découvert avec effarement un parc d’attractions. Super ! Elle qui vomissait dès qu’elle avait les yeux bandés ! Une idée saugrenue de plus à ajouter au palmarès de sa mère.
Re: commentaires sur : l'Elue
Marie craignait que ne pas élever sa fille au sein d’une famille modèle, avec un père, des frères, des sœurs, des grands parents et tout le tralala des foyers traditionnels l’ait perturbé. Marie culpabilisait de ne pas avoir élever sa fille .... Parce que celle-ci était d’un tempérament renfermé, Marie était persuadée qu’Élisabeth n’était pas épanouie. Le caractère renfermé d'Elisabeth n'aidait pas non plus Marie à se convaincre du contraire. Alors presque désespérément, elle cherchait mille moyens de réparer ce manque, ce vide. Pourtant, Élisabeth était loin d’être une enfant difficile, au contraire. Élève studieuse, d’une nature curieuse, elle prenait plaisir à apprendre, presqu'une nécessité, mais son manque de sociabilité avait inquiété Marie qui avait fait appel au service d’un psychologue, Alain MARTINEZ. Au bout de quatre séances, ce dernier avait rassuré la mère inquiète, encouragé l’enfant terrible et affirmé qu'il n'avait décelé aucun trouble psychologique que rien ne clochait chez Élisabeth.
En s’approchant de la maison, Élisabeth aperçut sa mère Marie pour éviter la répétition de mère derrière l’une des fenêtres de la maison. Elles vivaient là depuis toujours et la jeune fille adorait sa mère. Ce petit bout de femme, blonde comme les blés, sous ses airs extravertis, menait son monde à la baguette. Son caractère entier laissait des empreintes partout, surtout à l’hôpital dans le service de pédiatrie où elle exerçait son métier d’infirmière depuis plus de vingt ans. Elle s’y était forgée une réputation mêlant douceur et obstination. réputation de femme douce mais opiniâtre.
Élisabeth franchit le seuil de la porte avec un gros soupir las. « Allons-y, courage». Elle eut à peine le temps d'enlever son manteau ; sa mère l'embrassait déjà avec un air espiègle et lui indiquait du menton la direction de sa chambre . En ouvrant la porte, sa mère juste derrière elle, Élisabeth aperçut sur le lit une tenue étalée composée d’une robe bleue, d’un gilet cache-cœur assorti et d’une paire de chaussures. Élisabeth grimaça. « Elle n’a pas osé, une robe... des chaussures à talons ». Elle se retourna doucement pour faire face à sa mère.
La première chose qui m'a sauté aux yeux (aïe !) : plus de phrases et de termes parasites !
C'est bien, on sent que tu as travaillé ton texte. Je te fais des propositions à laisser ou à prendre (dans ce cas, à toi de te les approprier (modèle les selon ton style))
LE coup du reflet pour décrire Eli est bien vu et l'entrée en matière distille un suspens intéressant. Après on entre dans la vie quotidienne d'Eli, on s'attache aux personnages et on attend le grain de sable.
Sincèrement, on sent une maitrise de l'histoire.
En s’approchant de la maison, Élisabeth aperçut sa mère Marie pour éviter la répétition de mère derrière l’une des fenêtres de la maison. Elles vivaient là depuis toujours et la jeune fille adorait sa mère. Ce petit bout de femme, blonde comme les blés, sous ses airs extravertis, menait son monde à la baguette. Son caractère entier laissait des empreintes partout, surtout à l’hôpital dans le service de pédiatrie où elle exerçait son métier d’infirmière depuis plus de vingt ans. Elle s’y était forgée une réputation mêlant douceur et obstination. réputation de femme douce mais opiniâtre.
Élisabeth franchit le seuil de la porte avec un gros soupir las. « Allons-y, courage». Elle eut à peine le temps d'enlever son manteau ; sa mère l'embrassait déjà avec un air espiègle et lui indiquait du menton la direction de sa chambre . En ouvrant la porte, sa mère juste derrière elle, Élisabeth aperçut sur le lit une tenue étalée composée d’une robe bleue, d’un gilet cache-cœur assorti et d’une paire de chaussures. Élisabeth grimaça. « Elle n’a pas osé, une robe... des chaussures à talons ». Elle se retourna doucement pour faire face à sa mère.
La première chose qui m'a sauté aux yeux (aïe !) : plus de phrases et de termes parasites !
C'est bien, on sent que tu as travaillé ton texte. Je te fais des propositions à laisser ou à prendre (dans ce cas, à toi de te les approprier (modèle les selon ton style))
LE coup du reflet pour décrire Eli est bien vu et l'entrée en matière distille un suspens intéressant. Après on entre dans la vie quotidienne d'Eli, on s'attache aux personnages et on attend le grain de sable.
Sincèrement, on sent une maitrise de l'histoire.
Re: commentaires sur : l'Elue
C'est super gentil Nico !
Et j'ai repris caïman toutes tes propositions... merci.
Et j'ai repris caïman toutes tes propositions... merci.
Re: commentaires sur : l'Elue
Une petite question petitebrise, il y a du nouveau dans tes extraits postés ?
Histoire de savoir si je peux commenter quelque chose de toi avant de partir pour ma longue et pénible semaine de bac blanc...
Histoire de savoir si je peux commenter quelque chose de toi avant de partir pour ma longue et pénible semaine de bac blanc...
Re: commentaires sur : l'Elue
oui, j'ai revu la suite mais j'attendrais que tu reviennes de tes longues épreuves pour poster. Tu avais raison. C'est nettement plus gérable lorsque tu postes des petits extraits sur de plus longues périodes. Tu as le temps de corriger tes fautes, réécrire les passsages tout en lisant ceux des autres. Je pense que j'ai trouvé ma vitesse de croisière. (petitetortue).
Merci et M.....
Merci et M.....
Re: commentaires sur : l'Elue
...ercredi ?
Ok.
Oui, c'est vrai que c'est comme ça que ça fonctionne le mieux .
Ok.
Oui, c'est vrai que c'est comme ça que ça fonctionne le mieux .
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