commentaires sur : l'Elue

— Cause toujours ! Je ne t’entends plus de toute façon ! »

Éric la rattrapa, lui prit la main et ils continuèrent leur chemin en plaisantant. bon, je passe à la phase supérieure. Il faut te demander si ta phrase sert à l'histoire. Là, je vois pas. BEAUCOUP tricotent leurs histoires et c'est chiant (certains sont payés au mot, ce qui explique aussi celà). Pasque là, on imagine bien qu'il va pas se casser

Plus tard, seule dans sa chambre, la jeune fille se remémora cette journée. Elle rougit au souvenir du baiser sous l’abri bus. Elle avait trouvé ça très agréable et au fond ce qui la dérangeait le plus ce n’était pas l’aplomb du jeune homme mais le trouble qu’elle ressentait, surtout cette impression de ne plus rien contrôler. Elle dut s’avouer qu’elle adorait la compagnie d’Éric et c’est avec cette pensée qu’elle finit par s’endormir. ça c'est bien, tu retranscris bien l'émotion sans tomber dans les phrases clichées

Elle se réveilla brutalement en pleine nuit. La voix était revenue dans son rêve mais elle n’était plus douce ni charmante, elle grondait et Élisabeth avait ressentie une grande colère. Comme d’habitudeprécedemment elle ne se rappela plus les mots prononcés. Elle décida d’aller prendre un verre d’eau pour évacuer le malaise et se rendit dans la cuisine. L’eau lui fit tout de suite du bien et elle appuya son front contre la fenêtreravi de l'apprendre mais on peut alléger ; la jeune fille, mal à l'aise, alla se servir un verre d'eau dans la cuisine. Elle appuya ensuite son front contre une fenêtre, geste qui trahissait généralement son tourment. Comme si son esprit parvenait ainsi à se libérer de ses angoisses en leur faisant traverser le verre pour qu'ils s'envolent. Mais ce soir, ils s'aggripaient.. Dehors, une petite brise secouait les dernières feuilles sur les arbres du jardin, que la pleine lune éclairait d’une douce lumière. Élisabeth eut envie de sortir pour profiter de cet instant magique. Rapidement elle enfila sa robe de chambre et sortit sur le perron. Là, elle s’assit sur les marches. Seul le bruissement des feuilles jouait une jolie symphonie trop simple, développe, ... feuilles lui proposait une petite musique de nuit (Mozart). Ce calme apaisa Élisabeth. Elle ferma les yeux et laissa son esprit vagabonder. Les images défilèrent et les visages de ses amis se succédèrent, le souvenir de la scène sous l’abri bus, le regard d’Éric et son sourire. Un craquement coupa net les rêveries de la jeune fille. Elle regarda dans la direction du bruit Elle se retourna, pensant à un de ces chats trop curieux qui avaient pris l'habitude de roder chez elle et pensa à un chat curieux. Un autre craquement résonna dans la nuit, cette fois plus proche. Elle scruta l’obscurité, anxieuse, mais ne vit rien. Elle s’approcha doucement, persuadée de surprendre un chatun de ces félins en pleine chasse. Soudain un bruit de pas précipités retentit. Quelqu'un semblait courir dans la direction opposée, cela ressemblait à une fuite. Elle se figea, terrorisée. Qui pouvait bien être dans son jardin à cette heure tardive ? Que faire ? Devait-elle prévenir Marie ? Appeler la police ? Le silence était retombé dans le petit jardin, si bien qu’Élisabeth se demanda si elle n’avait pas rêvé. Sans lâcher du regard l’endroit où elle avait cru entendre les pas, elle recula et rentra. Réfugiée à l’intérieur elle verrouilla à double tour la porte d’entrée et s’accroupit pour calmer les battements désordonnés de son cœur. Lorsqu’elle rejoignit sa chambre, elle était persuadée d’avoir tout imaginé et se fit la promesse de ne plus jamais ressortir seule en pleine nuit. Elle passa son dimanche à somnoler entre les bavardages de Marie et les pages de son dernier livre.cette phrase est inutile

Le lendemain matin, pour la première fois de sa vie, Élisabeth choisit soigneusement ses vêtements et passa un long moment à s’observer dans la glace. Elle finit par choisir un jean avec un chemisier marron, assorti d’un grand collier que sa mère lui avait offert l’été précédent, et attacha ses cheveux en queue de cheval. Elle se maquilla légèrement. Marie écarquilla les yeux lorsque sa fille pénétra dans la cuisine.

« Eh ben mazette ! Je dois encore dormir ! Les extra-terrestres ont dû débarquer cette nuit et remplacer ma fille. Ou alors elle est tombée sur la tête dans la nuit, ou...

Élisabeth coupa sa mère.

— C’est bon maman ! Arrête ! Les extra-terrestres n’ont pas débarquéspas de "s" et je ne suis pas tombée sur la tête. Si tu veux, je peux aller me changer.

— Tu plaisantes ! Tu aurais pu juste me prévenir avant d’entrer. Causer un tel choc à sa mère...

Marie et Élisabeth maintenant riaient pour de bon.

— En parlant de choc, ce soir, tu pourrais m’emmener acheter de nouvelles baskets ? Depuis le temps que tu me bassines.

— ... Un miracle ! C’est un jour béni ! Évidemment ! Ce soir, je prends quelques heures et je passe te prendre au Lycée. Après, on file en ville. Oui, ce sera super.

Marie était euphorique.

— Maman, calme-toi. Je veux juste acheter des chaussures. Ça peut attendre que tu esais fini le boulot.

— Laisse ta mère se faire du bien. Tu veux ?bien, tu veux ? Tu finis à quelle heure ?

— Non, ce soir juste après le lycée j’ai déjà prévu quelque chose. On pourra y aller plus tard ? »

Elle n’avait rien prévu mais pour rien au monde elle n’aurait raté une occasion de rentrer avec Éric. Sa mère parut déçue sur l’instant mais elles s’accordèrent pour se retrouver vers dix huit heures à la maison. Elles mangeraient en ville. On toqua à la porte. Comme presque tous les matins depuis ces dernières semaines, Éric passait la chercher. Élisabeth le fit entrer et pendant qu’elle enfilait sa veste il en profita pour saluer Marie. Celle-ci était littéralement subjuguée par le jeune homme. Elle ne tarissait pas d’éloges à son sujet et ne manquait jamais de lui faire des compliments. Elle se doutait bien que toutes les transformations de sa fille avaient un rapport avec lui. Elle l’observa en souriant ; il avait un visage franc, des dents parfaitement alignées MDR !, le détail qui tue ^^et étonnamment pour un garçon de son âge n’avait pas une seule trace d’acné. Ses cheveux châtains avaient quelques mèches plus claires. Très grand, les épaules larges, il avait une stature allurede sportif.

« Tu pratiques un sport Éric ?

— Avant de déménager, oui Madame. En fait, je pratiquais de la boxe et du hand Ball de façon très régulière. Le tennis à l’occasion et la voile pendant mes vacances. Il m’arrive de temps en temps de faire de l’équitation aussi. J’adore les chevaux...

Au fur et à mesure que le jeune homme énumérait ses exploits sportifs, Marie écarquillait les yeux, comme si devant elle était apparu un ange.comme si un ange était apparu devant elle « Déplorable » pensa Élisabeth qui attendait maintenant dans l’entrée, son sac sous le bras.

— Tu sais Éric, tu n’es pas obligé de m’appeler Madame, un Marie suffira !

— Bien Mada... enfin Marie, j’essaierai...

— Je crois que je vais devoir vous laisser partir avant que ma fille m’arrache les yeux, dit-elle en observant Élisabeth qui effectivement la fusillait du regard. Bonne journée à tous les deux ! »


Le plaisir d'écrire et de raconter une histoire est là. C'est le principal. Maintenant, essaye d'instaurer plus un climax dans les différentes phases de ton roman. Pas un simple : elle a peur mais des détails qui nous amènent jusqu'à ce sentiment. Et puis aussi des détails sur Eli, histoire de créer de l'empathie autour d'elle. Des anecdotes, des trucs comme ça pour l'épaissir psychologiquement aussi. Ces conseils, ce sont des choses que je retrouve chez des écrivains que j'aime. J'imagine qu'ils ont grave bosser avant d'en arriver là, alors te décourage pas.

Alors, je sais que je fais la correction n'importe comment, mais en lisant les chapitres que j'ai loupé, j'ai remarqué un truc un peu étrange.
Le coup du téléphone : Elisabeth entend sa mère parler au téléphone, et quand elle lui demande qui c'est, Marie répond "une erreur". C'est un peu trop facile : soit ça doit attirer l'attention d'Elie ( Passke bon, ma mère tchatche 20min au tel je sais que c'est pas une erreur) soit faut trouver une excuse un peu mieux ( le boulot, le plombier ?)
Bon, c'est un détail.

Perso, je trouve toujours que le fantastique met trop de temps à arriver. Pour l'instant, c'est plus une histoire d'ado ( même si il y a quelques petites touches).

Ah oui, bien avant, quand Marc "arrache" une mèche de cheveux d'Elie... Tu t'es déjà fait arracher une mèche ? Une mèche assez grosse pour qu'il puisse la renifler et se trimballer avec. Bin, ça fait SUPER mal. Ca parait pas crédible la, faudrait soit qu'il la coupe, soit que Elisabeth hurle un peu ( gniark gniark).

Pacô a écrit: mégalopole :Oui mais évite grand

Finalement j'ai opté pour "la capitale du monde"

Pacô a écrit: "rien ne transpire" : Or là, ça ne veut rien dire. S'il dit :
"Le code X est activé".
On comprend la phrase, mais on ne comprend pas ce que ça signifie. Et c'est bon.
Par contre si je te donne :
"La voiture transpire des chaussettes."
Gné ?
Tu comprends ?

J'ai utiliser "transpirer" dans le sens de filtrer... rien ne filtre, rien ne s'échappe, rien ne s'ébruite... je pourrais écrire à la limite : "aucune indication particulière ne filtre, malgré nos investigations" ???

Pacô a écrit:Si elle ne connaît rien de son père, comment peut-elle savoir qu'elle l'aimait passionnément ? oO
Donc pour mois, non, elle ne peut que savoir que sa mère aimait son père passionnément.
Et se quitter c'est une chose, abandonner c'en est une autre...

Les photos, les lettres qu'elle a pu trouver... les paroles, les souvenirs de sa mère. Elle avait des tas de moyens de deviner ou de savoir que ses parents s'aimaient. Je vais donc développer pour le démontrer.
Se quitter s'est parfois nécéssaire... une personne peut également faire croire qu'elle abandonne une autre. Tout dépend de leur histoire. Donc, je garde l'impression qu'elle a d'avoir été abandonnée par son père et je développe le côté passionnel de leur relation... de l'amour, de l'amour, de l'amour...

Pacô a écrit:Et tu peux le faire rester sans qu'ils se fassent toujours des papouilles .

Lou a écrit: Alors, je sais que je fais la correction n'importe comment, mais en lisant les chapitres que j'ai loupé, j'ai remarqué un truc un peu étrange. Le coup du téléphone : Elisabeth entend sa mère parler au téléphone, et quand elle lui demande qui c'est, Marie répond "une erreur". C'est un peu trop facile : soit ça doit attirer l'attention d'Elie ( Passke bon, ma mère tchatche 20min au tel je sais que c'est pas une erreur) soit faut trouver une excuse un peu mieux ( le boulot, le plombier ?) Bon, c'est un détail.

Pas "si n'importe comment", parce que non di diou c'est fichement bien vu ! je rectifie cette incohérence. Merci

Lou a écrit: Ah oui, bien avant, quand Marc "arrache" une mèche de cheveux d'Elie... Tu t'es déjà fait arracher une mèche ? Une mèche assez grosse pour qu'il puisse la renifler et se trimballer avec. Bin, ça fait SUPER mal. Ca parait pas crédible la, faudrait soit qu'il la coupe, soit que Elisabeth hurle un peu ( gniark gniark).

Oui, effectivement... heu... le coup de la cisaille, c'est pas possible donc je pense qu'elle va hurler un bon coup ! lol! niark niark niark... (finalement c'est fastoche de faire du gore...)

Merci Lou

petitebrise a écrit:
J'ai utiliser "transpirer" dans le sens de filtrer... rien ne filtre, rien ne s'échappe, rien ne s'ébruite... je pourrais écrire à la limite : "aucune indication particulière ne filtre, malgré nos investigations" ???

Certes... mais transpirer n'est pas adapté du tout (puisqu'il ne veut vraiment pas dire ça).
Oui, tu peux faire un truc plus succinct mais qui veut dire la même chose :
"Rien n'a été ébruité, comme vous le désiriez, Madame."
Et ça fout un peu de suspens


Okay pour l'amour passionnel.
Mais développe, oui, alors. Parce que les souvenirs, les lettres trouvées... c'est bien beau de te justifier avec parce que je te parle, mais un lecteur qui lit n'en a pas vu la couleur et tu ne pourras pas le dire à tout le monde à chaque fois \o/.

Eh non !
Les dents parfaitement alignées, c'est pas un détail qui tue.
C'est un aspect physique comme un autre.

Il me semble que c'est l'expression favorite de King en plus .

Seul le bruissement des feuilles jouait une jolie symphonie trop simple, développe, ... feuilles lui proposait une petite musique de nuit (Mozart).

Un chouilla trop officiel à mon goût, ce "proposait". Comme si les feuilles venaient lui demander "Voudriez-vous une aubade ?". A ta place, petitebrise, sans vouloir empiéter sur les idées de nico4g, je tournerais la phrase dans l'autre sens. Du genre "Elle ne percevait que la petite musique de nuit des feuilles qui bruissaient dans le vent" ou que sais-je encore. ^^

MrSonge a écrit: A ta place, petitebrise, sans vouloir empiéter sur les idées de nico4g, je tournerais la phrase dans l'autre sens. Du genre "Elle ne percevait que la petite musique de nuit des feuilles qui bruissaient dans le vent" ou que sais-je encore. ^^

Merci Mr Songe. Je garde, j'adore... L'image est belle est simple (tout ce que j'aime). Merci

Mais de rien. ^^
Je lis, je lis, mais je ne trouve rien à ajouter aux excellentes corrections et suggestions de tout le monde, donc je ne fais que m'incruster quand y a un truc qui me titille.

MrSonge a écrit: A ta place, petitebrise, sans vouloir empiéter sur les idées de nico4g, je tournerais la phrase dans l'autre sens. Du genre "Elle ne percevait que la petite musique de nuit des feuilles qui bruissaient dans le vent" ou que sais-je encore. ^^

Je plussoie.

Pour les dents parfaitement alignés, c'est juste que ça me faisait penser au marché aux esclaves où les maitres vérifiaient la santé buccodentale de leurs futurs serviteurs.

coucou,

Ils marchèrent en silence dans l’allée qui menait à la serre et Élisabeth se rappela avec nostalgie la première fois où Samuel lui avait fait découvrir ce lieu.

J'ai souligné le et parce qu'il me semble qu'on pourrait mettre un point pour 1/ racourcir la phrase 2/ne pas mettre deux actions différentes dans le même paquet (marcher en silence et se rappeler de ce souvenir)

Lui pardonnera-t-il un jour ? (là je ne comprends pas, lui pardonner quoi ? elle n'a rien fait de mal vis à vis de Samuel) Lorsqu’elle était sortie de la pièce tout à l’heure, elle avait sentit sa déception. Faudrait-il qu’elle renonce aussi à cette amitié ? Elle était perdue dans ses pensées...

… Elle est la chef d’une de ces sectes

la chef... bof. En général ce n'est pas un mot utilisé au féminin, même si c'est une femme c'est le chef

Quelques rayons du (de) soleil animaient (bof, du vent peut animer des feuilles mais du soleil...) les plus hautes feuilles d’un vert éclatant et donnaient un petit air d’été au triste environnement. Non pas que le jardin fut sinistre, mais les arbres dénudés, les allées sans fleurs, les buissons rabougris (t'as pas un mot moins... moche pour les décrire ?) trahissaient l’endormissement de la nature. Merhia s’arrêta pour mieux contempler l’ensemble.

— Cet endroit est magnifique. Quand je suis venu la première fois tout était dans un état d’abandon

à l'état d'abandon

— Nous ? pourquoi, vous en faites partie ?

The suite ?

kat a écrit: Lui pardonnera-t-il un jour ? (là je ne comprends pas, lui pardonner quoi ? elle n'a rien fait de mal vis à vis de Samuel) Lorsqu’elle était sortie de la pièce tout à l’heure, elle avait sentit sa déception. Faudrait-il qu’elle renonce aussi à cette amitié ? Elle était perdue dans ses pensées...

Elle vient de lui faire subir un affront... Bon, le : "lui pardonnera-t-il un jour ?" est peut-être un peu fort ? je supprime.

kat a écrit: la chef... bof. En général ce n'est pas un mot utilisé au féminin, même si c'est une femme c'est le chef

T'es sûre ? j'ai un doute... Meuh, la chef de toute façon c'est pas terrible... pas facile de trouver autre chose : la meneuse ? la guide ?

kat a écrit: Quelques rayons du (de) soleil animaient (bof, du vent peut animer des feuilles mais du soleil...) les plus hautes feuilles d’un vert éclatant et donnaient un petit air d’été au triste environnement. Non pas que le jardin fut sinistre, mais les arbres dénudés, les allées sans fleurs, les buissons rabougris (t'as pas un mot moins... moche pour les décrire ?) trahissaient l’endormissement de la nature. Merhia s’arrêta pour mieux contempler l’ensemble.

- alors animer : le soleil donne vie aux plantes, par la lumière qui se reflete sur les feuilles, les jeux d'ombres... j'aime bien cette image.
- ensuite "rabougris" : il passe pas ce mot... deux fois que tu me le sabres... tu es une dure à cuire !lol!

kat a écrit: [The suite ?

et toi ?

personnellement, j'aurais dis: "Elle est à la tête d'une de ces sectes"

deadbabies77 a écrit:personnellement, j'aurais dis: "Elle est à la tête d'une de ces sectes"

Adjugé vendu ! merci deadbabies

Mais de rien

kat a écrit:
Lui pardonnera-t-il un jour ? (là je ne comprends pas, lui pardonner quoi ? elle n'a rien fait de mal vis à vis de Samuel) Lorsqu’elle était sortie de la pièce tout à l’heure, elle avait sentit sa déception. Faudrait-il qu’elle renonce aussi à cette amitié ? Elle était perdue dans ses pensées...

Elle vient de lui faire subir un affront... Bon, le : "lui pardonnera-t-il un jour ?" est peut-être un peu fort ? je supprime.

Non supprime pas, développe

Pour "rabougris", tu peux peut-être mettre "maigrichons" ou bien "les buissons mis à mal par l'hiver" ??

kat a écrit: Non supprime pas, développe

Comme ça ?

Ils marchèrent en silence dans l’allée qui menait à la serre. Élisabeth se rappela avec nostalgie la première fois où Samuel lui avait fait découvrir cet endroit. Le pique-nique qui avait suivi faisait partie d’un des meilleurs moments de sa vie. Son cœur se noua et elle dut contenir des larmes. Lorsqu’elle était sortie de la pièce tout à l’heure, elle avait senti sa déception. En faisant le choix de suivre cet inconnu, ne lui avait-elle pas fait un affront ? Lui en tiendrait-il rigueur ? Maintenant, elle craignait de devoir renoncer aussi à cette amitié. Elle était perdue dans ses pensées lorsque l’homme prit la parole.

Euh ... Affront c'est peut-être un peu fort non ??

"Ne l'avait-elle pas blessé" je dirais plutôt perso ^^ Qu'en pensez vous mesdemoiselles ?? ^^

Laumie a écrit:Euh ... Affront c'est peut-être un peu fort non ??

"Ne l'avait-elle pas blessé" je dirais plutôt perso ^^ Qu'en pensez vous mesdemoiselles ?? ^^

*Réflexion profonde* je suis assez d'accord avec Laumie, bien que le mot affront ne me choque pas *fin de la réflexion profonde*

Laumie a écrit:Pour "rabougris", tu peux peut-être mettre "maigrichons" ou bien "les buissons mis à mal par l'hiver" ??

Meuhhh, pourquoi vous aimez pas mes "buissons rabougris par l'hiver". Moi j'les aime... je trouve que ça parle mieux que les "buissons maigrichons par l'hiver". Allez sincèrement ?