commentaires sur : l'Elue

azul a écrit:Ben c'est très bien les buissons rabougris par l'hiver.

Désolée, je crois que je vais faire un caprice (mon premier!) : je garde rabougris, na !

— Non Élisabeth ! ne pense pas ça ! tu te trompes complètement. Il t’aimait au contraire, jamais il n’a voulu te rejeter. Il est parti c’est vrai, mais pour pas pour les raisons que tu penses !

Merhia l’observait, attentif et son visage exprima soudain de l’incrédulité.
C’était elle maintenant qui observait le vieil homme avec incrédulité.
Ils s’observèrent

sans que personne ne vienne obturer tes décisions ou ta façon de penser, de percevoir le monde. Te faire ta propre opinion, voilà ce que désirait ton père, tout le reste ne te concerne pas, reste en dehors. Erahia souhaite changer le fil de...

(enfin si j'ai bien compris )

de toute intervention extérieure qu’elle quelle soit. Tu dois apprendre à te découvrir seule Élisabeth !

Elle sentait qu’il était sincère, qu’il ne mentait pas et qu’au fond cette déclaration était celle qu’elle attendait. Ils s’observèrent un long moment en silence, assis sur le banc, immobiles. C’est elle qui le brisa ( le banc ?) avec un soupir de résignation.

— Eh bien tu n’auraS qu’à le traiter de fou

— Me contrôler ? Je ne sais même pas comment ça m’arrive ce truc !

— Je ne peux pas t’aider plus

Samuel en fait partie , d’autres également.

— Mais le sujet de notre entretien n’est pas ma personne. Il s’agit de toi et du choix que tu vas devoir faire. Mais avant que tu le fasses, il faut que tu saches que quoiqu’Erahia puisse t’apprendre sur le passé... sur le clan... quoiqu’elle puisse te dire, cela ne changera en rien ce que tu es ! et ce que tu es, toi seule peux le comprendre, toi seule peux le vouloir... sans que personne ne vienne obturer tes décisions ou ta façon de penser, de percevoir le monde. Te faire ta propre opinion, voilà ce que désirait ton père, tout le reste ne te concerne pas, reste en dehors. Erahia souhaite changer le fil de ta vie, moi je veux que tu prennes conscience que si aujourd’hui tu décides de l’écouter plus rien ne sera comme avant. Tes amis, ton lycée, ta mère... es-tu prête à renoncer à tout cela ? je sais ce que tu penses… pourquoi en écoutant une vieille femme ma vie devrait changer ? Parce-que ta perception du monde dans lequel tu vis aujourd’hui sera complètement bouleversée et donc tes choix, tes avis, prendront une inclination en rapport avec toute cette histoire et cela ton père ne le voulait pas. J’avoue, tu es une personne très particulière… avec des dons particuliers et c’est justement à cause de cela que tu dois vivre ta vie en dehors de toute intervention extérieure qu’elle quelle soit. Tu dois apprendre à te découvrir seule Élisabeth !

kat a écrit: Il est parti c’est vrai, mais pour pas pour les raisons que tu penses ! : toi mettre à l'envers mots !

C'est du verlan à la p'tibrise... le pire c'est quand je relis, je le lis à l'endoit ! heureusement tu avais souligné.

kat a écrit:sur très peu de lignes, tu reprends le même verbe. De même que incrédulité,je vois ce que tu veux dire dans le sens où chacun leur tour ils sont... incrédules mais essaye de trouver des synonymes pour varier les expressions.

kat a écrit:le choix du mot obturer ne va pas avec les décisions. Obturer signifit : boucher une ouverture or toi tu veux dire que personne ne doit venir contrer ses décisions et sa façon de penser (enfin si j'ai bien compris )te faire ta propre opinion : te laisser ton libre arbitre ?

kat a écrit: si je ne m'abuse, c'est quelle qu'elle soit

kat a écrit: Non sérieux, reformule la phrase ou tu dis qu'elle le brisa, on se doute bien que c'est le silence mais si l'on lit distraitement, sur le coup ça fait bizarre

D'un autre côté, tu m'as donné une idée ! sur le coup de l'émotion, elle pourrait bien brisé ce banc ! trop bien... j'm'y colle cet ap (Tans pis pour le caractère sérieux des prétendues révélations.)

kat a écrit:Ben là, carrément grave pas cool. Pas une fois il ne lui explique ce qu'est son don, même s'il ne le connait pas réellement, il est bien capable de dire ce que c'est, tout du moins de le nommer. Après, à Eli d'aller ouvrir des bouquins sur le sujet à la biblio

kat a écrit: Je reprends sur ce dialogue. Il est super super super long. Je pense que tout ce que dit le personnage est important mais tu pourrais peut être rendre le tout plus dynamique en décrivant ce qu'il fait, s'il fronce les sourcils à tel moment, s'il croise ses jambes. Enfin tu vois, un peu du dialogue puis tu décris quelque chose sur Merhia, puis encore un peu de son dialogue, puis tu redecris ce qu'il se passe.
Sinon, j'ai une vague impression de voir un homme, telle une statue, qui lit un texte sur un banc. On ne sait pas s'il regarde Eli, comment il la regarde, ce qu'il ressent en l'observant, s'il a froid ou chaud, s'il se sent oppressé, etc. Alors on est obligé d'essayer de s'imaginer un homme âgé qui n'a aucun expression, qui n'a aucun mouvement, qui ne ressent rien et qui ne fait que réciter un long discours sans se soucier de l'impact qu'il peut avoir sur une gamine.

Merci Kat encore pour toutes tes remarques pertinentes et tes corrections.

petitebrise a écrit:C'est bizarre, j'ai cru lire un message de Deadbabies (qui s'était jointe au complot du "buisson rabougri") mais en postant mon dernier commentaire, il avait disparu ? étrange...Ou alors, finalement, Deadbabies a changé d'avis.

deadbabies77 a écrit: En effet, j'avais proposé une phrase mais après avoir relu ton commentaire j'ai compris que le mot "rabougris" convenait, je l'ai donc effacé (en espérant que personne ne l'avait vu mais comme ça a été le cas )

raté !lol!

les larmes dans les yeux au fur et à mesure qu'il parle

Heureusement, son dernier cours se terminait à 15h30

Lorsque la sonnerie retentit, elle se précipita vers la sortie avec soulagement.

Les grilles du lycée étaient ouvertes.

C’était la même qu'Éric et elle avaient vue en rentrant un soir.

Elle se concentra à nouveau vers le véhicule. La vitre était à nouveau fermée.

Elle suivie le mouvement régulier des aiguilles de sa montre avec impatience.

— Tu t’entraînes beaucoup, hein ? l’équipe va être du tonnerre cette année !

— Oui, justement on a pas vu Éric. Il devait venir s’entraîner avec nous. Tu l’as vu ?

parti dans de la famille.

Pacô a écrit: => Juste une petite question : t'es-tu imaginée un emploi du temps pour elle ? Sur une petite fiche ? Histoire d'éviter toute incohérence (que je ne remarque pas, moi, mais qui pourrait être visible pour un lecteur un peu malicieux et observateur)

Pacô a écrit: => j'ai comme l'impression que... tu répètes un peu. Ce genre de scène, j'ai l'impression que c'est la deuxième, voire la troisième fois que je la lis oO.(ou alors je confonds avec la Cassie de Kat ^^)
Les grilles du lycée étaient ouvertes. => pourquoi auraient-elles été fermées un jour de cours ? oO

Pacô a écrit: Toujours beaucoup trop de dialogues qui défigurent ton texte. La narration est vraiment zappée au profit de paroles pas toujours les plus essentiels.C'est dommage... Ton roman ne doit pas non lus ressembler à une pièce de théâtre .

Pacô a écrit: Sinon pour le reste, c'est dans le relevé. Toujours une amélioration progressive. C'est cool .

Pacô a écrit: Bah voilà du suspens, enfin ! Qui est cette voiture noire ? Envoyée par la vieille dame de New York ? Ou par le fameux ennemi inconnu de la vieille dame de New York ?
The mystery is part of this story .

Cool, c'est l'effet que je voulais. Que le lecteur se demande qui est avec qui ?

Pacô a écrit: Et moi dans tout ça, j'imagine que Djamila n'est pas très claire...Il n'y a que Valéry, en somme, qui ne fait pas parler d'elle .

kat a écrit: oui mais tu ne décris pas qu'il a des larmes dans les yeux. Comme tu ne décris pas du tout l'homme, il reste au lecteur d'imaginer la scène et donc chacun verra ce qu'il aura envie, à savoir soit en effet un homme troublé mais peut etre aussi un homme qui récite une leçon sans expression aucune.

Après je pourrais ajouter qu'il a les mains qui tremblent ; mais d'un autre côté c'est un personnage qui est censé avoir une grande maîtrise de soi. Habituellement, il est imperturbable. Seul l'évocation de son ami, le pére d'Eli, lui fout les boules. C'est un homme très élègant, très serein ; sa maman a du le plonger dans un bain de sagesse quand il était petit (tu vois le genre ?)

kat a écrit: Il faudrait que tu demandes conseil aux autres, moi perso je trouve que rajouter quelques bribes de sa façon d'être (les yeux larmoyants, les mains tremblantes), ça rajouterais en émotion. Mais encore une fois, n'oublie pas que tu es le capitaine du bâteau, tu décides de ce qui te semble le plus apprioprié.

kat a écrit:Par contre, pas mal l'idée du banc, peut etre qu'elle devrait juste le fissurer plutôt que le casser... sinon où qu'y vont s'asseoir après ?

Après je pourrais ajouter qu'il a les mains qui tremblent ; mais d'un autre côté c'est un personnage qui est censé avoir une grande maîtrise de soi. Habituellement, il est imperturbable. Seul l'évocation de son ami, le pére d'Eli, lui fout les boules. C'est un homme très élègant, très serein ; sa maman a du le plonger dans un bain de sagesse quand il était petit (tu vois le genre ?)

kat a écrit:
Il faudrait que tu demandes conseil aux autres, moi perso je trouve que rajouter quelques bribes de sa façon d'être (les yeux larmoyants, les mains tremblantes), ça rajouterais en émotion. Mais encore une fois, n'oublie pas que tu es le capitaine du bâteau, tu décides de ce qui te semble le plus apprioprié.

Sur ce coup là, je sais que tu as bigrement raison. Seulement, c'est pas facile parfois de traduire ce que tu souhaites faire ressentir au lecteur. Vraiment pas facile.

OUi !lol! quand je suis retournée dans le texte pour introduire cette scène, je m'en suis aperçue. Il va falloir que j'attende qu'il ait fini son discours. Et ensuite, le banc pourra se fissurer. En tous les cas, plus de doute, il faut que j'introduise un élèment fantastique à cette scène. Merci kat. Sans toi, je passais à côté.

Il ne l'avait jamais vu dans un tel état de nervosité. A aucun moment, en fait, il ne l'avait vu nerveuse.

Elle aperçut la vitre avant s’ouvrir légèrement et sentit de désagréables picotements à la base de sa nuque. Comme hynotisée par l'objet de sa tension, elle n’écoutait plus le jeune homme.

Le véhicule était toujours à la même place. La silhouette d’un élève disparaissait vers le grand bâtiment. A présent, Élisabeth était seule. Elle se concentra à nouveau sur le véhicule. La vitre était refermée...

Elle devança la question qu’elle sentait venir et lui coupa la parole en se balançant nerveusement sur ses jambes pour tenter de calmer son angoisse.

kat a écrit:t'es passée où ma petitebrise ? J'espère que tu bosses bien sur ton roman

Le vieil jeta un coup d'oeil anxieux à la fissure et pour la première fois

Merhia se leva et tendit sa grande (son immense) main vers Élisabeth. Ils reprirent l’allée et retournèrent sur leur pas. Élisabeth se sentait apaisée (ressentit un profond soulagement ou apaisement) , en paix avec elle-même. Elle n’avait pas eu les réponses escomptées mais les explications de Merhia l’avaient rassurée. Elle n’était plus complètement perdue, elle se sentait presque légère. En s’approchant de la cour où stationnaient les véhicules, Merhia reprit la parole mais elle sentit une sorte d’hésitation. (Merhia reprit la parole, elle le sentit hésitant).

— Élisabeth ? est-ce le fait d’être seule à affronter tout(tous) ces événements qui te font le plus peur ou le fait de ne pas pouvoir les contrôler ?

Il stoppa leur avancée (marqua un temps d'arrêt) au bord (à l'orée) de la cour, il (supprime le il) se tourna alors vers les véhicules et fit un signe de la main (adressa un signe de la main) . Élisabeth vit la portière d’une Jaguar blanche s’ouvrir et (supprimer et, mettre un point à la place) une silhouette apparut. Pourquoi ne fut-elle pas surprise de voir Éric apparaître (pourquoi le dire sous forme de question ? tu pourrais dire "Etrangement, elle ne fut pas surprise de voir...) , pourquoi s’attendait-elle à le voir arriver d’un moment à l’autre ? Les alarmes des véhicules se déclenchèrent toutes en même temps et elle ne sut pas ce qui se passa exactement dans sa tête ni autour d’elle mais elle se retrouva dans les bras d’Éric qu’elle étreignit au point presque de l’étouffer. (bof) Il la serrait aussi et les pieds de la jeune fille ne touchaient plus terre. Aucun son, aucune parole, cette étreinte suffisait à montrer le bonheur qu’ils avaient de se retrouver (à reformuler) . Depuis un moment déjà elle soupçonnait le jeune homme d’être mêlé à cette affaire. Ces (les) mystérieux propos (propos enigmatiques) qu’il avait tenus lors de leur séparation, son attitude parfois ambiguë et son rapide déménagement avaient convaincue Élisabeth qu’il n’était pas étranger à tout cela. L’évocation du jeune homme, depuis leur séparation, étant trop douloureuse aussi elle ne s’était pas posé consciemment la question. Aujourd’hui, le doute n’était plus permis aussi (tention à ne pas abuser des aussi surtout qu'ils ne sont pas vraiment utiles) n’était-elle pas étonnée de le trouver ici et maintenant (tu l'as déjà dis plus haut en posant la question du pourquoi n'était-elle pas surprise de le voir) . Ce fut Merhia qui interrompit leur retrouvaille. Merhia interrompit leurs retrouvailles.

— Et bien jeune fille, dois-je considérer cet emportement comme un oui (une réponse positive) à ma question ?

— Bien et maintenant et (est) venu le moment de savoir ce que tu choisis (il faudrait reformuler genre "le moment est venu pour toi de savoir...) , retournes-tu vers Erahia ou… te ramène-t-on chez toi ?

Là bas (la-bas) , vers le château la silhouette de Samuel était apparue derrière une des fenêtres. (bof bof, c'est là-bas... vers le chateau, ça manque de précision. De plus là-bas, vers le chateau, c'est proche ou c'est loin ? j'ai du mal à imaginer la silhouette de Sam visible de là-bas)

Elle considéra les deux hommes (non il y a un homme et un adolescent près d'elle, tu ne peux pas les mettre au même niveau en plus tu fais une répétition du mot hommes dans cette phrase et la suivante) près d’elle. Le vieil homme était calme, serein, confiant et (supprimer le et, une virgule à la place) son expression tranchait avec celle d’Éric qui semblait nerveux, presque suppliant (pourquoi suppliant ? Il est censé savoir plus de choses qu'Eli ne le pensait, il doit donc avec des épaules solides) . Pourtant la balance n’eut aucun mal à pencher du côté de Merhia, c’était une évidence, elle rentrerait chez elle et même si elle n’avait pas eu toutes les explications aux questions qu’elles se posaient (ben y en a combien des Eli ? ) en entrant (pénétrant ou se rendant) dans ce château, l’essentiel lui avait pourtant était révélé. Elle tenterait seule de trouver une explication (c'est seule qu'elle tenterait de trouver une explication (en même temps pourquoi une seule explication ?), un but (pas un but mais une raison sur ce qui lui arrivait) à ce qui lui arrivait et pour cela, elle avait un soutien peut-être deux. Un large sourire inonda (illumina) la face (le visage est mieux dans ce cas, comme tu as parlé de visage précédemment tu pourrais parler des traits de Sam) de Merhia tandis qu’Éric se détendait.