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Message  kat Mer 20 Jan 2010 - 20:09

— Perspicace hein ? marmonna-t-elle avec un clin d’œil adressé à Merhia. (en lui adressant un clin d'oeil)

Alors (je supprimerais) je vais annoncer ta décision à notre amie bien que je sois persuadé qu’elle la connaissait également depuis le début. Elle aura tenté sa chance, nous ne pouvons pas lui en vouloir. (on ne peut pas lui reprocher d'avoir tenté sa chance)

Sur ces mots (je supprimerais), il s’éloigna (se dirigea) vers l’entrée de la demeure, s’appuyant un peu plus sur sa canne,(supprime la virgule, point à la place) car ( supprime le car et majuscule à L'annonce) l’annonce de sa victoire ne lui apportait vraisemblablement aucun plaisir. Il croisa Samuel, qui venait vers eux et à qui il souffla un message dans le creux de l’oreille tout en lui tapant l’épaule affectueusement. Le visage de Samuel se durcit imperceptiblement (s'assombrit)(ou ses traits se durcirent)
(attention tu dis que Merhie s'éloigne pour aller vers le château mais tu ne parles pas d'Eli ni de Eric ? (Que font-ils à ce même moment ? ils restent immobiles à le regarder, ils jouent aux cartes ou bien... ?)

Bon, oui comme je te le disais au post précédent, je t'assure que la suppression d'un bon paquet de dialogues à rendu ton texte beaucoup plus fluide et exprime mieux ce qui se passe. Tu devrais essayer d'élaguer de la même façon tes extraits précédents. Là je te félicite.

Je regarderais tout à l'heure ce que tu as écrit concernant le banc fissuré (dès que j'aurais trouvé un médicament magique pour ma tête... on peut rêver)
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Message  kat Mer 20 Jan 2010 - 20:23

Un craquement sourd retentit soudain sous leur fesse (z'en ont qu'une de fesse ?) . Une brêche était apparue sur l'assise du banc. L'énorme pierre blanche semblait avoir été fissurée par un marteau invisible (bof un marteau pourrait-il vraiment fissurer un banc ? Pas dans le cas du genre de fissure causée par de la telekinèse) . Elisabeth fixa la brêche, soudain lasse. "C'est pas gagné !" se lamenta-t-elle intérieurement. Sans se départir de son calme, comme si de rien n'était, Merhia poursuivit.

Elle se demanda si le fait de rester assis sur cette hypothétique bombe, n'était pas une façon de mettre son contrôle d'elle même (elle-même) à l'épreuve. Avec un sourire ironique (pourquoi ironique ?) , il s'adossa au banc, croisa les jambes et poussa un soupir d'aise. (j'aurais inversé : il croisa les jambes, s'adossa contre le banc et poussa un soupir.)
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Message  kat Mer 20 Jan 2010 - 22:22

re. Maintenant je viens t'embêter avec les répétitions sur le dernier extrait :

Merhia se leva et tendit sa grande main vers Élisabeth. Ils reprirent l’allée et retournèrent sur leur pas. Élisabeth se sentait apaisée, en paix avec elle-même. Elle n’avait pas eu les réponses escomptées mais les explications de Merhia l’avaient rassurée. Elle n’était plus complètement perdue, elle se sentait presque légère. En s’approchant de la cour où stationnaient les véhicules, Merhia reprit la parole mais elle sentit une sorte d’hésitation.

— Élisabeth ? est-ce le fait d’être seule à affronter tout ces événements qui te font le plus peur ou le fait de ne pas pouvoir les contrôler ?

— Un peu des deux…. Je pense.

— Pour le premier, j’ai peut-être une solution… que dirais-tu d’avoir un ami pour t’épauler ?

Il stoppa leur avancée au bord de la cour, il se tourna alors vers les véhicules et fit un signe de la main. Élisabeth vit la portière d’une Jaguar blanche s’ouvrir et une silhouette apparut. Pourquoi ne fut-elle pas surprise de voir Éric apparaître, pourquoi s’attendait-elle à le voir arriver d’un moment à l’autre ? Les alarmes des véhicules se déclenchèrent toutes en même temps et elle ne sut pas ce qui se passa exactement dans sa tête ni autour d’elle mais elle se retrouva dans les bras d’Éric qu’elle étreignit au point presque de l’étouffer. Il la serrait aussi et les pieds de la jeune fille ne touchaient plus terre. Aucun son, aucune parole, cette étreinte suffisait à montrer le bonheur qu’ils avaient de se retrouver.

Depuis un moment déjà elle soupçonnait le jeune homme d’être mêlé à cette affaire. Ces mystérieux propos qu’il avait tenus lors de leur séparation, son attitude parfois ambiguë et son rapide déménagement avaient convaincue Élisabeth qu’il n’était pas étranger à tout cela. L’évocation du jeune homme, depuis leur séparation, étant trop douloureuse aussi elle ne s’était pas posé consciemment la question. Aujourd’hui, le doute n’était plus permis aussi n’était-elle pas étonnée de le trouver ici et maintenant. Ce fut Merhia qui interrompit leur retrouvaille.

— Et bien jeune fille, dois-je considérer cet emportement comme un oui à ma question ?

Élisabeth se détacha de son ami encore un peu rose de confusion, les yeux pleins de larmes, elle hocha la tête en direction du vieil homme.

— Bien et maintenant et venu le moment de savoir ce que tu choisis, retournes-tu vers Erahia ou… te ramène-t-on chez toi ?

Là bas, vers le château la silhouette de Samuel était apparue derrière une des fenêtres. Sur son visage elle ne nota aucune expression, il observait la scène impassible. Elle considéra les deux hommes près d’elle. Le vieil homme était calme, serein, confiant et son expression tranchait avec celle d’Éric qui semblait nerveux, presque suppliant. Pourtant la balance n’eut aucun mal à pencher du côté de Merhia, c’était une évidence, elle rentrerait chez elle et même si elle n’avait pas eu toutes les explications aux questions qu’elles se posaient en entrant dans ce château, l’essentiel lui avait pourtant était révélé. Elle tenterait seule de trouver une explication, un but à ce qui lui arrivait et pour cela, elle avait un soutien peut-être deux. Un large sourire inonda la face de Merhia tandis qu’Éric se détendait.

Bon, je capitulasse :
verbe se reprendre : 2 fois- trouver : 2 fois- aussi : 3 fois
se sentir, sentir : 3 fois- questions : 3 fois- se retrouver : 2 fois
explications : 3 fois- moment : 3 fois- séparation : 2 fois
château : 2 fois- jeune fille : 2 fois-
silhouette : 2 fois- jeune homme : 2 fois-
véhicule : 3 fois- homme : 5 fois-
expression : 2 fois- considérer : 2 fois-

Je sais qu'il n'est pas aisé de changer certaines choses (je galère autant) mais certaines choses peuvent être modifiées pour ne pas se répéter aussi rapidement dans les paragraphes. flower


Dernière édition par kat le Jeu 21 Jan 2010 - 17:03, édité 1 fois
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Message  petitebrise Jeu 21 Jan 2010 - 6:27

Waouhhhhh Kat ! comment dire... un simple merci me paraît trop ridicule. Tu as dû passer ta soirée à faire ces corrections méticuleuses. Merci Embarassed

Je vais donc retravailler tout cela (si j'ai le temps à midi, ça m'étonnerait, sinon demain)

Pour ton mal de crâne essaie Nurofen Flash (spécial maux de tête)

Bonne journée Kat flower
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Message  kat Jeu 21 Jan 2010 - 17:15

ah bah c'est encore moi Wink toujours avec mon mal de tête d'ailleurs !

Ses propos énigmatiques qu’il avait tenus
Plutôt les propos énigmatiques qu'il avait tenu. Ou alors tu gardes "ses" propos énigmatiques mais tu zappes qu'il avait tenus.

les yeux remplis de larmes
je dirais plutot les yeux inondés de larmes

une raison à ce qui lui arrivait et pour cela, elle avait un soutien (virgule) peut-être deux

Bon j'arrête de te harceler (pour l'instant Razz )
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Message  nico4g Jeu 21 Jan 2010 - 17:45

Éric n’avait toujours pas parlé. Elle décida donc qu’elle rentrerait seule. Elle se rappela avec nostalgie que ce matin encore, elle pensait rentrer avec Éric et avait refusé que sa mère vienne la chercher.

Elle était plongée dans ses pensées sur le chemin du retour lorsqu’elle entendit son nom. Elle reconnut la voix mais ne se retourna pas, au contraire elle pressa le pas. « trop Trop tard ! » pensa-t-elle. Elle n’avait plus envie de parler, elle voulait juste rentrer chez elle, s’enfermer dans sa chambre. Éric se rapprochait, elle entendait le bruit de sa course. Bientôt sa main se posa sur son épaule et la freina brusquement. Elle se tourna vers lui déjà prête à battre le fer. Mais au lieu de reproches, de réflexions, ce sont ses lèvres qu’elle rencontra. Il l’embrassa longuement, caressant ses cheveux, sa joue, et pritil prit son visage entre ses paumes. ses mains, pourquoi ses doigts la toucheraient pas ?

« Désolé, je suis un imbécile…

Élisabeth retenait son souffle, elle ne savait plus quoi penser. Devenait-elle folle ? Son sac gisait par terre à ses pieds choisit l’un ou l’autre, les deux ça fait beaucoup. Doucement, il le ramassa et lui prit la main. Encore hébétée, elle tendit la main vers son sac.

— Donne… Je peux le port...

— Ah ! non tu ne vas pas recommencer. Je sais, tu es une grande fille et tu sais te défendre mais laisse-moi au moins porter ton sac.» soit les guillemets, soit les tirets

Ainsi donc la cause de toute cette histoire était bien l’incident de ce matin. S’était-elle montrée à ce point sèche ? Maintenant ils marchaient lentement côte à côte sans dire un moten silence. Arrivés devant le portail de sa maison virguleil lui rendit son sac.

« Tu veux qu’on révise ensemble ?

— Pas ce soir, désolée…

— Tu m’en veux ?… tu…

— Ça n’a rien à voir. Marie doit m’emmener faire les magasins. à la ligneEn parlant, elle avait fait une grimace pour traduire la torture qu’elle s’infligeait. Je crois que si je décidais de reporter elle me traînerait de force ».

Il parut soulagé par sa réponse et força un petit sourire.

— Ça n’est pas grave. T’inquiète. Je devais justement me rencarder sur un truc.

La jeune fille arqua ses sourcils.

— Et c’est un secret ton truc ?

— Pas du tout ! Ta mère m’a rappelé ce matin à quel point le sport me manquait. Je vais donc me renseigner pour m’inscrire dans le club de hand du coin. Tu vois, rien de très mystérieux. Je suis plutôt banal comme garçon.»

A l’instant où il finissait sa phrase, Marie arrivait et gara son véhicule sur le trottoir.

« Salut les jeunes ! Cria cria-t-elle par la vitre ouverte virguleau grand dam de sa fille qui haussa les épaules.

Il lui sembla que tout le voisinage avait profité de son arrivée.

— On t’emmène avec nous Éric ?

— Non, mad… Marie… J'avais quelque chose de prévu ce soir.

— Lâcheur... » Siffla Élisabeth avant qu’il ne tourne les talons en riant.

Sur le trajet qui les menait en centre ville, Marie s’inquiéta du mutisme de sa fille et lui demanda si tout allait bien ; ce à quoi elle répondit un banal « Je vais bien, je suis juste un peu fatiguée ».

Elle choisit rapidement une nouvelle paire de basket et des bottes fines, longues et fourrées de couleur marron.

Ensuite, elles décidèrent de se rendre dans une petite pizzéria en centre ville. Marie y connaissait le patron qui s’était fait soigner quelques années auparavant dans l’hôpital où elle travaillait et depuis elle était accueillie en véritable reine. Elles s’installèrent et Marie opta pour un petit verre une petite coupe ! on boit pas le champ’ dans des verres, malheureuse !de champagne en guise d’apéritif.

Élisabeth avait fini par se détendre et le liquide pétillant qu’elle sirotait c’est pas du whiskey ! commençait doucement à lui chauffer les entrailles lui monter à la tête. Elle regardait sa mère qui babillait gaiement et elle la trouva jolie avec ses yeux noisette et ses cheveux blonds coupés à la garçonne. Elle semblait monter sur ressort et lorsqu’elle s’exprimait, ses mains, pas de virgule faisaient des rondes virgulece qui avait toujours amusé Élisabeth. « Elle doit avoir des origines italiennes pour s’exprimer ainsi avec les mains… ». Soudain le regard de Marie se porta derrière Élisabeth et un plus grand sourire apparut sur son visage.

« Samuel ! Articula-elle en se levant, Quelle quelle surprise !

Le fameux Samuel s’était approché de leur table, il arrivait de derrière Elisbethsaluant Marie, il tournait le dos à Élisabeth. Il était grand, brun et elle fut très surprise de constater qu’il se penchait pour embrasser la main de sa mère ! « D’où il sort celui-là ! ». Elle fut d’autant plus surprise de constater qu’il n’était pas beaucoup plus âgé qu’elle lorsqu’il lui fit face.

« Je te présente ma fille, Élisabeth… Samuel, Éli… Samuel.

— Ravi enfin de te connaitre Élisabeth, j’ai beaucoup entendu parler de toi.

Il semblait susurrer chaque mot.

— Vraiment ?… Moi je n’avais jamais entendu parler de vous »

Le jeune homme sourit et adressa un clin d’œil à Marie. Élisabeth trouva qu’il avait des yeux verts magnifiques bordés de cils noirs et son sourire ne gâchait rien mais instinctivement elle restait sur ses gardes.

« Samuel prend des cours de peinture avec moi le samedi matin. Il est très doué.

— Ta mère est trop indulgente. J’ai encore beaucoup de progrès à faire.

— Tu es seul ? S’étonna Marie en regardant autour. Tu veux te joindre à nous ?

Si Élisabeth avait eu des poignards à la place des yeux elle aurait certainement trucidé sa mère sur place.

— Je ne voudrais pas me montrer inopportun. Vous semblez fêter un événement…

— Oh non pas du tout ! Cela nous ferait très plaisir que tu te joignes à nous. N’est-ce pas Élisabeth ? dit-elle en regardant sa fille avec insistance.

— Oui… oui... Bredouilla bredouilla-t-elle

— Bien,… puisque vous insistez toutes les deux… J'accepte mais alors à une condition : si vous prenez une deuxième coupe avec moi.

Marie gloussa comme une gamine et se leva en s’excusant. Elle disparut vers les toilettes du restaurant. Élisabeth secoua la tête.

— Pour moi ce sera non. Désolée je n’ai pas l’habitude de boire.

Alors il se pencha vers elle presque à la toucher la touchant presque et lui murmura à l’oreille :
— On s’habitue à beaucoup de choses Élisabeth. Crois-moi, surtout lorsqu’elles sont agréables ».

Élisabeth frissonna. Déjà le jeune homme adressait un signe de la main au serveur. Elle profita de l’arrivée de ce dernier pour détailler rapidement Samuel assis en face d'elle. Ses vêtements étaient très raffinés et sous sa veste on devinait une chemise bordeaux sombre de qualité. Une chaine en argent brillait à son poignet et Élisabeth n’arriva pas à distinguer le symbole gravé sur la plaque. Elle remonta au sur levisage du jeune homme, .Son profil altier lui évoquait une statue grecque. Ses cheveux bruns faisaient ressortir la couleur de ses yeux et ses lèvres minces révélaient son air décidé. Il dégageait véritablement une assurance peu commune. brun, son profil était droit, digne d’une statue grecque, les lèvres minces, il dégageait une assurance peu commune. Lorsque le serveur repartit chercher la commande, il se tourna vers elle, un sourire narquois sur les lèvres.

« Alors ? J’ai passé le test ?

— Pardon ? hoqueta-t-elle surprise.

— Cela fait deux minutes que tu me détailles de la tête au pied. Alors je te demande si j’ai réussi le test ? »

Marie regagnait leur table et faillit percuter le serveur qui revenait avec trois coupes de champagne. Finalement, Élisabeth apprécia sa coupe répétition, son calice et la but plus rapidement que la première sous le regard amusé de Samuel, ce qui l’horripila car elle crut entendre « Tu vois, j’avais raison ! ». Pendant la soirée elle apprit que le jeune homme avait vingt et un ans, poursuivait des études d’arts et qu’il avait pris une année sabbatique pour faire le point. Il n’était pas persuadé d’avoir choisi la bonne voie mais plutôt poussé vers cette filière par un père collectionneur et propriétaire de plusieurs galeries dans le monde entier. Sa grand-mère possédait une maison dans le coin ; il avait décidé de s’y retirer il y a quelques mois pour réfléchir tranquillement. Élisabeth fut éberluée impressionnéepar sa facilité à se confier , totalement hypnotisée par la voix du jeune homme. mais était littéralement hypnotisée. Marie semblait aussi sous le charme.

« Marie m’a dit que tu aimais beaucoup les livres, Élisabeth ?

— Oui c’est vrai...

— Ma grand-mère a la même passion. Elle possède une grande collection de livres originaux, des œuvres rares et magnifiques, selon elle… moi, je n’y connais pas grand-chose mais tu pourras venir les voir si tu le désires ?

— Quelle chance Éli ! La caverne d’Ali baba ! c’est très gentil de ta part, Samuel.

— Oui, merci. Intervint Élisabeth bien décidée à décliner l’invitation lorsqu’elle se présenterait. A l’occasion, pourquoi pas ?

— Samedi après-midi, je suis libre si tu veux ?

— C’est une excellente idée ! Samedi, Eli n’avait rien de prévu ! N’est-ce pas ma chérie ?

— Si justement j’avais quelque chose de prévu, grinça Élisabeth.

— ça n’est pas grave… plus tard. Lorsque tu seras libre. Tu n’auras qu’à le dire à Marie.»

L’arrivée d’un Samuel bien mystérieux et concurrent direct d’Eric. On devine le trio amoureux. Bon, sinon, c’est toujours trop fleur bleue pour moi… mais je m’accroche ^^
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Message  petitebrise Jeu 21 Jan 2010 - 19:08

nico4g a écrit:Elles s’installèrent et Marie opta pour un petit verre une petite coupe ! on boit pas le champ’ dans des verres, malheureuse !

Je suis impardonnable commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_redface
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Message  kat Jeu 21 Jan 2010 - 21:07

Il (c'est bien de Samuel que tu parles ?) s’approcha, un peu hésitant. Éric, lui, semblait très mal à l’aise. Ce fut Élisabeth qui la première prit la parole (Ce fut Elisabeth qui prit l'initiative de rompre ce silence gêné enfin un truc dans ce genre)
— Je suis désolée pour ta grand-mère Samuel…

— Tu n’a aucune raison de l’être, elle patientera un peu plus longtemps (donc elle a pas décidé de lâcher le morceau, j'me disais aussi Very Happy). Ce n’était pas le bon moment.

Éric renifla et s’éloigna pour les laisser seuls non sans adresser un petit sourire à la jeune fille.

— J’aimerais qu’on reste ami Samuel… enfin qu’on continu de se voir, osa-t-elle.

Samuel ne réagit pas, les yeux perdus dans le vague (j'aurais plutôt inversé : les yeux perdus dans le vague, il ne réagit pas) . Elle soupira et essaya une dernière tentative (elle tenta une nouvelle fois sa chance).

Elle se dirigea vers Éric qui attendait maintenant (supprime le maintenant, ça colle pas trop avec une narration au passé) prés (près)du véhicule, la porte arrière gauche ouverte. La voix de Samuel tinta dans son dos, claire et assez forte pour que tout le château entende (ben si tout le chateau entend, c'est qu'il doit gueuler sacrément fort Very Happy).
... / ...

Le visage du véritable destinataire du message se crispa légèrement (alors là, n'est rien compris, c'est qui le véritable destinataire du message sinon Eli ?) . La jeune fille passa devant Éric, afficha un sourire gêné et prit place dans le véhicule. Peu de temps après Merhia s’installa à côté d’elle. La porte se referma dans un bruit étouffé. L’habitacle de la luxueuse voiture était spacieux et très confortable. Une vitre teintée séparait l’arrière du chauffeur. Merhia et elle était donc isolés du conducteur (faut pas prendre les lecteurs pour des neuneux, si tu dis qu'une vitre teintée sépare l'arrière du chauffeur, c'est donc qu'ils sont isolés tongue) .

Boudeuse, elle observa le paysage défilé (défiler). Il était encore de bonne heure mais déjà la lumière baissait (déclinait) . Une brume poisseuse recouvrait les champs. Elle observa quelques biches au loin qui disparurent au coin d’un bosquet. Tant de paix et pourtant… Soudain n’y tenant plus elle fixa Merhia.

— Ça c’est notre problème. Le tien (si je me réfère à la premier phrase, cela sous-entend que donc le problème consiste à vivre..., mais moi j'aurais plutôt dit que ce n'est pas son problème mais plutôt son objectif) consiste à vivre le plus normalement possible.

Merhia ferma les yeux, croisa ses longues jambes ; une attitude fermée qui stoppait toute tentative de bavardage. Cette façon de lui clore le bec exaspéra Élisabeth qui observa à nouveau le paysage. Maintenant (pas dans une narration au passé) les premières maisons défilaient. Bientôt le long véhicule s’arrêta devant la maison d’Élisabeth. Éric descendit pour lui ouvrir la porte. L’air frais lui sauta (wow le méchant !) au visage et elle hésita à quitter ce cocon douillet. Elle se retourna une dernière fois.

— Ok ! Alors, adieu Merhia.
Le ton d’Élisabeth était acerbe. (j'aurais placé juste après la phrase d'Eli : répondit-elle, acerbe (ou d'un ton acerbe)
— Au revoir Élisabeth. Prends soin de toi.

Malgrè(malgré) son apparente fermeté, ses yeux bleus pétillaient et trahissaient l'attachement qu'il éprouvait pour elle.

avant de reprende(reprendre) son masque d'austérité. Tandis que, lasse, Elisabeth s'extirpait de l'habitacle, la pression de la main d’Éric sur son épaule la réconforta. La pensée que son ami revenait (y'a un truc qui cloche sur le temps utilisé : la pensée que son ami revienne?) dans sa vie était un baume au cœur (on dit mettre du baume au coeur) . Elle devrait puiser dans ce soutien pour avoir la force d’affronter toutes les tempêtes. Et par commencer (à commencer par la colère de Marie), celle de Marie lorsqu’elle apprendrait que sa fille avait fait l’école buissonnière. Apparemment, elle n’était pas encore rentrée. Il était encore trop tôt, cela lui laisserait (largement) le temps de trouver une excuse. Le lycée ne manquerait pas d’appeler sa mère si ce n’était déjà fait (sont nuls dans ce lycée, viendez dans celui de Cassie, ils appellent pas les parents Laughing).
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Message  nico4g Lun 25 Jan 2010 - 17:49

Le repas se termina et lorsque le serveur apporta l’addition, Samuel insista pour payer la note malgré les protestations de Marie. Il les raccompagna jusqu’à leur voiture et observa le véhicule disparaître dans la nuit glacée. Lorsque les feux arrière furent happés par le noir, il sortit un téléphone de sa veste sur lequel il pianota rapidemment rapidement un message "c'est fait".

Le reste de la semaine se passa tranquillement. Élisabeth dormait d’un sommeil profond sans aucun cauchemar. Éric passait la chercher le matin et le soir ; ils révisaient ensemble. Les épreuves du baccalauréat se rapprochaient inexorablement. Bons élèves, ni l’un ni l’autre n’étaient particulièrement inquiets. un paragraphe inutile. Tu meubles pour rien. C’est surtout pour le rythme qu’il faut s’abstenir de ce genre de choses.

Le week-end suivant, Éric la prévint qu’il devait s’absenter avec ses parents. Elle décida donc d’organiser ces deux jours comme elle le faisait avant qu’Éric n’occupe la majeure partie de ses pensées : librairie et bibliothèque. Elle en profiterait également pour rendre une petite visite à Alain qu’elle n’avait pas revu depuis le repas avec Éric.

Alain fut ravi lorsqu’elle l’appela pour le prévenir de sa prochaine visite. Il se plaignit d’être « abandonné », laissé pour compte depuis l’arrivée du nouveau voisin. Son ton faussement larmoyant la fit rire et ils décidèrent de déjeuner ensemble le samedi midi.

Ils se retrouvèrent dans leur crêperie habituelle, à leur table habituelle avec leur serveuse habituelle, Nadine. Alain aimait les petites habitudes ce trait de caractèrequ’appréciait beaucoup Élisabeth. Cette routine la rassurait.

« Alors, comment vas-tu depuis la dernière fois ? commença t-il sur un ton qui se voulait détaché.

— Bien, merci… Je n’ai pas eu le temps de t’appeler avant, mais les examens me prennent beaucoup de temps.

— Les examens… Mouais, ils ont bon dos ! Je suis content que tu ne trouves plus le temps de m’appeler et que tu passes plus de temps avec des jeunes de ton âge. c’est… bien. »

Élisabeth ne savait plus quoi lui répondre. Il avait l’air si triste soudain. Elle n’avait jamais remarqué à quel point leur relation était importante pour lui. Elle imagina alors ce que ressentait une fille devant son père qui vient de réaliser que son enfant a grandi. Il détourna la conversation et entreprit de parler de sujets plus gais jusqu’à la fin du repas. Elle le quitta en lui promettant de l’appeler la semaine suivante. humph, pas capital non plus. Je vais te supprimer la moitié de ton roman ^^. Les filles aiment badiner, les garçons préfèrent l’action, que veux-tu ma pauvre brisette…

L’automne était maintenant bien établi. Les arbres, secoués par un souffle froid, perdaient leur couleur flamboyante. Le jour déclinait plus rapidement, aussi Élisabeth décida-t-elle de rentrer de bonne heure.

A l’approche Prèsde sa maison, elle remarqua une berline grise garée à proximité. C’était une voiture très élégante qui tranchait dans ce quartier modeste. En passant à côté, la jeune fille jeta un rapide coup d’œil à l’intérieur du véhicule, où elle remarqua des…, les sièges en cuir gris, le tableau de bord en bois précieux. là, tu pourrais mettre un détail mystérieux en plus

En entrant chez elle, Marie discutait dans le salon.

« Je suis rentrée Maman ! » S'écria-t-elle en accrochant son manteau sur la patère dans l’entrée.

Au lieu d’une réponse, elle entendit des chuchotements. C’est avec hésitation qu’elle pénétra dans le salon. Elle resta interdite sur le pas de la porte. Samuel était assis face à sa mère, il tenait une tasse fumante dans le creux de sa main et souriait en regardant la jeune fille.

« Bonjour ma chérie… nous avons de la visite. J’ai invité Samuel à prendre le thé.

Le jeune homme s’était levé et inclina la tête.

— Bonjour Élisabeth.

— Bonjour ! répondit-elle toujours immobile.

— Entre, tu dois avoir froid. Viens prendre un thé ça va te réchauffer.»

Marie alla chercher une tasse pour sa fille et Samuel se rassit. Élisabeth prit place sur le canapé virguleface au jeune homme virguleen évitant son regard. Elle savait qu’il la fixait, un sourire en coin. Le silence qui régnait la mettait mal à l’aise et elle fût soulagée lorsque Marie revint avec la tasse.

« Samuel n’est pas venu les mains vides.

Tout en parlant Marie montra un petit paquet marron sur la table du salon.

— Ta mère m’a confié qu’en plus d’aimer les livres, tu étais subjuguée par les étoiles… aussi... enfin j’espère que cet ouvrage te fera plaisir…

— Il… ne fallait pas… c’est gentil… merci »

Elle prit le paquet et déchira doucement l’emballage. Elle ne savait pas trop quoi penser de ce présent. En premier, elle vit une couverture marbrée marron et blanche. Une belle couverture marbrée apparut entre ses mains Elle murmura le titre.

« Cour élémentaire d’astronomie de Delaunay… c’est... une édition originale…

— C’est une édition qui date de 1864…

— Mais… je ne peux pas accepter ! c’est trop !

— Non… ça me fait vraiment plaisir… Les éditions originales pleuvent dans cette bibiothèquebibliothèque. La dernière trouvaille de grand-mère : une édition de 1557, les prophéties de Michel Nostradamus.

— Impossible ? plutôt !J’aimerai beaucoup la voir...

— Pas de problème. Quand tu veux… Je t’ai déjà invitée d’ailleurs ». pas de point ni de majuscule Lui rappela-t-il avec un clin d’œil. Si tu n’as rien à faire…

— Maintenant ? Il est presque dix neuf heures ! Je ne sais pas si…

— Pourquoi pas ? Intervint Marie. Moi, j’ai prévu d’aller au cinéma avec mes collègues alors… ça t’évitera de te retrouver toute seule».

Elle finit par rire de sa dernière réflexion parce qu’elle savait combien sa fille adorait la solitude.

« Ok ! finit-elle par dire tout en se surprenant.

— Bien. Donc c’est décidé. Je t’enlève ta fille Marie. On devrait y aller maintenant. Ainsi tu auras plus de temps pour fouiner dans la bibliothèque ! » proposa-t-il en se levant.

Lorsqu’il prononça ses mots sur un ton badin ^^plaisantin, Élisabeth ne sut pas trop si elle avait bien fait d’accepter cette invitation. Elle se traita de folle et voulut soudain changer d’avis, faire marche arrière ; comme un animal piégé qui se rend compte à quel point sa gourmandise l’a perdu ! Elle se traita d’idiote et partit chercher sa veste. Elle entendit Marie saluer Samuel sur le perron.

« Amusez-vous bien » dit-elle en embrassant sa fille.

Dehors le soleil s’était couché et l’obscurité assombrissaitenvahissait le ciel. Samuel prit la direction de la voiture qu’elle avait admiré quelques instants auparavant « J’aurais dû m’en douter ! ». Il sortit une clef de sa poche et un "bip" sonna en même temps que les feux clignotèrent. Samuel ouvrit la portière, invitant Élisabeth à prendre place sur le siège confortable. Une odeur de cuir neuf lui effleura les narines, tandis que le jeune homme contournait le véhicule et s’installait derrière le volant. Il ne démarra pas tout de suite, se contentacontentant de l’observer. Elisabeth lui lança un regard interrogateur.

« ça va ? » S’enquit-il.

— Pourquoi veux-tu que je n’aille pas bien ?

— Je ne sais pas. Tes yeux…

— Quoi mes yeux ?

— Tu me fais penser à un petit animal effrayé.

Elle ne sut pas quoi répondre. Elle tenta de prendre un air plus détendu et se força à sourire.

« Et là c’est mieux ?

— Bof. Maintenant on dirait un supplicié. J’aime autant le petit mulot, dit-il en riant.

— Le petit mulot ?

— Oui, tu me fais penser à un mulot.

Pour le coup, Elisabeth était presque détendue maintenant. Elle souriait tandis que la voiture filait sur la route. Ils roulèrent vingt minutes avant d’arriver devant un grand portail en fer forgé. Ils avaient dû longé un mur imposant qui, expliqua…, un long moment un mur qui, expliqua le jeune homme, clôturait la propriété. Le jeune homme appuya sur un bouton intégré au tableau de bord et la grande porte s'ouvrit lentement. La berline s'engagea dans une longue allée de gravillons blancs avant de pourstopper devant une immense demeure. Plusieurs lumières éclairaient le parc. Jamais de sa vie Elisabeth n’avait vu une maison plus belle. C’était la demeure la plus grandiose qu’Elisabeth n’ait jamais vu L’ancienne bâtisse, ou plutôt le château, en vieilles pierres se dressait fièrement entouréencadré par deux tours majestueuses. de deux tours. Elle compta quatre étages.

« Poufff…, réussit-elle à articuler sur le coup de l’émotion. C’est ta maison ?

— Oui, on peut dire comme cela, rit-il devant l’expression éberluée de la jeune fille. C’est plus une demeure familiale qu’une maison. Il y fait froid l’hiver et c’est rempli de fantômes. Rien à voir avec un nid douillet. Crois-moi.

Il avait fait le tour de la voiture et avait pris Elisabeth par le coude. Ils se dirigèrent doucement vers le grand escalier qui menait à l’entrée. Une grosse porte en bois massif avec un loquet en forme de tête de lion, « comme dans les films de Dracula » pensa Élisabeth en frissonnant.

« Tu as froid ? s’inquiéta le jeune homme.

— Non. Juste impressionnée. Je crois…

— Hum… le mulot est de retour. Ne soit pas impressionnée. Ce ne sont que de vieilles pierres.

Il se pencha et souleva un galet sur le côté. Il en sortit une grosse clefil prit alors la grosse clef cachée dessous, ouvrit la porte et s’effaça pour laisser entrer la jeune fille. Elle sursauta lorsqu’elle sentit ses mains sur ses épaules.

« Je veux juste prendre ton manteau. Et si cela peut te rassurer les fantômes ne sortent pas avant minuit !

— Amusant !

L’entrée s'ouvrait sur un immense escalier en pierre. Des tableaux représentant des portraitsDes portraits gigantesques, sans doute des membres de la famille de Samuel, ornaient les murs et un grand tapis au sol déployait étalaient ses couleurs chatoyantes des couleurs chatoyantes.

« Tu vis seul ? ici ?

— Hum… oui pour le moment. Suis-moi je vais te faire visiter. Enfin, si ça te dit ?

— Tu plaisantes ? Autant demander à un aveugle s’il veut voir.

— Et si on montrait des choses déplaisantes à cet aveugle ? Souhaiterait-il toujours voir ? Ah, oui, très bonne cette remarque

Il s’était penché vers elle et avait détaché chaque mot. Il se recula soudain en riant devant la mine effrayée d’Élisabeth.

— C’est pas dur de te faire peur. Hein le mulot !

— Arrête de m’appeler le mulot !

— Allez suis-moi. On commence par la plus grande pièce : le salon…

Ils traversèrent une galerie avant d’entrer dans une immense pièce. Elle était impressionnante tant par sa taille que par les meubles qui s’y trouvaient. Dominée par une très grande cheminée en pierre, des tapis parsemaientrecouvraient le sol, et des fauteuils étaient disposés pour former plusieurs petits salons. Des sculptures, des tableaux, des tapisseries ; Élisabeth ne savait plus où regarder.

« Le château a été édifié à la fin du 15ème siècle par une famille italienne, chassée ensuite par les révolutionnaires. Elle fût revendue à plusieurs propriétaires. Amoureuse de la région et de l’art, ma grand-mère a décidé de l’acheter et de la restaurer, il y a plusieurs années. Elle tente de redonner l’inspiration médiévale à ce château. Elle a retrouvé les portraits de certains membres de cette famille italienne. Tu les verras accrochés dans l’escalier."

Toujours un peu longuet pour moi, mais je n’ai pas décroché. Bon signe ! car je suis difficile…
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Message  petitebrise Mar 26 Jan 2010 - 12:04

nico4g a écrit:
Le reste de la semaine se passa tranquillement. Élisabeth dormait d’un sommeil profond sans aucun cauchemar. Éric passait la chercher le matin et le soir ; ils révisaient ensemble. Les épreuves du baccalauréat se rapprochaient inexorablement. Bons élèves, ni l’un ni l’autre n’étaient particulièrement inquiets. un paragraphe inutile. Tu meubles pour rien. C’est surtout pour le rythme qu’il faut s’abstenir de ce genre de choses.

Paragraphe supprimé.

nico4g a écrit: Le week-end suivant, ... de l’appeler la semaine suivante.
humph, pas capital non plus. Je vais te supprimer la moitié de ton roman ^^. Les filles aiment badiner, les garçons préfèrent l’action, que veux-tu ma pauvre brisette…

Paragraphe archi élagué.

nico4g a écrit: A l’approche Prèsde sa maison, elle remarqua une berline grise garée à proximité.

Modifié : "Devant sa maison, une berline grise était stationnée."

nico4g a écrit: Lorsqu’il prononça ses mots sur un ton badin ^^plaisantin,

Supprimé.

nico4g a écrit: Dehors le soleil s’était couché et l’obscurité assombrissaitenvahissait le ciel.

Je prends

nico4g a écrit: Il se pencha et souleva un galet sur le côté. Il en sortit une grosse clefil prit alors la grosse clef cachée dessous,

Supprimé.

nico4g a écrit: et un grand tapis au sol déployait étalaient ses couleurs chatoyantes des couleurs chatoyantes.

Je prends

nico4g a écrit: Toujours un peu longuet pour moi, mais je n’ai pas décroché. Bon signe ! car je suis difficile…


Merci Nico
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Message  kat Mar 26 Jan 2010 - 19:38

tu vas poster ta suite bientôt ?
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Message  petitebrise Mer 27 Jan 2010 - 11:22

IL faut que je le corrige et en ce moment je n'ai pas beaucoup de temps... et de courage (ou d'envie, selon) et lorsque j'ai le temps de venir sur le forum, je lis les extraits postés... d'ailleurs, ensuite je vais lire ton dernier passage et celui de Nico.
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Message  kat Mer 27 Jan 2010 - 17:53

je n'ai pas beaucoup de temps... et de courage (ou d'envie)


je te sens découragée, faut pas, continue à écrire ton histoire, il faut que tu ailles jusqu'au bout (surtout quand tu donnes l'eau à la bouche des lecteurs) flower

Merci d'avoir lu mon passage, je te réponds sur le post de go hell
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Message  Pacô Mer 27 Jan 2010 - 20:23

Chapitre 3 : 4ème partie - Tout s'accélère

Elle se rappela soudain la raison pour laquelle Samuel était venu la chercher et constata que la voiture noire avait disparue pendant qu’elle discutait avec Laurent.
=> ça, ça me dépasse. Encore heureux qu'elle se souvient, vu comment elle était paniquée ! oO

Elle attendit la réaction de son auditoire avant de poursuivre. Samuel l’observait, aucune émotion n’était visible sur son visage.
=> tu répètes un peu le dialogue là... =/.

et la contempla.
=> non non, c'est beaucoup trop fort "contempler". C'est pas un paysage, ce n'est pas la plus belle chose qu'il ait vu tout à coup etc. C'est vraiment pas approprié Wink.

— Ah, au fait, tout à l’heure, je t’appelais pour t’inviter dimanche. Et maintenant que je suis ton sauveur tu ne peux plus rien me refuser ».

Lorsqu’elle entra dans la maison silencieuse elle resta un long moment appuyée contre la porte d’entrée.
=> whouaou. Un peu abrupte la transition non ?
=> entra/porte d'entrée

C’est comme ça que Marie la trouva lorsqu’elle rentra de l’hôpital.
=> entra (phrase précédente)/rentra

Je n’ai pas l’habitude de te voir malade. Dit-elle sur un ton inquiet en secouant le thermomètre. Enfant tu n’étais jamais malade.
=> on se répète : "Enfant, tu ne l'étais jamais." Tout simplement Wink.

Et la tornade Marie disparue dans un nuage de parfum sucré.
=> disparut

J'espère pas te corriger deux fois le même extrait, mais j'ai l'impression d'avoir déjà lu le début moi.
Mais pas la fin.
Alors jme dis que j'ai du commencer à corriger une fois, et pas le terminer, ce qui est un peu naze, j'en conviens Wink.

Pour tout te dire, l'histoire prend des tournures très mystérieuses : ce mal de tête n'est pas anodin et il dissimule surement bien un nouvel élément de l'histoire. Des dons ? Nous verrons bien !

Le retour d'Eric va surement corser les choses, surtout depuis qu'elle se fait draguer par Samuel.
Ce sera drôle et croustillant.

Veille à donc bien soigner ta narration parfois un peu maladroite, et à choisir les bons termes pour ce que tu veux dire Smile.
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Message  petitebrise Jeu 28 Jan 2010 - 11:48

Pacô a écrit: => ça, ça me dépasse. Encore heureux qu'elle se souvient, vu comment elle était paniquée ! oO

Disons qu'elle se laisse distraire quelques minutes... Very Happy

Pacô a écrit: et la contempla. => non non, c'est beaucoup trop fort "contempler". C'est pas un paysage, ce n'est pas la plus belle chose qu'il ait vu tout à coup etc. C'est vraiment pas approprié Wink.

Yes. j'en suis pas encore à Déesse Elie. Donc je replace par scruter, ou observer... merci

Pacô a écrit: — Ah, au fait, tout à l’heure, je t’appelais pour t’inviter dimanche. Et maintenant que je suis ton sauveur tu ne peux plus rien me refuser ».
Un peu abrupte la transition non ?
Lorsqu’elle entra dans la maison silencieuse elle resta un long moment appuyée contre la porte d’entrée. => whouaou. => entra/porte d'entrée

Pour la transition, je verrais à modifier le dialogue. Rolling Eyes
Pour entrer : "elle resta un long moment appuyée au chambranle de le porte ? "

Pacô a écrit: C’est comme ça que Marie la trouva lorsqu’elle rentra de l’hôpital.
=> entra (phrase précédente)/rentra

effectivement Embarassed

Pacô a écrit: => on se répète : "Enfant, tu ne l'étais jamais." Tout simplement Wink.

merci.

Pacô a écrit: Et la tornade Marie disparue dans un nuage de parfum sucré.=> disparut

Ohlala, il me semblait l'avoir déja corrigé cette affreuse faute Embarassed

Pacô a écrit: Alors jme dis que j'ai du commencer à corriger une fois, et pas le terminer, ce qui est un peu naze, j'en conviens Wink.

Alors jmdis que t'as p't'ête pas eu le temps de finir ce qui n'a rien de naze... Wink

Pacô a écrit: Pour tout te dire, l'histoire prend des tournures très mystérieuses : ce mal de tête n'est pas anodin et il dissimule surement bien un nouvel élément de l'histoire. Des dons ? Nous verrons bien !

Le côté fantastique met trop de temps à venir... il faut que j'élague le début.

Pacô a écrit: Le retour d'Eric va surement corser les choses, surtout depuis qu'elle se fait draguer par Samuel.
Ce sera drôle et croustillant.

Oui drôle et croustillant, c'est exactement l'effet que je voulais. Mais je crains m'être un peu perdue. A force de me relire je trouve ça...comment dirais-je... trop pateux ! on s'englue, c'est immonde. No

Pacô a écrit: Veille à donc bien soigner ta narration parfois un peu maladroite, et à choisir les bons termes pour ce que tu veux dire Smile.

Je veille, je veille mais il semble que ça ne suffise pas. Je vais donc reprendre depuis le début et veiller davantage. tongue
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Message  kat Ven 29 Jan 2010 - 19:45

coucou, je suis contente de voir que tu as repris ton histoire et j'ai apprécié cet extrait. Encore une fois un changement dans l'écriture qui rend la lecture encore plus agréable.

comment maîtriser cette force qui sortait d’elle (j'utiliserais un autre mot que sortait, peut-être émanait d'elle ou qu'elle portait en elle) . Une évidence lui apparut : les sentiments forts étaient présents à chaque fois qu’un incident s’était produit. (je trouve qu'il y a quelque chose qui cloche sur le temps, au départ les sentiments forts étaient présents ok mais dans ce cas j'aurais dit à chaque fois qu'un incident se produisait, ou alors les sentiments forts avaient été présents à chaque fois qu'un incident s'était produit)

Elle aurait voulu rester au lit mais c’est (problème de temps, tu mets un mot au présent d'un seul coup dans une phrase qui ne l'est pas. Elle aurait voulu rester au lit mais l'engin de torture du matin la tira de son sommeil) l’engin de torture du matin qui la tira de son sommeil au bout de la dixième sonnerie.

— Élisabeth, ne me refait pas un coup de calgon.
en général, un coup de calgon, c'est plutôt un coup de déprime. Ce que sa mère lui reproche est tout autre

La météo annonçait une fin de semaine grise et pluvieuse. Rien de réjouissant. La berline de Samuel attendait devant le portail, moteur en route ; elle se glissa dans le véhicule chauffé avec bonheur. (le mot bonheur est mal placé, on dirait que tu dis que c'est le vehicule qui est chauffé avec bonheur, alors que si j'ai bien capté, c'est Elisabeth qui découvre avec bonheur que le véhicule est chauffé)

Gênée qu’il remarque les yeux rouges et les traits tirés, par reflexe, (là aussi le mot par reflexe est mal placé. Soit tu dis : machinalement, elle passa une main bla bla bla. Soit Tu mets un point et tu dis : elle passa machinalement sa main bla bla bla) elle passa une main sur son visage comme pour effacer les traces de son insomnie.

car elle ne tenait pas Matt assez en estime pour se préoccuper de son avis
Elle ne tenait pas suffisamment Matt en estime pour se préocuper de son avis.

Samuel avait presque murmuré cette déclaration et Elisabeth fut un moment déstabilisée. Fallait-il qu’elle s’inquiète de cette ferveur à vouloir la protéger ?
Dans ce contexte, j'aurais plutôt utiliser le mot un instant, un moment me paraissant d'une durée plus longue. ou alors on pourrait dire Elisabeth fut déstabilisée l'espace d'un instant. Ou alors L'espace d'un instant, elle se sentit déstabilisée (j'vais le te faire dans tous les sens Very Happy )


— Ne sois pas sotte, et si cela peux (peut) te rassurer je ne vais pas lui casser la gueule (alors là c'est moi qui vait t'embéter avec la classe de Samuel, je ne vois pas du tout un personnage comme lui, avec ses manières, compte tenu de son âge et de sa condition et tout ça, en train de prononcer des paroles si basiques).

— Tu as fais (fait) un choix et je le respecte
— Je ne le vois pas pour le moment. Il est peut être (peut-être)déjà à l’intérieur.
— Il ne va peut être (peut-être) pas venir aujourd’hui. Peut-être que je lui ai cassé quelque chose… color]
— Arrête de te tracasser (Cesse de te tracasser, mais ça c'est une question de choix de mot Laughing )
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Message  petitebrise Ven 29 Jan 2010 - 19:59

kat a écrit: coucou, je suis contente de voir que tu as repris ton histoire et j'ai apprécié cet extrait. Encore une fois un changement dans l'écriture qui rend la lecture encore plus agréable.

Merci Kat.


kat a écrit: je trouve qu'il y a quelque chose qui cloche sur le temps, au départ les sentiments forts étaient présents ok mais dans ce cas j'aurais dit à chaque fois qu'un incident se produisait, ou alors les sentiments forts avaient été présents à chaque fois qu'un incident s'était produit)

Effectivement.

kat a écrit: — Élisabeth, ne me refait pas un coup de calgon. en général, un coup de calgon, c'est plutôt un coup de déprime. Ce que sa mère lui reproche est tout autre

Bien vu. un coup de trafalgar ?


kat a écrit: le mot bonheur est mal placé, on dirait que tu dis que c'est le vehicule qui est chauffé avec bonheur, alors que si j'ai bien capté, c'est Elisabeth qui découvre avec bonheur que le véhicule est chauffé)

Egalement commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_tongue

kat a écrit: alors là c'est moi qui vait t'embéter avec la classe de Samuel, je ne vois pas du tout un personnage comme lui, avec ses manières, compte tenu de son âge et de sa condition et tout ça, en train de prononcer des paroles si basiques).

Je me suis longtemps tâtée mais j'ai rien trouvé d'autre. Tu as une idée ?

Et merci pour toutes les autres corrections.
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Message  kat Ven 29 Jan 2010 - 20:15

kat a écrit:
— Élisabeth, ne me refait pas un coup de calgon. en général, un coup de calgon, c'est plutôt un coup de déprime. Ce que sa mère lui reproche est tout autre
Bien vu. un coup de trafalgar ?
Difficile de dire, coup de trafalgar, je ne trouve pas ça tip top. Tu pourrais peut-être faire dire à la maman "Je t'ai à l'oeil"

alors là c'est moi qui vait t'embéter avec la classe de Samuel, je ne vois pas du tout un personnage comme lui, avec ses manières, compte tenu de son âge et de sa condition et tout ça, en train de prononcer des paroles si basiques).
Je me suis longtemps tâtée mais j'ai rien trouvé d'autre. Tu as une idée ?
voyons voir :
Ne sois pas sotte, et si cela peux (peut) te rassurer je ne toucherais pas un seul de ses cheveux
Ne sois pas sotte, et si cela peux (peut) te rassurer je ne le toucherais pas
Ne sois pas sotte, et si cela peux (peut) te rassurer je ne compte pas me salir les mains

j'ai pas d'autres idées pour le moment.
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Message  petitebrise Ven 29 Jan 2010 - 21:00

Merci Kat ! commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_cheers j'prends : je te tiens à l'oeil et je ne toucherais pas à un seul de ses cheveux.
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Message  Pacô Sam 30 Jan 2010 - 11:24

Chapitre 3 - parties 5 et 6

Finalement, elle s’éveilla plus tard dans la matinée, la migraine semblait s’atténuer
=> deux verbes pronominaux un "sembler". Très langue de serpent tout ça, surtout que les verbes pronominaux ne sont pas toujours des plus agréables. "Finalement, elle rouvrit les yeux plus tard dans la journée ; la migraine des heures précédentes s'étaient atténuée et elle pouvait à nouveau avoir l'esprit libéré."
Un truc du genre Smile.

— Ah bon, j’ai cru que c’était toi qui t’étais inquiétée. Vu que tu m’as laissé trois messages et tenté de m’appeler huit fois ! Bah ! J’ai dû me faire des idées !
=> il est à claquer celui-là ? oO Enfin je veux dire, à part un gros con, qui irait dire ça ? ^^

Tu ne m'invites pas entrer ?
=> Tu ne m'invites pas à entrer

— Musique classique, rap, rock, funk… très éclectiques tes goûts musicaux.
=> euh... c'est pas la première fois qu'il rencontre Eli, et en plus, c'est sa petite amie --". Surtout qu'il est déjà allé chez elle plusieurs fois et a surement du trouver ses CD plus d'une fois. Donc... un peu con tout ça.

Il resta silencieux, perdu dans ses pensées.
=> Euh... il s'y perd vite \o/.

La sonnerie de la porte d’entrée troubla le silence.
=> encore ?
=> elle fait pas que "troubler", elle le casse complètement même Smile.

Le facteur, dans sa tenue bleue marine se tenait sur le pas de la porte, un paquet dans la main.
=> manque une virgule entre "bleue marine" et "se tenait sur le pas de la porte".
=> "dans sa tenue bleue marine est très maladroit

« Mais qu’est ce qu’ils ont tous avec mon odeur ce matin ! » s’agaça-t-elle mentalement
=> s'agacer, ce n'est déjà pas très français, et ce n'est pas un verbe de locution. Elle peut dire un truc d'unair agacé, c'est tout Wink.

— Tu aimes les BD ? Lui demanda-t-elle.
=> euh... bon ils sortaient ensemble ou pas ? T_T

vice et versa
=> lol. "et vice versa."

Appréciation linguistique :

Encore pas mal de maladresses dans ta manière d'écrire.
Je trouve le voc toujours un peu léger et décalé par rapport à ce que tu devrais dire et par rapport à ce que tu veux dire. Il faut toujours essayer de trouver les verbes vraiment spécifiques et moins bateau.
Cherche aussi à donner un rythme plus logique à ta narration et pense à faire des transitions narratives entre chaque scène.
Les sonnettes à l'entrée coupent à chaque fois les réflexions, c'est un peu un cliché que tu utilises à outrance.

En bref, il faut vraiment chercher à bien décrire, à bien creuser ton histoire et ne pas t'arrêter sur le "déjà vu".
Donne lui de l'originalité par ta manière de penser.

Mais sinon, ça reste assez fluide et la lecture coule bien toute seule. Il faut l'enrichir un peu, pour éviter qu'elle reste un peu trop pauvre Wink.

Appréciation de l'histoire :

Mouarf', je crains un peu la tournure. Et surtout, la crédibilité.
Je te l'ai dit à deux reprises : comment deux amoureux (qui sortaient ensemble jusqu'à nouvel ordre) peuvent se parler comme tu les fais parler ? C'est-à-dire, comme deux inconnus qui se connaissent à peine ?
Ah tiens, tu écoutes beaucoup de musiques.
Ah tiens, tu as des problèmes dans ta famille.
Ah tiens tu aimes les BDs ?
Je sais pas, personnellement, ce sont les trucs que je dis dans les premières entrevues et confidences (enfin surtout pour la musique et la BD).
Mais après, avec la fille avec qui tu partages ton cœur... tu lui dis ce genre de chose, ou du moins, tu lui dis un truc qui va lui en apprendre un peu :
"Je pars régler des soucis dans ma famille."
Enfin... je sais pas, fallait bien qu'il lui donne une raison avant son départ, quand il le lui a appris. Et un truc qui tient la route.

Pareil pour les coups de téléphone :
"Oh bah oui, tu m'as appelé 8 fois. Qu'est-ce que j'ai ri dis donc chérie ! t'étais inquiète ?"
C'est un peu l'effet que ça fait. A ce genre de réplique, on s'attendrait d'Eli qu'elle le gifle et qu'elle le foute dehors. Sauf si ton Eli est une parfaite victime couillonne, ce que tu n'as pas l'air d'avoir souligné chez elle pour l'instant.

Donc veille à donner un peu de crédibilité et de sens à ton récit, parce que là, on a envie de se dire : mais c'est complètement loufoque comme relation amoureuse ? Et surtout, ça fait très macho en même temps u_u".

Sinon, ce parfum qui sent bon, est-ce le même parfum sucré de Marie ?
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Message  petitebrise Sam 30 Jan 2010 - 14:38

Pacô a écrit: Très langue de serpent tout ça, surtout que les verbes pronominaux ne sont pas toujours des plus agréables. "Finalement, elle rouvrit les yeux plus tard dans la journée ; la migraine des heures précédentes s'étaient atténuée et elle pouvait à nouveau avoir l'esprit libéré."Un truc du genre

oui, et tu me l'as déja dit commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_redface J'ai une fichue manie avec mes "semblait ceci, semblait cela" à tout bout de champ.


Pacô a écrit: euh... c'est pas la première fois qu'il rencontre Eli, et en plus, c'est sa petite amie --". Surtout qu'il est déjà allé chez elle plusieurs fois et a surement du trouver ses CD plus d'une fois. Donc... un peu con tout ça.

Stop, c'est pas sa petite amie... ils marchent sur des oeufs pour le moment (surtout Eric commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin ). Ils se connaissent seulement depuis 2 mois environ. Mais certes, il est déja venu dans sa chambre donc le coup des cd et à revoir... zut. commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_neutral


Pacô a écrit: Il resta silencieux, perdu dans ses pensées. => Euh... il s'y perd vite \\o/.

Bon là, je crois que j'ai raté mon effet "gars mystérieux" lol ! je pense que je vais supprimer cette profonde reflexion intérieure.


Pacô a écrit: La sonnerie de la porte d’entrée troubla le silence. => encore ?

ben quoi ? elle a droit qu'à une visite par jour ? t'es drôle parfois commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin


Pacô a écrit: Le facteur, dans sa tenue bleue marine se tenait sur le pas de la porte, un paquet dans la main. => manque une virgule entre "bleue marine" et "se tenait sur le pas de la porte". => "dans sa tenue bleue marine est très maladroit

dans son uniforme bleu ? bof, j'aime pas l'uniforme. Qu'est-ce qui va pas avec ma tenue ?


Pacô a écrit:« Mais qu’est ce qu’ils ont tous avec mon odeur ce matin ! » s’agaça-t-elle mentalement
=> s'agacer, ce n'est déjà pas très français, et ce n'est pas un verbe de locution. Elle peut dire un truc d'unair agacé, c'est tout

Ah bon ? suis surprise. bon alors : "dit-elle en s'agaçant ?"

Pacô a écrit: Tu aimes les BD ? Lui demanda-t-elle. => euh... bon ils sortaient ensemble ou pas ?

oui mais non... disons qu'ils sont TRES amis. bon je supprime le coup des bd ! pas crédible. commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_rolleyes

Pacô a écrit: vice et versa => lol. "et vice versa."

pfft... j'ai un léger,mais alors très leger problème de dyslexie. Je confonds certains mots, les accents n'en parlons pas (obligée de dire le mot à voix haute) et j'inverse des lettres. ex : etc.. en .. ect. mais je survis . commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin


Pacô a écrit:Mouarf', je crains un peu la tournure. Et surtout, la crédibilité.Je te l'ai dit à deux reprises : comment deux amoureux (qui sortaient ensemble jusqu'à nouvel ordre) peuvent se parler comme tu les fais parler ? C'est-à-dire, comme deux inconnus qui se connaissent à peine ?

Ben, ils se connaissent seulement depuis deux mois. Elle, c'est plutôt le genre discréte en plus. Leur relation est plus celle de deux amis. Ils sortent pas vraiment ensemble. (enfin officiellement commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_wink un baiser timide par ci par là, certes mais pas de déclarations franches.)

Pacô a écrit: Enfin... je sais pas, fallait bien qu'il lui donne une raison avant son départ, quand il le lui a appris. Et un truc qui tient la route.

oui. Il lui a dit qu'il partait dans sa famille.


Pacô a écrit:Pareil pour les coups de téléphone :
"Oh bah oui, tu m'as appelé 8 fois. Qu'est-ce que j'ai ri dis donc chérie ! t'étais inquiète ?" C'est un peu l'effet que ça fait. A ce genre de réplique, on s'attendrait d'Eli qu'elle le gifle et qu'elle le foute dehors. Sauf si ton Eli est une parfaite victime couillonne, ce que tu n'as pas l'air d'avoir souligné chez elle pour l'instant. Donc veille à donner un peu de crédibilité et de sens à ton récit, parce que là, on a envie de se dire : mais c'est complètement loufoque comme relation amoureuse ? Et surtout, ça fait très macho en même temps u_u".

Eli est une fille discrète qui ne veut pas ou qui ne sait pas si elle veut d'une relation très intime avec un garçon. Pour le moment, ça ne l'intéresse pas. Seuls les bouquins, les études lui importaient. Elle avance à taton avec ce garçon. Elle ne sait pas ce qui lui arrive. Est-elle amoureuse ? elle en sait fichtrement rien. Qu'est-ce qu'elle veut ? bah alors là, c'est le trouble total. Du coup, elle ne va pas chercher le baton pour se faire battre. Elle garde une certaine distance. Du coup, c'est pas le genre à le harceler de questions qui pourraient supposer qu'elle s'intéresse à lui davantage qu'à un ami. Malgrè tout, je pense que j'y suis allée un peu fort avec le nombre d'appels et de messages. commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin

Pacô a écrit:Sinon, ce parfum qui sent bon, est-ce le même parfum sucré de Marie ?

non, celui ci est beaucoup plus space... commentaires sur : l'Elue - Page 12 Herz
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Message  Pacô Sam 30 Jan 2010 - 20:12

petitebrise a écrit:
ben quoi ? elle a droit qu'à une visite par jour ? t'es drôle parfois commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin
Non, ce n'est pas qu'elle a pas le droit à plusieurs visites. Je soulignais juste le fait que ta manière d'annoncer les choses est identique pour la venue d'Eric, puis pour la venue du facteur.
En gros, on a l'impression de lire deux fois la même chose Wink. Le problème n'est pas dans l'arrivée du facteur, mais dans comment tu présentes son arrivée (identique à celle d'Eric).

petitebrise a écrit:
dans son uniforme bleu ? bof, j'aime pas l'uniforme. Qu'est-ce qui va pas avec ma tenue ?
Même chose.
Ce n'est pas le terme tenue qui gêne (même si maintenant que tu le dis, "uniforme" conviendrait nettement mieux puisque ce n'est ni plus ni moins un uniforme Wink) mais la structure de la phrase "dans sa tenue" avec ce "dans" qui ne va pas.
Je peux te reformuler de la manière suivante :
Eli reconnut la tenue bleue marine de son facteur, qui se tenait en cet instant sur le pas de la porte,
un paquet à la main.

petitebrise a écrit:
Ah bon ? suis surprise. bon alors : "dit-elle en s'agaçant ?"
Le verbe "agacer" existe hein, mais sous sa forme pronominale, un peu moins (voire plutôt maladroit).
Tu n'es pas obligée d'user du verbe "dire" pas très original.

petitebrise a écrit:
pfft... j'ai un léger,mais alors très leger problème de dyslexie. Je confonds certains mots, les accents n'en parlons pas (obligée de dire le mot à voix haute) et j'inverse des lettres. ex : etc.. en .. ect. mais je survis . commentaires sur : l'Elue - Page 12 Icon_biggrin
Rassure-toi, j'ai pendant très longtemps écrit "etc" en "ect" et j'hésite encore parfois aujourd'hui.
Pour pas se louper, faut repenser à la formule latine toute entière "et caetera" en se disant que y'a "et" et donc "etc".

Okay pour la relation amoureuse. Je crois que j'ai compris qu'il n'était donc pas si en couple que ça.
Pourtant moi, dans ma tête, je m'étais dit que si puisqu'ils s'étaient échangés des baisers, qu'ils avaient pris une certaine routine etc... c'est bien qu'ils sortaient ensemble et que Eric se confiait un peu à elle.

Mais j'ai capich' Smile.

Et avec ce parfum, je sens du surnaturel dans l'air Wink.
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Message  kat Sam 30 Jan 2010 - 21:58

8ème chapitre - 2ème partie "celle qui découvre qui elle est réellement" y'a un soucis avec le code pour le texte en gras dans ton post des écrits tongue

Les minutes suivantes se passèrent (je dirais plutôt qu'elle s'écoulèrent ou éventuellement s'égrènèrent) en silence. A mesure que le temps passait, Élisabeth se sentait de plus en plus nerveuse. Le vide qu’elle tentait de faire dans sa tête pour contenir son stress naissant était (fut vite comblé) vite comblé par le doute et l’angoisse. Elle n’aurait peut-être pas dû revenir dans ce lycée. Après tout n’était-elle pas dangereuse ? Arriverait-elle à se maîtriser ? N’était-ce pas égoïste de sa part que d’exposer toutes ces personnes ? Évidemment, maintenant elle savait qu’il fallait éviter de s’énerver mais eux, l’ignoraient. Elle allait évoquer ses doutes avec Samuel quand Matt apparu au bout de l’allée piétonnière (tu es sûre que ça existe une allée piétonnière ? déjà une allée en générale, c'est plutôt réservée aux piétons et ensuite je connais la voie pietonne mais pietonnière Suspect ). Il boitait (boitillait ?) légèrement, son sac à dos jeté négligeamment (négligemment) par-dessus son épaule. Élisabeth désigna le jeune homme du menton.

Avant même qu’elle put dire autre chose, Samuel était sorti du véhicule et avançait vers Matt. A son approche, ce dernier eut un mouvement de recul. Instinctivement, il se replia sur lui même (lui-même) et Élisabeth eut franchement pitié de lui (pitié de lui ou de la peine pour lui ?) .

Comme promis (comme prévu ?), Éric réaménagea la semaine suivante. Et la vie reprit donc un cours normal. Si Marie resta dubitative devant l’histoire du père, qui officiellement n’avait pas été engagé par le nouvel employeur, elle n’en fut pas moins satisfaite de voir le jeune homme réapparaître dans la vie de sa fille. Il en fut de même pour tous ses amis du lycée, y compris pour Djamila, avec qui Élisabeth avait fait la paix entre temps. (tu es plutôt rapide à relater les choses, on aimerait quand même savoir comment Djamila revient vers elle, comment les retrouvailles se passent entre eux, etc.)

Le premier lundi avait été cocasse : La berline grise et le scooter attendaient devant l’entrée d’Elisabeth, les deux garçons s’ignorant royalement. Elle (j'aurais mis Elisabeth) décida de faire pareil, passa son chemin et se rendit au lycée à pied. Par la suite, un accord tacite fut pris (fut passé car on ne dit pas : prendre un accord tacite ou non, on dit : passer un accord) : Éric passait prendre la jeune fille tous les matins tandis que Samuel la raccompagnait une fois sur deux le soir. Ils en profitaient pour s’arrêter en ville, soit pour prendre un verre, soit pour se rendre à la librairie. (Ils en profitaient pour s'arrêter en ville prendre un verre ou aller flâner à la librairie) Les soirs (je supprimerais), quand elle se retrouvait seule dans sa chambre.


Dernière édition par kat le Sam 30 Jan 2010 - 22:12, édité 4 fois
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Message  kat Sam 30 Jan 2010 - 22:08

8ème chapitre - 2ème partie

Devant elle, Eric, hilare, avançait en tournoyant, paumes en l’air. Elisabeth avança prudemment sur le sol gelé, et frotta son pied pour s’assurer que la couche de neige n’était pas glissante. Derrière elle, d’autres élèves la frôlèrent et se ruèrent dehors en riant. Elle reconnut quelques amis de Laurent et marmonna dans sa barbe des jurons Evil or Very Mad Evil or Very Mad (non mais dis donc, pas une expression aussi vilaine, surtout pour une jolie fille comme Eli) à leur encontre.

— Ça va pas bien ! S’esclaffa Elisabeth. (le verbe esclaffer ne va pas dans le contexte. Il signifit éclater bruyamment de rire et j'ai plutôt l'impression que ta minette est en colère.)

L’expression sincèrement ahuri (ne faut il pas un e à ce mot vu qu'il s'accorde avec l'expression ?) de son ami introduit (sema) le doute dans son esprit.

Elle protesta lorsque son pied ripa sur une plaque de glace (de verglas) , évitant la chute de justesse grâce au soutien du garçon.

elle mit toutes ses forces pour le contraindre à stopper (je n'utiliserais pas le mot stopper pour parler d'une personne mais plutôt le mot arrêter)(proposition : elle usa de toutes ses forces pour le contraindre à s'arrêter (ou à ralentir, ou marquer un arrêt)
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Message  kat Dim 31 Jan 2010 - 10:28

ben dis donc, tu es à nouveau très prolifique Very Happy

Il jeta un coup d’œil circulaire par-dessus la tête de la jeune file (fille) avant de ...
Eric l’observait d’une étrange façon, comme s’il tentait de perçer (percer) ses pensées
Elle ne comprenait pourquoi Eric la fixait de façon si intense comme s’il voulait lui (faire ?) passer un message.
— Ah, ok et moi je m’appelle Jeanne ? (dans ce cas qu'elle dise Jeanne d'Arc parce que sur le coup on ne comprend pas de qui elle parle)
frotta sa main gantée sur son front gelé (sa main gantée, son front gelé, ça fait beaucoup de rajout d'infos pas forcément utile, perso je supprimerais gelé)
elle posa ses mains de chaque côté de son visage (elle posa les mains sur ses joues ?)
que le vieil homme savait plus qu’il ne voulait le dire (de ou sur) ce qui lui arrivait
— Vous me prenez donc tous pour une conne (plutôt pour une idiote ou une demeurée)

flower bonne journée à toi
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