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Re: commentaires sur : l'Elue
Pacô a écrit:Et pour Antigone, non, aucune excuse . Surtout après ta justification : c'est quoi lire une pièce de théâtre comme un roman ? Tu sous-entendrais que lire du théâtre, il faut se forcer ?
Peuh ! Rabat-joie ! XD
Aucune pitié... avant d'aller chercher ma pelle, je voulais effectivement confirmer qu'Antigone est l'une des seules pièces que j'ai lu avec ...avidité.
Allez petitebrise... au trou !
Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 1 - extrait 7 :
Lundi, en arrivant au lycée une certaine euphorie régnait à l’entrée.En ce lundi matin, une euphorie agitait l'entrée du lycée Ce petit établissement de province, niché à l'orée de la forêt, ne comptait pas plus de quatre cents élèves. Les rumeurs et nouvelles s'y répandaient à vitesse grand V et Djamila en constituait le point de convergence ou le pôle attractif. Elle sauta littéralement sur Elisabeth à son arrivée.fusaient à vitesse grand V. Djamila lui sauta littéralement dessus.
— Tu connais la dernière ? Y a un nouveau ! Et pas mal en plus ! Que dis-je, divin ! Attends de le voir. Il a un sourire...
La suite se perdit dans des marmonnementsminauderies de plus en plus indistincts pendant qu’Élisabeth soupirait. Désespérément, elle constatait que son amie n’avait d’intérêt que pour les garçons. Elle avait bien tenté au départ de l’attirer dans des librairies, maisen vain. Djamila poursuivait sa description, intarissable, insatiable, les joues roses, les mains serrées l’une contre l’autre. « Lamentable », se désola Élisabeth. N’en pouvant plus, elle l’interrompit brusquement .
— Bon écoute, il faut que j’aille en cours. Je vais être en retard. À plus.
— Ok, on se voit au self alors...
Élisabeth s’évada en criant un « oui ». Elle était loin d’être en retard ; d’ailleurs elle n’était jamais en retard. Elle arriva devant la salle de classe vide et silencieuse. Avec soulagement, elle s’installa à sa place habituelle, dans le fond. La plupart du temps elle était seule à sa table, non pas qu’on la mettait à l’écart, c’était plutôt elle qui juste qu'elle préfèrait la solitudemettait les autres à l’écart. Elle s’assit, ouvrit la page de la pièce de théâtre de Jean Anouilh qu’elle avait choisi deux jours auparavant et s’abîmas'abandonna dans l’histoire d’Antigone. C’est à peine si elle entendit la sonnerie. Par réflexe, elle leva les yeux et s’aperçut que quelqu'un l’observait appuyé contre le chambranle de la porte. À sa grande surprise, elle reconnut son nouveau voisinle garçon entrevu par la fenêtre de sa cuisine, samedi dernier. Pendant un moment qui sembla durer une éternité, elle resta pétrifiée, les yeux fixés dans les siens. Le chahut se rapprochait et bientôt il envahit la salle. Les élèves pénétrèrent dans la pièce dans un tourbillon de rires et de cris. La majorité des étudiants de cette classe était des garçons et très peu d'entre eux hésitaient encore sur la filière qu'ils suivraient après le bac: informatique, physique, chimie. Les voies étaient multiples. Elle-même lorgnait depuis toute petite vers l'astrophysique. Le professeur de maths, Monsieur Carvisse, entra à son tour puis attendit que ses élèves se soient tous installés avant de demander au nouveau de se présenter. Le jeune homme obtempéra avec une facilité déconcertante qu'Élisabeth lui envia. Il se nommait Éric et sa famillle, originaire de la région parisienne, venait tout juste d'emménager dans le quartier. Lorsque M. Carvisse lui proposa de choisir une place, Élisabeth ne fut pas surprise qu’il s’installe à côté d’elle. Elle fixait droit devant elle pour dissimuler son émoi et sentit le regard de son voisin rivé sur elle. Elle décida de l’ignorer et ouvrit son livre.
— Salut, entendit-elle doucement.
Écarlate, elle se tourna vers lui et hocha la tête. Elle se trouvait ridicule. Un grand sourire inonda la face du jeune homme.
— Je m’appelle Éric. J’espère que ça ne te dérange pas que je m'assieds à côté de toi ?
— Non, non, bégaya-t-elle. Pas de problème.
"un peu tard pour poser la question surtout" pensa-t-elle en ouvrant sa trousse d'un geste sec.
— Cool !
Élisabeth fut incapable de suivre le cours. Elle ignorait pourquoi mais la présence du jeune homme la rendait nerveuse. Quand la sonnerie se fit entendre, elle se jeta sur la porte, sans un regard pour son voisin et sous les yeux étonnés de son professeur
Tout le restant de la matinée, elle fit en sorte d'éviter le chemin d'Ericd'être à l'exact opposé du garçon. S’étant lié d’amitié avec un autre élève de la classe, Matt, il ne parut pas s’en rendre compte et semblait l'avoir complétement oubliée. Mitigée entre un sentiment de déception et de soulagementla déception et le soulagement, Élisabeth reprit le fil tranquille de ses cours.
C'est bien petite brise, tu gardes une fluidité qui rend la lecture agréable. Le rhytme est bon en incorporant au fur et mesure les différentes pièces et protagonistes de ton histoire. Comme je te l'ai déjà dit, je vois un manga quand je te lis.
Lundi, en arrivant au lycée une certaine euphorie régnait à l’entrée.En ce lundi matin, une euphorie agitait l'entrée du lycée Ce petit établissement de province, niché à l'orée de la forêt, ne comptait pas plus de quatre cents élèves. Les rumeurs et nouvelles s'y répandaient à vitesse grand V et Djamila en constituait le point de convergence ou le pôle attractif. Elle sauta littéralement sur Elisabeth à son arrivée.fusaient à vitesse grand V. Djamila lui sauta littéralement dessus.
— Tu connais la dernière ? Y a un nouveau ! Et pas mal en plus ! Que dis-je, divin ! Attends de le voir. Il a un sourire...
La suite se perdit dans des marmonnementsminauderies de plus en plus indistincts pendant qu’Élisabeth soupirait. Désespérément, elle constatait que son amie n’avait d’intérêt que pour les garçons. Elle avait bien tenté au départ de l’attirer dans des librairies, maisen vain. Djamila poursuivait sa description, intarissable, insatiable, les joues roses, les mains serrées l’une contre l’autre. « Lamentable », se désola Élisabeth. N’en pouvant plus, elle l’interrompit brusquement .
— Bon écoute, il faut que j’aille en cours. Je vais être en retard. À plus.
— Ok, on se voit au self alors...
Élisabeth s’évada en criant un « oui ». Elle était loin d’être en retard ; d’ailleurs elle n’était jamais en retard. Elle arriva devant la salle de classe vide et silencieuse. Avec soulagement, elle s’installa à sa place habituelle, dans le fond. La plupart du temps elle était seule à sa table, non pas qu’on la mettait à l’écart, c’était plutôt elle qui juste qu'elle préfèrait la solitudemettait les autres à l’écart. Elle s’assit, ouvrit la page de la pièce de théâtre de Jean Anouilh qu’elle avait choisi deux jours auparavant et s’abîmas'abandonna dans l’histoire d’Antigone. C’est à peine si elle entendit la sonnerie. Par réflexe, elle leva les yeux et s’aperçut que quelqu'un l’observait appuyé contre le chambranle de la porte. À sa grande surprise, elle reconnut son nouveau voisinle garçon entrevu par la fenêtre de sa cuisine, samedi dernier. Pendant un moment qui sembla durer une éternité, elle resta pétrifiée, les yeux fixés dans les siens. Le chahut se rapprochait et bientôt il envahit la salle. Les élèves pénétrèrent dans la pièce dans un tourbillon de rires et de cris. La majorité des étudiants de cette classe était des garçons et très peu d'entre eux hésitaient encore sur la filière qu'ils suivraient après le bac: informatique, physique, chimie. Les voies étaient multiples. Elle-même lorgnait depuis toute petite vers l'astrophysique. Le professeur de maths, Monsieur Carvisse, entra à son tour puis attendit que ses élèves se soient tous installés avant de demander au nouveau de se présenter. Le jeune homme obtempéra avec une facilité déconcertante qu'Élisabeth lui envia. Il se nommait Éric et sa famillle, originaire de la région parisienne, venait tout juste d'emménager dans le quartier. Lorsque M. Carvisse lui proposa de choisir une place, Élisabeth ne fut pas surprise qu’il s’installe à côté d’elle. Elle fixait droit devant elle pour dissimuler son émoi et sentit le regard de son voisin rivé sur elle. Elle décida de l’ignorer et ouvrit son livre.
— Salut, entendit-elle doucement.
Écarlate, elle se tourna vers lui et hocha la tête. Elle se trouvait ridicule. Un grand sourire inonda la face du jeune homme.
— Je m’appelle Éric. J’espère que ça ne te dérange pas que je m'assieds à côté de toi ?
— Non, non, bégaya-t-elle. Pas de problème.
"un peu tard pour poser la question surtout" pensa-t-elle en ouvrant sa trousse d'un geste sec.
— Cool !
Élisabeth fut incapable de suivre le cours. Elle ignorait pourquoi mais la présence du jeune homme la rendait nerveuse. Quand la sonnerie se fit entendre, elle se jeta sur la porte, sans un regard pour son voisin et sous les yeux étonnés de son professeur
Tout le restant de la matinée, elle fit en sorte d'éviter le chemin d'Ericd'être à l'exact opposé du garçon. S’étant lié d’amitié avec un autre élève de la classe, Matt, il ne parut pas s’en rendre compte et semblait l'avoir complétement oubliée. Mitigée entre un sentiment de déception et de soulagementla déception et le soulagement, Élisabeth reprit le fil tranquille de ses cours.
C'est bien petite brise, tu gardes une fluidité qui rend la lecture agréable. Le rhytme est bon en incorporant au fur et mesure les différentes pièces et protagonistes de ton histoire. Comme je te l'ai déjà dit, je vois un manga quand je te lis.
Re: commentaires sur : l'Elue
nico4g a écrit:
C'est bien petite brise, tu gardes une fluidité qui rend la lecture agréable. Le rhytme est bon en incorporant au fur et mesure les différentes pièces et protagonistes de ton histoire. Comme je te l'ai déjà dit, je vois un manga quand je te lis.
À force que tu compares l'élue à un manga, je suis allée à la médiathèque et j'ai fais la razzia sur tous les mangas... Meuh, ça n'a rien à voir ! C'est super décalé, je dirais même invraisemblable. Et je te parles pas des sentiments des héros, là, c'est l'explosion totale... Je vois pas le rapport ?
Bon sinon merci... je prend tout comme d'hab
Re: commentaires sur : l'Elue
Coucou Brisette,
Je suis perplexe. J’étais sûre d’avoir corrigé cet extrait et je vois qu’il n’est pas sur le forum. J’en conclus qu’avec ma distraction habituelle, j’ai dû fermer la page sans enregistrer. Conclusion j’ai tout perdu, mais je suis sûre d’avoir lu.
Bref, un extrait qui a déjà été travaillé, ça se voit. Je te donne quelques petites pistes et tu vois si elles te conviennent.
Et le garçon, il est resté collé à la porte ?
Je suis perplexe. J’étais sûre d’avoir corrigé cet extrait et je vois qu’il n’est pas sur le forum. J’en conclus qu’avec ma distraction habituelle, j’ai dû fermer la page sans enregistrer. Conclusion j’ai tout perdu, mais je suis sûre d’avoir lu.
Bref, un extrait qui a déjà été travaillé, ça se voit. Je te donne quelques petites pistes et tu vois si elles te conviennent.
Animait ?Ce lundi matin, une euphorie agitait l'entrée du lycée.
Se répandaient comme une traînée de poudre ? C’est une image commune mais peut-être qu’elle est plus adéquate que « vitesse grand V »Les rumeurs et nouvelles s'y répandaient à vitesse grand V
Que dis-je : divin !Que dis-je, divin !
J’enlèverais de plus en plusLa suite se perdit dans des marmonnements de plus en plus indistincts
Elle s’absorbe plutôt non ?et s’abandonna dans l’histoire d’Antigone.
Virgule après observaitque quelqu'un l’observait appuyé contre le chambranle de la porte.
Le chahut se rapprochait et envahit bientôt la classe lorsque les élèves…Le chahut se rapprochait et bientôt il envahit la salle. Les élèves pénétrèrent dans la pièce dans un tourbillon de rires et de cris.
Et le garçon, il est resté collé à la porte ?
Il se prénommait Éric. Et il ne dit pas son nom en entier ? Auquel cas, il se nommait Éric XIl se nommait Éric
Soit elle fixe son regard, soit elle regardeElle fixait droit devant elle
Que je m’assoie ou que je m’asseyeJ’espère que ça ne te dérange pas que je m'assieds à côté de toi ?
Une majuscule en début de phrase et une virgule après le guillemet fermant"un peu tard pour poser la question surtout" pensa-t-elle en ouvrant sa trousse d'un geste sec.
La formule est un peu familière, on emploie le plus souvent « reste »Tout le restant de la matinée
complètementsemblait l'avoir complétement oubliée
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur : l'Elue
Merci Azul. J'ai quasiment tout repris. Il faut juste que je retrouve le nom d'Éric...
et pour "m'assieds" c'est bien de l'indicatif présent ? qu'est-ce qui ne va pas ?
et pour éric, (collé au chambranle de la porte), tu dis toujours qu'il faut laisser une part à l'imagination du lecteur : donc là le lecteur doit imaginer qu'il bouge puisqu'il se présente au prof... non ?
et pour "m'assieds" c'est bien de l'indicatif présent ? qu'est-ce qui ne va pas ?
et pour éric, (collé au chambranle de la porte), tu dis toujours qu'il faut laisser une part à l'imagination du lecteur : donc là le lecteur doit imaginer qu'il bouge puisqu'il se présente au prof... non ?
Re: commentaires sur : l'Elue
Non, c'est un subjonctif présent. Si tu veux garder le présent tu pourrais changer "que" en "si" : "Ça ne te dérange pas si je m'assieds à côté de toi"t pour "m'assieds" c'est bien de l'indicatif présent ? qu'est-ce qui ne va pas ?
Pour Éric c'était une simple question. Les élèves entre dans un tourbillon et je le voyais plutôt emporté par le flot. Mais oui, on peut supposer qu'il reste à l'entrée de la classe et ne s'avance que lorsque le professeur l'interpelle.
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur : l'Elue
Je me souviens de la polémique sur le « pince sans rire » ; je vois que tu l’as changé en « pince du bec ». Lol, bien trouvé.
Tu ne nous donnes que des extraits au compte goutte, dis-moi. Heureusement qu’on se souvient de l’histoire, où on perdrait le fil.
Collée
Tu ne nous donnes que des extraits au compte goutte, dis-moi. Heureusement qu’on se souvient de l’histoire, où on perdrait le fil.
Il n’y a pas de virgule après « rectangulaires », à moins de l’encadrer carrément par des virgules.Des tables blanches rectangulaires, étaient alignées.
Pour ne pas faire « se, cette, savait » qui fait trop de ssss, je dirais « compris » à la place de « se douta ». Mais ça reste un peu lourd quand même, d’autant plus qu’elle n’attend pas l’avalanche de questions, mais qu’elle s’y attend, puisque Djamila la questionne dès qu’elle s’assoit.Devant le regard pesant de Djamila, elle se douta que cette dernière savait que le nouveau était dans sa classe et attendit donc l’avalanche de questions. Effectivement, dès que ses fesses touchèrent le siège, Djamila commença
Virgule après « et » si tu gardes l’autre virguleValérie pouffait dans son assiette et devant le regard furibond de Djamila, reprit tant bien que mal son sérieux.
Ses ?Djamila avait la fichue manie de l’agacer avec ces questions futiles.
J’attendrai (futur)j’attendrais que Madame daigne nous parler
Virgule après sympail a l’air plutôt sympa encore qu’il m’a collé la première heure de cours
Collée
Tu peux enlever le « et » je penseEt tandis qu’elle égrenait sa description
Ce qu’il avait pu entendre d’autre ? Parce qu’il a entendu qu’elle trouvait Éric sympaÉlisabeth se demanda ce qu’il avait pu entendre en passant derrière elle
Point après étrangeC’était une impression étrange, elle passa ses mains
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur : l'Elue
azul a écrit: Je me souviens de la polémique sur le « pince sans rire » ; je vois que tu l’as changé en « pince du bec ». Lol, bien trouvé.
Oui, merci. Mais j'ai pas cherché bien loin, cest comme ça que j'appelle ma mère (enfin surtout quand j'étais ado.. )
Tu ne nous donnes que des extraits au compte goutte, dis-moi. Heureusement qu’on se souvient de l’histoire, où on perdrait le fil.
oui effectivement. Mais ça me laisse tout le temps de lire les autres histoires, de commenter et de corriger.
Des tables blanches rectangulaires, étaient alignées.
Il n’y a pas de virgule après « rectangulaires », à moins de l’encadrer carrément par des virgules.
Oui mais je vais certainement réécrire ces deux phrases en une seule, genre : Les tables blanches rectangulaires étaient alignées dans le réfectoire baigné par la lumière du soleil grâce aux grandes baies vitrées
du mur côté sud... ? qu'est-ce t'en penses ?
Pour ne pas faire « se, cette, savait » qui fait trop de ssss, je dirais « compris » à la place de « se douta ». Mais ça reste un peu lourd quand même, d’autant plus qu’elle n’attend pas l’avalanche de questions, mais qu’elle s’y attend, puisque Djamila la questionne dès qu’elle s’assoit.
c'est un excellent exercice des zygomatiques ces "S". Je revois ça.
Valérie pouffait dans son assiette et devant le regard furibond de Djamila, reprit tant bien que mal son sérieux.[/quote]
Virgule après « et » si tu gardes l’autre virgule
Ok
Djamila avait la fichue manie de l’agacer avec ces questions futiles.
Ses ?
oui pour le SES : ça parait pus logique.
j’attendrais que Madame daigne nous parler. J’attendrai (futur)
il a l’air plutôt sympa encore qu’il m’a collé la première heure de cours
Virgule après sympa
Collée
rho ben minçe alors...
Merci merci Azul.
Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 1 - extrait 8 :
Tous les midis, elle avait pris l’habitude c'est redondant : Le midi, elle avait pris l'habitudede déjeuner avec Valérie et Djamila. Le réfectoire, en forme de L, était baigné par la lumière du soleil grâce aux grandes baies vitrées. Des tables blanches rectangulaires étaient alignées. Comme d'habitude, toutes celles exposées au soleil étaient prises. Ses amis l’attendaient déjà à une table du fonddans le fond quand elle sortit de l’allée avec son plateau. Devant le regard pesant de Djamila, elle comprit que cette dernière savait que le nouveau était dans sa classe et attendit donc l’avalanche de questions. Effectivement, dès que ses fesses touchèrent le siège, Djamila commença :
— Alors ? il paraît que le nouveau est dans ta classe ? Il s’appelle comment ? Il vient d’où ? Il est sympa ? Tu lui as parlé ? Tu...
Elle stoppa net en constatant qu’Élisabeth regardait ailleurs tout en mastiquant lentement sa salade. Elle secoua sa main devant les yeux de son amie.
— Hé ho ! Y a quelqu'un ? Eh grand-mère, remets ton sonotone, j’ te parle là !
Valérie pouffait dans son assiette et, devant le regard furibond de Djamila, reprit tant bien que mal son sérieux.
— Tu appelles ça me parler ? Tu devrais penser à faire carrière dans la police ! Je suis certaine que tu as le bon profil ! répondit sèchement Élisabeth.
Djamila avait la fichue manie de l’agacer avec ses questions futiles.
— Très drôle ! Eh bien, j’attendrai que Madame daigne nous parler de sa matinée. Je ne voudrais surtout pas la brusquer.
Djamila afficha une moue boudeuse. Élisabeth ne supportait pas les conflits, ce qui lui valait de se laisser marcher sur les pieds bien des fois. Elle décida de résumer sa matinée pour calmer la curiosité de son amie.
— Te vexe pas Djamila ! Y a pas grand-chose à dire : Il s’appelle Éric, il a l’air plutôt sympa, encore qu’il m’a collée la première heure de cours et qu’il est devenu le copain de Matt...
Tandis qu’elle égrenait sa description, Djamila blêmissait et Valérie tournait ses yeux comme pour la prévenir d’un danger. Elle n’osa pas se retourner lorsqu’elle entendit des rires dans son dos.
— T’entends Éric ! T’es plutôt sympa ! Et c’est miss pince du bec, première de la classe qui le dit, s’esclaffa Matt pendant qu’il rejoignait son nouvel ami déjà installé à une table à l'autre bout du réfectoire.qui venait de s’installer sur un table à l’autre bout du réfectoire.
Élisabeth se demanda ce qu’il avait pu entendre d'autre en passant derrière elle. Elle piqua un fard lorsqu’elle constata que les deux garçons se tournaient vers elle. Elle semblait être au centre de leur conversation. Elle maudit Matt qu’elle n’appréciait guère, surtout depuis qu'il l'affublait du surnom très sympa de "pince de bec". Etait-ce de sa faute si elle ne riait jamais à ces plaisanteries d'un goût plus que douteux ?que très médiocrement surtout depuis qu’il lui avait trouvé le surnom de pince du bec parce qu’elle ne riait jamais de ses plaisanteries très vaseuses à son goût. Elle avait cru un instant que son cœur allait éclater et sentait des fourmillements désagréables au bout de ses doigts. C’était une impression étrange. Elle passa ses mains devant son visage, les observa attentivement. Le fourmillement s’atténuait doucement en petits picotements.
très bon passage, rhytmé, fluide, marrant. Super, quoi
Tous les midis, elle avait pris l’habitude c'est redondant : Le midi, elle avait pris l'habitudede déjeuner avec Valérie et Djamila. Le réfectoire, en forme de L, était baigné par la lumière du soleil grâce aux grandes baies vitrées. Des tables blanches rectangulaires étaient alignées. Comme d'habitude, toutes celles exposées au soleil étaient prises. Ses amis l’attendaient déjà à une table du fonddans le fond quand elle sortit de l’allée avec son plateau. Devant le regard pesant de Djamila, elle comprit que cette dernière savait que le nouveau était dans sa classe et attendit donc l’avalanche de questions. Effectivement, dès que ses fesses touchèrent le siège, Djamila commença :
— Alors ? il paraît que le nouveau est dans ta classe ? Il s’appelle comment ? Il vient d’où ? Il est sympa ? Tu lui as parlé ? Tu...
Elle stoppa net en constatant qu’Élisabeth regardait ailleurs tout en mastiquant lentement sa salade. Elle secoua sa main devant les yeux de son amie.
— Hé ho ! Y a quelqu'un ? Eh grand-mère, remets ton sonotone, j’ te parle là !
Valérie pouffait dans son assiette et, devant le regard furibond de Djamila, reprit tant bien que mal son sérieux.
— Tu appelles ça me parler ? Tu devrais penser à faire carrière dans la police ! Je suis certaine que tu as le bon profil ! répondit sèchement Élisabeth.
Djamila avait la fichue manie de l’agacer avec ses questions futiles.
— Très drôle ! Eh bien, j’attendrai que Madame daigne nous parler de sa matinée. Je ne voudrais surtout pas la brusquer.
Djamila afficha une moue boudeuse. Élisabeth ne supportait pas les conflits, ce qui lui valait de se laisser marcher sur les pieds bien des fois. Elle décida de résumer sa matinée pour calmer la curiosité de son amie.
— Te vexe pas Djamila ! Y a pas grand-chose à dire : Il s’appelle Éric, il a l’air plutôt sympa, encore qu’il m’a collée la première heure de cours et qu’il est devenu le copain de Matt...
Tandis qu’elle égrenait sa description, Djamila blêmissait et Valérie tournait ses yeux comme pour la prévenir d’un danger. Elle n’osa pas se retourner lorsqu’elle entendit des rires dans son dos.
— T’entends Éric ! T’es plutôt sympa ! Et c’est miss pince du bec, première de la classe qui le dit, s’esclaffa Matt pendant qu’il rejoignait son nouvel ami déjà installé à une table à l'autre bout du réfectoire.qui venait de s’installer sur un table à l’autre bout du réfectoire.
Élisabeth se demanda ce qu’il avait pu entendre d'autre en passant derrière elle. Elle piqua un fard lorsqu’elle constata que les deux garçons se tournaient vers elle. Elle semblait être au centre de leur conversation. Elle maudit Matt qu’elle n’appréciait guère, surtout depuis qu'il l'affublait du surnom très sympa de "pince de bec". Etait-ce de sa faute si elle ne riait jamais à ces plaisanteries d'un goût plus que douteux ?que très médiocrement surtout depuis qu’il lui avait trouvé le surnom de pince du bec parce qu’elle ne riait jamais de ses plaisanteries très vaseuses à son goût. Elle avait cru un instant que son cœur allait éclater et sentait des fourmillements désagréables au bout de ses doigts. C’était une impression étrange. Elle passa ses mains devant son visage, les observa attentivement. Le fourmillement s’atténuait doucement en petits picotements.
très bon passage, rhytmé, fluide, marrant. Super, quoi
Re: commentaires sur : l'Elue
Je pense que c'est trop long, surtout que tu rajoutes une info avec "mur côté sud", et que tes deux phrases de départ n'étaient pas si mal. Mais il y a aussi les deux verbes "était, étaient". De plus, si tu parles des tables en premier, tu vas être ennuyée avec la phrase suivante (toutes celles exposées au soleil). Je constate d'ailleurs qu'il y a un troisième "étaient" et un deuxième "soleil".Oui mais je vais certainement réécrire ces deux phrases en une seule, genre : Les tables blanches rectangulaires étaient alignées dans le réfectoire baigné par la lumière du soleil grâce aux grandes baies vitrées
du mur côté sud... ? qu'est-ce t'en penses ?
Ensuite, on peut supposer que tout le réfectoire n'est pas baigné par la lumière du soleil puisqu'il n'y a qu'un certain nombre de places au soleil. C'est peut-être justement parce qu'il est en forme de L que certaines places restent à l'ombre.
Grâce aux grandes baies vitrées, la lumière baignait en partie le réfectoire en forme de L. Les tables blanches rectangulaires étaient presque toutes occupées, surtout celles exposées au soleil. (?)
Pense un peu à toi quand mêmeoui effectivement. Mais ça me laisse tout le temps de lire les autres histoires, de commenter et de corriger.
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur : l'Elue
azul a écrit: Ensuite, on peut supposer que tout le réfectoire n'est pas baigné par la lumière du soleil puisqu'il n'y a qu'un certain nombre de places au soleil. C'est peut-être justement parce qu'il est en forme de L que certaines places restent à l'ombre.
Grâce aux grandes baies vitrées, la lumière baignait en partie le réfectoire en forme de L. Les tables blanches rectangulaires étaient presque toutes occupées, surtout celles exposées au soleil. (?)
Merci Azul. Parfois je m'embrouillasse avec des détails inutiles. Je veux faire bien et arrivée là je m'enterre !
azul a écrit: oui effectivement. Mais ça me laisse tout le temps de lire les autres histoires, de commenter et de corriger.
Pense un peu à toi quand même
Bien... j'ai suivi tes conseils : j'ai posté un autre extrait mais si j'inonde faut pas hésiter à me le dire...
Merci Azul
Re: commentaires sur : l'Elue
Finalement il y a deux "en" dans ma proposition. Peut-être que "baignait une partie du réfectoire en forme de L" serait mieux. Tu vois qu'on n'en a jamais fini de retravailler les phrases Peut-être même qu'il y a mieux que cette proposition.Grâce aux grandes baies vitrées, la lumière baignait en partie le réfectoire en forme de L. Les tables blanches rectangulaires étaient presque toutes occupées, surtout celles exposées au soleil.
Sans inonder pour autant, les extraits "pas trop éloignés" permettent de repérer les incohérences. Et encore... la lecture par épisodes n'est pas évidentes. Alors, il vaut mieux ne pas trop tarder.j'ai posté un autre extrait mais si j'inonde faut pas hésiter à me le dire...
azul- Talent Suprême
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Re: commentaires sur : l'Elue
Chapitre 1 - extraits 8 et 9
=> il doit pas être si blindé que ça le réfectoire. Personnellement, dans le mien, quand je vais à une table et que je passe près d'une autre, j'ai pas le temps ni les moyens d'entendre ce que ça se dit à une table précise. A moins de m'arrêter et de me pencher volontairement...
=> qui est ce quelqu'un ? Tu en dis trop ou pas assez : soit tu enlèves ce détail soit tu développes, mais tu ne peux pas dire ça comme ça comme si de rien n'était : c'est trop gros.
=> suggestion : "sans diminuer le pas" ou "sans interrompre sa course pour autant"
=> suggestion : "tandis qu'elle parlait"
Appréciation linguistique :
Le petit reproche, ce sera sur le dialogue qui n'a parfois pas trop d'intérêt. Il faut penser, pour que la narration soit attrayante, à toujours cibler l'essentiel et ce qui motivera l'histoire, lorsque tu insères un dialogues.
Sinon, reste à la simple narration plane, sans prise de parole.
Sinon, c'est plutôt fluide. Peut-être un peu trop, puisque finalement, les actions s'enchaînent très rapidement.
Mais ça motive l'histoire d'un certain côté...
Appréciation du récit/scénario :
Il me semble déjà t'en avoir fait la remarque mais... je trouve la scène de Eli et Laurent complètement ridicule. On n'a pas assez de recul pour pouvoir comprendre pourquoi Eli affiche une barrière.
Par habitude, et c'est normal, c'est au bout d'un certain temps, lorsque la fille commence à ressentir trop vivement les avances d'un jeune homme qu'elle ne désire pas, qu'elle applique le système de la barrière.
Là c'est extrêmement précipité. Trop même. Au point que ce n'est pas crédible. Ou alors, il fallait nous montrer, nous dire avant, que Laurent était lourd et qu'il lui faisait souvent des avances qu'elle avait du mal à déclinées.
Mais là, non, le scénario tourne sur quelque chose qui n'est pas logique et qui fait "pré-fabriqué". Il faut n peu de linéarité, un comportement naturel, tu vois ?
Attention aussi pour le réfectoire à ne pas tomber dans le cliché de la pauvre élève méprisée par tout le monde mais qui aura finalement raison du lycée entier.
Un peu comme à la Harry Potter.
Sinon, le mystère du pot d'eau reste entier, et je me réfère à la remarque rédigée dans le commentaire : tu en dis trop ou pas assez.
Mais il ne fallait pas préciser comme ça que quelqu'un l'observait sans en expliquer la raison ; ou du moins, sans développer le sentiment d'Eli.
=> ouh, elle est rapide ton Eli =D. Tu viens de dire que Djamila la harcèle dès l'instant où elle pose ses fesses sur le siège. Vu que sa réplique dure à tout casser 5 secondes chrono, je suppose quu Eli n'a pas encore eu le temps de mettre quoi que ce soit dans sa bouche et encore moins de mastiquer la salade...Elle stoppa net en constatant qu’Élisabeth regardait ailleurs tout en mastiquant lentement sa salade.
=> soit logique : soit tu mets tout au conditionnel, soit tout au futur. Mais pas "attendrai" sans "s" (=futur) et voudrais avec "s" (=conditionnel).
Eh bien, j’attendrai que Madame daigne nous parler de sa matinée. Je ne voudrais surtout pas la brusquer.
=> sur une tablequi venait de s’installer sur un table à l’autre bout du réfectoire
=> il doit pas être si blindé que ça le réfectoire. Personnellement, dans le mien, quand je vais à une table et que je passe près d'une autre, j'ai pas le temps ni les moyens d'entendre ce que ça se dit à une table précise. A moins de m'arrêter et de me pencher volontairement...
=> coulé (pas d'accord avec avoir comme auxiliaire)Le pichet trônait maintenant sur la table et pas une goutte d’eau n’avait coulée.
=> salle plutôt que pièce, pour un réfectoire...À l’autre bout de la pièce quelqu'un d’autre l’observait attentivement et n’avait rien raté de la scène.
=> qui est ce quelqu'un ? Tu en dis trop ou pas assez : soit tu enlèves ce détail soit tu développes, mais tu ne peux pas dire ça comme ça comme si de rien n'était : c'est trop gros.
=> répétition de "ralentir"Sans ralentir Élisabeth lui sourit.
=> suggestion : "sans diminuer le pas" ou "sans interrompre sa course pour autant"
=> idemElle rit et finit par ralentir.
=> tu ne trouves pas ça un peu précipité ? Pour des amis de longue date, on ne peut pas dire vraiment que les choses doivent être mises au clair, tu vois ? Et rien dans sa demande ne laisse supposer qu'il veut coucher avec elle ^^Il lui sembla qu’il fallait mettre les choses au clair avant que leur amitié ne soit abîmée
=> répétitionAu fur et à mesure qu’elle parlait,
=> suggestion : "tandis qu'elle parlait"
Appréciation linguistique :
Le petit reproche, ce sera sur le dialogue qui n'a parfois pas trop d'intérêt. Il faut penser, pour que la narration soit attrayante, à toujours cibler l'essentiel et ce qui motivera l'histoire, lorsque tu insères un dialogues.
Sinon, reste à la simple narration plane, sans prise de parole.
Sinon, c'est plutôt fluide. Peut-être un peu trop, puisque finalement, les actions s'enchaînent très rapidement.
Mais ça motive l'histoire d'un certain côté...
Appréciation du récit/scénario :
Il me semble déjà t'en avoir fait la remarque mais... je trouve la scène de Eli et Laurent complètement ridicule. On n'a pas assez de recul pour pouvoir comprendre pourquoi Eli affiche une barrière.
Par habitude, et c'est normal, c'est au bout d'un certain temps, lorsque la fille commence à ressentir trop vivement les avances d'un jeune homme qu'elle ne désire pas, qu'elle applique le système de la barrière.
Là c'est extrêmement précipité. Trop même. Au point que ce n'est pas crédible. Ou alors, il fallait nous montrer, nous dire avant, que Laurent était lourd et qu'il lui faisait souvent des avances qu'elle avait du mal à déclinées.
Mais là, non, le scénario tourne sur quelque chose qui n'est pas logique et qui fait "pré-fabriqué". Il faut n peu de linéarité, un comportement naturel, tu vois ?
Attention aussi pour le réfectoire à ne pas tomber dans le cliché de la pauvre élève méprisée par tout le monde mais qui aura finalement raison du lycée entier.
Un peu comme à la Harry Potter.
Sinon, le mystère du pot d'eau reste entier, et je me réfère à la remarque rédigée dans le commentaire : tu en dis trop ou pas assez.
Mais il ne fallait pas préciser comme ça que quelqu'un l'observait sans en expliquer la raison ; ou du moins, sans développer le sentiment d'Eli.
Re: commentaires sur : l'Elue
Pacô a écrit:=> soit logique : soit tu mets tout au conditionnel, soit tout au futur. Mais pas "attendrai" sans "s" (=futur) et voudrais avec "s" (=conditionnel).Eh bien, j’attendrai que Madame daigne nous parler de sa matinée. Je ne voudrais surtout pas la brusquer.
Je m'incruste.
Pourquoi diable veux-tu tout mettre au futur ou au conditionnel ?? Si tu mets tout au futur, l'ironie de la 2° phrase va s'envoler en fumée. Et le conditionnel à la 1° phrase, je ne vois pas trop ce qu'il viendrait faire ici ^^
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Re: commentaires sur : l'Elue
Laumie a écrit:Pacô a écrit:=> soit logique : soit tu mets tout au conditionnel, soit tout au futur. Mais pas "attendrai" sans "s" (=futur) et voudrais avec "s" (=conditionnel).Eh bien, j’attendrai que Madame daigne nous parler de sa matinée. Je ne voudrais surtout pas la brusquer.
Je m'incruste.
Pourquoi diable veux-tu tout mettre au futur ou au conditionnel ?? Si tu mets tout au futur, l'ironie de la 2° phrase va s'envoler en fumée. Et le conditionnel à la 1° phrase, je ne vois pas trop ce qu'il viendrait faire ici ^^
Incruste toi, incruste toi.
Oui Pâco, pourquoi veux-tu tout mettre au conditionnel ou au futur ? (vas-y lâche les chiens)
Merci Laumie.
Re: commentaires sur : l'Elue
=> ouh, elle est rapide ton Eli =D. Tu viens de dire que Djamila la harcèle dès l'instant où elle pose ses fesses sur le siège. Vu que sa réplique dure à tout casser 5 secondes chrono, je suppose quu Eli n'a pas encore eu le temps de mettre quoi que ce soit dans sa bouche et encore moins de mastiquer la salade...[/quote]Pacô a écrit: Chapitre 1 - extraits 8 et 9
Elle stoppa net en constatant qu’Élisabeth regardait ailleurs tout en mastiquant lentement sa salade.
Ah oui ? on fait le pari ?
Pacô a écrit: qui venait de s’installer sur un table à l’autre bout du réfectoire
=> sur une table
=> il doit pas être si blindé que ça le réfectoire. Personnellement, dans le mien, quand je vais à une table et que je passe près d'une autre, j'ai pas le temps ni les moyens d'entendre ce que ça se dit à une table précise. A moins de m'arrêter et de me pencher volontairement....
Elle est excédée : elle parle fort. et Matt est du genre petite fouine vicieuse. T'a jamais eu une oreille qui trainait comme par hasard ?
Pacô a écrit: À l’autre bout de la pièce quelqu'un d’autre l’observait attentivement et n’avait rien raté de la scène.
=> salle plutôt que pièce, pour un réfectoire...
=> qui est ce quelqu'un ? Tu en dis trop ou pas assez : soit tu enlèves ce détail soit tu développes, mais tu ne peux pas dire ça comme ça comme si de rien n'était : c'est trop gros.
ben, ça me parait tellement limpide que j'avais pensé inutile de préciser qui la regarde...
Pacô a écrit: Sans ralentir Élisabeth lui sourit. => répétition de "ralentir"
=> suggestion : "sans diminuer le pas" ou "sans interrompre sa course pour autant"
Elle rit et finit par ralentir. => idem
effectivement !
Pacô a écrit: Il lui sembla qu’il fallait mettre les choses au clair avant que leur amitié ne soit abîmée => tu ne trouves pas ça un peu précipité ? Pour des amis de longue date, on ne peut pas dire vraiment que les choses doivent être mises au clair, tu vois ? Et rien dans sa demande ne laisse supposer qu'il veut coucher avec elle ^^
non je trouve pas. Déja au restau, elle avait ressenti une désagréable impression et là il lui avoue qu'il la drague. Pourquoi tourner autour du pot ? autant lui dire carrément que ce n'est pas possible... je ne vois vraiment pas où est le problème.
Pacô a écrit: Au fur et à mesure qu’elle parlait,=> répétition
=> suggestion : "tandis qu'elle parlait"
ok
Pacô a écrit: Le petit reproche, ce sera sur le dialogue qui n'a parfois pas trop d'intérêt. Il faut penser, pour que la narration soit attrayante, à toujours cibler l'essentiel et ce qui motivera l'histoire, lorsque tu insères un dialogues.
Sinon, reste à la simple narration plane, sans prise de parole....
À travers ces petits dialogues, on situe les personnages. Ca me parait important pour la suite de l'histoire. Mais j'avoue que le côté nian nian doit saouler certains.
Pacô a écrit: Il me semble déjà t'en avoir fait la remarque mais... je trouve la scène de Eli et Laurent complètement ridicule. ...
Oui, je me souviens que tu ne l'avais pas appréciée.
Pacô a écrit: On n'a pas assez de recul pour pouvoir comprendre pourquoi Eli affiche une barrière. Par habitude, et c'est normal, c'est au bout d'un certain temps, lorsque la fille commence à ressentir trop vivement les avances d'un jeune homme qu'elle ne désire pas, qu'elle applique le système de la barrière....
Pas d'accord ! si les avances d'un garçon sont et précises (et là c'est le cas) et que la jeune fille n'est pas interressée (c'est le cas itou) selon son caractère, elle lui avouera sans tourner autour du pot. Surtout si c'est un ami !!! autant être franche.
Eli est franche !
Pacô a écrit: Attention aussi pour le réfectoire à ne pas tomber dans le cliché de la pauvre élève méprisée par tout le monde mais qui aura finalement raison du lycée entier.
Un peu comme à la Harry Potter....
ben ce ne sera pas le cas !
Pacô a écrit: Sinon, le mystère du pot d'eau reste entier, et je me réfère à la remarque rédigée dans le commentaire : tu en dis trop ou pas assez.
Mais il ne fallait pas préciser comme ça que quelqu'un l'observait sans en expliquer la raison ; ou du moins, sans développer le sentiment d'Eli.
oui mais je me dis que si tu te poses la question, c'est que j'ai un peu réussi mon coup... (pitié...)
Re: commentaires sur : l'Elue
Allez, sans relire, je vote pour Éric. C'est ça ? C'est lui qui la regarde à l'autre bout du réfectoire ? Je dis qu'il ne faut pas en dire plus. Même si on a compris de qui il s'agit, il faut maintenir le mystère sur le reste.Mais il ne fallait pas préciser comme ça que quelqu'un l'observait sans en expliquer la raison ; ou du moins, sans développer le sentiment d'Eli.
Et je suis d'accord pour le fameux futur suivi du conditionnel. Bravo à Laumie, et félicitations à l'auteur qui ne s'est point mélangé les pédales
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Re: commentaires sur : l'Elue
azul a écrit:Et je suis d'accord pour le fameux futur suivi du conditionnel. Bravo à Laumie, et félicitations à l'auteur qui ne s'est point mélangé les pédales
Ha bah j'suis contente de ne pas m'être plantée et donc d'avoir confirmé le bon accord à Ptitebrise ^^
Laumie- Talent Divin
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Re: commentaires sur : l'Elue
Coucou, j'ai commencé à lire ce roman.
bon, je n'ai lu que le prologue et les quatre premiers envois.
Alors, le prologue... Désolée mais ça m'a fait rire ! Non, le coup de la promesse faite en pleine agonie, ça le fait pas ! Déjà quand on agonise, on n'a pas le temps ni l'esprit à dire ce genre de choses et ensuite, bon ça été utilisé et réutilisé dans les films surtout. Trouve une autre scène pour expliquer l'engagement de l'autre personnage, je crois que tu peux faire beaucoup mieux que ça !
Sinon, tu as une écriture très agréable à lire dans les envois suivants, quasi rien relevé de choquant à la première lecture. Peut-être des passages un poil trop courts. On saute d'une situation à l'autre très vite, sans s'attarder. Sur la longueur, ça peut devenir lassant comme procédé d'écriture ( excellent par contre sur certains passages pour accélérer le rythme du récit.)
bon, je n'ai lu que le prologue et les quatre premiers envois.
Alors, le prologue... Désolée mais ça m'a fait rire ! Non, le coup de la promesse faite en pleine agonie, ça le fait pas ! Déjà quand on agonise, on n'a pas le temps ni l'esprit à dire ce genre de choses et ensuite, bon ça été utilisé et réutilisé dans les films surtout. Trouve une autre scène pour expliquer l'engagement de l'autre personnage, je crois que tu peux faire beaucoup mieux que ça !
Sinon, tu as une écriture très agréable à lire dans les envois suivants, quasi rien relevé de choquant à la première lecture. Peut-être des passages un poil trop courts. On saute d'une situation à l'autre très vite, sans s'attarder. Sur la longueur, ça peut devenir lassant comme procédé d'écriture ( excellent par contre sur certains passages pour accélérer le rythme du récit.)
Re: commentaires sur : l'Elue
Laumie et Azul : Merci les filles ! ça me fait tout chaud à mon p'tit coeur.
Re: commentaires sur : l'Elue
Wow, je te trouve un peu raide sur ce coup. Déjà je ne vois pas trop à quel endroit on a envie de rire dans ce prologue. Ensuite, si je suis désolée, quand on agonise on peut avoir le temps de dire quelque chose, tu dis toi-même que c'est une scène usée par les films, c'est donc qu'elle est crédible. Et faire du jamais vu, ça me parait impossible dans la mesure ou tout à été déjà fait dans l'écriture ou la cinématographie. Je crois donc que petite brise a le droit d'avoir son libre arbitre que la scène plaise ou non, elle a le droit de l'utiliser.Alors, le prologue... Désolée mais ça m'a fait rire ! Non, le coup de la promesse faite en pleine agonie, ça le fait pas ! Déjà quand on agonise, on n'a pas le temps ni l'esprit à dire ce genre de choses et ensuite, bon ça été utilisé et réutilisé dans les films surtout. Trouve une autre scène pour expliquer l'engagement de l'autre personnage, je crois que tu peux faire beaucoup mieux que ça !
Me concernant, ton prologue me convient tout à fait petite brise.
Re: commentaires sur : l'Elue
arwen a écrit:
Alors, le prologue... Désolée mais ça m'a fait rire !
Ravie que tu aies passé un bon moment ! tu sais ce qu'on dit sur le fait de rire : ça remplace un steack et ça rallonge la vie (tu me diras merci plus tard !!)
arwen a écrit:Non, le coup de la promesse faite en pleine agonie, ça le fait pas ! Déjà quand on agonise, on n'a pas le temps ni l'esprit à dire ce genre de choses et ensuite, bon ça été utilisé et réutilisé dans les films surtout. Trouve une autre scène pour expliquer l'engagement de l'autre personnage,
je crois que tu peux faire beaucoup mieux que ça !
ben je sais pas... je ne connais malheureusement personne dans ce cas. Et toi? du coup je fais marcher mon imagination...
Trouver une autre scéne ? lol toi aussi tu as de l'humour ! j'adore.
arwen a écrit:Sinon, tu as une écriture très agréable à lire dans les envois suivants, quasi rien relevé de choquant à la première lecture. Peut-être des passages un poil trop courts. On saute d'une situation à l'autre très vite, sans s'attarder. Sur la longueur, ça peut devenir lassant comme procédé d'écriture ( excellent par contre sur certains passages pour accélérer le rythme du récit.)
Merci... heu... merci ?
Re: commentaires sur : l'Elue
Malheureusement si, je connais ce qu'est l'agonie d'une personne... et une personne agonisante ne parle pas... plus assez de souffle, de conscience.
Kat, on a envie de rire parce que c'est utilisé jusqu'à plus soif dans les mauvais films et que ça n'a rien de crédible. Non seulement c'est pas crédible, mais en plus c'est usée comme méthode, pas original pour deux sous.
Et c'est dommage de commencer un récit par une vieille ficelle usée jusqu'à la trame. C'est tout.
En gardant l'idée de promesse, de meurtre, y'a moyen de trouver une situation moins cliché et donc plus intriguante... parce qu'un prologue qui part sur un cliché plus gros qu'une maison, ça augure mal de la suite ( que cela soit vrai ou pas, ça donne une mauvaise impression) c'est tout ce que je dis. C'est pas pour être désagréable. Je ne remets pas en cause l'idée de promesse, etc, juste la mise en scène.
Kat, on a envie de rire parce que c'est utilisé jusqu'à plus soif dans les mauvais films et que ça n'a rien de crédible. Non seulement c'est pas crédible, mais en plus c'est usée comme méthode, pas original pour deux sous.
Et c'est dommage de commencer un récit par une vieille ficelle usée jusqu'à la trame. C'est tout.
En gardant l'idée de promesse, de meurtre, y'a moyen de trouver une situation moins cliché et donc plus intriguante... parce qu'un prologue qui part sur un cliché plus gros qu'une maison, ça augure mal de la suite ( que cela soit vrai ou pas, ça donne une mauvaise impression) c'est tout ce que je dis. C'est pas pour être désagréable. Je ne remets pas en cause l'idée de promesse, etc, juste la mise en scène.
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